Finances françaises & conjoncture

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Re: Finances françaises & conjoncture

par mobar » 16 juil. 2025, 14:20

Le RN n'a aucune raison de précipiter des élections, tant que la mère Le Pen est inéligible, ils joueront a prolonger les échéances
la vraie question est : est ce que leurs électeurs continueront à faire confiance à un opposant qui ne s'oppose pas? :-"

Re: Finances françaises & conjoncture

par kercoz » 16 juil. 2025, 08:29

Il est possible que la mère Le Pen ne vote pas la censure...préférant laisser Bérou faire passer des mesures impopulaires financières.... (et en exigeant la proportionnelle) avant de prendre le pouvoir.

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 16 juil. 2025, 08:26

Impôt des retraités : l’abattement de 10 % remplacé par un forfait de 2 000 € dès 2026

Boursorama avec Media Services •16/07/2025

Dans le cadre du grand plan d'économies annoncé par François Bayrou, mardi, Bercy va modifier le calcul fiscal des pensions : les retraités modestes paieront moins, les plus aisés un peu plus.


L'abattement de 10% pour frais professionnels dont bénéficient actuellement les retraités dans le calcul de l'impôt sur le revenu sera remplacé en 2026 par un forfait de 2 000 euros par an, a annoncé mardi 15 juillet le ministre de l'Economie Eric Lombard.

"On va transformer la déduction de 10% des revenus en une déduction de 2 000 euros pour tout le monde" , a déclaré Eric Lombard sur France 2.

"Justice sociale"
"Pour tous les retraités qui sont au début de l'échelle des impôts (...), leur fiscalité va baisser. Et effectivement en compensation, la fiscalité des retraités qui gagnent plus de 20 000 euros par an sera légèrement augmentée , c'est une mesure de justice sociale", a-t-il ajouté, sans pouvoir préciser le nombre de retraités qui seront concernés par cette hausse.

Le Premier ministre François Bayrou a présenté mardi une cure budgétaire draconienne de 43,8 milliards d'euros pour 2026 , avec la suppression de deux jours fériés et le gel des prestations sociales et des retraites. Ces annonces ont été immédiatement décriée par les oppositions qui le menacent de censure.
....................................
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 90c8b52c6f

ah, voila qui va impacter mes impôts de 2027 sur les revenus de 2026, ca sera ma première année ou je serais à la retraite.

A noter que 1666 euro par mois soit 20 000 euro par an qui est le seuil de déclanchement du forfait de 2000 euro, est la pension moyenne en France.
(moyenne, pas médian)

Ca va faire pas mal de retraité impacté. Pas quelques pour cents.
Tous les anciens ingénieurs, cadres, profession supérieures vont êtres impactés.

selon Copilot ''D’après les données disponibles, environ 45 à 50 % des retraités toucheraient plus de 1 666 € brut par mois, mais ce chiffre varie selon le régime (privé, public, régimes spéciaux), le sexe, et le parcours professionnel''

d'aprés l'INSEE les 20 000 euros annuels chez les retraités sont atteint dés entre le 3 iéme decile (18 640 €) et le quatriéme decile ( 21 620 €). Ca serait donc plus que 60 % des retraités qui vont êtres impactés.

Ma mére qui touche plus que 20 000 euro de pension par an sera impactée.

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 15 juil. 2025, 23:46

le mot mystére :

Image

Les principales annonces de François Bayrou sur le budget

AFP •15/07/2025

Le Premier ministre François Bayrou a annoncé mardi des mesures drastiques pour réduire le déficit public et faire 43,8 milliards d'euros d'économies en 2026. Voici les principales annonces.

- Suppression de deux jours fériés -

Le chef du gouvernement a proposé la suppression de deux jours fériés, citant comme exemples le "lundi de Pâques" et "le 8-Mai" tout en se disant "prêt à en accepter ou en examiner d'autres".

"Le lundi de Pâques n'a aucune signification religieuse", a relevé le chef du gouvernement, alors que cette date est fériée dans plus d'une centaine de pays dans le monde.

Quant au mois de mai, il est "devenu un véritable gruyère, où l'on saute de ponts en viaducs de congés".

- Gel des dépenses de l'Etat -

Les dépenses de l'Etat seront gelées en 2026 au niveau de 2025, hors défense et charge de la dette.

L'Etat va réduire le nombre d'emplois publics de 3.000 postes dès 2026. Certaines agences de l'Etat vont être supprimées, d'autres vont voir leurs effectifs baisser pour un total de 1.000 à 1.500 suppression de postes.

François Bayrou veut aussi instaurer "une règle de non-remplacement d'un fonctionnaire sur trois partant à la retraite (...) pour les années qui viennent".

- Année blanche -

Il a également annoncé un gel du barème des impôts, des prestations sociales et des retraites en 2026 afin de limiter la progression des dépenses de "sept milliards d'euros".

