oleocene.org

Elengy précise son projet de terminal ammoniac à Fos-sur-Mer
Alors que la Commission nationale du débat public a désigné deux garants pour organiser la concertation préalable, Elengy a dévoilé quelques chiffres clés sur son projet de terminal ammoniac à Fos-sur-Mer. La décision d’investissement est prévue en 2026.

le 25/09/2024

Le premier navire fonctionnant à l’ammoniac sera mis en service en 2026

Agence Ecofin 26 aout 2024

Le transport maritime international représentait près de 2 % des émissions mondiales de CO2 liées à l’énergie en 2022. Pour parvenir à des émissions nettes nulles d’ici 2050, une réduction de près de 15 % des émissions entre 2022 et 2030 est obligatoire, selon l’AIE.

Le groupe technologique Wärtsilä a annoncé le 26 aout avoir signé un contrat avec l’armateur norvégien Eidesvik pour la fourniture de l’équipement nécessaire à la conversion d’un navire de ravitaillement de plate-forme offshore afin qu’il fonctionne avec du carburant ammoniacal.

Le navire, « Viking Energy » qui est sous contrat avec la major énergétique Equinor, devrait être converti au début de l’année 2026 et commencer à fonctionner à l’ammoniac au cours du premier semestre 2026, devenant ainsi le premier navire en service au monde alimenté à l’ammoniac.

« En 25 ans seulement, soit la durée de vie d’un seul navire, le transport maritime doit parvenir à un niveau d’émissions nettes nulles. Pour y parvenir, il faudra une action coordonnée de toutes les parties prenantes de l’industrie maritime afin de provoquer le changement de système nécessaire à l’acceptation d’une nouvelle génération de carburants durables », a déclaré Håkan Agnevall, président-directeur général de Wärtsilä, soulignant l’importance de la collaboration intersectorielle.

Depuis peu, l’ammoniac s’est imposé comme un carburant alternatif prometteur alors que le secteur du transport maritime recherche des options de carburant plus durables. Dans ce contexte, des pays africains mettent en place des politiques et des stratégies en faveur du développement de l’hydrogène vert et de l’ammoniac vert en vue de l’exporter.

L’Égypte par exemple, a récemment franchi une étape importante en exportant la première cargaison d’ammoniac vert au monde, produite dans des installations situées dans le pays. Le pays a également signé récemment quatre accords d’une valeur totale de 35,4 milliards $ avec des entreprises européennes pour produire de l’ammoniac vert.

GTT reçoit une approbation pour convertir à l’ammoniac les navires équipés de ses réservoirs GNL
La société de classification ABS a donné une approbation de principe à GTT pour notation « NH3-ready » de son système de confinement Mark III sur les navires propulsés au GNL. Cette technologie va notamment être installée sur 12 futurs porte-conteneurs de CMA CGM.

Guillaume JORIS Publié le 06/08/2024 Le marin

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Trafigura réussit un premier transbordement d’ammoniac de navire à navire
Trafigura, le géant suisse du négoce de matières premières, a annoncé avoir réalisé fin juin, au large de l’enclave espagnole de Ceuta, un premier transbordement d’ammoniac en ship to ship (navire à navire), une préparation à l’utilisation de l’ammoniac carburant.


Le « Green Power », gazier de 40 000 m³, affrété par Trafigura, a amené l’ammoniac sur le détroit de Gibraltar. | VESSELFINDER

Thibaud TEILLARD. Publié le 02/07/2024 Le marin

Trafigura a réalisé avec succès fin juin son premier transfert d’ammoniac de navire à navire (ship to ship ou STS dans le jargon). L’opération s’est déroulée dans les eaux internationales du détroit de Gibraltar, à proximité du port de Ceuta, enclave espagnole au Maroc.

Environ 6 000 tonnes d’ammoniac (NH3), fournies par le groupe chimique CF Industries depuis son complexe de production de Donaldsonville, en Louisiane, ont été transférées entre le Green Power, gazier de taille... abonnés

Lancement d'un projet pour la construction du plus grand transporteur d'ammoniac au monde

Par Caroline Britz - 07/06/2024

Le chantier chinois Guanzhou veut se positionner sur le très en vogue nouveau marché du transport d'ammoniac en gros volume.
Les projets autour de l'ammoniac continuent à prendre de l'ampleur. A l'occasion du salon Posidonia, à Athènes, le chantier chinois et la société de classification britannique Lloyds Register ont annoncé le lancement d'un projet de développement conjoint pour la construction d'un navire transporteur d'ammoniac (VLAC) d'une capacité de 100.000 m3, soit la plus importante au monde. Peu de détails techniques ont été donnés, il est simplement précisé que le navire recevra une cuve de type B.

