sceptique a écrit :Conclusion : Avant on pensait saisir pour 100 millions et loger 100 familles. Aprés, on a dû dépenser qq millions en rénovation pour loger 10 familles.
Bilan : plus de 90% de la "richesse" saisie s'est évanouie. Zut.

Tu confonds valeur "marchande" et valeur réelle.
Je suis d'accord avec toi sur la démonstration (la valeur spéculative du départ ne correspondra plus à la valeur réelle finale), mais pas sur les effets rétroactifs : un bien inhabité (hors quelques jours par an) à une valeur marchande, mais aucune utilité sociale. La différence, c'est qu'il y aura 10 familles logées, alors qu'un riche perdra juste un pied à terre.
Mais pour en revenir sur la valeur spéculative, en période de descente énergétique, que crois-tu qu'il va se passer pour la spéculation, a t-on avis ?
Une descente aux enfers.
Même le prix du baril risque de sortir définitivement des cotations boursières (protocole de Rimini). Il est même probable que toutes les bourses du monde seront fermées.
Donc, si on revient au sujet, les valeurs spéculatives vont s'effondrer, et les bourses seront incapables de coter la valeur exacte d'une entreprise.
D'ailleurs, on peut noter en ce moment une fébrilité des marchés et des institutionnelles pour trouver des valeurs refuges, comme l'or, les francs suisses et autres stars du moment. Jusqu'à quand ?
Jusqu'à ce que les Etats fassent défaut, les uns à la suite des autres.
Le partage n'a rien à voir avec les valeurs spéculatives : elles vont disparaitre elles-mêmes, sans aucune mesure d'un éventuel gouvernement du Front de Gauche ou du PS.
Le partage opérera donc sur l'essentiel : le logement, la santé, les transports, la nourriture, la descente énergétique que nous devrons tous assurer.
Et à avoir longuement écouté Mélenchon, c'est probablement le seul avec Yves Cochet à savoir que cela va finir ainsi, ou du moins à le dire.
Reste le bon sens : 1 gâteau plus petit à table, et toujours le même nombre de personnes autour de cette table. Le goinfre va devoir tempérer ses ardeurs.
Sinon, il va risquer sa vie.
[quote="sceptique"]Conclusion : Avant on pensait saisir pour 100 millions et loger 100 familles. Aprés, on a dû dépenser qq millions en rénovation pour loger 10 familles.
Bilan : plus de 90% de la "richesse" saisie s'est évanouie. Zut. :-([/quote]
Tu confonds valeur "marchande" et valeur réelle.
Je suis d'accord avec toi sur la démonstration (la valeur spéculative du départ ne correspondra plus à la valeur réelle finale), mais pas sur les effets rétroactifs : un bien inhabité (hors quelques jours par an) à une valeur marchande, mais aucune utilité sociale. La différence, c'est qu'il y aura 10 familles logées, alors qu'un riche perdra juste un pied à terre.
Mais pour en revenir sur la valeur spéculative, en période de descente énergétique, que crois-tu qu'il va se passer pour la spéculation, a t-on avis ?
Une descente aux enfers.
Même le prix du baril risque de sortir définitivement des cotations boursières (protocole de Rimini). Il est même probable que toutes les bourses du monde seront fermées.
Donc, si on revient au sujet, les valeurs spéculatives vont s'effondrer, et les bourses seront incapables de coter la valeur exacte d'une entreprise.
D'ailleurs, on peut noter en ce moment une fébrilité des marchés et des institutionnelles pour trouver des valeurs refuges, comme l'or, les francs suisses et autres stars du moment. Jusqu'à quand ?
Jusqu'à ce que les Etats fassent défaut, les uns à la suite des autres.
Le partage n'a rien à voir avec les valeurs spéculatives : elles vont disparaitre elles-mêmes, sans aucune mesure d'un éventuel gouvernement du Front de Gauche ou du PS.
Le partage opérera donc sur l'essentiel : le logement, la santé, les transports, la nourriture, la descente énergétique que nous devrons tous assurer.
Et à avoir longuement écouté Mélenchon, c'est probablement le seul avec Yves Cochet à savoir que cela va finir ainsi, ou du moins à le dire.
Reste le bon sens : 1 gâteau plus petit à table, et toujours le même nombre de personnes autour de cette table. Le goinfre va devoir tempérer ses ardeurs.
Sinon, il va risquer sa vie.