par Pura Vida » 11 déc. 2006, 12:22
J'ai assez souvent bu de l'eau de pluie sans jamais avoir la moindre gène ensuite. Il est vrai que j'ai toujours mis un récipient propre pour reccueillir l'eau et n'ai jamais bu de l'eau de pluie dont j'ignorais l' "histoire" depuis qu'elle était tombée, à de rares exeptions près, en forêt par exemple dans des feuilles, ou un relief de pierre où l'eau, manifestement, ne séjourne pas longtemps avant de s'évaporer.
Il ne faut pas oublier qu'à l'échelle de l'hémisphère Nord, l'air de déplace très globalement d'Ouest en Est, et inversement d'Est en Ouest dans l''hémisphère Sud, mais les alizés, eux, ils souflent du Nord-Est au Sud Ouest dans l'hémisphère Nord et du Sud-Est au Nord-Ouest, ce qui donne la zone de convergence intertropicale. Tout ceci fait un brassage global.
Il est assez difficile de savoir par où ont passé exactement les masses d'air charriant des nuages de la pluie qui tombe à l'endroit où on se trouve.
Dans l'hémisphère Nord, sûrement l'eau de pluie est statistiquement et probabilitairement meilleure dans toutes les régions européennes sous influence météo atlantique, c'est à dire les régions comme l'Ecosse, l'Irlande, la France de l'Ouest, l'Espagne de lOuest et le Portugal, tandis que L'Europe continentale, Allemagne, Tchéquie, Hongrie, Italie du Nord, etc, doivent recevoir des pluies globalement moins "propres". Même chose pour les régions nord-américaines sous influence météo pacifique, c'est à dire le Canada extrême Ouest, et la côte étatsunienne au Nord de la Californie, car Los Angeles, plus au Sud, est très connu pour ses problèmes de faible dilution d'air pollué dû à certaines conditions climatiques anticycloniques. Ainsi, comme l'Europe continentale, le centre de l'Amérique du Nord reçoit sans doute des pluies davantage suspectes de contenir des "lessivages" indistriels et urbains...
Si nous nous assagissons énergétiquement, après l'ère du charbon et du pétrole, les eaux de pluie, comme ce devait être avant l'ère industrielle, devraient être partout potables, ou ne contenir que des éléments naturels, au moins neutres.
J'ai assez souvent bu de l'eau de pluie sans jamais avoir la moindre gène ensuite. Il est vrai que j'ai toujours mis un récipient propre pour reccueillir l'eau et n'ai jamais bu de l'eau de pluie dont j'ignorais l' "histoire" depuis qu'elle était tombée, à de rares exeptions près, en forêt par exemple dans des feuilles, ou un relief de pierre où l'eau, manifestement, ne séjourne pas longtemps avant de s'évaporer.
Il ne faut pas oublier qu'à l'échelle de l'hémisphère Nord, l'air de déplace très globalement d'Ouest en Est, et inversement d'Est en Ouest dans l''hémisphère Sud, mais les alizés, eux, ils souflent du Nord-Est au Sud Ouest dans l'hémisphère Nord et du Sud-Est au Nord-Ouest, ce qui donne la zone de convergence intertropicale. Tout ceci fait un brassage global.
Il est assez difficile de savoir par où ont passé exactement les masses d'air charriant des nuages de la pluie qui tombe à l'endroit où on se trouve.
Dans l'hémisphère Nord, sûrement l'eau de pluie est statistiquement et probabilitairement meilleure dans toutes les régions européennes sous influence météo atlantique, c'est à dire les régions comme l'Ecosse, l'Irlande, la France de l'Ouest, l'Espagne de lOuest et le Portugal, tandis que L'Europe continentale, Allemagne, Tchéquie, Hongrie, Italie du Nord, etc, doivent recevoir des pluies globalement moins "propres". Même chose pour les régions nord-américaines sous influence météo pacifique, c'est à dire le Canada extrême Ouest, et la côte étatsunienne au Nord de la Californie, car Los Angeles, plus au Sud, est très connu pour ses problèmes de faible dilution d'air pollué dû à certaines conditions climatiques anticycloniques. Ainsi, comme l'Europe continentale, le centre de l'Amérique du Nord reçoit sans doute des pluies davantage suspectes de contenir des "lessivages" indistriels et urbains...
Si nous nous assagissons énergétiquement, après l'ère du charbon et du pétrole, les eaux de pluie, comme ce devait être avant l'ère industrielle, devraient être partout potables, ou ne contenir que des éléments naturels, au moins neutres.