Si l’ammoniac est actuellement en train de se faire une place dans la propulsion des navires, en raison de la décarbonation totale que ce combustible propose, il intéresse aussi beaucoup en tant que « transporteur d’hydrogène ». En effet, l'ammoniac est une molécule composée de trois atomes d'hydrogène pour un d'azote (NH3). Il peut donc devenir un fournisseur de molécules d'hydrogène grâce à une catalyse. Comme il peut, sous sa forme liquide, être stocké facilement et à des pressions et températures modérées, il devient une solution d'apport en hydrogène, qui, lui, est difficile à stocker. De très nombreux projets autour de l'ammoniac sont donc actuellement en cours de développement, que ce soit dans le transport et le stockage, la propulsion ou encore la production.

Maersk tankers commande quatre transporteurs d’ammoniac supplémentaires auprès de HSHI
Le danois Maersk tankers a exercé une option pour faire construire chez HSHI quatre très grands transporteurs d’ammoniac (VLAC) additionnels.


Maersk tankers avait annoncé fin 2023 la commande de quatre premiers VLAC auprès de HSHI, dans le cadre d’un contrat portant sur 10 navires potentiels au total. | HYUNDAI

le 10/04/2024 Le marin

Maersk tankers a exercé une option pour commander quatre très grands transporteurs d’ammoniac ou VLAC (very large ammonia carriers) supplémentaires auprès du chantier sud-coréen HSHI (Hyundai samho heavy industries), a indiqué son directeur Investissement, Claus Gronborg, cité par Tradewinds.

Le contrat représenterait un montant de 631,9 milliards de wons, soit environ 460 millions de dollars. Il s’inscrit dans l’accord annoncé fin 2023 par Maersk tankers pour la construction de jusqu’à dix transporteurs d’ammoniac, dont les quatre premiers avaient été commandés de manière ferme.

La compagnie danoise a donc désormais confirmé la réalisation de huit de ces dix navires.

Le belge CMB Tech et Yara commandent leur premier porte-conteneurs à l’ammoniac
Le groupe de chimie norvégien Yara s’est finalement associé avec CMB Tech pour son projet de porte-conteneurs de 1 400 EVP à l’ammoniac, devenu réalité avec la commande ferme de ce « Yara Eide » pour 2026 auprès du chantier chinois Qingdao Behai.


Destiné à naviguer sur une liaison régulière entre le sud de la Norvège et le nord de l’Allemagne, le « Yara Eide » doit être mis en service à la mi-2026. | CMB TECH

Frédérick AUVRAY. Publié le 19/02/2024 Le marin

L’ammoniac carburant, déjà retenu pour des vraquiers et des navires gaziers, débarque dans les porte-conteneurs avec une première commande en Chine d’un feeder de 1 400 EVP. Le groupe belge CMB Tech, dirigé par la famille anversoise Saverys, l’a confirmé avec la commande du navire auprès du chantier chinois Qingdao Beihai pour une livraison attendue à la mi-2026.

Un partenariat de quinze ans a été conclu entre CMB Tech qui sera propriétaire du navire, via sa... (abonnés)

L’armateur japonais NYK commande son premier gazier à l’ammoniac carburant
Dans le sillage du belge Exmar, l’armateur japonais NYK a commandé lui aussi un navire gazier alimenté à l’ammoniac carburant. Un navire construit au Japon avec des moteurs japonais puisqu’il s’agit aussi de permettre au pays de rester dans la course technologique.


Avec ce nouveau gazier japonais, le nombre de navires devant utiliser des moteurs à l’ammoniac s’élève à quinze : dix vraquiers, trois gaziers et deux remorqueurs. | NYK

Déjà très impliqué dans le transport maritime d’ammoniac avec six navires gaziers de 87 000 m3 pouvant transporter à la fois des gaz de pétrole liquéfié et de l’ammoniac commandés chez le constructeur naval Kawasaki, NYK franchit une nouvelle étape avec la commande d’un gazier transporteur d’ammoniac doté cette fois-ci de moteurs alimentés eux-mêmes en ammoniac. Ce navire de taille intermédiaire de 40 000 m3 doit être construit dans le chantier japonais d’Ariake qui fait... (abonnés)

Green ammonia could decarbonize 60% of global shipping when offered at just 10 regional fuel ports

09 January 2024

A study published today has found that green ammonia could be used to fulfil the fuel demands of over 60% of global shipping by targeting just the top 10 regional fuel ports. Researchers at the Environmental Change Institute (ECI) at the University of Oxford looked at the production costs of ammonia which are similar to very low sulphur fuels, and concluded that the fuel could be a viable option to help decarbonise international shipping by 2050.
Around USD 2 trillion will be needed to transition to a green ammonia fuel supply chain by 2050, primarily to finance supply infrastructure. The study, in IOP Publishing’s journal Environmental Research: Infrastructure and Sustainability, shows that the greatest investment need is in Australia, to supply the Asian markets, with large production clusters also predicted in Chile (to supply South America), California (to supply Western U.S.A.), North-West Africa (to meet European demand), and the southern Arabian Peninsula (to meet local demand and parts of south Asia).