"On aura exactement le même montant des retraites pour chaque pensionné que celles qu'on avait en 2025", a-t-il indiqué. "L'ensemble des prestations sociales seront maintenues en 2026 à leur niveau de 2025 et il n'y aura pas d'exception", a-t-il ajouté.

- Fiscalité -

Le Premier ministre a annoncé la création d'une "contribution de solidarité" pour les Français "les plus fortunés".

Elle "devra faire participer à l'effort national les plus hauts revenus", a-t-il dit, en rappelant aussi sa volonté de "lutter contre l'optimisation abusive des patrimoines non productifs".

"Nous ferons la chasse aux niches fiscales inutiles, inefficaces", a-t-il ajouté.

François Bayrou entend également réformer l'exemption fiscale pour frais professionnels des retraités. Ils bénéficient actuellement d'un abattement de 10%, qui sera transformé en forfait annuel dans le but de mettre à contribution les retraites les plus importantes.

Un projet de loi sera déposé "à l'automne" contre la fraude sociale et fiscale.

- 5,3 mds d'euros d'économies pour les collectivités -

L'Etat va demander 5,3 milliards d'euros d'économies aux collectivités en 2026, selon un document transmis par Matignon à la presse.

Ces 5,3 milliards d'économies, "c'est 13% de l'effort global", a précisé à la presse François Rebsamen, ministre de l'Aménagement du territoire.

- Négociations avec les partenaires sociaux -

Six mois après la dernière loi sur l’assurance chômage, le Premier ministre a annoncé son intention de vouloir à nouveau réformer et débattre avec les partenaires sociaux sur les indemnisations des demandeurs d’emploi.

Il va aussi leur proposer d'ouvrir des négociations sur le droit du travail afin notamment de "faciliter les recrutements" et augmenter les offres d'emploi.

- Médicaments et affection longue durée -

Il a annoncé le doublement à 100 euros de la franchise annuelle sur les remboursements de médicaments, dans le cadre d'un plan de réduction de 5 milliards d'euros des dépenses sociales annuelles.

Parmi les autres mesures d'économie figure également une révision du statut des affections longue durée, avec un déremboursement des médicaments "sans lien" avec la maladie et la "sortie du statut" dans certains cas qui ne sont plus justifiés.

- Allocation sociale unifiée -

François Bayrou va proposer avant la fin de l'année un projet de loi pour créer "une allocation sociale unifiée".

Le versement social unique, qui fusionnerait plusieurs prestations sociales (RSA, prime d'activité...), est une ancienne promesse de campagne d'Emmanuel Macron pour faciliter le recours à certaines de ces aides.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 056640916e

Re: Finances françaises & conjoncture

par mobar » 11 juil. 2025, 06:27

kercoz a écrit :
09 juil. 2025, 15:30
https://www.mediapart.fr/journal/econom ... -publiques

211 milliards d’euros par an : les entreprises gavées aux aides publiques
La magie du néolibéralisme, se développer grâce à ce que l'on dénonce!
Orwell n'aurait pas fait mieux :-D

Re: Finances françaises & conjoncture

par kercoz » 09 juil. 2025, 15:30

https://www.mediapart.fr/journal/econom ... -publiques

211 milliards d’euros par an : les entreprises gavées aux aides publiques

C’est « le premier budget de l’État », financé sans aucun contrôle sur son utilisation : les entreprises ont bénéficié en 2023 de 211 milliards d’euros de subventions, aides fiscales et allègements de cotisations sociales en France, a calculé la commission d’enquête du Sénat.

Mathias Thépot

8 juillet 2025 à 19h04

Dissiper le flou général qui entoure les aides publiques distribuées aux entreprises dans une période où les plans de licenciements s’accumulent, et où les dividendes distribués par le CAC 40 battent des records à la hausse : telle est la mission que s’était donnée, à l’automne 2024, la commission d’enquête sénatoriale « sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises et à leurs sous-traitants », présidée par Olivier Rietmann (Les Républicains, LR), avec pour rapporteur le communiste Fabien Gay.

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Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 09 juil. 2025, 01:47

France: Le déficit commercial s'établit à 7,8 milliards d'euros fin mai

Reuters •08/07/2025

Le déficit commercial de la France s'est établi à 7,8 milliards à fin mai, montrent les données publiées mardi par le bureau des Douanes françaises.

