par Léger » 26 sept. 2022, 23:01
Les élections italiennes d'hier renvoient, à mon avis, à l'épisode grec avec Aléxis Tsipras (leader du parti grec Syriza). L'épisode Tsipras est un échantillon remarquablement significatif du piège refermé sur les pays "européens" où ils sont tombés et croupissent.
Je raccourcis beaucoup, car ce serait trop long à décrire.
Ainsi, avec le recul, Aléxis Tsipras, - politiquement rouge vif -, fut invité en janvier 2013 aux États-Unis, entre autres, au Brooking Institution à Washington (il y a pas mal de thinks-tanks aux États-Unis, je peux en citer trois autres : le Brooklyn Institute à New-York, le Council of Foreign Relations ou CFR à New-York avec des branches à Los Angeles, la Rand Corporation à Santa-Monica, Californie, il y en bien a d'autres).
Rien de plus normal que des agences (ici américaines) en rapport avec leur gouvernement étudient les hommes politiques repérés ici et là dans le monde, arpentant les allées du "pouvoir politique" de leurs pays. Mais avec le recul et par déduction, ce qui a suivi dans le cas grec avec Tsipras premier ministre ferait que, ayant passé son oral devant les investigateurs américains, Tsipras rouge vif, a dû leur donner les assurances suivantes :
qu'il ne quittera pas l' "Europe", ni l' "euro", ni l'OTAN. Donc, à ce stade, il y eut feu vert pour ne pas entraver l'accès au pouvoir de Tsipras comme premier ministre, ce qu'il fut de 2015 à 2019.
Et bien si Marine Le Pen, politiquement bleue (bleue marine!) avait été élue en France en 2022 (ou quelqu'un d'équivalent) il aurait été possible que ce soit une "piste" comparable à celle d'Aléxis Tsipras rouge vif quelques années auparavant. En effet, Marine Le Pen fit un voyage à la même époque aux États-Unis où elle rencontra des personnalités qui lui auraient ouvert des 'portes indispensables' pour progresser dans les sphères approchant du 'pouvoir'. 'Logiquement', il pourrait en être de même pour Giorgia Meloni ? Mais je ne sais à peu près rien de cette dernière. L'Italie, un de mes pays préféré, est revenue, très déçue de l' "Europe" dont les mécanismes ont cassé net la croissance depuis les années 1990. Je suis obligé d'abréger mais il y aurait tellement à dire !
Quoiqu'il en soit, les couleurs politiques désormais délavées et sans portée, font que les politiques peuvent servir de leurres démocratiques, les électeurs n'y prêtant pas attention... Ainsi, on peut changer les portraits sans changer de politique. Politique mondialiste, cela va sans dire.
En très condensé, le pouvoir mondialisé (dont Davos est un échantillon remarquable) n'ont cure des "couleurs politiques" puisque ce sont ces réseaux mondialistes qui ont le "pouvoir" en dernier lieu...
Les élections italiennes d'hier renvoient, à mon avis, à l'épisode grec avec Aléxis Tsipras (leader du parti grec Syriza). L'épisode Tsipras est un échantillon remarquablement significatif du piège refermé sur les pays "européens" où ils sont tombés et croupissent.
Je raccourcis beaucoup, car ce serait trop long à décrire.
Ainsi, avec le recul, Aléxis Tsipras, - politiquement rouge vif -, fut invité en janvier 2013 aux États-Unis, entre autres, au Brooking Institution à Washington (il y a pas mal de thinks-tanks aux États-Unis, je peux en citer trois autres : le Brooklyn Institute à New-York, le Council of Foreign Relations ou CFR à New-York avec des branches à Los Angeles, la Rand Corporation à Santa-Monica, Californie, il y en bien a d'autres).
Rien de plus normal que des agences (ici américaines) en rapport avec leur gouvernement étudient les hommes politiques repérés ici et là dans le monde, arpentant les allées du "pouvoir politique" de leurs pays. Mais avec le recul et par déduction, ce qui a suivi dans le cas grec avec Tsipras premier ministre ferait que, ayant passé son oral devant les investigateurs américains, Tsipras rouge vif, a dû leur donner les assurances suivantes :
qu'il ne quittera pas l' "Europe", ni l' "euro", ni l'OTAN. Donc, à ce stade, il y eut feu vert pour ne pas entraver l'accès au pouvoir de Tsipras comme premier ministre, ce qu'il fut de 2015 à 2019.
Et bien si Marine Le Pen, politiquement bleue (bleue marine!) avait été élue en France en 2022 (ou quelqu'un d'équivalent) il aurait été possible que ce soit une "piste" comparable à celle d'Aléxis Tsipras rouge vif quelques années auparavant. En effet, Marine Le Pen fit un voyage à la même époque aux États-Unis où elle rencontra des personnalités qui lui auraient ouvert des 'portes indispensables' pour progresser dans les sphères approchant du 'pouvoir'. 'Logiquement', il pourrait en être de même pour Giorgia Meloni ? Mais je ne sais à peu près rien de cette dernière. L'Italie, un de mes pays préféré, est revenue, très déçue de l' "Europe" dont les mécanismes ont cassé net la croissance depuis les années 1990. Je suis obligé d'abréger mais il y aurait tellement à dire !
Quoiqu'il en soit, les couleurs politiques désormais délavées et sans portée, font que les politiques peuvent servir de leurres démocratiques, les électeurs n'y prêtant pas attention... Ainsi, on peut changer les portraits sans changer de politique. Politique mondialiste, cela va sans dire.
En très condensé, le pouvoir mondialisé (dont Davos est un échantillon remarquable) n'ont cure des "couleurs politiques" puisque ce sont ces réseaux mondialistes qui ont le "pouvoir" en dernier lieu...