oleocene.org

emmort a écrit : ↑

23 mai 2019, 12:19

De toutes façons, les Britanniques n'auront pas besoin de décroissance, le Brexit suffira largement!!

phyvette a écrit : ↑

22 mai 2019, 23:20

On ne prononce pas encore le mot : décroissance, mais y'a de l'idée sous-jacente.

Selon une étude britannique, les citoyens européens devraient drastiquement réduire leur temps de travail pour limiter le réchauffement climatique.

Au rythme actuel des émissions carbone, il faudrait en effet que les Britanniques travaillent seulement 9 heures par semaine pour maintenir le pays sous le seuil critique de 2°C de réchauffement climatique, a établi le thinktank britannique Autonomy, cité par le Guardian...

Selon une étude britannique, les citoyens européens devraient drastiquement réduire leur temps de travail pour limiter le réchauffement climatique.

Au rythme actuel des émissions carbone, il faudrait en effet que les Britanniques travaillent seulement 9 heures par semaine pour maintenir le pays sous le seuil critique de 2°C de réchauffement climatique, a établi le thinktank britannique Autonomy, cité par le Guardian...

mobar a écrit : ↑

06 mai 2019, 05:39

Quand on pourra faire pousser la coca dans nos potagers, ce sera la fin des dealers des beaux quartiers et des cités
Cool

Comment le réchauffement climatique peut influencer la consommation de drogue

La plante de coca serait l'une des plantes les mieux armées pour résister aux changements climatiques.
La coca se cultive dans un climat chaud et aride, elle ne devrait donc pas avoir de problème d'adaptation puisque dans la ceinture tropicale où elle est le plus largement récoltée, la température augmentera de 4 degrés en moyenne.

Le kakapo, plus gros perroquet du monde, semble profiter du réchauffement climatique

Les femelles kakapos ont produit un nombre record d'oeufs. La quantité importante de baies de rimu dont se nourrissent ces oiselles pourrait être responsable.

Le kakapo est aussi un perroquet inhabituel pour ce qui est de ses habitudes reproductives, a expliqué M. Digby. Les femelles ne s'accouplent que tous les deux à quatre ans, lorsque les baies de rimu dont elles se nourrissent, une plante indigène à la Nouvelle-Zélande, sont particulièrement nombreuses. "Nous ne sommes pas sûrs de la raison, mais la baie de rimu est particulièrement riche en vitamine D, et est un super aliment, associé à la fertilité et la bonne santé", a-t-il précisé. Et les baies de rimu ont été extrêmement nombreuses cette année, peut-être - c'est l'une des théories avancées - grâce au réchauffement climatique.