À la fin avril, le déficit s'élevait à 7,6 milliards d'euros.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... fd425b6e6a

Re: Finances françaises & conjoncture

par kercoz » 08 juil. 2025, 08:18

energy_isere a écrit :
08 juil. 2025, 02:27
Redressement des comptes publics : "La France va vivre sa première cure d'austérité" depuis les années 1980, selon le patron de Bpifrance
Boursorama avec Media Services •07/07/2025
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 4f69237f72
Plutot depuis 1970:

//////////////La pauvreté et les inégalités au plus haut depuis trente ans

L’Insee a publié, lundi 7 juillet, ses données pour l’année 2023 : le taux de pauvreté atteint 15,4 %, son plus haut niveau depuis le début du décompte en 1996. L’écart entre les 20 % plus riches et les 20 % plus pauvres s’est creusé, proche de celui du début des années 1970.////////////////

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 08 juil. 2025, 02:27

Redressement des comptes publics : "La France va vivre sa première cure d'austérité" depuis les années 1980, selon le patron de Bpifrance
Boursorama avec Media Services •07/07/2025
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 4f69237f72

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 05 juil. 2025, 23:19

La honte :
« La France emprunte désormais plus cher que l’Italie », annonce le ministre de l’Économie

Article de Patrice MOYON. ouestfrance

C’est un nouvel avertissement. Après celui de la Cour des comptes, il vient cette fois des marchés financiers. Emprunter coûte de plus en plus cher aux finances publiques.

La nouvelle aurait pu passer inaperçue. Le ministre de l’Économie a préféré la rendre publique. Une façon de prendre les Français à témoin. Depuis vendredi soir, « la France emprunte à des taux plus élevés que l’Italie ». La concurrence joue aussi sur ce sujet. Et d’autres pays sont désormais considérés comme moins risqués. Le fardeau est surtout de plus en plus lourd à porter pour l’État. Cette année, « il faudra consacrer 67 milliards d’euros au remboursement de la dette. C’est plus que le budget de la Défense », insiste Éric Lombard. « Dans trois ans, ce sera 100 milliards d’euros », ajoute-t-il.

D’où l’urgence de stabiliser le niveau de la dépense publique qui représente « 57 % du PIB, soit dix points de plus que la moyenne des pays européens ». Pas d’annonce ou pas encore sur les arbitrages qui seront rendus dans le cadre du budget 2026. Les premières orientations seront présentées le 15 juillet par le Premier ministre. Elles feront ensuite le jeu d’âpres négociations, de compromis. Dans le parc Jourdan, à Aix-en-Provence, sous un barnum écrasé par la chaleur, alors qu’on entend le chant des cigales, la France fait désormais profil bas. Le parti de la fourmi n’est plus une option mais une nécessité. À condition de ne pas buter sur une motion de censure.

L’heure est donc au déminage et à la pédagogie avec les présidents de groupes des différents partis. Le ministre de l’Économie les reçoit tour à tour. À Bercy, on se dit serein sur l’exercice 2025 qui est « dans les clous ».

.....................
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/oth ... f802&ei=92

Re: Finances françaises & conjoncture

par mobar » 27 juin 2025, 19:32

Le montant de la dette qui est consenti a un état est le reflet du montant des remboursements qui sont attendus par les créanciers!
Si on veut que l'état n'ai plus de dettes, en on se demande bien pourquoi on voudrait ça; il suffit de que l'état n'ai plus de ressources, ni de patrimoine, un état très endetté veut dire que l'état est très riche, de dicton "on ne prête qu'aux riches" est encore une fois vérifié!

L'enfumage du montant de la dette, reste de l'enfumage!

Re: Finances françaises & conjoncture

par kercoz » 27 juin 2025, 15:20

Les infos que tu publies démontre ton implication idéologique. Aucun argument contradictoire sur le creusement de la dette qui selon des économistes non asservis ont été pré-médités par des allègements aux copains- patrons qui transfèrent leurs gains dans des lieux moins imposés.

Puisque tu relaies des infos économiques, il serait équitable de donner les arguments contradictoires .

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 27 juin 2025, 13:47

3 345,8 milliards d'euros de dette publique : la France face au défi budgétaire
La dette publique de la France a atteint un nouveau record historique au premier trimestre 2025, avec une augmentation de 40,5 milliards d’euros en seulement trois mois, propulsant le ratio dette/PIB à 114%. L’État et la Sécurité sociale sont les principaux contributeurs de cette flambée, tandis que l’exécutif peine à maîtriser ses comptes publics.

Publié le 26/06/25 latribune.fr

La France s'enfonce toujours plus dans la dette publique : celle-ci a franchi un nouveau seuil historique, atteignant la somme de 3 345,8 milliards d'euros à la fin du premier trimestre 2025. Cette flambée de 40,5 milliards d'euros en seulement trois mois catapulte le ratio dette/PIB à 114 %, marquant une aggravation notable par rapport aux 113,2 % du trimestre précédent. Ces chiffres alarmants, révélés ce jeudi par l'Insee, surviennent alors que l'exécutif se débat pour redresser des comptes publics en perdition, pris entre les turbulences politiques et l'impératif de réduction d'un déficit chronique.

