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par kercoz » 29 sept. 2025, 09:20
par energy_isere » 29 sept. 2025, 08:42
ailleurs kercoz a écrit : ↑29 sept. 2025, 08:31 Le principal problème de la culture du Kiwi, qui est la culture la plus rentable pour un hectare, c'est l'eau. En dehors des bassins fluviaux ou l'eau afleure, l'irrigation est nécessaire ...En bord de garonne, pas mal de vignes sont arrachées, pour l'instant pas de kiwis ...c'est vrai que le vigneron est habitué à peu d'activités et de main d'oeuvre, alors que le Kiwi, ..c'est de l'huile de coude.
La production française de kiwis En France, on compte trois zones productrices de kiwi : le Sud-Ouest (Nouvelle-Aquitaine et Occitanie), qui représente 75 % de la production nationale, le Sud-Est (Corse et Rhône-Alpes) et l’Ouest (Bretagne et Vallée de la Loire). 50 760 tonnes de kiwi ont été produites en France en 2024 par 1 500 producteurs sur 3 777 hectares de vergers. La France est le 6e producteur mondial de kiwi et le 3e européen (sources : Agreste et lekiwidefrance.fr).
par energy_isere » 21 sept. 2025, 09:39
On se dirige vers une récolte "inédite" de pommes de terre en France. Les prix vont chuter pour les producteurs comme pour les consommateurs. Certains s'inquiètent pour la filière. Par Maxime Ponsot Publié le 19 sept. 2025 actu.fr Il y aura de la patate à pas cher, cet hiver. La récolte 2025 de pommes de terre en France pourrait atteindre « 8,5 millions de tonnes », un « niveau inédit depuis dix ans ». Alors que la récolte des pommes de terre de conservation a débuté à la rentrée, l’Union nationale des producteurs (UNPT) estime en effet que la production sera de 10 % supérieure à celle de l’an dernier, avec 900 000 tonnes en plus. Conséquence de cette surproduction : cela contribue à une chute des prix, alertent plusieurs acteurs du secteur. Décryptage. ........................ Une chute des prix pour les producteurs et les consommateurs L’abondance qui s’annonce va peser sur les producteurs en France, premier exportateur mondial de pommes de terre : « on a à la fois une crise de l’offre, trop abondante, et de la demande industrielle, qui faiblit », explique le secrétaire général de l’UNPT à l’AFP. Conséquence : forcément, un impact sur les prix en grande distribution. « On est déjà 26 % moins cher que l’an dernier dans les rayons. Sans parler des promotions très agressives qui peuvent parfois se faire dans les magasins dans le cadre de certaines stratégies », commente le président du CNIPT auprès d’actu.fr. En effet, on constate un prix moyen en grandes et moyennes surfaces en baisse pour le début de la campagne 2025-26, en comparaison avec les années précédentes. Sur la période allant de mi-juillet à mi-août, il faut compter 1,39 euro/kg contre 1,89 euro/kg en 2024 et 1,81 euro/kg en 2023 (sur les mêmes périodes), d’après les données de Kantar (une entreprise d’études de marchés). ........................
par kercoz » 16 sept. 2025, 22:54
par Silenius » 14 sept. 2025, 22:16
par energy_isere » 09 sept. 2025, 00:34
Les magasins bio de nouveau plébiscités, Biocoop toujours leader du secteur Boursorama avec Newsgene •08/09/2025 Les enseignes bio ont connu une embellie en 2024, avec un chiffre d'affaires en hausse de près de 10 %. Biocoop, La Vie claire et Naturalia trustent le podium du classement dressé par LSA. Après avoir connu une baisse de fréquentation, les enseignes bio retrouvent des couleurs. Selon le classement dressé par le magazine LSA , certains commerces enregistrent une très belle progression en 2024 quand d'autres commencent à se redresser. Top 5 des distributeurs qui affichent les meilleurs chiffres d'affaires : Biocoop, La Vie claire, Naturalia, Accord bio et So.bio. Le leader incontesté du marché présente ainsi une croissance de + 8,5 % sur l'année. Il faut dire que Biocoop est l'enseigne la plus implantée en France avec 740 magasins, loin devant La Vie claire et ses 325 points de vente. La Vie claire, justement, bénéficie elle aussi d'une belle progression, grâce notamment à des prix très bas sur certains produits et une forte présence sur les fruits et légumes, notent nos confrères. Des magasins comme Accord Bio, L’Eau Vive, Natureo, Bio c’Bon et So.bio sont en pleine relance, contrairement aux Comptoirs du bio qui restent à la peine. L'enseigne a perdu 5 points de CA en un an. Au global, les 15 enseignes du classement ont généré 3,6 milliards d’euros en 2024 (3,29 milliards en 2023). Le nombre de magasins est estimé à un peu plus de 2 000 sur l'ensemble du territoire.
par GillesH38 » 04 sept. 2025, 14:19
par phyvette » 04 sept. 2025, 09:58
par kercoz » 17 août 2025, 09:37
Silenius a écrit : ↑17 août 2025, 02:56 Surtout parce que c'est complique de pulveriser des phytos pres des habitations.
