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Mer Rouge : Un F/A-18 Super Hornet est tombé du porte-avions USS Harry S. Truman

par Laurent Lagneau · 29 avril 2025

Actuellement déployé au Moyen-Orient où il prend part à l’opération Rough Rider, lancée par les États-Unis en mars pour détruire l’infrastructure militaire utilisée par les rebelles houthis pour viser le trafic maritime en mer Rouge depuis le Yémen, le porte-avions USS Harry S. Truman vient de connaître un nouvel incident, avec la perte d’un F/A-18E/F Super Hornet de son groupe aérien embarqué [GAé].
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alain2908 a écrit : ↑

27 mars 2025, 16:15

les Etats Unis aurait déplacé 7 bombardiers furtifs B2 sur la base de Diego Garcia.

alain2908 a écrit : ↑

27 mars 2025, 16:15

les Etats Unis aurait déplacé 7 bombardiers furtifs B2 sur la base de Diego Garcia.

Ce que l’on sait sur le F-47, futur avion de combat américain

Article de Par Mathilde Gardin, avec Reuters 22 mars 2025

Accrochez vos ceintures. Donald Trump a annoncé vendredi depuis le Bureau ovale de la Maison-Blanche que Boeing sera chargé de construire le nouvel avion de chasse de l'armée de l'air. L'appareil a été baptisé F-47. Le chasseur de 6e génération sera le plus sophistiqué de l'US Air Force et sera développé dans le cadre du programme Next Generation Air Dominance (NGAD).


Donald Trump a présenté, vendredi, à la Maison-Blanche, le projet de développement du F-47, l’avion de combat de 6e génération des États-Unis. © Sipa USA/Sipa

Le programme NGAD doit remplacer le F-22 Raptor, de Lockheed Martin, par un avion conçu pour combattre aux côtés de drones autonomes. Ce système de guerre, dit en réseau, est une réponse aux avancées chinoises et russes dans le domaine aérien. Le contrat d'ingénierie et de développement s'élève à plus de 20 milliards de dollars.

« Les généraux ont choisi ce nom, et c'est un joli nombre, F-47 », a déclaré Donald Trump, en rappelant qu'il est le? 47? président des États-Unis. « Nous avons passé commande d'un grand nombre [d'appareils]. Nous ne pouvons pas vous dire le prix », a-t-il ajouté dans le Bureau ovale, face à des journalistes. « Nos alliés nous appellent constamment », a affirmé le président américain, précisant que les ventes à l'étranger pourraient être une option : « Ils veulent aussi les acheter. »

« Le F-47 coûtera moins cher que le F-22 et sera plus adaptable aux menaces futures »
Cette victoire sur Lockheed Martin marque un tournant pour Boeing, qui a récemment connu des difficultés tant dans le secteur commercial que dans celui de la défense, et pour son activité de production d'avions de combat à Saint-Louis, dans le Missouri.

« Comparé au F-22, le F-47 coûtera moins cher et sera plus adaptable aux menaces futures ? et nous aurons plus de F-47 dans notre inventaire », a déclaré le chef d'état-major de la Force aérienne des États-Unis, le général David W. Allvin.

Boeing gagne le contrat F-47

Antony Angrand publié le 21 mars 2025 air-cosmos

L'US Air Force a annoncé que Boeing avait remporté un contrat portant sur la conception, la construction et la livraison de son avion de combat de nouvelle génération. Il aura fallu cinq années d'essais et autres tests confidentiels, pour ce qui se nomme désormais le F-47. La plateforme NGAD (Next-Generation Air Dominance) inaugurera une nouvelle génération d'avions de combat américains, soit la sixième dont le F-47 sera le premier aéronef piloté. L'appareil apportera une capacité de pointe en termes de portée, de survivabilité, de létalité et d'adaptabilité. La plateforme NGAD est le nœud central de la famille de systèmes NGAD.
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Des fissures ont été découvertes sur deux avions ravitailleurs KC-46A Pegasus destinés à l’US Air Force
par Laurent Lagneau · 1 mars 2025 opex360

200000 intercepteurs: comment Trump prévoit de protéger les États-Unis d'une attaque nucléaire massive

Article de Benjamin Laurent 23 fev 2025

Le système de défense antimissile spatiale envisagé par Donald Trump permettrait, en théorie, d'abattre les missiles balistiques russes avant qu'ils ne larguent leurs têtes nucléaires. Mais le nombre d'intercepteurs nécessaires ferait exploser la facture.

Donald Trump désire-t-il réellement obtenir son "Dôme de Fer Américain", gigantesque système de défense antimissile dont il a ordonné la conception une semaine après son retour à la Maison Blanche ? Ce projet révolutionnaire, censé sanctifier le territoire américain, pourrait être remis en cause dans les prochains mois face à une autre décision d'ampleur prise par Washington.

Une réduction des dépenses incompatible avec le projet de Trump

Le Secrétaire à la Défense Pete Hegseth a en effet chargé le Pentagone de trouver un moyen de réduire de 8 % par an les dépenses militaires américaines durant les cinq prochaines années, selon le Washington Post (WaPo).

