par Environnement2100 » 09 juin 2006, 09:34
Les Oléocéniens sont habitués à l'idée du déclin pétrolier, et envisagent les solutions à mettre en oeuvre quand les quantités disponibles seront faibles. Certains comme Jancovici, recommandent d'adoucir le pic par l'instauration d'une taxe ; toutes les solutions anticipatives vont dans le sens de l'arrondissement du pic, sans remettre en cause la consommation de la totalité des réserves.
Les environnementalistes voient les choses différemment, et s'intéressent aux émissions de CO2 dans l'atmosphère et son impact sur le réchauffement planétaire ; certains ont même avancé des chiffres, recommandant de limiter la concentration maximale de CO2 à 500 ppm en espérant conserver l'augmentation de température à "seulement" +2°C.
Cette proposition n'est valable que si l'on séquestre le CO2, chose que nous ne savons pas (encore) faire, où si l'on répartit la consommation des réserves pétrolières sur une très longue période.
A l'inverse, les cornucopiens recommandent de ne pas contrôler la consommation, d'aucune manière (type Exxon-Mobil).
A votre avis, que va-t-il se passer dans la réalité ?
Les "cornucopiens" vont-ils conserver le contrôle, la consommation de pétrole n'étant limitée que par les capacités techniques ?
Les "anticipateurs" vont-ils gagner en influence, aidés par des instabilités politiques, conduisant ainsi à un choc plus doux, mais consommant quand même la totalité des réserves disponibles ?
Les "environnementalistes" vont-ils présenter des solutions viables, permettant d'éviter de consommer la totalité des hydrocarbures ?
Les Oléocéniens sont habitués à l'idée du déclin pétrolier, et envisagent les solutions à mettre en oeuvre quand les quantités disponibles seront faibles. Certains comme Jancovici, recommandent d'adoucir le pic par l'instauration d'une taxe ; toutes les solutions anticipatives vont dans le sens de l'arrondissement du pic, sans remettre en cause la consommation de la totalité des réserves.
Les environnementalistes voient les choses différemment, et s'intéressent aux émissions de CO2 dans l'atmosphère et son impact sur le réchauffement planétaire ; certains ont même avancé des chiffres, recommandant de limiter la concentration maximale de CO2 à 500 ppm en espérant conserver l'augmentation de température à "seulement" +2°C.
Cette proposition n'est valable que si l'on séquestre le CO2, chose que nous ne savons pas (encore) faire, où si l'on répartit la consommation des réserves pétrolières sur une très longue période.
A l'inverse, les cornucopiens recommandent de ne pas contrôler la consommation, d'aucune manière (type Exxon-Mobil).
A votre avis, que va-t-il se passer dans la réalité ?
Les "cornucopiens" vont-ils conserver le contrôle, la consommation de pétrole n'étant limitée que par les capacités techniques ?
Les "anticipateurs" vont-ils gagner en influence, aidés par des instabilités politiques, conduisant ainsi à un choc plus doux, mais consommant quand même la totalité des réserves disponibles ?
Les "environnementalistes" vont-ils présenter des solutions viables, permettant d'éviter de consommer la totalité des hydrocarbures ?