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National Grid launches £1.8bn Viking Link electricity interconnector

By NS Energy Staff Writer 19 Apr 2024

The 765km long land and subsea cable is expected to power up to 2.5 million households in UK and bring more than £500m of cumulative savings for British customers over the next decade while offsetting 600,000 tonnes of carbon emissions in its first year alone


UK’s National Grid formally inaugurates the £1.8bn Viking Link HVDC electricity link. (Credit: National Grid)

National Grid has formally inaugurated the 1.4GW Viking Link interconnector project which will serve as a continuous high voltage direct current (HVDC) electricity link between the UK and Denmark.

The £1.8bn project has linked the British and Danish transmission systems for the first time. Under the project, a connection has been established between the Bicker Fen substation in Lincolnshire, England to the Revsing substation in southern Jutland, Denmark.

Viking Link is a joint venture (JV) between National Grid and Energinet, a Danish system operator.

The interconnector project is National Grid’s sixth and the ninth for the UK.

According to National Grid, the Viking Link interconnector project is the world’s longest land and subsea interconnector.

The 765km long land and subsea cable is expected to power up to 2.5 million households in the UK. It is also claimed to bring more than £500m of cumulative savings for UK customers over the next decade.

Besides, the Viking Link project is said to offset 600,000 tonnes of carbon emissions in its first year alone.

The HVDC electricity link, which started initial operations in December 2023, has facilitated the transportation of 1,733GWh of power between the UK and Denmark.

National Grid group CEO John Pettigrew said: “In an ever-changing global energy market, the value that connections like Viking Link can provide to national energy security cannot be understated.

“Over its lifespan, this record-breaking connection will deliver over five billion pounds in efficiencies for UK consumers, allow us to trade hundreds of gigawatts in surplus power and provide an indispensable tool in guaranteeing the continued reliability of our energy system.

The Viking Link project commenced construction in 2019, with Prysmian Group responsible for manufacturing and laying the HVDC offshore cable. In July 2023, National Grid completed the cable works on the Viking Link interconnector project.

RTE engage 100 millions d’euros pour moderniser le réseau électrique de la vallée d’Ossau dans les Pyrénées-Atlantiques

Afin de sécuriser et de garantir l’alimentation électrique de la vallée d’Ossau dans les Pyrénées-Atlantiques et en particulier de l’agglomération de Pau, le Réseau de transport d'électricité (RTE), gestionnaire en charge du réseau public de transport d'électricité haute tension en France métropolitaine, a programmé un investissement de 100 millions d’euros.

Pascal Burgues 11 avril 2024

Après avoir engagé en 2019 une première tranche de travaux visant à supprimer 35 kilomètres de lignes aériennes et raccorder entre eux plusieurs postes dans le secteur d’Arudy et de Gan, le Réseau de transport d'électricité (RTE) poursuit la modernisation du réseau électrique de la vallée d’Ossau, située en partie dans le périmètre du Parc national des Pyrénées, dans les Pyrénées-Atlantiques. Au total, 100 millions d’euros doivent être investis à l’horizon 2030 dans ce projet.

Le projet de nouvelle ligne 400 KV fait grimper la tension en Provence

Ce 4 avril, s'est tenue la dernière réunion publique sur la nouvelle ligne à très haute tension entre Jonquières (Gard) et Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône). A la clé : la décarbonation de la zone industrialo-portuaire de Fos, l’accueil d’une production d’hydrogène et une alimentation pérenne pour la région. Son tracé crispe élus, potentiels riverains et associations environnementales.

Et si 10 à 15 milliards d’euros d’investissements industriels projetés sur la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) ne tenaient qu’à un fil ? En l'occurrence, à une ligne aérienne de 400 kilovolts (KV) d’environ 65 kilomètres, entre les communes de Jonquières-Saint-Vincent (Gard) et de Fos. Elle tend les rapports entre pouvoirs publics, acteurs économiques, défenseurs de l’environnement, citoyens, dans les espaces concernés par son potentiel tracé, entre Alpilles, Crau et Camargue. L'aire d'études a été validée par le préfet le 16 novembre 2023.

