Profils électriques nationaux et tendances

Répondre


Cette question vous permet de vous prémunir contre les soumissions automatisées et intensives effectuées par des robots malveillants.
Émoticônes
:D :geek: :ugeek: :ghost: :wtf: :-D :) :-) :-( :-o :shock: :? 8-) :lol: :-x :-P :oops: :cry: :evil: :twisted: :roll: ;) ;-) :!: :?: :idea: :arrow: :-| :mrgreen: =D> #-o =P~ :^o [-X [-o< 8-[ [-( :-k ](*,) :-" O:) =; :-& :-({|= :-$ :-s \:D/ :-#
Plus d’émoticônes

Le BBCode est activé
La balise [img] est activée
La balise [flash] est activée
La balise [url] est activée
Les émoticônes sont activées

Relecture du sujet
   

Agrandir Relecture du sujet : Profils électriques nationaux et tendances

Re: Profils électriques nationaux et tendances

par energy_isere » 16 déc. 2018, 19:38

Image

The carbon intensity of electricity generation during 2017, in grams of CO2 per kWh. The map includes all countries for which data is available. The bar chart ranks 25 major economies including all G7 and BRICS countries. Bar widths represent the amount of electricity consumed in each country, with a minimum width so that smaller countries are still visible.
Image: Drax 2018.

Source
https://www.weforum.org/agenda/2018/12/ ... ean-energy

par energy_isere » 03 mai 2007, 20:54

S.Royal et N.Sarkosy devront copier 10 fois les chiffres de Claude Mandil sur la part de l' energie nucléaire dans la production électrique en France.

Pour ceux qui ont ecouté le débat Ségo-Sarko, il ne vous aura pas echappés quelques grosses bourdes de leur part !
La production d'électricité française "pas très diversifiée" (Mandil/AIE)

Le directeur de l'Agence internationale de l'Energie (AIE), Claude Mandil, a estimé jeudi que la production d'électricité en France, issue à 78% du nucléaire, n'était pas "très diversifiée", alors que ce sujet a divisé les deux finalistes de la présidentielle la veille.

Le directeur de l'AIE, qui représente les intérêts des pays consommateurs de l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE), a encouragé les pays de l'OCDE à diversifier leurs sources d'approvisionnement énergétique, tout en estimant que la production d'électricité en France, à 78% d'origine nucléaire, n'est pas "très diversifiée".

Lors d'une conférence de presse à Paris, il ne s'est pas prononcé sur la part que devrait idéalement représenter l'énergie nucléaire en France, affirmant que "le marché français n'est pas pertinent" et que "c'est le marché européen qui est important".

Toutefois, M. Mandil a ajouté que s'il était "plus facile de construire une centrale en France qu'en Italie alors pourquoi pas" construire de nouvelles centrales nucléaires dans l'Hexagone.

Il a noté que la production d'électricité en Europe était relativement équilibrée entre nucléaire (30%), charbon (26%), gaz (20%), hydrolique (15%) et pétrole (4%).

La candidate socialiste Ségolène Royal, si elle est élue, souhaite augmenter la part des énergies renouvelables dans l'ensemble de l'électricité produite en France, et veut suspendre la construction de l'EPR (réacteur nucléaire de troisième génération) en France, a-t-elle déclaré mercredi lors d'un débat avec son adversaire, le candidat UMP Nicolas Sarkozy, qui compte à l'inverse poursuivre la mise en oeuvre du programme.

Boursorama

par Tiennel » 22 mars 2007, 23:32

De plus en plus....

Et à Hong Kong (sans doute bientôt partout en Chine), plus on veut faire riche, plus on règle le thermostat de la clim au minimum pour montrer qu'on a les moyens de se payer autant d'énergie qu'on le veut :roll:

par Schlumpf » 22 mars 2007, 23:29

Nonsense !
puisque c'est toi qui le dit... Et combien de miiliers (millions ?) de sociétés (sans même parler des particuliers) fonctionnent sur ce principe de "nonsense" ?

C'est la "nonsense civilisation" sans doute...

par Tiennel » 18 mars 2007, 11:41

L'année dernière, j'ai visité les "coulisses" d'un des bâtiments de bureaux de ma société avec son responsable de l'exploitation.

Les "locaux techniques" qu'on ne visite jamais, sur les toits comme en sous-sol, sont de véritables usines de transformation d'énergie, énergie qui sert ensuite à conserver à 19°C des bureaux chauffés par ailleurs par le soleil et des centaines d'ordinateurs inutilisés - sans parler des radiateurs électriques qu'on a peut-être oublié d'éteindre...

