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par energy_isere » 11 sept. 2025, 22:15
Cuba: l'électricité rétablie sur l'ensemble de l'île AFP •11/09/2025
par GillesH38 » 11 sept. 2025, 14:46
par kercoz » 11 sept. 2025, 14:36
supert a écrit : ↑11 sept. 2025, 13:48 J'ai vécu en un pays où les coupures d'électricité était monnaie courante pendant la saison sèche. Cela pouvait être plusieurs semaines en n'ayant que quelques heures de courant. Pour trouver des glaçons, fallait aller chez les copains qui habitaient les bons secteurs, ceux qui étaient peu ou pas délestés : le secteur de l'hôpital et celui de la présidence. Y'a des priorités dans la vie...
par supert » 11 sept. 2025, 13:48
par phyvette » 10 sept. 2025, 22:03
« Bloquons tout le 10 septembre »
par energy_isere » 10 sept. 2025, 21:51
Cuba face à une coupure totale d'électricité, pour la cinquième fois en un an AFP •10/09/2025 Une nouvelle panne générale d'électricité touche Cuba mercredi, la cinquième en moins d'un an sur l'île, qui fragilise l'activité économique du pays et met à rude épreuve la vie quotidienne des habitants. "Il y a eu une déconnexion totale du système électrique qui pourrait être liée à une panne inattendue" de la centrale électrique Antonio Guiteras, située au centre de l'île, a indiqué le ministère de l'Énergie et des Mines sur son compte X. Les autorités ont précisé par la suite que la panne, qui s'est produite aux alentours de 09H15 locales (13H15 GMT), était due à un signal erroné de surchauffe dans la chaudière de la centrale électrique, la plus importante du pays, ce qui a provoqué son arrêt et l'effondrement de l'ensemble du réseau. Le Premier ministre, Manuel Marrero Cruz, a assuré sur X que le pays avait "une stratégie bien définie" pour rétablir l'électricité "dans les plus brefs délais". Depuis octobre 2024, l'île communiste de 9,7 millions d'habitants a déjà subi quatre pannes généralisées, dont certaines ont duré plusieurs jours. ......................... .........................
par phyvette » 03 sept. 2025, 20:04
par GillesH38 » 03 sept. 2025, 19:49
par Silenius » 03 sept. 2025, 18:21
par GillesH38 » 03 sept. 2025, 11:19
mobar a écrit : ↑03 sept. 2025, 08:59 Les Cubains qui ont quitté Cuba et le quittent encore, ont choisi de le faire et se sont organisés pour ça Les palestiniens de la Nakba ont été forcés de partir après les destructions de leurs biens
mobar a écrit : ↑03 sept. 2025, 08:59 La terre de Cuba aucun peuple ne la revendique, ni n'en a été chassé, ni ne subit de génocide!
À l'arrivée des Espagnols, on estime que la population globale des Antilles était de 7 à 8 millions d'habitants[8]. Sur l’île d'Hispaniola la majorité était des Taïnos. Cinquante ans après le début de la colonisation, pour les raisons évoquées ci-dessous, ils avaient quasiment tous disparus. Il subsiste des Taïnos à Porto Rico. On les trouve surtout dans le quartier de las Indieras de la municipalité de Maricao, au centre-est de l'île. Ils sont les survivants du massacre de 1511, qui fit suite à une rébellion contre les Espagnols, fomentée par Agüeybana II le brave. Les vaincus s'enfuirent dans les montagnes portoricaines où ils purent se cacher grâce à l'épaisseur des forêts. Cinq cents individus y ont survécu. Malgré un métissage avec d'autres ethnies qui arrivèrent à Porto Rico (parmi eux les Espagnols et les déportés africains), certains membres de ces communautés tainas résiduelles possèdent encore 98 % de sang taïno.
par mobar » 03 sept. 2025, 08:59
Malgré les relations difficiles entre les autochtones et les Européens nouvellement arrivés, une certaine coopération était évidente. Les Espagnols ont appris des indigènes à cultiver le tabac et à le consommer sous forme de cigare. Il existait également de nombreuses unions entre colons espagnols, principalement des hommes, et des femmes indigènes. Des études modernes ont révélé des traces d'ADN qui confèrent des caractéristiques physiques similaires à celles des tribus amazoniennes chez des individus à travers Cuba[31], bien que la population indigène ait été en grande partie détruite en tant que culture et civilisation après 1550. Selon les nouvelles lois espagnoles de 1552, les indigènes cubains ont été libérés de l'encomienda et sept villes ont été créées pour les peuples indigènes. Il existe des familles descendantes d'indigènes cubains (Taïno) dans plusieurs endroits, principalement dans l'est de Cuba. La population indigène locale a également laissé sa marque sur la langue, avec environ 400 termes et toponymes taïno survivant jusqu'à nos jours. Par exemple, Cuba et La Havane sont dérivés du Taïno classique, et des mots indigènes tels que tabac, ouragan et canoë ont été transférés en anglais[29].
par GillesH38 » 03 sept. 2025, 04:40
par Silenius » 03 sept. 2025, 04:23
mobar a écrit : ↑03 sept. 2025, 03:15 Le pays des juifs, comme ils l’appellent, a beau être 5 fois plus petit que Cuba il a fait et continue de faire beaucoup plus de morts, de blessés, de déplacés et maintenant de déportés que Cuba n'en fera jamais!
