oleocene.org

energy_isere a écrit : ↑

Aujourd’hui, 12:31

au Covid la production a stagné pendant 3 ans, ca peut refaire pareil avec un prix de baril trop bas pour les producteurs de oil shale états Uniens.

energy_isere a écrit : ↑

Aujourd’hui, 10:24

mobar a écrit : ↑

Aujourd’hui, 07:57

Encore une hypothese ala noix!
La production americaine de petrole de schiste a progresse de 17% entre 2021 et 2023, de 2600 a plus de 3000 milliards de m3
https://www.connaissancedesenergies.org ... -longtemps

tu pourrais au moins étre capable de recopier une source correctement.
La production americaine de petrole de schiste a progresse de 17% entre 2021 et 2023, de 2600 a plus de 3000 milliards de barils

energy_isere a écrit : ↑

Aujourd’hui, 10:24

tu pourrais au moins étre capable de recopier une source correctement.
La production americaine de petrole de schiste a progresse de 17% entre 2021 et 2023, de 2600 a plus de 3000 milliards de barils

mobar a écrit : ↑

Aujourd’hui, 07:57

Encore une hypothese ala noix!
La production americaine de petrole de schiste a progresse de 17% entre 2021 et 2023, de 2600 a plus de 3000 milliards de m3
https://www.connaissancedesenergies.org ... -longtemps

Oil Rebounds on Signs of US Output Decline

by Bloomberg|Mia Gindis, Alex Longley | Tuesday, May 06, 2025

Oil climbed from the lowest closing price in four years on signs that production from the US may contract in the months ahead.

West Texas Intermediate advanced 3.4% to settle above $59 a barrel after tumbling more than 9% during the past six sessions. Diamondback Energy Inc., the largest independent producer in the Permian Basin, trimmed its full-year production forecast and said it expects US shale production will drop in the coming months.

Declining US crude output would help ease the global oversupply that’s expected to form this year as OPEC and its allies bring back production at a faster-than-expected pace. Diamondback projects onshore oil rigs across the US industry will drop by almost 10% by the end of this quarter, and Chief Executive Officer Travis Stice wrote that American output is “at a tipping point.”

Meanwhile, the US cut its forecast for domestic oil production this year in a report developed prior to a weekend supply decision from OPEC and its allies, signaling that the pullback in expectations for American output is set to continue.

Oil has plunged this year as OPEC+ boosts supplies and US President Donald Trump’s trade war weighs on the outlook for demand. The cartel agreed over the weekend to a further supply boost starting in June, with Saudi Arabia warning of additional increases if overproducing members don’t fall in line.

“Given that Saudi Arabia’s preferred oil price range is near $90, its tolerance for prices around the $50 mark appears to be reaching its limit,” said Razan Hilal, a market analyst at Forex.com. “However, regaining market share through supply cut unwinds — particularly against non-OPEC producers — could help offset those losses.”
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BP annonce la découverte d'un nouveau gisement de pétrole dans le Golfe du Mexique

AFP le 14 avril 2025

Le géant britannique des hydrocarbures BP, qui a récemment renoncé à ses objectifs de réduction du carbone pour se concentrer sur les combustibles fossiles, plus rentables, a annoncé lundi avoir découvert un nouveau gisement de pétrole dans le Golfe du Mexique.

"Cette découverte dans les eaux profondes du golfe d'Amérique illustre la manière dont BP intensifie les investissements" dans le cadre de son réajustement stratégique, souligne dans un communiqué l'entreprise --qui emploie la nouvelle dénomination décrétée par Donald Trump pour le Golfe du Mexique.

Le président américain avait qualifié ce plan d'eau de "partie indélébile de l'Amérique", essentielle à la production pétrolière et à la pêche aux Etats-Unis, et de "destination préférée des Américains pour le tourisme et les activités de loisirs".

Andy Krieger, vice-président de BP souligne dans le communiqué que l'activité dans ce golfe est "centrale dans la stratégie" de l'entreprise.

L'histoire de la société dans la région est indissociable de l'explosion en avril 2010 de la plateforme Deepwater Horizon, exploitée par BP, qui a provoqué la pire marée noire de l'histoire des États-Unis.

La catastrophe a entraîné la mort de 11 employés et coûté à l'entreprise des dizaines de milliards de dollars en dommages et intérêts.

Le puits d'exploration qui a conduit à la nouvelle découverte est situé à environ 190 kilomètres au large de la côte de la Louisiane.

BP annonce également l'intensification de son programme d'exploration mondial, avec environ 40 puits au cours des trois prochaines années --dont jusqu'à 15 doivent être forés dès cette année.

Le groupe indique s'attendre à augmenter sa production quotidienne jusqu'à 2,5 millions de barils équivalent pétrole d'ici 2030. Plus de 400.000 de ces barils devraient provenir du Golfe du Mexique.

