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par mobar » 27 janv. 2025, 12:59
par energy_isere » 26 janv. 2025, 18:55
Des robots découperont la cuve de la seule centrale nucléaire bretonne La dernière phase du chantier de démantèlement de la centrale nucléaire de Brennilis (Finistère) a démarré en décembre 2024 et va se poursuivre en 2025. Jusqu’à 140 personnels du groupe EDF vont travailler sur le site. Le démantèlement de la centrale de Brennilis est entré dans sa dernière phase en décembre 2024. Pascal SIMON. Ouest france le 23/01/2025 La dernière phase du démantèlement de la centrale nucléaire de Brennilis-Loqueffret a débuté en décembre 2024. « Nous découperons en 2025 les premiers tuyaux autour de la cuve du réacteur de la centrale nucléaire de Brennilis. Des moyens robotisés seront utilisés », explique Marianne Fajeau, directrice de la centrale de Brennelis, en déplacement à Rennes, mercredi 22 janvier 2025. Cette usine dont l’activité a été arrêtée depuis 1985 a été « un prototype industriel unique au monde ». L’objectif du groupe EDF est de rendre ce site à l’état de nature à l’horizon de 2041. Dans les prochaines semaines, le chantier de découpe d’une dizaine de kilomètres de tuyauteries permettra de libérer de l’espace autour de la cuve même du réacteur. Ce qui permettra ensuite à des robots, spécialement développés pour le chantier, de découper cette cuve. « Actuellement, une centaine de personnes travaillent sur le site. Les effectifs vont atteindre 140 salariés dans le courant de l’année », précise la directrice de la centrale.
par Yoann41 » 08 juil. 2022, 20:42
par kercoz » 08 juil. 2022, 09:34
par energy_isere » 08 juil. 2022, 09:18
Drôme : Les deux tours de la centrale nucléaire du Tricastin vont être démolies Cette opération de grande envergure va durer quatre ans, entre 2024 et 2028] 20 Minutes avec agence - 7 juillet 2022 Symboles du site nucléaire du Tricastin, situé dans la Drôme, les deux tours aéroréfrigérantes vont être démolies. Dédiées à l’évacuation de la vapeur d’eau issue des circuits de refroidissement de l’usine d’enrichissement de l’uranium par diffusion gazeuse, ces deux tours vont disparaître du paysage local progressivement entre 2024 et 2028, rapporte Le Dauphiné Libéré. Le procédé utilisé à l’intérieur de ces deux tours n’est plus nécessaire aujourd’hui depuis la mise en service de la nouvelle unité Georges-Besse II. C’est la raison pour laquelle leur démolition a été actée. 25.000 tonnes de béton La proximité avec le site nucléaire et les dangers que cela peut représenter nécessitent une technique de démolition particulière, à savoir le grignotage. Concrètement, une pince à béton installée sur une grue de 123 mètres de haut va permettre de détruire peu à peu ces deux tours, sur une durée de quatre ans. Ensuite, les 25.000 tonnes de matière pourront être revalorisées, notamment pour le remblai des routes, car ce béton n’a pas eu de contact avec des matières radioactives.
par energy_isere » 04 juin 2022, 11:50
par energy_isere » 16 févr. 2022, 09:01
par alain2908 » 16 févr. 2022, 08:55
par emmort » 16 févr. 2022, 08:48
mobar a écrit : ↑16 févr. 2022, 07:48 La prochaine étape ce sera qu'on va se retrouver avec des casseroles produites avec des métaux issus du recyclage des générateurs de vapeur!
