Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

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Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 23 oct. 2024, 13:59

suite de ce post du 9 mai 2019 viewtopic.php?p=2283726#p2283726
Isobutène : Global Bioenergies abandonne son projet d’usine

Ne parvenant pas à trouver des investisseurs, Global Bioenergies se voit contraint d'abandonner son projet d'usine d'isobutène de 2 500 tonnes par an et à destination des cosmétiques. La société se recentre sur les carburants d'aviation durable.

Françoise de Vaugelas 17 octobre 2024

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Global Bioenergies qui envisageait de construire une unité d'isbutène biosourcé d'une capacité de 2 500 t/an se voit contrait d'abandonner son projet.

Encore une société de biologie industrielle dans la difficulté. Après avoir réduit ses ambitions de production, Global Bioenergies vient d’annoncer l’abandon de son projet d’usine de 2 500 tonnes d’isobutène par an, dédiée au marché de la cosmétique. En cause ? L’incapacité de la société à trouver les investisseurs prêts à financer une première industrielle.
.... abonnés
https://www.usinenouvelle.com/article/i ... e.N2220636

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 10 sept. 2024, 20:42

Chez Michelin, ResiCare proche de l’industrialisation d’une molécule biosourcée à grand potentiel

Fondé en 2016 au sein du groupe Michelin, le chimiste ResiCare pourrait construire en Europe une usine de 5-HMF, un monomère entièrement biosourcé, dérivé de fructose, qui permet la production de résines adhésives non toxiques pour de très nombreuses applications industrielles.

Julien Cottineau 10 septembre 2024

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ResiCare, entièrement contrôlée par le groupe Michelin, fait produire par un sous-traitant français son monomère 5-HMF mais fabrique ses propres résines biosourcées sur sa ligne pilote implantée à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).

ResiCare est en passe de franchir le stade de l’industrialisation pour sa molécule 5-HMF. Après trois ans de collaboration avec l’IFPEN, l'institut de recherche sur les énergies nouvelles, cette entité de chimie de spécialité de 50 salariés, créée en 2016 et entièrement contrôlée par le groupe Michelin, finalise un projet de construction d’une usine en Europe.
https://www.usinenouvelle.com/article/c ... l.N2218222

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 26 juil. 2024, 09:54

Une usine de solvants "verts" s'installe sur le site de la centrale à charbon de Saint-Avold

AFP le 25 juill. 2024

Des équipements lourds sont arrivés jeudi pour construire une usine de solvants "verts" sur le site de Saint-Avold (Moselle), qui abrite l'une des deux dernières centrales électriques françaises fonctionnant au charbon.

Les équipements destinés au projet ReSolute de la start-up Circa apparaissent comme un début de reconversion du site. En septembre dernier, le président Emmanuel Macron avait annoncé la reconversion de la centrale à la biomasse d'ici à 2027, mais les syndicats déplorent depuis une absence de concrétisation.

En attendant la transformation de la centrale, qui fonctionnera encore au charbon l'hiver prochain, les premiers containers transportant les équipements de la future usine de solvants ont été déchargés en présence du préfet de la Moselle, Laurent Touvet.

Ce projet de 73 millions d'euros, qui doit démarrer fin 2025, "marque une première étape vers de nouvelles activités", s'est-il félicité. L'usine de solvants doit compter à terme une cinquantaine d'emplois directs et 250 indirects.

L'Etat soutient la transformation de la plateforme via le programme France Relance et le fonds charbon. Près de 20 millions d'euros de subventions ont été allouées au projet Circa en provenance de l'Etat, de l'UE et des autorités locales.

Sur 1,5 hectare appartenant à GazelEnergie, propriétaire de la centrale, à terme 1.200 tonnes de solvants verts seront produits chaque année à partir de sciure de bois, issue de forêts vosgiennes et allemandes.

"Un solvant vert, non toxique et non cancérigène", selon David-Alexandre Leduc, de Circa Chemicals Sustainable, une société d'origine australienne dont le siège se trouve à Oslo.

Les solvants, habituellement d'origine pétrochimique, sont utilisés notamment en pharmacie, pour les cosmétiques ou le recyclage des textiles ou des batteries.

Reste à obtenir de l'Etat une autorisation environnementale, une fois l'enquête publique terminée. Celle-ci devrait démarrer à la fin de l'été.

Circa tombe à point nommé, d'après Antonin Arnoux, directeur du site de GazelEnergie. "C'est un bon signal pour nous permettre de limiter l'impact d'un potentiel arrêt total, ou pas", de la centrale à charbon, a-t-il dit.

S'il juge le projet insuffisant pour transformer intégralement le site, il le qualifie de "maillon essentiel", car à ce jour, c'est le plus abouti.

