Désolé , mais pour les
n.g a écrit :community enterprises
, j'ai deja donné , et c'est un euphémisme .
On retrouve la définition de l'économie de Castoriadis """produire plus avec le moins d'effort """"et qd ce n'est pas pour ta propre consommation , c'est catastrophique. Seule l'autoproduction incite a se botter le cul et a faire "bien" pour ne pas déchoir" envers sa famille et ses voisins.
La nécessité implique de se grouper pour certaines productions . Ca va du blé au cuivre ou certaines structures obligatoirement linnéarisées , mais celui qui a fait une production , sait ce dont je parle : c'est tellement facile que c'est idiot de regrouper la production , ça permet des choix et des stratégies diversifiées et une gamme de produits moins rigide que le faible avantage du petit gain de productivité déresponsabilisant.
n.g a écrit :Il oppose en revanche l'autonomie individuelle (qu'il qualifie de mythe) d'un côté, et l'autonomie collective de l'autre. Cette dernière est d'ailleurs décrite, à juste titre, comme plus proche des modes d'organisation à l'oeuvre dans les écosystèmes spontanés, c'est à dire faisant intervenir de nombreuses interconnexions, qui améliorent la stabilité et la résilience de l'ensemble.
là ça devient interessant.
Le "contrat social" , c'est a dire le renoncement a sa liberté et a son agressivité par l'individu EN ECHANGE de la protection du groupe . (et ce process est identique pour tout animal se socialisant), n'a qu'un seul but : Un gain de productivité , je suis d'accords avec toi. Mais il se situe sur un contexte tres ancien du chasseur cueilleur. La part agraire etait tres faible ou inexistante . Le regroupement socialisé s'est effectué pour ameliorer des stratégies d'acces aux resources (chasse peche et.... traditions) et ameliorer des stratégies de defense (securisation).
Ce modèle est axé sur un groupe restreint d'individus qui se connaissent . La chasse et la ceuillette peuvent se faire en commun . Il me semble que le passage a l'agriculture (tres recent en fait), est conjoint a des facteurs importants :
-population surrabondante sur un meme territoire .
- moins bonne connaissance des individus du au nombres d'interactions ingerables ;
-scissiparité en villages proches avec rapports conflictuels - cooperation entre ces groupes.
-spécialisations accentuée des taches
Qd on lit les textes de Braudel sur la population paysanne 15e au 20e S (identité de la france) , qui est qd meme interressant puisque ce modèle est sans energie fossile, le travail est rarement collectif . 1paysan avec 1 manouvrier sur sol pauvre ; 1 paysan avec 2 ou 3 manouvriers sur sol riche . Un grand nombre de fermes sont un mode de vie et ne visent pas ou peu la production lucrative autre que pour les impots .
Les travaux communs le sont en cooperation d'echanges (battages , fauchages , défrichages), maisle "bien" n'est pas commun , le travail est rendu , ou echangé.
n.g a écrit :l'autonomie collective de l'autre. Cette dernière est d'ailleurs décrite, à juste titre, comme plus proche des modes d'organisation à l'oeuvre dans les écosystèmes spontanés, c'est à dire faisant intervenir de nombreuses interconnexions, qui améliorent la stabilité et la résilience de l'ensemble.
Là on parle de la TH. du Chaos et de sa stabilité des systèmes parcellisés. Je suis bien sur d'accord .
L'erreur de l'économiue actuelle est de croire a l'existence de l'individu . C'est de croire que l'UNITE de BASE est l'individu , alors que c'est le groupe , l'unité de base . 99,6% de l' existence de notre espece est formaté en socialisation sur groupe restreint avec une dépendance forte des interractions .
Augmenter une population , c'est augmenter le nombre de gropupes , pas le nombre d'individus . Sinon on est obligé de déshumaniser l'individu pour le contraindre a vivre sans ego et sans interractions ou des erzats de ces necessités.
Je suis bien d'accord que l'autonomie individuelle est un mythe , nous devons vivre en groupe , en villages et vivre c'est y travailler , pas seulement y dormir , c'est avoir des relations fortes aux voisinages . Mais le travail d'autosuffisance , surtout alimentaire doit rester individuel ou en famille .(nous sommes l'animal le plus difficile a domestiquer. Ilvaut mieux etre son propre "maitre" pour accepter une servitude.
Pour les 2/3 c'est a la louche. En etant tres mauvais , je dois satisfaire a 1/ 3, ce qui me fait dire que 2/3 est a ma portée sans trop de problème,
Par manque de place , je fais peu de patates et pas de blé (la le boulot est plus compliqué et la spécialisation prend de l'interet).