Nonsense !

par Schlumpf » 18 mars 2007, 00:07

les immeubles de 10 étages....qui sont pourtant plus économes que des maisons individuelles.
Oui. C'est théoriquement exact. Mais pratiquement faux... Les immeubles du tertiaire au global consomment davantage d'énergie que certaines maisons individuelles. Il serait plus que temps que le tertiaire prenne consience des enjeux et réduise ses consommations. Au moins au niveau du résidentiel...

par GillesH38 » 17 mars 2007, 10:25

Schlumpf a écrit :ce serait encore mieux de n'autoriser que des systèmes de climatisations passifs... (puits provencal, climatisation solaires, etc...)
faut reconnaitre que c'est difficile à mettre en place dans les immeubles de 10 étages....qui sont pourtant plus économes que des maisons individuelles. La maison bioclimatique reste un luxe pour riche!

par Schlumpf » 17 mars 2007, 00:32

ce serait encore mieux de n'autoriser que des systèmes de climatisations passifs... (puits provencal, climatisation solaires, etc...)

par GillesH38 » 16 mars 2007, 16:19

je suis le premier à signaler que le photovoltaique n'est pas la panacée, en particulier pour son intermittence. Ceci dit je trouve que ce serait bien de n'autoriser que des systèmes de climatisation alimentés par panneaux solaires locaux, au moins ça aurait l'avantage que la consommation serait ajustée à la production !

par Tiennel » 14 mars 2007, 21:36

Pour l'instant, l'immobilier reste avant une source de gaspiwatts :-P

par Schlumpf » 14 mars 2007, 01:45

Le développement de l'immobilier, qu'il soit résidentiel ou tertiaire (dont tourisme), provoque des pointes de plus en plus marquées l'hiver (chauffage) et l'été (clim').
Cela dit, le pic d'hiver est plus marqué. Mais la progression du pic d'été est plus forte. D'autant plus que d'autres solutions (que le recours à l'électricité) est possible. Le bâtiment reste assurément une mine de négawatts. Et pas qu'à Dallas !

par Tiennel » 13 mars 2007, 17:43

Un cas intéressant proche de chez nous : l'Espagne
Image
Le développement de l'immobilier, qu'il soit résidentiel ou tertiaire (dont tourisme), provoque des pointes de plus en plus marquées l'hiver (chauffage) et l'été (clim').

par Environnement2100 » 13 mars 2007, 17:05

Je profite une fois de plus des excellents graphes de TNL pour enfourcher un de mes dadas favoris : le gaspillage structurel.

Le pic annuel de consommation électrique chez les Obèses de l'Ouest est le plein été, pour cause d'utilisation massive de l'air conditionné ; ceux qui ont connu Dallas en été savent que ce pays est effectivement insupportable pendant deux mois.

Insupportable ou insoutenable ?

La partie nord des USA, très peuplée également, est très froide en hiver, on atteint régulièrement -10 °C. Pourquoi diable alors la consommation est-elle supérieurs en été ?

Le savoir-faire étatsunien en matière d'isolation à la chaleur est tout simplement nul. Ils ont été les premiers à coller des grandes baies vitrées face au sud dans les maisons individuelles, et des murs-rideaux en verre sans volets dans les tours de bureaux. Vous imaginez une tour entièrement vitrée par 40 °C à l'ombre sans ombre ?

On a donc une quasi-totalité d'immeubles conçus pour un gaspillage extrême en été. Il est hors de question de reconstruire ces bâtiments en cinq minutes après le Pic, ni même en dix ans ; en revanche, réadapter certains d'entre eux pour simplement poser des volets extérieurs (qui résistent aux tornades) est envisageable.

On peut donc considérer que le pic estival est un "réservoir de négawatts".

par Tiennel » 13 mars 2007, 16:44

Un peu HS mais bon

La situation est très différente aux USA :

Image

Ca monte de façon plus marquée (2-3% par an en moyenne, de même que la consommation domestique).

Le pic annuel est en juillet-août - après la driving season et au début de la saison des ouragans. Mais le fioul qui brûle dans les centrales US ne représente que 3-5% de la consommation totale de pétrole des USA. Comme le gaz ne se stocke pas en quantités suffisantes pour absorber une telle pointe, c'est probablement le charbon qui fait le (sale) boulot.

Voilà pourquoi il fait si chaud dans le Grand Canyon :-D

par Tiennel » 13 mars 2007, 16:16

Sur une année :
  • 2004/2003 = +0,4%
  • 2005/2004 = -0,2%
Quand j'aurai les chiffres de novembre et décembre 2006, je pourrai faire 2006/2005.

Haut