Outre le passage de la centrale à charbon à la biomasse ou au gaz, GazelEnergie développe un projet de production d'hydrogène sur le site, qui devrait être mis en service en 2027.
https://www.connaissancedesenergies.org ... old-240725

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 07 juil. 2024, 11:52

Une usine de bioplastique arrive en Normandie

Spécialisée dans les plastiques biosourcés, l'entreprise belge Futurro confirme son projet d'usine à Port-Jérôme (Seine-Maritime) avec une mise en service en 2027. D'un coût de 500 millions d'euros, le site produira de l'acide polylactique à partir de dextrose. Près de 250 emplois sont attendus.

Romain Huynh 07 juillet 2024

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Frederic Van Gansberghe et Olivier Leducq, PDG de Futerro et DG de Tereos, ont signé un partenariat pour l'approvisionnement en dextrose.

La Normandie n’a pas de pétrole, mais elle a des céréales, et a bien l’intention d’en faire du plastique. Tel est, en substance, le propos de Frédéric van Gansberghe, le PDG de l’entreprise belge Futerro, spécialisée dans la production de plastiques biosourcés (150 millions d’euros de chiffre d’affaires). Leader dans la fabrication de biopolymères, Futerro a confirmé en avril l’implantation d’une usine à Port-Jérôme-sur-Seine (Seine-Maritime), en partenariat avec la coopérative agricole Tereos.

250 emplois projetés sur le site
........
https://www.usinenouvelle.com/article/u ... e.N2213877

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 11 avr. 2024, 19:52

Un partenariat entre le belge Futerro et la coopérative agricole Tereos pour produire du bioplastique en Normandie

L'entreprise belge Futerro, leader européen des polymères biosourcés, annonce un partenariat avec la coopérative agricole Tereos. L'objectif : la création d'une usine en Normandie destinée à la production de bioplastique. L'investissement est estimé à 530 millions d'euros.

Romain Huynh 11 avril 2024

La Normandie n'a pas de pétrole mais elle a des céréales, et elle a bien l'intention d'en faire du plastique. Tel est, en substance, le propos de Frédéric Van Gansberghe, PDG de l'entreprise Futerro, spécialisée dans la production de plastiques biosourcés (150 millions d'euros de chiffre d'affaires). La société belge, leader dans la fabrication de biopolymères (avec une unité de fabrication active en Chine), a confirmé le 11 avril la création d'une usine à Port-Jérôme-sur-Seine (Seine-Maritime), en partenariat avec la coopérative agricole Tereos.

[...abonnés]
https://www.usinenouvelle.com/article/u ... e.N2211431

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par Jeuf » 04 avr. 2024, 14:27

energy_isere a écrit :
25 janv. 2024, 10:09
kercoz a écrit :
25 janv. 2024, 10:03
Là aussi ce serait sympa de géolocaliser les champs si ça provient de cultures dédiées.
ah ?
Kercoz n' a jamais de pneus à changer aprés 40 000 ou 50 000 km d'utilisation ?
Faut croire que Kercoz conduit une cariole à roue bois tirée par un âne .........
Oui, l'usage de la roue avec amortissement me semble plus justifié, généralisable et d'ailleurs généralisé que celui de l'avion. J'ai même du caoutchouc sur mon vélo. Donc on peut essayer de travailler à le rendre durable.
Le retour en grâce du vinyle fait le bonheur des disquaires, mais pas celui des défenseurs de l’environnement… La production du PVC, l’un des composants principaux de ces disques, est en effet très polluante, tout comme sa fin de vie. Heureusement, les initiatives pour réduire le bilan carbone des vinyles se multiplient
grrr, encore du blabla où on mélange pollution locale/atteinte à la santé, et atteinte au climat, alors que c'est pas forcément associé.

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 04 avr. 2024, 12:31

Un bioplastique à base de canne à sucre pour la transition écologique des vinyles
[L’industrie c’est fou] La start-up britannique Evolution Music a développé Evovinyl, un bioplastique fabriqué à partir de canne à sucre destiné à remplacer le PVC, très polluant, dans les disques vinyles. Après cinq années de R&D, le produit qui a séduit le fabricant d’équipements audio PMC serait fin prêt à entrer sur le marché.

Elise Pontoizeau 04 avril 2024 usinenouvelle

Le retour en grâce du vinyle fait le bonheur des disquaires, mais pas celui des défenseurs de l’environnement… La production du PVC, l’un des composants principaux de ces disques, est en effet très polluante, tout comme sa fin de vie. Heureusement, les initiatives pour réduire le bilan carbone des vinyles se multiplient à travers le monde. Celle de la start-up britannique Evolution Music devrait plaire aux mélomanes sensibles à la cause écologique.

