par epe » 07 mai 2006, 19:29
Pour le long terme, effectivement, on doit s'attendre à de nouvelles phases d'extinction majeure, que l'homme en soit la cause ou non.
Mais il ne faut pas perdre de vue l'extrême faculté d'adaptation d'homo sapiens sapiens, faculté à laquelle il doit probablement d'être le seul survivant du genre homo.
Il est omnivore et peut supporter tant un régime végétarien qu'un régime exclusivement animal (cf les esquimaux)
Il peut vivre sous tous les climats, pour autant qu'il y ait de l'eau
Il est même capable de creuser le sol pour s'y abriter si nécessaire
Il peut vivre tant au niveau de la mer que dans un air raréfié en oxygène (cf les populations des hauts plateaux andins)
Ses seules faiblesses sont sans doute d'atteindre fort tard sa maturité sexuelle et d'être relativement peu fécond. Cette longue maturation nécessite donc la disponibilité d'eau de qualité et un environnement relativement peu chargé en composés toxiques susceptibles par leur accumulation de conduire à son décès avant maturité sexuelle ou de le rendre stérile.
Bref, a priori, je suis assez confiant dans la survie du genre homo à un scenario d'apocalypse, mais je verrais bien de petits groupes humains isolés donner naissance à d'autres ramifications du genre homo, plus adaptées à la nouvelle donne environnementale.
Pour le long terme, effectivement, on doit s'attendre à de nouvelles phases d'extinction majeure, que l'homme en soit la cause ou non.
Mais il ne faut pas perdre de vue l'extrême faculté d'adaptation d'homo sapiens sapiens, faculté à laquelle il doit probablement d'être le seul survivant du genre homo.
Il est omnivore et peut supporter tant un régime végétarien qu'un régime exclusivement animal (cf les esquimaux)
Il peut vivre sous tous les climats, pour autant qu'il y ait de l'eau
Il est même capable de creuser le sol pour s'y abriter si nécessaire
Il peut vivre tant au niveau de la mer que dans un air raréfié en oxygène (cf les populations des hauts plateaux andins)
Ses seules faiblesses sont sans doute d'atteindre fort tard sa maturité sexuelle et d'être relativement peu fécond. Cette longue maturation nécessite donc la disponibilité d'eau de qualité et un environnement relativement peu chargé en composés toxiques susceptibles par leur accumulation de conduire à son décès avant maturité sexuelle ou de le rendre stérile.
Bref, a priori, je suis assez confiant dans la survie du genre homo à un scenario d'apocalypse, mais je verrais bien de petits groupes humains isolés donner naissance à d'autres ramifications du genre homo, plus adaptées à la nouvelle donne environnementale.