par Silenius » 17 août 2025, 02:56
par kercoz » 11 août 2025, 09:53
par energy_isere » 10 août 2025, 23:58
Vers une hausse sensible de la production viticole en 2025 en France La production de vin en France devrait connaître une augmentation comprise entre 10% et 17% en 2025 par rapport à l'année précédente, a déclaré vendredi 8 août l'Agreste, le service de la statistique et de la prospective du ministère français de l'Agriculture. REUTERS 08 août 2025 La production viticole française devrait se situer entre 40 et 42,5 millions d'hectolitres en 2025, une nette augmentation par rapport au volume de 36,3 millions d'hectolitres enregistré en 2024. Cette reprise est cependant atténuée par la perte de certains vignobles dans le sud-ouest de la France dans le cadre d'un programme de restructuration du secteur, précise l'Agreste dans ses premières estimations pour 2025. L'estimation de production prévue est légèrement inférieure à la moyenne de 42,9 millions d'hectolitres enregistrée au cours des cinq dernières années, a-t-il indiqué. Un hectolitre équivaut à environ 133 bouteilles de vin standard. "En 2025, les conditions météorologiques ont été plus favorables. Le début d’été, sec et chaud, a permis de limiter la pression des maladies, et aucun aléa météorologique majeur n’est à signaler à ce stade", a souligné l'Agreste dans son rapport. Selon le ministère, les vendanges pourraient commencer plus tôt que d'habitude dans de nombreuses régions. En 2024, les pluies torrentielles ont endommagé les vignobles et d'autres terres agricoles, et les conditions humides ont favorisé l'apparition de maladies du raisin. Arrachage subventionné La hausse de la production viticole en 2025 pourrait être particulièrement forte dans les régions de Bourgogne, Champagne, Val de Loire et Charentes. Dans les zones du sud-ouest comme Bordeaux et Languedoc-Roussillon, la reprise sera limitée par l'arrachage de certaines vignes, avec plus de 20000 hectares supprimés depuis l'année dernière. Le gouvernement a subventionné l'arrachage des vignes afin de lutter contre l'offre excédentaire face à la baisse de la consommation de vin. Cette approche est critiquée par certains producteurs qui estiment qu'elle rend les régions du sud plus vulnérables aux incendies. Les estimations de la production viticole du ministère de l'Agriculture datent du 1er août. Elles seront mises à jour début septembre.
par energy_isere » 08 août 2025, 23:27
Des agriculteurs organisent un barbecue géant devant la future maison de vacances de Sandrine Rousseau Par Emma Ferrand 7 aout 2025 La députée écologiste projette d’acquérir une résidence secondaire au milieu d’une zone agricole, en Bretagne. De quoi agacer les cultivateurs, qui organisent ce vendredi soir un barbecue géant sur le terrain convoité par Sandrine Rousseau.
par energy_isere » 01 août 2025, 15:58
Les droits de douane de Trump devraient entrainer une chute terrible de 1 milliard d'euros des ventes d'alcools français Jérémy Bruno 1er aout 2025 Cognac, bordeaux et champagne n'échappent pas, pour l'heure, aux droits de douane américains. À compter du 7 août prochain, les vins et les spiritueux européens se verront bien imposer des droits de douane de 15% à l'entrée des États-Unis, de même qu'une bonne partie des exportations européens outre-Atlantique. .....................
par energy_isere » 24 juil. 2025, 08:40
France: boom de la production du sorgho, une céréale adaptée au changement climatique RFI le : 23/07/2025 Le sorgho est la cinquième céréale la plus consommée au monde derrière le blé, le maïs, le riz et l’orge. Les grandes zones de production restent l’Afrique subsaharienne et l’Inde, où le sorgho est une plante vivrière qui sert essentiellement à l’alimentation humaine. Mais il est aussi très présent en Chine, au Japon, au Mexique et aux États-Unis, où il est destiné au bétail. En Europe, la surface cultivée était de 350 000 hectares en 2024, soit une hausse de 40 % par rapport à l’année précédente. Mais c’est en France qu’il y a eu la plus forte hausse. En France, 103 000 ha de sorgho grain ont été cultivés en 2024, soit une hausse de 89 % par rapport à 2023, qui fait du pays le premier producteur européen de sorgho grain, celui qui permet de faire la farine, les galettes ou la semoule. À ne pas confondre avec une autre espèce de sorgho, le sorgho fourrager, qui permet lui de nourrir le bétail. En France, la culture du sorgho était considérée comme une culture de niche. Cependant, à partir des années 2000, les surfaces cultivées ont augmenté lentement, mais surement, pour atteindre en 2024 ce titre honorifique de premier producteur européen. Une céréale adaptée au climat français Le sorgho est une plante qui a toutes les caractéristiques pour s’adapter au changement climatique. Son système racinaire très profond, il peut atteindre jusqu'à deux mètres, lui permet de mieux mobiliser l'eau disponible et donc de mieux résister à la sécheresse, et ce, sans grand apport d’intrant. Autre avantage, ses besoins en eau sont inférieurs de 50 % à celui du maïs. Tous ces atouts font ainsi du sorgho une plante idéale pour les zones qui connaissent des périodes de sécheresse à répétition comme le sud-ouest de la France. Le sorgho peut-il supplanter le maïs ? Pour l’instant non. Il est vrai que la culture du sorgho s’intègre parfaitement dans la rotation avec le tournesol et le maïs, ce qui permet une meilleure gestion des risques climatiques. Le sorgho pourrait devenir une alternative crédible au maïs dans les zones ou l’irrigation devient problématique. Mais n’oublions pas que le maïs a été optimisé depuis cent ans à coups de millions d’euros d’investissements et qu'il bénéficie de filières très solides. L’enjeu pour la filière sorgho est donc de continuer à améliorer ses rendements et sa qualité pour réellement s’imposer comme une culture de premier plan de l’agriculture française.
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