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Une consultation publique pour augmenter la capacité d’interconnexion entre la France et le Royaume-Uni

Quatre projets d’interconnexions sont actuellement à l’étude pour ajouter entre 1,4 et 2,6 GW de capacités d’interconnexions aux 4 GW disponibles actuellement entre les deux pays. La CRE a étudié les bénéfices potentiels du projet en fonction de plusieurs scénarios énergétiques et lance une consultation publique sur ce développement électrique, qui pourrait notamment éviter l’écrêtement d’une partie de la production EnR britannique et française.

MARS 19, 2024 MARIE BEYER
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Dans les Hautes-Pyrénées, RTE conduit un chantier à plus de 200 millions d’euros pour réhabiliter le réseau électrique

RTE prévoit d'investir plus de 200 millions d'euros d'ici à 2030 pour réhabiliter le réseau électrique dans la vallée des Nestes (Hautes-Pyrénées). Le gros du chantier bat son plein sur le territoire de la commune d’Arreau où est installé un nouveau poste de transformation. Plusieurs objectifs sont visés : intégrer les énergies renouvelables, sécuriser l’approvisionnement et réduire l’impact environnemental.

Pascal Burgues 26 février 2024 usinenouvelle


RTE a entamé la première tranche des travaux de réhabilitation du réseau électrique dans la vallée des Nestes, estimée à 110 millions d'euros.

Gestionnaire du réseau public de transport d'électricité haute tension en France métropolitaine, RTE engage les premières étapes clés d’un vaste chantier de rénovation et de développement du réseau électrique de l’ensemble des axes desservant le secteur de la Vallée des Nestes (Neste, Aure et Louron) dans les Hautes-Pyrénées. Un programme estimé à plus de 200 millions d’euros, qui devrait s’échelonner jusqu’en 2030. Deux tranches de travaux sont prévues.

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Crete-Greece subsea link secures €250 million of EU funds
The European Commission says Greece’s new subsea electricity interconnection linking the island of Crete to mainland Greece will receive more than €250 million ($269.3 million) from the European Regional Development Fund (ERDF).

FEBRUARY 16, 2024 ILIAS TSAGAS

The electricity interconnection between mainland Greece and the nation's largest island, Crete, includes two subsea 500 kv DC cables, 335 km in length, laid at depths of up to 1,200 meters on the seabed.

The first cable was built and started full commercial operation in 2021, while the second cable will be completed by the end of this year, with full commercial operations scheduled to start next year. Upon full completion of the project, the two cables will have 1 GW of total transmission capacity.

The ERDF’s €250 million of financing builds on previous European and domestic funds for the project, which requires a total investment of approximately €1 billion.

The investment is expected to pay off, though. Commissioner for Cohesion and Reforms Elisa Ferreira said when announcing the new ERDF funds that “thanks to this Cohesion Policy support, the new connection will lower the tariffs that Greek electricity consumers are currently paying to cover high generation costs on islands that are not part of the main grid. In times of high energy prices, this investment and the creation of an electricity connection to mainland Greece will bring good news for the citizens of Crete.”

Greece’s Independent Power Transmission Operator (IPTO), which is the owner of the Crete-mainland Greece interconnection, has separately said that “when both electrical interconnections of Crete will be in operation, the country’s consumers will collectively save €550 million through their Public Utilities bills every year, an amount expected to gradually grow to €1 billion by 2030.”

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A Fos-sur-Mer, RTE mise sur une ligne électrique géante pour la transition énergétique des industriels

RTE travaille sur une nouvelle ligne électrique aérienne de 400 000 volts entre Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) et Jonquières-Saint-Vincent (Gard). Ce projet à 300 millions d'euros doit permettre d'anticiper la transition énergétique des industriels et de la population. La concertation publique a lieu entre le 12 février et le 7 avril.