Cette augmentation s'accompagne d'une diminution de 11,4 milliards d'euros de la trésorerie des administrations publiques, ainsi que, dans une moindre mesure, d'autres actifs. En conséquence, la dette nette a progressé de 52,6 milliards d'euros, s'établissant à 106,1 % du PIB. Cette situation met en lumière la complexité de l'équation budgétaire française, qui cherche à concilier des engagements de dépenses importants avec la nécessité de consolider les finances publiques.

La contribution de l'État et de la sécurité sociale en forte hausse

L'État est le principal contributeur à cette augmentation de la dette publique au premier trimestre 2025, sa contribution ayant progressé de 36,7 milliards d'euros. Cette hausse est principalement due à l'augmentation de 42,6 milliards d'euros des titres négociables de long terme émis par l'État, malgré une diminution des titres de court terme (-3,0 milliards d'euros) et des dépôts (-2,9 milliards d'euros). La trésorerie de l'État a également diminué de 5,8 milliards d'euros, ce qui a entraîné une augmentation de la dette nette de l'État plus marquée que sa dette brute (+43,2 milliards d'euros).

Parallèlement, la contribution des administrations de sécurité sociale (Asso) à la dette publique a augmenté de 3,3 milliards d'euros. Cette hausse est imputable à l'Urssaf Caisse nationale (+1,5 milliard d'euros), l'Unedic (+1,5 milliard d'euros) et la Cades (+0,7 milliard d'euros), tandis que la dette de la Cnaf a légèrement diminué (-0,7 milliard d'euros). L'essentiel de cette progression des Asso provient de l'accroissement de leurs titres négociables à court terme (+2,2 milliards d'euros) et à long terme (+1,4 milliard d'euros). La diminution de la trésorerie des Asso, notamment celle de l'Urssaf Caisse Nationale (-7,1 milliards d'euros), a également contribué à l'augmentation de leur dette nette (+8,9 milliards d'euros).

Les collectivités locales, de manière plus modérée
...........................
https://www.latribune.fr/economie/franc ... 28208.html

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 12 juin 2025, 09:05

La croissance française affaiblie en 2025 par la guerre commerciale américaine

Boursorama avec AFP •11/06/2025

La Banque de France a abaissé mercredi pour la deuxième fois cette année sa prévision de croissance pour la France en 2025, à 0,6% contre 0,7% en mars, en raison de la hausse des droits de douane américains dans un climat très incertain.

Ce net ralentissement surviendrait après une hausse de 1,1% du produit intérieur brut (PIB) en 2024. Le gouvernement table, lui, sur 0,7%.

Un redémarrage graduel s'ensuivrait, mais moins marqué qu'anticipé jusqu'ici: la croissance atteindrait 1% en 2026 (-0,2 point) et 1,2% en 2027 (-0,1 point).

"L'économie française croît (...) désormais moins que [celles de] nos voisins européens, même si elle échappe à la récession", a déclaré le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau, dans le journal Les Échos.

Au total, la hausse des droits de douane (-0,1 point) et surtout l'incertitude qu'elle génère pour les consommateurs et les entreprises (-0,3 point) engendreraient pour l'économie française une perte de 0,4 point de PIB sur la période 2025-2027.

"Cette imprévisibilité amplifie le défi français et européen qu’est la croissance molle, depuis trop longtemps", a souligné le gouverneur. Elle affecte aussi "la stabilité financière".
.......................
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 22b742428c

Re: Finances françaises & conjoncture

par energy_isere » 06 juin 2025, 12:41

France: le déficit commercial se creuse en avril à 7,4 milliards d'euros

Boursorama avec AFP •06/06/2025

Le déficit commercial de la France sur les biens s'est creusé en avril à 7,4 milliards d'euros, pénalisé notamment par l'énergie, ont annoncé vendredi les douanes.

Les importations se sont stabilisées par rapport au mois précédent, à 57,8 milliards d'euros, tandis que les exportations ont reculé de 100 millions d'euros en atteignant 50,4 milliards d'euros, précisent les douanes.

Concernant l'énergie, la France a importé moins mais exporté encore moins, ce qui a entraîné une dégradation de la balance commerciale énergétique en avril.

Depuis janvier, le déficit commercial de la France s'est dégradé chaque mois, montrent également les statistiques des douanes.

Le déficit commercial sur les biens s'est élevé à 6,1 milliards d'euros en janvier, 6,8 milliards en février et 7,3 milliards d'euros en mars.

Le solde commercial de la France sur douze mois glissants se stabilise après deux mois de baisse, à 80,4 milliards d'euros.

En 2024, le déficit commercial du pays avait totalisé 81 milliards d'euros. La France n'a pas dégagé d'excédent commercial sur les biens depuis 2002.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... a408223ec6

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