oleocene.org

GillesH38 a écrit : ↑

Hier, 01:44

tu préfères peut être Mathilde Panot qui après avoir dénoncé Total s'est envolé vers la Guadeloupe avec sa copine Manon, pour vérifier les étiquettes des supermarchés, qu'elle aurait pu regarder sur internet, , après avoir visité la Martinique il y a deux ans ?

https://www.youtube.com/watch?v=rK0HmjUBtxc


tu pourras lui poser la question quand elle reviendra de Polynésie !

https://www.tahiti-infos.com/Operation- ... 24058.html

GillesH38 a écrit : ↑

Hier, 01:44

et pas de commentaire pour celle là Jeudi ?

mobar a écrit : ↑

24 mai 2024, 18:01

Jeudi a écrit : ↑

27 mai 2024, 23:44

C’est très pertinent, sauf que tu en rigoles plutôt que d’y voir un bon descriptif des clowns que Gilles et toi représentez. Cela t’amuse d’être la cible de ce genre de critique?

mobar a écrit : ↑

25 mai 2024, 15:22

energy_isere a écrit : ↑

25 mai 2024, 15:17

Jeudi a écrit : ↑

25 mai 2024, 14:29

Bien que la désinformation climatique ait les coudées franches sur les réseaux sociaux, et bien qu’elle semble augmenter sur certaines plateformes pendant les COP annuelles des Nations unies sur le climat, reste qu’elle est relativement facile à repérer. Le Détecteur de rumeurs propose, pour s’y retrouver, une classification en 4 parties.
(…)

https://www.sciencepresse.qc.ca/actuali ... ns-reperer

ah oui, ici il ya Mobar qui tète à ces 4 mamelles.

Jeudi a écrit : ↑

25 mai 2024, 14:29

Bien que la désinformation climatique ait les coudées franches sur les réseaux sociaux, et bien qu’elle semble augmenter sur certaines plateformes pendant les COP annuelles des Nations unies sur le climat, reste qu’elle est relativement facile à repérer. Le Détecteur de rumeurs propose, pour s’y retrouver, une classification en 4 parties.
(…)

https://www.sciencepresse.qc.ca/actuali ... ns-reperer

Bien que la désinformation climatique ait les coudées franches sur les réseaux sociaux, et bien qu’elle semble augmenter sur certaines plateformes pendant les COP annuelles des Nations unies sur le climat, reste qu’elle est relativement facile à repérer. Le Détecteur de rumeurs propose, pour s’y retrouver, une classification en 4 parties.
(…)

Les forêts boréales nord-américaines brûlent beaucoup, mais moins qu’il y a 150 ans…
La rédaction
6 juin 2023

Attention aux conclusions un peu trop hâtives sur l’impact du changement climatique. Les incendies de forêt en Amérique du Nord sont depuis plusieurs années fréquents, de grande ampleur et dévastateurs, mais il s’agit avant tout de phénomènes naturels qui étaient encore plus importants au XIXème siècle…

Les conditions météorologiques anormalement chaudes et sèches du début de mois de mai 2023 ont engendré des dizaines de départ de feux de forêt dans l’Ouest canadien. Dès le 6 mai, le gouvernement albertain déclarait l’état d’urgence. Et, au moment d’écrire cet article, près de 30 000 personnes ont dû être évacuées. Bien qu’il soit trop tôt pour établir un bilan précis de cet épisode extrême, des recherches récentes nous permettent de le replacer contexte plus large.

Dans les forêts boréales Nord-américaines, plusieurs millions d’hectares peuvent partir en fumée en une seule année. En contrepartie, ces feux de forêt peuvent paraître presque négligeables pendant plusieurs années consécutives. Depuis le début des années 1960, la tendance générale est à la hausse, vraisemblablement en raison des changements climatiques. Du moins, en partie.

Cependant, il est important de prendre un pas de recul pour mieux comprendre les tendances sur le long terme. C’est le travail qu’a récemment réalisé notre équipe, composée de spécialistes en feux de forêt et en écologie forestière.

Nos résultats vont à l’encontre des idées communément reçues : les forêts boréales Nord-américaines brûlaient davantage dans le passé qu’aujourd’hui. Mais avant de dévoiler plus de détails, quelques éléments de contexte et de mise au point nous semblent nécessaires.

L’Inde suffoque sous 47,8 degrés et ferme ses écoles pour l’été.

La décision a été ordonnée « avec effet immédiat ». Mardi, les autorités de Delhi ont ordonné la fermeture anticipée des écoles de la capitale indienne pour les vacances d’été. Le pays souffre actuellement de températures torrides avec un pic de 47,8 degrés atteint lundi à Najafgarh, dans la banlieue de Delhi. Le service météorologique indien a prévu une « vague de chaleur sévère » cette semaine. Les autorités de plusieurs États, dont l’Haryana, le Madhya Pradesh, le Punjab et le Rajasthan, dans le nord et centre du pays, ont également ordonné la fermeture des écoles, selon le média India Today.

L’Inde n’est pas le premier pays d’Asie à fermer ses écoles. Aux Philippines et au Bangladesh, des milliers d’écoles ont suspendu leurs cours. Selon les recherches scientifiques, les vagues de chaleur sont plus longues, plus fréquentes et plus intenses en raison du réchauffement climatique.