JEAN-CHRISTOPHE BARLA 13 février 2024 \ 17h00

C’est une nouvelle autoroute de l’électricité que projette RTE, gestionnaire du réseau électrique français, pour la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. D’un montant estimé de 300 millions d’euros, elle prendrait la forme d’une ligne électrique aérienne à très haute tension (400 000 volts) et à double circuit. Elle serait déployée sur 65 km entre les postes électriques de Jonquières-Saint-Vincent (Gard) et de la Feuillane, proche de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône). Plusieurs fuseaux sont encore envisagés avant de fixer son tracé définitif. Le périmètre d'étude couvre en effet une aire de 600 km² où coexistent des zones urbanisées, des exploitations agricoles et des espaces naturels, d’où l’extrême sensibilité du sujet.

«Cette ligne est indispensable, car on ne peut pas mener la transition énergétique du territoire avec un réseau aménagé dans les années

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energy_isere a écrit : ↑

04 janv. 2024, 23:24

suite de ce post du 10 sept 2023 http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 0#p2376680

Viking Link — World’s Longest HVDC Cable Connecting UK & Scandinavia Now Online

https://cleantechnica.com/2024/01/01/vi ... ow-online/

Viking Link — World’s Longest HVDC Cable Connecting UK & Scandinavia Now Online

Jesper Berggreen 01 jan 2024

The world’s longest electricity cable connection, Viking Link, began pushing electrons from Denmark directly to the UK last week. The DKK 13 billion ($1.92 billion) investment has been almost 4 years in the making and is the first physical connection between the two otherwise completely separate energy systems. Viking Link enables even more renewable energy to be produced and balanced over a very large geographical region of northern Europe.



The Danish system operator Energinet has built the 765 km (475 mile) long electricity connection between Denmark and Great Britain together with its partner, the UK’s National Grid, and on the 29th of December in the afternoon the first power from Danish wind turbines was sent out to English consumers. Over such long distances, only High Voltage Direct Current (HVDC) is possible. Power is converted onshore to AC.

Thomas Egebo, CEO of Energinet, said, “Creating an electricity connection between Denmark and England is in itself a huge achievement — Viking Link is actually the world’s longest cable connection. But the connection is also of great importance for the completely green electricity system of the future. We ensure that the green electrons from wind turbines and solar cells can be managed and sent the consumers’ sockets, in a stable and affordable fashion.”

Denmark already has high capacity electricity connections to Norway, Sweden, Germany, and the Netherlands, and with this additional connection to a neighboring country, Danish producers can sell and export electricity to an even greater extent when the wind is blowing and the sun is shining. Conversely, Denmark can now also buy electricity when there is plenty on the other side of the North Sea — for example when a wind front from the west hits Great Britain a day before it hits Denmark, and then when the wind front hits the Danish wind turbines, the excess energy can be sent back.

In this part of Europe, the wind coming from the west is a stable and recurring pattern, so this cable makes it possible to level out the inherent intermittency of wind power to a significant degree. I think this is a big deal, and the data in the coming years will show what works and what doesn’t. Some will argue this project is very expensive and why not build nuclear power in Denmark? Well, I don’t think there is any comparison in this particular case, in that a couple of billion dollars won’t get you much nuclear power, not even factoring in the very long timelines of commissioning and decommissioning. However, IEA does maintain the view that nuclear power still plays an important role in the overall low emission goals.

In conjunction with the 1,600 MW cable from Denmark to Norway, and multiple high power connections to Sweden and Germany, the layout for energy arbitrage in the region has become much more interesting now. However, for the time being, the new cable will only be utilized up to 800 MW of its total capacity of 1,400 MW. When more wind turbines have come online in the region in 2025, it will be dialed up.

Italy-Austria interconnector starts operating
A 28-kilometer underground power cable owned by Italian grid operator Terna started work on Friday, the company announced. The interconnector connects substations in Glorenza northern Italy and Nauders eastern Austria.

DECEMBER 18, 2023 ANGELA SKUJINS

Rome-based grid operator Terna announced that operations for its €80 million ($87.4 million) interconnector connecting Italian and Austrian power stations kicked off on Friday, ushering in 200 kV of underground power.