Depuis 1959 jusqu’à aujourd’hui, le nombre total de Cubains ayant quitté le pays est estimé à 2,0 à 2,5 millions (selon sources et définitions — émigration permanente vs déplacements temporaires). Les estimations des personnes tuées (exécutées, assassinées, mortes en détention ou victimes répressives directes) par le régime cubain varient fortement selon les sources, la période considérée et la méthodologie. Il n’existe pas de comptage officiel unique et fiable; voici les fourchettes et sources couramment citées : — Période 1959–1970 (premières purges et répressions) Estimations prudentes d’historiens et d’ONG : quelques milliers (exécutions et morts en détention). Certaines sources anticommunistes placent le total plus haut, jusqu’à 10 000–15 000 pour les premières décennies, mais ces chiffres sont contestés. — Période 1970–1990 Répression politique, détentions, tortures et exécutions occasionnelles. Estimations : quelques centaines à quelques milliers supplémentaires selon les années et les sources. — Après 1990 Les décès liés à la répression politique directe sont généralement rapportés comme moins nombreux en chiffres absolus, mais il y a des centaines de cas documentés d’arrestations arbitraires, mauvais traitements et décès en détention sur l’ensemble de la période. Résumé général souvent cité dans recherches critiques : au total, les estimations vont de l’ordre de quelques milliers à peut‑être plusieurs dizaines de milliers de personnes mortes du fait direct ou indirect de la répression d’État depuis 1959, selon que l’on inclut exécutions officielles, morts en détention, disparitions et meurtres politiques non déclarés. Les estimations du nombre total de Palestiniens ayant fui ou été expulsés entre 1948 et 2024 (comptant uniquement les personnes originelles — c’est‑à‑dire ceux nés dans les territoires palestiniens avant ou en 1948 — et sans inclure leurs descendants) ne sont pas unanimement fixées, mais la fourchette la plus couramment citée est environ 700 000 à 800 000 personnes. Chiffre courant utilisé pour 1948 (réfugiés originels) : ~700 000–770 000 Ajouts dus aux déplacements en 1967 (guerre des Six Jours) : environ 300 000–350 000 (nombre de Palestiniens déplacés en 1967, dont certains étaient déjà réfugiés de 1948 — la distinction entre « nouveaux » réfugiés et « re‑déplacés » varie selon les sources). Il n’existe pas de décompte unique et universellement accepté des Palestiniens tués par Israël depuis 1948 ; les chiffres varient selon les sources, les définitions (combattants vs civils), la période prise en compte et la méthodologie. Voici des estimations largement cités par périodes — chiffres approximatifs et arrondis : — Guerre de 1948 (Nakba) : environ 10 000–15 000 Palestiniens tués. — Période 1949–1966 (tensions et incidents frontaliers) : quelques centaines à un millier. — Guerre des Six Jours (1967) : environ 3 000–5 000 Palestiniens tués. — Occupation (1967–1987) : morts liées à répression, opérations militaires et violences — quelques milliers (est. 2 000–5 000). — Première Intifada (1987–1993) : environ 1 000–1 500 Palestiniens tués. — Accords d’Oslo et période 1994–2000 : quelques centaines (est. 500–1 000). — Seconde Intifada (2000–2005) : environ 3 000–5 000 Palestiniens tués. — Conflits Gaza–Israël (2006–2023, y compris opérations majeures 2008–09, 2012, 2014, 2021, 2023) : les estimations cumulées varient énormément ; au moins 20 000–30 000 Palestiniens tués selon comptages qui incluent civils et combattants (les chiffres pour 2023–2024 ont encore accentué ces totaux). — Période 2024 (et offensives récentes) : chiffres variables, avec plusieurs milliers supplémentaires selon les événements exacts et les sources. En totalisant ces fourchettes très approximatives, on obtient un ordre de grandeur de au moins 40 000 à 60 000 Palestiniens tués depuis 1948 — et probablement plus si l’on inclut tous les conflits récents et si l’on prend des estimations plus élevées pour certaines périodes. Certaines organisations et chercheurs donnent des totaux supérieurs (jusqu’à ~100 000) selon ce qu’ils comptent et les périodes incluses.
par GillesH38 » 03 sept. 2025, 04:04
mobar a écrit : ↑03 sept. 2025, 03:15 Le pays des juifs, comme ils l’appellent, a beau être 5 fois plus petit que Cuba il a fait et continue de faire beaucoup plus de morts, de blessés, de déplacés et maintenant de déportés que Cuba n'en fera jamais! Un peu comme la dangerosité de l'Iran comparativement aux USA, à la Russie et aux anciens empires occidentaux européens
par mobar » 03 sept. 2025, 03:15
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