Oil Rig Count Slides Amid Oil Price Turbulence

By Julianne Geiger - Apr 11, 2025,

The total number of active drilling rigs for oil and gas in the United States fell this week, according to new data that Baker Hughes published on Friday, following a 2 rig dip in the prior week.

The total rig count in the US fell by 7 to 583 rigs, according to Baker Hughes, down 34 from this same time last year.

The number of oil rigs fell by 9 to 480—down by 26 compared to this time last year. The number of gas rigs rose by 1 this week to 97 for a loss of 12 active gas rigs from this time last year. Miscellaneous rigs were rose by 1 to 6 active rigs.

The latest EIA data showed that weekly U.S. crude oil production fell slightly, rising from 13.580 million bpd to 13.458 million bpd. The figure is 173,000 bpd down from the all-time high reached during the week of December 6, 2024.

Etats-Unis: la baisse des prix du pétrole et la crainte d'une récession freinent l'exploration

Article de RFI 12 avril 2025

La guerre commerciale lancée par Donald Trump alimente la crainte d'une récession aux États-Unis et d'un ralentissement de l'économie mondiale cette année. Des perspectives moroses, qui ont fait chuter les prix du pétrole de près de 15% depuis le début du mois. Une dégringolade alimentée aussi par la décision des pays de l'OPEP de mettre plus de barrils sur le marché. Donald Trump avait promis de forer à tout va, mais la question se pose désormais : est-ce encore rentable aux États-Unis ?

« Drill, baby, drill », a martelé Donald Trump pendant sa campagne... Avec la promesse d'un nouvel âge d'or aux États-Unis pour la très polluante industrie du pétrole et du gaz de schiste. Une industrie qui a soutenu le futur président.

Mais un peu moins de trois mois après son retour dans le bureau ovale, les prix du pétrole sont en ce moment trop faibles pour que forer de nouveaux puits soit rentable dans le pays, premier producteur d'or noir au monde.

Car les craintes d'une récession aux États-Unis restent fortes. Celles d'un ralentissement de l'économie mondiale aussi... Deux facteurs qui risquent de faire baisser la demande de pétrole, et donc son prix.

D'autant plus que les pays de l'OPEP ont annoncé la semaine passée qu'ils allaient mettre sur le marché trois fois plus de barrils que prévu, dès le mois prochain. Alors que depuis deux ans, au contraire, ils limitaient leurs ventes pour tirer les prix vers le haut. L'OPEP+ va « mettre en oeuvre un ajustement de la production de 411.000 barils par jour » en mai, a annoncé l'organisation dans un communiqué, soit une hausse de production plus rapide que le plan de réintroduction progressive des barils retenus par huit des membres du cartel.

Les cours peuvent encore fluctuer bien sûr, mais dans ce contexte plusieurs analystes anticipent une possible baisse de la production américaine dès cette année. Loin du « drill, baby, drill » promis par Donald Trump.

La baisse des prix du pétrole pourrait par ailleurs affecter l'Iran, grand rival des États-Unis et de l'Arabie saoudite et neuvième producteur mondial de brut en 2023 (selon l'AIE), dont près d'un tiers de son budget vient du pétrole. Le ministre américain de l'Énergie, Chris Wright, a par ailleurs déclaré vendredi que les États-Unis pourraient bloquer les exportations de pétrole de l'Iran afin de faire pression sur Téhéran au sujet de son programme nucléaire, a rapporté l'agence Reuters.

alain2908 a écrit : ↑

01 avr. 2025, 09:54

tita a écrit : ↑

01 avr. 2025, 09:36

Déjà en janvier 2024, la production avait subi une forte baisse qui s'était résorbée les mois suivants. Donc c'est probablement une baisse normale liée aux conditions météo. Reste que depuis l'automne 2023, la production n'a pas beaucoup augmenté. A voir la suite...

comme tu ne précises par rapport à quoi sont mesurées ces baisses, il est difficile d'avoir un avis sur les explications que tu évoques.

tita a écrit : ↑

01 avr. 2025, 09:36

Derniers chiffres mensuels de l'EIA pour la production de janvier dernier.

La production a fortement diminué, passant de 13'451 kb/j à 13'146 kb/j, soit une diminution de 305 kb/j. La production offshore a diminué de 59 kb/j à 1'792 kb/j ce qui fait que la production onshore a diminué de 246 kb/j. Sur les 5 derniers mois, la production onshore a diminué de 222 kb/j. Les estimations hebdomadaires étaient à 13'448 kb/j, une sur-estimation de 302 kb/j

Sur les 12 derniers mois (janv. 2024-janv. 2025), la production US a augmenté de 592 kb/j.

Déjà en janvier 2024, la production avait subi une forte baisse qui s'était résorbée les mois suivants. Donc c'est probablement une baisse normale liée aux conditions météo. Reste que depuis l'automne 2023, la production n'a pas beaucoup augmenté. A voir la suite...