90% of world’s physical goods trade is transported by ships which burn heavy fuel oil and emit toxic pollutants. This accounts for nearly 3% of the global greenhouse gas (GHG) emissions. As a result of this, the International Maritime Organization (IMO) committed to decarbonising international shipping in 2018, aiming to halve GHG emissions by 2050. These targets have been recently revised to net zero emissions by 2050.

Green ammonia, made by electrolysing water with renewable electricity, is proposed as an alternative fuel source to quickly decarbonise the shipping industry. However, historically there has been great uncertainty as to how and where to invest to create the necessary infrastructure to deliver an efficient, viable fuel supply chain.

Dr Jasper Verschuur, Global Infrastructure and Supply Chains Analyst and lead author said:

"Our results provide a fresh view how a future green ammonia supply-chain could look like to provide enough fuel for shipping. Compared to the existing supply network of shipping fuel based from oil, the future ammonia fuel supply is more regional, with large producers being those with good solar resources and close to major shipping hubs.

Our results also underline that investments up to 2 trillion USD are required to build new infrastructure, with a large share of this in developing countries. Here, green finance is key to support the transition to hydrogen and green ammonia production in those countries."

Professor Jim Hall, Oxford Programme for Sustainable Infrastructure Systems (OPSIS) programme lead at the ECI, said:

"Green ammonia is the most promising fuel for decarbonisation of shipping. This analysis combines a global spatial optimization of green ammonia production, with the global shipping model developed in ECI which simulates where green ammonia will be shipped to and used."

René Bañares-Alcántara, Professor of Chemical Engineering in the Department of Engineering Science at the University of Oxford, says: “Shipping is one of the most challenging sectors to decarbonize because of the need for fuel with high energy density and the difficulty of coordinating different groups to produce, utilize and finance alternative (green) fuel supplies.”

To guide investors, the team at the University of Oxford developed a modelling framework to create viable scenarios for how to establish a global green ammonia fuel supply chain. The framework combines a fuel demand model, future trade scenarios and a spatial optimisation model for green ammonia production, storage, and transport, to find the best locations to meet future demand for shipping fuel.

Professor Bañares-Alcántara added: “The implications of this work are striking. Under the proposed model, current dependence upon oil-producing nations would be replaced by a more regionalised industry; green ammonia will be produced near the equator in countries with abundant land and high solar potential then transported to regional centres of shipping fuel demand.”

Fortescue gets 200 million euros for Norway green ammonia plant

Reuters | December 15, 2023 |


Fortescue plans a flagship green ammonia plant in Norway,(Image courtesy of Fortescue Energy.)

Australia’s Fortescue on Friday said it received 200 million euros ($219.3 million) from the European Union (EU) for its Holmaneset Project, a flagship green ammonia plant in Norway.

The plant aims to capitalize on the Norwegian transmission grid’s surplus renewable energy and ship the resulting green ammonia to domestic and European markets, the iron ore miner said in a statement.

“The green hydrogen and green ammonia produced near Svelgen has the potential to replace fossil fuels in industries that find it difficult to cut emissions, like long-haul transport, shipping and heavy industry,” Fortescue Norway Country Manager Thor Magnus Rovik said.

The company is currently targeting the plant’s construction to commence in 2025, and operations in 2027, pending final approvals from the board.

Last month, Fortescue approved an estimated total investment of about $750 million over the next three years for two green energy and one green steel projects.

It has also significantly stepped up investments in renewable projects amid a global decarbonization push, but that has led to an exodus of high-level management and raised investor concerns.

($1 = 0.9120 euros)

Maersk tankers commandera jusqu’à dix transporteurs d’ammoniac au chantier sud-coréen HSHI
Le danois Maersk tankers a indiqué, le 1er décembre, avoir commandé une série de très grands transporteurs d’ammoniac ou VLAC (very large ammonia carriers) auprès de HSHI (Hyundai Samho heavy industries).

Carole LANZI. Le marin le 04/12/2023



Le chantier sud-coréen Hyundai Samho heavy industries pourrait dans ce cadre livrer à l’armateur Maersk tankers jusqu’à dix navires de 93 000 m3. Cette commande de tankers d’ammoniac est la plus importante passée à ce jour à travers le monde.

Les quatre premiers VLAC, commandés de manière ferme, devraient être livrés entre la fin 2026 et le second semestre 2027. Le japonais Mitsui & Co co-investira dans ces premiers bateaux, qui seront opérés par Maersk... (abonnés)

Avec son moteur à l’ammoniac, Wärtsilä ouvre la voie à la navigation durable



Le groupe technologique Wärtsilä a dévoilé la 1ère solution commerciale basée sur un moteur à 4 temps pour le carburant à l’ammoniac dans le secteur maritime. Cette innovation marque une étape significative dans l’évolution des opérations de navigation durable, à une époque où les armateurs recherchent des alternatives viables parmi les carburants verts.

