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Dissuasion : La bombe nucléaire américaine de retour sur le sol britannique ?

L’échiquier nucléaire mondial vient peut-être de se réactiver à l’ouest. Des indices concrets, discrets mais concordants, révèlent que la dissuasion atomique américaine serait de retour sur une base anglaise emblématique.

Le 16 juillet 2025, un avion militaire américain a atterri sur le tarmac de RAF Lakenheath, au Royaume-Uni. Depuis, les signaux s’accumulent et la suspicion enfle : les États-Unis auraient réintroduit des armes nucléaires sur cette base, quinze ans après leur retrait officiel. L’événement, s’il est confirmé, constituerait un tournant dans la stratégie de dissuasion américaine en Europe.

mahiahi a écrit : ↑

23 juil. 2025, 14:07

Ou s'ils avaient tiré sur des cibles russes, voire le territoire russe?

Jeuf a écrit : ↑

24 juil. 2025, 22:22

Les avions roumains ne peuvent plus voler au-dessus de leur territoire sans être vus comme menaçant d'envoyer des missiles sur la Russie?

Jeuf a écrit : ↑

24 juil. 2025, 22:22

Et dans le cas de missiles ou drone russes qui survolent l'ukraine, où serait le problème de les détruire depuis la Roumanie?

mahiahi a écrit : ↑

23 juil. 2025, 14:07

Ou s'ils avaient tiré sur des cibles russes, voire le territoire russe?

mobar a écrit : ↑

21 juil. 2025, 17:05

Les sanctions contre la Russie ont le même objectif, éviter que la Russie ne se normalise et qu'elle reste un ennemi, tous les empires façonnent des épouvantails (qui ne font pas rire les blaireaux)

mobar a écrit : ↑

21 juil. 2025, 17:05

Les sanctions contre la Russie ont le même objectif, éviter que la Russie ne se normalise et qu'elle reste un ennemi, tous les empires façonnent des épouvantails (qui ne font pas rire les blaireaux)

Flotte fantôme russe : plus de cent pétroliers ajoutés sur la liste noire de l’Union européenne
L’Union européenne a adopté vendredi 18 juillet un dix-huitième paquet de sanctions contre la Russie, ciblant notamment 105 nouveaux pétroliers appartenant à la dark fleet.

Publié le 18/07/2025 Le marin

L’Union européenne a renforcé vendredi 18 juillet ses sanctions contre Moscou, en ciblant la manne pétrolière russe, avec l’espoir d’être bientôt rejointe par les États-Unis, si Vladimir Poutine devait persister dans sa guerre contre l’Ukraine. Ce paquet de sanctions, le 18e depuis l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022, est l’un des plus sévères contre la Russie à ce jour , a assuré la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas. Le dernier paquet de sanctions avait été adopté en mai.

Celles-ci prévoient entre autres un abaissement du plafond du prix du pétrole brut russe exporté, désormais fixé à un peu plus de 45 dollars le baril (46,70 dollars), soit 15 % de moins que le prix moyen du baril russe sur le marché. Le mécanisme interdit à toute compagnie pétrolière, flotte marchande, etc. de vendre du pétrole russe au-dessus d’un certain prix, sous peine de sanctions.

Raffinerie et Nord stream

Dans le cadre de ces sanctions, les 27 ont ajouté 105 pétroliers fantômes à leur liste noire de navires qui compte désormais 444 navires, a précisé la Commission européenne dans un communiqué. Ils ont également ajouté 22 entités, dont 11 non russes, ciblant des sociétés exploitant des navires fantômes ou aidant les Russes à contourner les sanctions. Pour la première fois , l’UE a ciblé une raffinerie de pétrole appartenant au groupe russe Rosneft en Inde, s’est félicitée Kaja Kallas. L’Europe a également adopté de nouvelles sanctions contre le gazoduc Nord stream, à l’arrêt actuellement, pour être certaine qu’il ne puisse pas être réactivé.

Les Européens ont également renforcé leurs sanctions financières en ajoutant 22 banques aux 23 déjà interdites d’accès au système international de paiements, le Swift.

L’ancien président russe Dmitri Medvedev a déclaré ce jeudi 17 juillet que l’Occident menait pratiquement une guerre à grande échelle contre la Russie, et que Moscou devait donc réagir pleinement, voire, si nécessaire, lancer des frappes préventives, a rapporté l’agence de presse publique russe TASS. «Nous devons agir en conséquence. Répondre pleinement. Et si nécessaire, lancer des frappes préventives», a déclaré Dmitri Medvedev, cité par TASS.