The 28-kilometer interconnector runs along the country’s borders and connects the substations of Glorenza northern Italy and Nauders eastern Austria, according to the press release.

Terna CEO and general manager Giuseppina Di Foggia said the interconnector will allow more secure and efficient European power.

Construction started in November 2020.

Ireland, France begin construction on Celtic Interconnector project

By NS Energy Staff Writer 14 Nov 2023

The interconnector project, being developed by Irish transmission system operator (TSO) EirGrid and its French counterpart, Réseau de Transport d’Electricité (RTE), is expected to carry adequate capacity to power 450,000 homes

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The project is expected to deliver a 700MW submarine cable with connection points between the southern coast of Ireland and the northwest coast of France.

It will carry adequate capacity to power 450,000 homes and will create a direct electricity link from Ireland to the European Union (EU).

The project is scheduled to be completed in 2026, with grid integration expected in 2027.
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Électricité : RTE prépare les esprits à la construction de nouvelles lignes à très haute tension en France
Pour réussir le pari de la transition énergétique, la France va devoir construire de nouvelles lignes électriques de 400.000 volts, a prévenu le patron de RTE Xavier Piechaczyk, devant les sénateurs. Or, ces immenses ouvrages, qui n'ont pas été construits en France depuis de nombreuses années, restent extrêmement difficiles à enterrer et poseront forcément des questions d'acceptabilité. Alors qu'une course contre la montre est enclenchée, le gestionnaire doit présenter sa nouvelle stratégie d'investissements au printemps 2024.

Juliette Raynal latribune 10 Nov 2023

Les questions d'acceptabilité se posent aujourd'hui pour le développement des parcs éoliens et, dans une moindre mesure, pour les champs photovoltaïques. Elles se poseront demain pour « les nouvelles tranches nucléaires », mais aussi « pour les nouvelles lignes électriques », a prévenu Xavier Piechaczyk, le président du gestionnaire du réseau de transport d'électricité RTE, alors que la France va devoir construire de nouvelles autoroutes de l'électricité sur son territoire.

« Et ça c'est nouveau ! Cela fait de nombreuses décennies que la France n'avait pas développé de nouvelles lignes électriques à très haute tension sur son territoire national », a-t-il rappelé lors de son audition fin octobre au Sénat, sur l'avenir du mix électrique.

Plus de moyens de production... mais aussi plus de réseau !

Pour se désintoxiquer du pétrole, du charbon et du gaz à l'origine d'un réchauffement des températures à l'échelle du globe, l'Hexagone devra s'électrifier rapidement et massivement, via le déploiement des véhicules électriques et des pompes à chaleur, notamment. Elle devra aussi produire bien plus d'hydrogène propre pour décarboner les grands sites industriels... ce qui demandera énormément d'électricité aussi ! Résultat, la consommation de l'Hexagone devrait bondir d'environ 40 % d'ici à 2035, selon le scénario central de RTE. La France n'a donc d'autres choix que de mettre les bouchées doubles sur le développement des énergies renouvelables, étant donné que les premiers réacteurs nucléaires de type EPR 2 n'entreront pas en service avant 2035.

Mais pour s'électrifier vite, les seuls nouveaux moyens de production ne suffiront pas, il faut aussi plus de réseau.

« Je veux que vous entendiez que cette électrification passera par la construction de nouvelles lignes électriques sur le territoire national, y compris des grandes lignes 400.000 volts nouvelles », a appuyé le président de RTE devant les sénateurs.

Les lignes à 400.000 volts très difficiles à enterrer
Cette insistance est loin d'être anodine car ces immenses ouvrages transformeront forcément les paysages de leurs territoires. En effet, même si RTE s'attache à enfouir de plus en plus de lignes électriques (comme le montre son bilan électrique 2022), la technologie souterraine reste exceptionnelle pour les lignes à 400.000 volts, dites de très haute tension.