Viridis Bulk Carriers, la première compagnie de navigation à émission zéro au monde, devrait être le premier armateur à bénéficier de cette nouvelle solution à l’ammoniac.

Plus tôt ce mois-ci, Wärtsilä et Viridis Bulk Carriers ont signé une lettre d’intention pour la solution de moteur à l’ammoniac Wärtsilä 25, avec pour objectif de signer un contrat commercial début 2024.

Viridis Bulk Carriers apporte un « changement de jeu vert » sur le marché européen du vrac en mer, en planifiant un service de transport sans carbone basé sur une série de nouveaux navires propulsés à l’ammoniac.
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En plus du moteur, la solution complète comprend un système d’alimentation en gaz de carburant AmmoniaPac, le système de mitigation de libération d’ammoniac de Wärtsilä (WARMS), et le réducteur de NOx de Wärtsilä (NOR) pour un traitement optimal des gaz d’échappement.
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Yara promet un porte-conteneurs à l’ammoniac carburant pour 2026

Publié le 08/11/2023 lemarin

Après le petit feeder autonome et tout électrique Yara Birkeland de 120 EVP, mis en service fin 2021 non sans difficulté, le producteur norvégien d’ammoniac pour l’industrie et l’agriculture s’engage dans un nouveau projet de porte-conteneurs alimenté à l’ammoniac carburant.


L’industriel norvégien entend produire lui-même l’ammoniac vert qui servira de carburant à ce porte-conteneurs de 1 300 EVP. (Photo : Yara)

Le belge Exmar se lance dans l’ammoniac carburant avec deux gaziers

Publié le 16/10/2023 lemarin

L’armateur gazier belge Exmar, associé au canadien Seapeak (ex-Teekay), a décidé de doter deux de ses quatre navires transporteurs de gaz de pétrole liquéfié, actuellement en commande en Corée, de moteurs dual-fuel alimentés à l’ammoniac.


Après le GPL carburant, l’armateur belge Exmar passe à l’ammoniac pour deux de ses quatre nouveaux gaziers de 46 000 m3. (Photo : Hyundai mipo)

Deux navires électriques à l’ammoniac à l’étude pour Bourbon Horizon

Publié le 05/10/2023 lemarin

Bourbon Horizon, coentreprise du groupe Bourbon et d’Horizon maritime, a signé avec la société de conseil Green ships et l’entreprise d’ingénierie Amogy un protocole d’accord en vue de construire deux ravitailleurs de plateformes (PSV) électriques à l’ammoniac.

La signature du memorandum of understanding (Mou), qui prévoit la construction de deux PSV zéro émission de 82 mètres de long avec une option pour un troisième, a été annoncé le jeudi 5 octobre par Amogy, société américaine implantée en Norvège qui a développé une technologie de transformation de l’ammoniac en électricité. Doté d’un système principal Voith, l’« ePSV » serait équipé de deux propulseurs principaux de 1 850 kW. La technologie développée par Amogy consiste en un système de « craquage convertissant l’ammoniac liquide en hydrogène gazeux pour une intégration directe dans les piles à combustible », indique le communiqué. Les piles à combustible permettant de produire l’électricité qui alimentera les moteurs.


Le PSV, de 82 mètres de long, serait doté d’un système principal Voith et de deux propulseurs principaux de 1 850 kW. (Image : Green ships)


Réservoir de 100 m³

« Pour garantir la continuité des opérations en mer, la capacité du réservoir d'ammoniac sera de l’ordre de 100 m³. Le système complet sera bien confiné, conçu pour éviter toute fuite, assurer une bonne ventilation et respecter les protocoles DNV en cours de développement », précise Amogy.

Les besoins en en énergie du navire seraient par ailleurs réduits grâce à une conception minimisant l’encombrement global « avec une proue verticale et une forme de coque élancée », une centrale électrique réduite, un faible poids en acier, moins de composants principaux « pour une maintenance réduite », notamment. Amogy annonce une durée de vie minimale de 30 ans.

« Ce projet sera le premier du genre, a déclaré Per Kavli, le PDG et fondateur de Green ships, société norvégienne de conseil en architecture et construction navales. Nous comptons sur des financements publics et privés pour garantir le succès de ce projet. »

Également basée en Norvège, Bourbon Horizon a été formée en mars par Bourbon et la société canadienne Horizon maritime, qui en détiennent chacun 50 %. Destinée à opérer en mer du Nord et au Canada, elle possède et exploite actuellement sept navires – cinq PSV et deux PSV polyvalents (MPSV) – et compte 210 salariés.