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Grande-Bretagne: Les dépenses de défense atteindront 2,5% du PIB d'ici 2027, selon Starmer
Les dépenses de défense britanniques atteindront 2,5% du produit intérieur brut (PIB) d'ici 2027, a déclaré mardi le Premier ministre Keir Starmer, soit l'augmentation du budget de la défense du pays la plus forte dans la durée depuis la fin de la guerre froide.

REUTERS 25 février 2025

"Ce gouvernement entamera la plus grande augmentation dans la durée des dépenses de défense depuis la fin de la guerre froide", a déclaré Keir Starmer devant le Parlement.

"Nous tiendrons notre engagement de consacrer 2,5% du PIB à la défense, mais nous l'avancerons afin d'atteindre ce niveau en 2027", a-t-il ajouté.

La Grande-Bretagne ambitionne également de parvenir à consacrer 3% de son PIB à la défense lors de la prochaine législature, qui débutera en 2029.

Des choix difficiles devront être faits dans l'intérêt de la sécurité du pays, a indiqué Keir Starmer, qui propose de réduire le budget de l'aide internationale au développement de 0,5% du PIB à 0,3% en 2027, pour financer la hausse des dépenses de défense.

La Grande-Bretagne a consacré 3% de son PIB à la défense pour la dernière fois en 1993/1994.

Par ailleurs, la Grande-Bretagne a déclaré mardi qu'elle suspendrait certaines aides bilatérales au Rwanda et imposerait d'autres sanctions diplomatiques à Kigali en raison de son rôle dans le conflit en République démocratique du Congo.

"Le Rwanda peut avoir des préoccupations en matière de sécurité, mais il est inacceptable de les résoudre militairement. Il ne peut y avoir qu'une solution politique à ce conflit", a déclaré un porte-parole du gouvernement britannique.

L'économie britannique affiche une croissance inattendue de 0,1% au T4
L'économie britannique a progressé de 0,1% au cours du quatrième trimestre 2024, selon des données officielles publiées jeudi.
REUTERS 13 février 2025

Comment les Britanniques perçoivent ils le Brexit, cinq ans après sa mise en place ? De l’agriculteur au responsable politique, l’éventail de témoignages recueillis met au jour les divisions causées par ce cataclysme politique.

Grande-Bretagne: La croissance du PIB a ralenti à 0,1% au 3e trimestre

Reuters •16/11/2024

L'économie britannique s'est contractée de manière inattendue en septembre et la croissance s'est ralentie au cours du troisième trimestre, selon une première estimation publiée vendredi par l'Office national des statistiques (ONS).

Le produit intérieur brut (PIB) a reculé de 0,1% en septembre sur un mois, le secteur des services ayant stagné, tandis que l'industrie manufacturière et la construction ont chuté, a détaillé l'ONS.

Pour l'ensemble du troisième trimestre, l'économie a progressé de 0,1%, en baisse par rapport à la croissance de 0,5% enregistrée au cours du deuxième trimestre.

Les économistes interrogés par Reuters et la Banque d'Angleterre avaient prévu une expansion de 0,2% pour la période juillet-septembre.

"L'amélioration de la croissance économique est au cœur de tout ce que je cherche à réaliser, c'est pourquoi je ne suis pas satisfaite de ces chiffres", a déclaré Rachel Reeves, chancelière de l'Echiquier.

La semaine dernière, la Banque d'Angleterre a réduit ses prévisions de croissance annuelle pour 2024 de 1,25% à 1% mais a prédit une année 2025 plus forte, reflétant un coup de pouce à court terme à l'économie grâce aux plans budgétaires très dépensiers de Rachel Reeves.

L'économie britannique progresse de 0,6% au T2

Reuters •15/08/2024

Le produit intérieur brut britannique a progressé au deuxième trimestre 2024 par rapport au trimestre précédent, en ligne avec les attentes, selon la première estimation de l'Office des statistiques nationales publié jeudi.

L'économie britannique a progressé de 0,6% au deuxième trimestre en rythme séquentiel, après +0,7% au trimestre précédent et contre un consensus à 0,6%.

Royaume-Uni: le gouvernement face au gouffre financier laissé par les conservateurs
AFP •29/07/2024

Grande-Bretagne: Le PIB se contracte au quatrième trimestre

REUTERS•15/02/2024

L'économie britannique a reculé de 0,3% au quatrième trimestre en rythme séquentiel, une baisse plus marquée que le consensus des économistes interrogés par Reuters (-0,1%), selon la première estimation de l'ONS publiée jeudi.

Sur un an, le produit intérieur brut (PIB) a reculé de 0,2% au quatrième trimestre, contre +0,1% attendu par le consensus.

Concernant le mois de décembre, le PIB reculé de 0,1% après une hausse de 0,2% (révisé de +0,3%) le mois précédent, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un repli de 0,2%.

Sur un an, l'économie britannique a stagné en décembre, contre un consensus à +0,3% et après une baisse de 0,3% (révisé de +0,2%) le mois précédent.

La production automobile britannique repasse le cap du million de véhicules

Les constructeurs automobiles britanniques se disent plus optimistes qu'il y a un an, mais reconnaissent qu'il sera difficile de revenir au niveau de production d'avant pandémie.

25 janvier 2024 lesechos

L'économie britannique stagne au troisième trimestre

REUTERS•10/11/2023

GillesH38 a écrit : ↑

22 juin 2023, 03:48

Je rappelle que "100 % du PIB" compare deux grandeurs de dimensions différentes, aussi différentes qu'une distance et une vitesse, ou qu'une puissance et une énergie, puisque la dette est une quantité d'argent en $ mais que le PIB est une production annuelle en $/an. Parler en pourcentage en comparant deux valeurs de dimensions différentes est une erreur grossière qui serait sanctionnée dans un compte rendu de TP d'étudiants.Ce serait comme de dire "je me suis éloigné de plus de 100 % de ma vitesse" parce que vous vous êtes éloignés à plus d'une heure de route de votre maison (100 km pour une vitesse de 100 km/h ) .

Il s'agit en fait non pas de "100 % du PIB" mais "d'un an de PIB". Ce n'est pas plus dramatique que si vous contractez une dette de plus d'un an de revenu (ce qui est très courant quand on achète une maison par exemple). Evidemment il vaut mieux ne pas trop s'endetter, mais "un an d'endettement" n'a rien d'une valeur magique au-dessus de laquelle ça deviendrait dangereux.

Royaume-Uni : la deuxième ville du pays, Birmigham, ne peut plus payer ses dépenses

BOURSORAMA AVEC MEDIA SERVICES•05/09/2023

La ville s'est placée sous la protection de la "section 114", un statut qui correspond à une situation de faillite pour une entreprise.

GillesH38 a écrit : ↑

05 juil. 2023, 17:31

aaaaaaaah ... c'est la PREMIERE FOIS que je vois quelqu'un faire la même remarque que moi sur la dette et le PIB !!!

https://twitter.com/fmbreon/status/1676595425770369026

je ne suis pas sur que les non abonnés peuvent voir twitter maintenant je crois que Musk a supprimé l'accès, donc au cas où voila le tweet :

Olivier Simard-Casanova en français
@EcoSceptique
·
Replying to
@gillesh38
@fmbreon
and
@Oxfam

D’expérience, si un physicien fait une remarque à un économiste et que l’économiste ne la comprend pas, le problème c’est pas l’économiste en fait

Le problème, c’est le physicien qui s’autorise des commentaires très en dehors de son champ de compétence, et dit n’importe quoi