Le budget militaire des États-Unis, qui frôlait les 850 milliards de dollars en 2024, serait ainsi amputé de quelque 70 milliards de dollars en l'espace d'un an selon ce plan. Selon le WaPo, la modernisation des systèmes de défense antimissiles serait épargnée par cette coupe budgétaire, au côté d'autres projets comme le renforcement des opérations américaines à la frontière mexicaine.

Un système capable de stopper rapidement des missiles balistiques intercontinentaux

Il est en effet vital d'intercepter le plus tôt possible des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM), avant qu'ils ne puissent éjecter leurs nombreuses ogives : un missile russe comme le SS-18, parfois surnommé "Satan" en Occident, peut relâcher 10 têtes nucléaires. Si l'on en croit le réputé Bulletin of the Atomic Scientists, qui recense "approximativement 34 SS-18", ce sont ainsi quelque 340 ogives nucléaires qui pourraient viser les États-Unis via ce seul modèle de missile, de quoi raser plusieurs dizaines de métropoles américaines de la carte.

Un système d'interception spatial permettrait donc d'intercepter ces ICBM avant le largage des ogives selon plusieurs spécialistes du secteur de l'armement nucléaire et spatial interrogés par Forbes, un avantage considérable.

Todd Harrison, expert des questions de sécurité spatiale du cercle de réflexion American Entreprise Institute, a souligné auprès du média américain que selon ses travaux, un écosystème de 1 900 intercepteurs basés à 500 kilomètres en orbite pourrait abattre simultanément deux missiles nucléaires avant le largage de leurs ogives.

200 000 intercepteurs pour sanctifier le territoire américain

Mais une attaque russe d'ampleur ne se contenterait pas d'envoyer deux ICBM. Or le modèle imaginé par Todd Harrison présente une efficacité linéaire : il nécessiterait donc 3 800 intercepteurs pour abattre simultanément 4 missiles, 7 600 engins pour détruire 8 ICBM, et ainsi de suite. Un écosystème capable d'intercepter avant le largage de leurs ogives tous les ICBM de Corée du Nord et de Russie tirés simultanément reposerait sur quelque 200 000 intercepteurs, selon Todd Harrison.

Le Dôme de Fer Américain nécessite également une industrie de mise en orbite capable de déployer en un temps record ces centaines de milliers d'intercepteurs. Les progrès de SpaceX, entreprise d'Elon Musk pionnière dans le lancement d'objets en orbite, pourraient aider à accélérer la cadence. Mais le coût final du projet, comprenant la construction et le déploiement des intercepteurs, varierait entre 370 et quelque 1 200 milliards de dollars selon Todd Harrison.

Ce chiffre est à comparer avec une autre estimation faite par la Federation of American Scientists en mai 2024, qui jugeait alors que le programme de modernisation de l'arsenal nucléaire américain pourrait atteindre "1 700 milliards de dollars".

Le Dôme de Fer Américain, s'il aboutit, pourrait donc faire économiser plusieurs centaines de milliards de dollars aux États-Unis en rendant obsolète un conflit nucléaire avec Washington. Le président américain a justement affirmé le 13 février qu'il voulait aboutir à un accord avec Pékin et Moscou pour réduire les arsenaux nucléaires autour du globe et diminuer les dépenses militaires de son pays, sans que l'on sache si une telle initiative portera ses fruits.

Trump remplace le chef d'état-major de l'armée américaine, le premier d'une série de mouvements
AFP •22/02/2025

Etats-Unis : 60 kilowatts, 7km de distance… Qu’est-ce que le super laser Helios testé avec succès en pleine mer ?

La marine américaine a testé cette semaine en pleine mer son laser embarqué Helios. les images circulant sur les réseaux sociaux sont impressionnantes. On y voit un super rayon laser détruire un objet volant sans pilote.

le 08/02/2025 midilibre

Les images sont impressionnantes… et sont passées presque inaperçues, bien que publiées cette semaine sur les réseaux sociaux. À bord de son destroyer USS Preble, la marine américaine a testé sa nouvelle arme laser, aka le système Helios (pour High-Dazzle Laser and Integrated Optical Surveillance). Et sur les photos en noir et blanc récemment publiées, on peut nettement voir un énorme faisceau laser abattre une cible aérienne sans pilote.
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US Navy evaluates laser weapon aboard destroyer

Dylan Malyasov Feb 1, 2025

La base aérienne d’Eielson en Alaska a été le théâtre d’un nouvel accident impliquant un chasseur F-35A Lightning II le 28 janvier. Lors d’un vol d’entraînement de routine, le pilote a signalé une défaillance technique alors qu’il s’apprêtait à atterrir. Les images diffusées montrent l’appareil, train d’atterrissage sorti, partir en vrille avant d’exploser au contact du sol. Le pilote a réussi à s’éjecter à temps et a été transporté à l’hôpital militaire de Bassett dans un état stable.