Ainsi, RTE se prépare d'ores et déjà à construire une seconde ligne à très haute tension aérienne entre la Normandie, place forte de la production d'énergies, et les Hauts-de-France, où les besoins électriques vont exploser entre le développement des méga usines de batteries et la bascule de nombre de sites industriels vers l'ère post-fossiles. Une autre consultation devrait s'ouvrir dans les prochaines semaines pour la construction d'une nouvelle ligne électrique dans la zone de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), autre bassin industriel devant opérer sa transition énergétique.

Des investissements par anticipation risqués

Au total, sur l'ensemble des quatre grandes zones industrialo-portuaires à décarboner, RTE a décidé d'investir, par anticipation, entre 1,5 et 2 milliards d'euros pour le développement et l'adaptation du réseau. Ce qui devrait permettre d'acheminer une capacité supplémentaire d'une douzaine de gigawatts.

« Lorsqu'il le faut, nous prenons des risques financiers pour faire des infrastructures par anticipation. Mais nous ne pouvons pas construire une politique d'investissements que par anticipation car cela pourrait relever de coûts échoués partout et il faut que nous gardions comme boussole que ces coûts fixes finissent dans la facture des entreprises et des ménages », a prévenu Xavier Piechaczyk.

Une course contre la montre

Dans cette optique, au second trimestre 2024, RTE devrait présenter son programme d'investissements à l'horizon 2040, à travers son nouveau schéma décennal de développement du réseau. « Ces investissements seront considérables, nous le savons déjà » a lancé le dirigeant.

Cette publication était initialement prévue au 1er trimestre 2024, mais « nous avons besoin de la PPE [programmation pluriannuelle de l'énergie, ndlr] du gouvernement », a précisé Xavier Piechaczyk. Or ce texte réglementaire est censé découler de la Loi de programmation sur l'énergie et le climat (LPEC), dont le calendrier ne cesse de glisser... « Nous avons besoin de visibilité et de planification », a martelé le président de RTE, tout en évoquant « une course contre la montre ».

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Ce déplacement sera aussi l'occasion de sceller le projet de liaison électrique à haute tension Celtic Interconnector, qui permettra de raccorder le réseau irlandais au continent européen à l'horizon 2027.

Portée par RTE, gestionnaire du réseau de transport de l'électricité en France, et son homologue irlandais EirGrid, cette liaison sous-marine de 700 mégawatts (MW) longue de 575 km (dont 500 en mer) reliera Knockraha, sur la côte sud de l'Irlande, à La Martyre, en Bretagne.

Elle permettra l'échange direct d'électricité et notamment à l'Irlande d'exporter de l'électricité produite par des éoliennes off-shore.

Ce projet s'inscrit dans le contexte de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, alors que l'Irlande n'est jusqu'à présent reliée qu'à son voisin britannique.

Italy, Greece plan 1 GW subsea interconnection cable
Italy and Greece have announced plans for a 1 GW subsea interconnection cable. The submarine cable, valued at €750 million ($794.9 million), will connect a new converter station in Galatina, Italy, with a station in Thesprotia, Greece.

OCTOBER 11, 2023 SERGIO MATALUCCI


mage: Terna

Terna, the Italian grid operator, has launched a public consultation for the GR.ITA 2 project. The €750 million subsea interconnection cable will connect Italy and Greece via two 250 km-long submarine cables with a capacity of up to 1,000 MW, as well as two 50 km-long direct current terrestrial cables.

“The new interconnection between the Italian peninsula and Greece will allow the safe management of the entire southern area and will favor efficient energy supplies, thanks to the possibility of enabling new resources through the coupling of the electricity market and maintaining the exchange of energy between the two countries even in the presence of maintenance operations,” Terna said in a statement.

The submarine cable will connect a new converter station in Galatina, southern Italy, with a station in Thesprotia, in Greece's Epirus region

“Terna, with the support of the Puglia Region and other regional administrations, has started the voluntary consultation process as early as 2022,” said Terna.

The project proposal will be presented in a series of events open to citizens and all stakeholders, scheduled from Oct. 13 to Oct. 25. The project aims to increase the interconnection capacity between the two countries, which is currently being provided by a 400 kV/ 500 MW submarine cable that was commissioned in 2022.