L’entreprise a développé un bioplastique fabriqué à partir de canne à sucre auquel elle a ajouté des «liants minéraux naturels» et des additifs baptisé Evovinyl. Selon elle, ce matériau, utilisé en remplacement du PVC dans les disques vinyles, permettrait de réaliser des économies d’énergie. Elles seraient de 30% au cours du processus de production par rapport à un procédé classique car les températures nécessaires au pressage seraient plus basses. Qui dit températures inférieures dit aussi temps de chauffage et de refroidissement réduit, ce qui permet d’améliorer le rendement horaire du cycle de production du disque. «Jusqu’à 50% dans certains cas», selon Evolution Music. Autre avantage non négligeable : le matériau de la société est compatible avec toutes les presses à vinyle existantes tandis que les disques produits peuvent être lus avec n’importe quel tourne-disque du marché.
https://www.usinenouvelle.com/article/u ... s.N2210983

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 25 janv. 2024, 10:09

kercoz a écrit :
25 janv. 2024, 10:03
Là aussi ce serait sympa de géolocaliser les champs si ça provient de cultures dédiées.
ah ?
Kercoz n' a jamais de pneus à changer aprés 40 000 ou 50 000 km d'utilisation ?
Faut croire que Kercoz conduit une cariole à roue bois tirée par un âne .........

Je viens de changer mes 2 pneus avant aprés 60 000 km d'utilisation.
Pas mal usés tout de même (oups, sans doute même délinquant me fait remarquer mon garagiste).

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par kercoz » 25 janv. 2024, 10:03

Là aussi ce serait sympa de géolocaliser les champs si ça provient de cultures dédiées.

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par Silenius » 24 janv. 2024, 22:22

le procede generique selon zephyr-7b-beta, bon, ethene et ethylene c'est la meme molecule...
Pour les 25t, la mise a l'echelle entre le labo et la prod industrielle se fait en plusieurs etapes.
Le processus de conversion de l'éthanol (C2H6O) en butadiène (C4H6) est une réaction en plusieurs étapes appelée processus d'oxo-synthèse. Le processus comprend les étapes suivantes:

Déshydratation de l'éthanol : Dans la première étape, la molécule d'éthanol est déshydratée pour produire de l'éthène (C2H4) et de l'eau (H2O) à l'aide d'un catalyseur de déshydratation tel que l'acide phosphorique ou le chlorure d'aluminium.

Éthanol → Éthène + Eau

Hydroformylation : Dans cette étape, la molécule d'éthène réagit avec le monoxyde de carbone (CO) et l'hydrogène (H2) en présence d'un catalyseur métallique tel que le rhodium, pour produire des aldéhydes (C3H6O). Les aldéhydes sont appelés oxo-aldéhydes.

Éthène + CO + H2 → Aldéhydes

Déshydratation des aldéhydes : L'étape suivante consiste à éliminer la molécule d'eau des oxo-aldéhydes, pour produire un mélange de butènes (C4H8).

Aldéhydes → Butènes

Déshydrogénation : Les butènes subissent une déshydrogénation, qui consiste à éliminer les molécules d'hydrogène des butènes, pour produire du butadiène.

Butènes → Butadiène

Dans l’ensemble, le processus est hautement exothermique et la conversion de l’éthanol en butadiène est un processus complexe impliquant plusieurs intermédiaires. Le rendement en butadiène est généralement d'environ 80 à 90 %. Le procédé d'oxo-synthèse est couramment utilisé dans la production industrielle de butadiène, car il permet une méthode plus efficace et plus rentable que les méthodes traditionnelles telles que le procédé de butadiène à partir d'éthylène.

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 24 janv. 2024, 14:20

Michelin veut développer du butadiène bio-sourcé
À Bassens, Michelin vient d’inaugurer le premier démonstrateur industriel permettant de produire du butadiène bio-sourcé. Concrètement, le géant français des pneumatiques pourra bientôt remplacer le pétrole qui sert à fabriquer les pneus, par de l’éthanol.


Valentin Cimino 22 Jan 2024

Michelin vient d’ouvrir le tout premier démonstrateur industriel dans le cadre du projet BioButterfly. Son rôle est de « valider la chaîne complète des étapes du procédé de fabrication de butadiène bio-sourcé ». Concrètement, l’objectif est de développer et commercialiser un procédé de production de butadiène « à partir d’éthanol extrait de la biomasse (végétaux) ». Afin de remplacer celui issu de matières premières fossiles.

Le butadiène est utilisé dans la fabrication des pneumatiques. Il représente à lui seul environ 14 % d’un pneu. Dérivé du pétrole, ce matériau possède une grande résistance à l’abrasion et au vieillissement. Une matière première clé pour la production de caoutchoucs synthétiques que Michelin utilise donc depuis longtemps pour fabriquer ses pneus.

