par supert » 07 nov. 2023, 13:52
Oui, ce n'est pas pareil en fonction de la densité de population
Oui, il peut y avoir des situations particulières où l'on pourrais peut-être interdire le feu.
Oui, je préfère respirer du bon air pur que de la fumée du voisin
Mais, pourquoi le feu de cheminée ? Pourquoi ne pas interdire la voiture ? Les usines ? Les aéroports ?
Et pourquoi critériser comme cela la pollution ? Parce que, si vous avez une vie simple avec un foyer ouvert, vous serez globalement beaucoup moins poluant que la plupart de vos contemporains. Mais on ne vas pas observer votre démarche globale, on ne va pas réfléchir à ce qui nous amène ici. Non. On fait plus simple, on tape là où c'est facile de taper.
Et comme cela, on interdit, je maintiens le terme, de faire un feu. Un vrai. Un feu de cheminée. Celui qui sent la chataigne grillée et les pieds de kerkoz qui s'est endormi devant. Celui qui fait rêver les enfants. Celui qu'on tisonne avec plaisir. Celui qu'on regarde avec un verre de whisky à la main. Celui dans lesquels ont fait cuire des patates sous la cendre. Ou des bananes avec une barre de chocolat dedans. Ce feu là est interdit.
Dans les messages des esprits raisonnables (c'est à dire qui ont la même raison que le pouls ambiant), j'ai vu qu'on m'expliquait la pollution, les maladies, ... Mais je sais tout cela. Et j'en tiens compte.
Mais on ne parle pas de la phrase où je disais:
Quand une civilisation en est à ce point à réguler le feu, elle ferait mieux de s'interroger sur les causes du problème que de gérer comme une merde les conséquences.
La liberté se meurt à petit feu.
Justifier cette interdiction pour quelque chose de fondamental en invoquant la pollution, admettons. Mais avant d'interdire le feu, on va commencer par interdire deux ou trois millions de trucs non fondamentaux.
Et sans honte ni fausse modestie et quoiqu'en pense mes contemporains, je l'affirme: pouvoir faire un feu chez soi est bien plus fondamental que d'avoir des téléphones qui rendent con, de l'internet, des avions, des usines à fabriquer des trucs que l'on va jeter trés vite...
Supert, pas pressé d'aller au feu
Oui, ce n'est pas pareil en fonction de la densité de population
Oui, il peut y avoir des situations particulières où l'on pourrais peut-être interdire le feu.
Oui, je préfère respirer du bon air pur que de la fumée du voisin
Mais, pourquoi le feu de cheminée ? Pourquoi ne pas interdire la voiture ? Les usines ? Les aéroports ?
Et pourquoi critériser comme cela la pollution ? Parce que, si vous avez une vie simple avec un foyer ouvert, vous serez globalement beaucoup moins poluant que la plupart de vos contemporains. Mais on ne vas pas observer votre démarche globale, on ne va pas réfléchir à ce qui nous amène ici. Non. On fait plus simple, on tape là où c'est facile de taper.
Et comme cela, on [u]interdit[/u], je maintiens le terme, de faire un feu. Un vrai. Un feu de cheminée. Celui qui sent la chataigne grillée et les pieds de kerkoz qui s'est endormi devant. Celui qui fait rêver les enfants. Celui qu'on tisonne avec plaisir. Celui qu'on regarde avec un verre de whisky à la main. Celui dans lesquels ont fait cuire des patates sous la cendre. Ou des bananes avec une barre de chocolat dedans. Ce feu là est interdit.
Dans les messages des esprits raisonnables (c'est à dire qui ont la même raison que le pouls ambiant), j'ai vu qu'on m'expliquait la pollution, les maladies, ... Mais je sais tout cela. Et j'en tiens compte.
Mais on ne parle pas de la phrase où je disais:
Quand une civilisation en est à ce point à réguler le feu, elle ferait mieux de s'interroger sur les causes du problème que de gérer comme une merde les conséquences.
La liberté se meurt à petit feu.
Justifier cette interdiction pour quelque chose de fondamental en invoquant la pollution, admettons. Mais avant d'interdire le feu, on va commencer par interdire deux ou trois millions de trucs non fondamentaux.
Et sans honte ni fausse modestie et quoiqu'en pense mes contemporains, je l'affirme: pouvoir faire un feu chez soi est bien plus fondamental que d'avoir des téléphones qui rendent con, de l'internet, des avions, des usines à fabriquer des trucs que l'on va jeter trés vite...
Supert, pas pressé d'aller au feu