Désolé , mais pour les [quote="n.g"]community enterprises[/quote], j'ai deja donné , et c'est un euphémisme .
On retrouve la définition de l'économie de Castoriadis """produire plus avec le moins d'effort """"et qd ce n'est pas pour ta propre consommation , c'est catastrophique. Seule l'autoproduction incite a se botter le cul et a faire "bien" pour ne pas déchoir" envers sa famille et ses voisins.
La nécessité implique de se grouper pour certaines productions . Ca va du blé au cuivre ou certaines structures obligatoirement linnéarisées , mais celui qui a fait une production , sait ce dont je parle : c'est tellement facile que c'est idiot de regrouper la production , ça permet des choix et des stratégies diversifiées et une gamme de produits moins rigide que le faible avantage du petit gain de productivité déresponsabilisant.
[quote="n.g"]Il oppose en revanche l'autonomie individuelle (qu'il qualifie de mythe) d'un côté, et l'autonomie collective de l'autre. Cette dernière est d'ailleurs décrite, à juste titre, comme plus proche des modes d'organisation à l'oeuvre dans les écosystèmes spontanés, c'est à dire faisant intervenir de nombreuses interconnexions, qui améliorent la stabilité et la résilience de l'ensemble.[/quote]
là ça devient interessant.
Le "contrat social" , c'est a dire le renoncement a sa liberté et a son agressivité par l'individu EN ECHANGE de la protection du groupe . (et ce process est identique pour tout animal se socialisant), n'a qu'un seul but : Un gain de productivité , je suis d'accords avec toi. Mais il se situe sur un contexte tres ancien du chasseur cueilleur. La part agraire etait tres faible ou inexistante . Le regroupement socialisé s'est effectué pour ameliorer des stratégies d'acces aux resources (chasse peche et.... traditions) et ameliorer des stratégies de defense (securisation).
Ce modèle est axé sur un groupe restreint d'individus qui se connaissent . La chasse et la ceuillette peuvent se faire en commun . Il me semble que le passage a l'agriculture (tres recent en fait), est conjoint a des facteurs importants :
-population surrabondante sur un meme territoire .
- moins bonne connaissance des individus du au nombres d'interactions ingerables ;
-scissiparité en villages proches avec rapports conflictuels - cooperation entre ces groupes.
-spécialisations accentuée des taches
Qd on lit les textes de Braudel sur la population paysanne 15e au 20e S (identité de la france) , qui est qd meme interressant puisque ce modèle est sans energie fossile, le travail est rarement collectif . 1paysan avec 1 manouvrier sur sol pauvre ; 1 paysan avec 2 ou 3 manouvriers sur sol riche . Un grand nombre de fermes sont un mode de vie et ne visent pas ou peu la production lucrative autre que pour les impots .
Les travaux communs le sont en cooperation d'echanges (battages , fauchages , défrichages), maisle "bien" n'est pas commun , le travail est rendu , ou echangé.
[quote="n.g"]l'autonomie collective de l'autre. Cette dernière est d'ailleurs décrite, à juste titre, comme plus proche des modes d'organisation à l'oeuvre dans les écosystèmes spontanés, c'est à dire faisant intervenir de nombreuses interconnexions, qui améliorent la stabilité et la résilience de l'ensemble.[/quote]
Là on parle de la TH. du Chaos et de sa stabilité des systèmes parcellisés. Je suis bien sur d'accord .
L'erreur de l'économiue actuelle est de croire a l'existence de l'individu . C'est de croire que l'UNITE de BASE est l'individu , alors que c'est le groupe , l'unité de base . 99,6% de l' existence de notre espece est formaté en socialisation sur groupe restreint avec une dépendance forte des interractions .
Augmenter une population , c'est augmenter le nombre de gropupes , pas le nombre d'individus . Sinon on est obligé de déshumaniser l'individu pour le contraindre a vivre sans ego et sans interractions ou des erzats de ces necessités.
Je suis bien d'accord que l'autonomie individuelle est un mythe , nous devons vivre en groupe , en villages et vivre c'est y travailler , pas seulement y dormir , c'est avoir des relations fortes aux voisinages . Mais le travail d'autosuffisance , surtout alimentaire doit rester individuel ou en famille .(nous sommes l'animal le plus difficile a domestiquer. Ilvaut mieux etre son propre "maitre" pour accepter une servitude.
Pour les 2/3 c'est a la louche. En etant tres mauvais , je dois satisfaire a 1/ 3, ce qui me fait dire que 2/3 est a ma portée sans trop de problème,
Par manque de place , je fais peu de patates et pas de blé (la le boulot est plus compliqué et la spécialisation prend de l'interet).