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par mobar » 18 déc. 2018, 21:55
par GillesH38 » 18 déc. 2018, 16:10
mobar a écrit : ↑18 déc. 2018, 16:05 marc0 a écrit : ↑18 déc. 2018, 15:54 tu évalues a combien en euros la perte de biodiversité, ça m''intéresse ? Tu crois que la diminution de la consommation de fossiles stoppera le déclin de la biodiversité?
marc0 a écrit : ↑18 déc. 2018, 15:54 tu évalues a combien en euros la perte de biodiversité, ça m''intéresse ?
par mobar » 18 déc. 2018, 16:05
par GillesH38 » 18 déc. 2018, 16:05
par marc0 » 18 déc. 2018, 15:54
GillesH38 a écrit : ↑18 déc. 2018, 07:50 ça devient drôle : l'hystérie climatique a fini par convaincre tout le monde qu'il fallait urgemment couper la production de fossiles pour éviter le RCA, alors que les calculs les plus simples montrent que les fossiles créent bien plus de richesses qu'ils n'en détruisent (environ par un facteur 100), et que donc il est complètement stupide de perdre 1000 € pour en gagner 10.
par mobar » 18 déc. 2018, 08:00
par GillesH38 » 18 déc. 2018, 07:50
par mobar » 16 déc. 2018, 19:30
batista a écrit : ↑16 déc. 2018, 19:21 Quels intérêts pour les Etats de valoriser les thèses du giec ?
batista a écrit : ↑16 déc. 2018, 19:21 En tout cas cela ne concerne pas le gouvernement de Trump, pays premier pollueur.
par batista » 16 déc. 2018, 19:21
mobar a écrit : ↑16 déc. 2018, 18:12 La logique du GIEC, c'est de consolider toutes les thèses et travaux qui font des émissions anthropiques de CO² fossile la cause première et unique du réchauffement climatique. Pour cela il s'appuie sur les états complices qui financent ces thèses et travaux. Le GIEC n'a pas besoin de justifier quoique ce soit, il lui suffit de produire les papiers des universitaires et chercheurs qui se font financer par les états complices pour étayer son antienne. Antienne qu'il synthétise habilement en gommant tout ce qui pourrait relativiser les conclusions qu'il veut mettre en avant Le mécanisme est redoutable d'autant qu'il assèche mécaniquement les financements de travaux dissidents en les faisant passer pour malfaisants, imaginez vous, ils veulent la mort de la planète!!!
par GillesH38 » 16 déc. 2018, 19:05
phyvette a écrit : ↑16 déc. 2018, 18:35 Comme quoi les philosophes sont bien utiles pour expliquer les choses, sauf les philosophes Français qui ne sont plus que des courtisans courbés devant des politiciens corrompus. Urgence climatique : seuls ceux qui ont des ressources psychologiques fortes peuvent vivre avec C'est l'avis du philosophe australien Clive Hamilton. Il était présent à la COP21 à Paris, il a suivi la COP24. Pour lui, cela fait peur de penser à un monde à +4°C, alors on se protège en utilisant des mécanismes de défense. Il est assez pessimiste pour l'avenir. Face à la terrible vérité scientifique du changement climatique, les humains mettent en place divers "mécanismes de défense psychologiques", explique le philosophe australien Clive Hamilton.
Urgence climatique : seuls ceux qui ont des ressources psychologiques fortes peuvent vivre avec C'est l'avis du philosophe australien Clive Hamilton. Il était présent à la COP21 à Paris, il a suivi la COP24. Pour lui, cela fait peur de penser à un monde à +4°C, alors on se protège en utilisant des mécanismes de défense. Il est assez pessimiste pour l'avenir. Face à la terrible vérité scientifique du changement climatique, les humains mettent en place divers "mécanismes de défense psychologiques", explique le philosophe australien Clive Hamilton.
par mobar » 16 déc. 2018, 18:49
par phyvette » 16 déc. 2018, 18:35
Urgence climatique : seuls ceux qui ont des ressources psychologiques fortes peuvent vivre avec C'est l'avis du philosophe australien Clive Hamilton. Il était présent à la COP21 à Paris, il a suivi la COP24. Pour lui, cela fait peur de penser à un monde à +4°C, alors on se protège en utilisant des mécanismes de défense. Il est assez pessimiste pour l'avenir. Face à la terrible vérité scientifique du changement climatique, les humains mettent en place divers "mécanismes de défense psychologiques", explique le philosophe australien Clive Hamilton. Peu nombreux sont ceux capables de "vivre avec, au quotidien", poursuit l'auteur du best-seller "Requiem pour l'espèce humaine". Paru en 2010, cet ouvrage décrit l'installation d'un enfer sur Terre, avec moins d'un milliard d'êtres humains sur Terre. Une prévision pour le XXIIe siècle. Selon Clive Hamilton, l'accusation contre le catastrophisme est "une invention astucieuse d'une entreprise de relations publiques travaillant pour les énergies fossiles. En fait, les scientifiques et les défenseurs de l'environnement ont hésité à dire la vérité au public sur l'ampleur et l'irréversibilité du réchauffement. Il y a plusieurs raisons pour minimiser les dangers. Certains scientifiques se sont laissés intimider, subissant les attaques constantes des négationnistes de la science climatique et des politiques conservateurs. Ce sont des êtres humains, mais en tant qu'experts ils ont une responsabilité d'informer la population sur la science, surtout quand les pires scénarios deviennent réalité. Les défenseurs de l'environnement ont d'autres raison. Ils sont convaincus que raconter des histoires de fin du monde est contre productif, qu'ils doivent donner de l'espoir aux gens parce que la morosité les immobiliserait ou bien ils voudraient faire la fête en attendant de mourir".
par mobar » 16 déc. 2018, 18:12
par GillesH38 » 16 déc. 2018, 18:03
par mobar » 16 déc. 2018, 17:14
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