par mobar » 16 févr. 2022, 07:48
par alain2908 » 16 févr. 2022, 07:22
par energy_isere » 15 févr. 2022, 23:01
Des déchets métalliques faiblement radioactifs ouverts au recyclage AFP le 15 févr. 2022 Des déchets métalliques faiblement radioactifs vont désormais pouvoir être recyclés, après obtention de dérogation, selon deux décrets publiés au Journal officiel mardi. Un décret du ministère de la Transition écologique encadre désormais "la mise en oeuvre d'opérations de valorisation de substances faiblement radioactives". L'usage de substances provenant d'installations nucléaires "peut faire l'objet d'une dérogation aux interdictions" concernant leur utilisation et ce "dès lors que ces substances font au préalable l'objet d'une opération de valorisation". Sont concernés des "substances métalliques qui, avant leur usage dans une activité nucléaire, ne justifiaient pas un contrôle de la radioprotection", précise un second décret. Les déchets dits de très faible activité (TFA) radioactive sont aujourd'hui recueillis au centre industriel de regroupement, d'entreposage et de stockage (Cires) de l'Aube et entreposés en surface. Ce "sont essentiellement des gravats, des terres, des ferrailles... très faiblement contaminés", souligne l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). "Ils sont issus du démantèlement ou de l'exploitation d'installations nucléaires ou d'industries classiques utilisant des matériaux naturellement radioactifs", indique-t-elle. EDF avait demandé en 2019 à pouvoir réutiliser certains de ces matériaux métalliques très faiblement radioactifs, issus de ses centrales nucléaires, après les avoir traités. "Il y a mieux à faire que de stocker (définitivement) une quantité importante de métal valorisable qui ne présente pas de risque sanitaire", estimait alors le groupe. L'entreprise proposait de faire comme en Suède où elle "nettoie" les métaux de leur radioactivité avant de les fondre pour les transformer en lingots, afin de pouvoir les réutiliser dans l'industrie.
par energy_isere » 27 déc. 2021, 19:12
L'ASN approuve la poursuite du démantèlement des réacteurs graphite AFP 27 déc. 2021 Le démantèlement des réacteurs nucléaires d'EDF de technologie graphite, particulièrement longs et difficiles à déconstruire, peut se poursuivre, estime lundi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), dans un communiqué. "Au terme de son analyse, l'ASN n'a pas d'objection à la poursuite d'exploitation" des six réacteurs à technologie uranium naturel graphite gaz (UNGG) dont la France dispose, pour "des opérations de démantèlement ou de préparation au démantèlement", écrit-elle dans une note accompagnant un rapport destiné à la ministre de la Transition écologique, en charge de la sûreté nucléaire. Les six réacteurs sont répartis sur les sites de Bugey (Ain), Chinon (Indre-et-Loire) et Saint-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher) et ont été mis en service entre les années 60 et 70 puis arrêtés pour la plupart dans les années 1990. Le processus de démantèlement, qui doit s'étaler sur plusieurs décennies, a déjà permis d'évacuer le combustible des réacteurs qui "représentait la quasi-totalité du risque", fait savoir l'ASN. Reste à poursuivre la déconstruction particulièrement complexe des installations. Le démantèlement des caissons des réacteurs devait être effectué "sous eau", rappelle l'autorité. Mais EDF a annoncé en 2016 opter pour un démantèlement à l'air en raison des "difficultés techniques majeures" posées par la première technique. Ce changement de stratégie a occasionné un "report important de la date de fin des opérations" qui impose à l'ASN de s'assurer du "maintien des exigences de sûreté dans le temps". L'autorité a donc analysé les conclusions du réexamen périodique transmis par EDF, et complété à sa demande, afin d'évaluer les protocoles de protection "ou encore l'état des sols des installations", précise le rapport. L'entreprise dispose à présent d'un an pour déposer les dossiers de démantèlement pour les réacteurs de Chinon et les demandes d'autorisation de modification des décrets de démantèlement des quatre autres réacteurs. L'ASN vérifiera ensuite "que les opérations de démantèlement seront réalisées dans de bonnes conditions de sûreté et de radioprotection, et dans des délais maîtrisés", poursuit-elle.
par Remundo » 16 juil. 2021, 13:30
par mobar » 16 juil. 2021, 13:24
Remundo a écrit : ↑16 juil. 2021, 12:44 les mecs "investissent" dans le démantèlement de leur vastes fientes radioactives... ben purée heureusement que c'est l'Etat qui paye pour garantir lui-même sa faillite...
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