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Le butadiène bio-sourcé pourrait constituer « un intermédiaire chimique majeur » dans la fabrication des pneumatiques. Aux côtés d’IFPEN Energies nouvelles et d’Axens, le géant français vient de prouver la viabilité technologique et économique du site. Michelin assure qu’une transposition industrielle rapide peut avoir lieu. Ce premier démonstrateur aura une capacité de production de 25 tonnes par an.

Des déchets agricoles pour remplacer le pétrole

Aujourd’hui, le caoutchouc synthétique et le butadiène sont intégralement issus du pétrole. Pour transformer le processus de fabrication et éliminer le pétrole de l’équation, Michelin utilise des déchets agricoles (comme le maïs ou les betteraves) ou de biomasse de bois. Avec son butadiène bio-sourcé, le groupe n’aura plus besoin de pétrole pour fabriquer ses pneumatiques. Un pas de plus vers la sortie des énergies fossiles.

Eric-Philippe Vinesse, directeur recherche et développement au sein de l’entreprise française, explique que « pour Michelin, qui utilise actuellement du butadiène pétro-sourcé pour fabriquer ses caoutchoucs synthétiques, cette avancée constitue une formidable opportunité pour contribuer à l’atteinte de ses objectifs d’intégration de 100% de matériaux renouvelables ou recyclés dans ses pneus à l’horizon 2050 ».

Le développement et l’industrialisation de la production de butadiène bio-sourcé pourrait justement contribuer à atteindre cet objectif. Après plus de 10 ans de travaux de recherche et d’innovation, l’inauguration de ce démonstrateur marque donc une étape majeure. Ce projet initié en 2013 représente un investissement global de plus de 80 millions d’euros. L’Ademe (l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), la région Nouvelle Aquitaine et la communauté urbaine de Bordeaux y ont contribué à hauteur de 14,7 millions d’euros.
https://www.automobile-propre.com/miche ... ses-pneus/

25 tonnes ? hum :-k

pour équipper 1 millions de voitures neuves soit 4 millions de pneu de disons 8 kg et à hauteur de 14% en matière il faudra 32 millions de kg *0.14
soit 4 500 tonnes de butadiéne. Faudra faire x200 sur la capacité de production.

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par Léger » 08 nov. 2023, 15:31

À force, on va bien y arriver, non ? Aller ! Encore quelques efforts ! Ici et là, la synergie devrait se renforcer, mais il faudrait lever le pied avec le syndrome anticarbone :

https://insolentiae.com/vive-le-thermiq ... -en-moins/

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 04 oct. 2023, 18:32

Global Bioenergies reçoit 16 millions d’euros pour sa future usine d'ingrédients cosmétiques et de SAF
L’entreprise de chimie verte Global Bioenergies recevra 16,4 millions d’euros dans le cadre de France 2030 pour sa future usine. La société a revu largement à la hausse ses projets industriels et vise des capacités de 10 000 tonnes par an pour cette usine qui produira, en France, de l’isododécane bio-sourcé, ingrédient pour les cosmétiques et les SAF.

Julien Cottineau 04 octobre 2023 Usine Nouvelle

Le changement de braquet des projets industriels de Global Bioenergies sera soutenu par l’Etat. L’entreprise de chimie verte annonce ce 4 octobre 2023 recevoir un soutien à hauteur de 16,4 millions d’euros via le dernier appel à projets «Première usine» de Bpifrance dans le cadre de France 2030. Prévue pour entrer en service en 2027, la future usine d’isododécane bio-sourcé, servira les marchés des cosmétiques et des carburants aériens durables (SAF) et sera dotée d’une capacité de production de 10 000 tonnes par an.

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https://www.usinenouvelle.com/article/g ... f.N2178502

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par energy_isere » 31 août 2023, 23:26

Eranova, du bioplastique à base d’algues vertes
Après le succès de son pilote industriel dans les Bouches-du-Rhône, la société annonce l’ouverture d’une première usine pour 2025. Une perspective de débouché pour cette plante invasive, véritable cauchemar des collectivités côtières.

par Pierre Fortin lesechos le 20 déc. 2022
lire https://www.lesechos.fr/weekend/planete ... es-1915204
Du plastique avec des algues vertes : Eranova reçoit le soutien de CMA CGM

le 31/08/2023 lemarin

Après huit ans de discussions, de rencontres et d’études, Eranova s’apprête à clôturer un appel de fonds lancé afin de collecter les 13 millions d’euros nécessaires pour mener à bien son projet d’usine de plastique biosourcé, estimé à 60 millions d’euros.
https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... -cgm-48529

Re: Bio-raffineries / Bio-plastiques / Chimie verte

par phyvette » 28 août 2023, 21:17

Oh la vache ! :shock:

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