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L'Allemagne met le paquet pour convertir ses entreprises à l'hydrogène vert

11.04.2024 JEAN-LUC PONCIN h21-mobile

L’Union européenne a approuvé le plan allemand de soutien à la décarbonation de son tissu de petites et moyennes entreprises du secteur de l’industrie. Plus de 2,2 milliards d’euros seront versés, sous forme de subventions directes, pour soutenir les investissements qui permettront de remplacer les combustibles fossiles par de l’hydrogène vert.

L’Allemagne poursuit ses investissements dans l’hydrogène vert. Le secteur privé multiplie les initiatives (créations de stations-service H2, conversion de flottes, recherche et développement…) et le gouvernement compte bien profiter de cette dynamique pour accélérer la transition écologique Outre-Rhin.

Après le premier appel d'offres, lancé il y a quelques semaines de 4 milliards d'euros pour un programme de contrats sur différence carbone (CcfD) destiné à l’industrie lourde, ce sont désormais les PME et les ETI qui vont bénéficier de subsides d’État pour basculer vers des processus à faibles émissions de carbone.

Ce sont ainsi 2,2 milliards d’euros qui seront versés aux « entreprises qui dépendent de l'utilisation de combustibles fossiles comme source d'énergie ou matière première pour leurs processus de production dans le secteur industriel en Allemagne, pour des investissements permettant la substitution des énergies fossiles par de l’hydrogène renouvelable ou des carburants renouvelables dérivés de l’hydrogène, et favoriser la transition vers une économie nette zéro ».

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Green light given for Germany’s first land-based terminal for liquefied gases in Stade

europetrole le 22/03/2024

Green light given for Germany’s first land-based terminal for liquefied gases in Stade
- Shareholders commit to final investment decision
- Enagás increases share to 15 per cent and will be the terminal’s operator
- Johann Killinger hands over CEO responsibilities to Jan Themlitz
- Commissioning of ammonia-ready terminal planned in 2027

Hanseatic Energy Hub GmbH has committed to the final investment decision to construct Germany’s first land-based terminal for liquefied gases. After successfully concluding the permitting- and commercial phase in late 2023, the company´s shareholders Partners Group (on behalf of its clients), Enagás, Dow and the Buss Group have now successfully secured financing for the large-scale infrastructure project, known as well as the Hanseatic Energy Hub (HEH). The globally active EPC* specialist Técnicas Reunidas and its partners, FCC and Enka, have been awarded the contract to build the future-flexible energy hub at the Stade Industrial Park. Around one billion Euros will be invested in the construction of the terminal. The official groundbreaking ceremony is scheduled to be held in the coming weeks.

This final investment decision allows the Hanseatic Energy Hub to make an important contribution to securing Europe’s energy supplies following its planned commissioning in 2027. Initially the HEH will serve as an import terminal for LNG, SNG (synthetic natural gas) and liquefied biomethane and, subsequently, for ammonia, as a carbon-neutral, hydrogen-based energy carrier. Once the HEH enters into service, the FSRU “Energos Force” chartered by Germany’s federal government will set sail from Stade. The floating LNG terminal, which has been on site since March 2024, will continue to secure the gas supply in the short term until the more efficient land-based terminal is completed.

The Hanseatic Energy Hub will have a total capacity of 13.3 billion cubic metres of natural gas per year. Ninety per cent of this volume has been booked long-term by three European energy majors EnBW, SEFE and ČEZ. The remaining capacity is reserved for short-term bookings. Long-term contracts include the option to switch to hydrogen-based energy carriers at a later stage. The terminal has been certified by permitting bodies as being ammonia-ready.

Following a development of more than six years, the Hanseatic Energy Hub project is entering its next phase. Enagás is providing the technical direction of the construction and will also be terminal operator. The Spanish energy company is increasing its share from 10 to 15 per cent.

Johann Killinger, one of the entrepreneurs driving the project up to this point, is stepping down from the management team following the investment decision. He will now focus on his role as a shareholder, handing over to Jan Themlitz the CEO responsibilities for constructing and commissioning the terminal. Jan Themlitz has a long track record of developing energy-related projects as well as extensive LNG experience from having worked with gas majors and power generators for 30 years.

The shareholders of the Hanseatic Energy Hub on this important milestone:
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L’Allemagne ferme les centrales de charbon ouvertes pendant la crise énergétique

Par : Nikolaus J. Kurmayer | EURACTIV.com avec CLEW | translated by Claire Lemaire 26 mars 2024

Sept centrales électriques au lignite d’une capacité de production combinée de 3,1 gigawatts vont être fermées en Allemagne à la fin du mois de mars, après le report du démantèlement initialement prévu en 2022 à cause de la crise énergétique.

Dès la fin du mois, les sept centrales au charbon ne seront plus autorisées à vendre leur électricité sur le marché de gros. L’Agence fédérale des réseaux allemande (BNetzA) a affirmé que ces fermetures n’auraient pas d’incidence sur la sécurité de l’approvisionnement.

« Les fermetures ont été planifiées et prises en compte dans toutes les prévisions d’approvisionnement. La sécurité de l’approvisionnement continue d’être garantie », a assuré un porte-parole à l’agence.

En mars 2022, le gouvernement allemand avait en effet décidé de réactiver cinq centrales au charbon et de reporter la fermeture de deux autres, en prévision d’une diminution des approvisionnements en gaz russe.

Cette décision a été prolongée pour hiver supplémentaire en octobre 2023, en raison de la baisse de l’approvisionnement en gaz russe et de la sous-performance du parc nucléaire français.

La combustion du charbon est l’un des moyens les plus polluants de produire de l’électricité. Lors de la COP28 qui s’est tenue aux Émirats arabes unis en décembre 2023, les dirigeants du monde entier ont demandé une accélération des efforts pour réduire progressivement la production d’électricité par la combustion du charbon, et le gouvernement allemand a alors fixé à 2030 la date butoir « idéale » pour éliminer cette source d’énergie.

Mais la production d’électricité à partir du charbon est également « répartissable », ce qui signifie que l’offre peut être augmentée ou réduite en fonction des besoins, remplissant ainsi le rôle souvent joué par le gaz en veillant à ce que la production d’électricité réponde à aux fluctuations de la demande.

Dans un contexte où les émissions du secteur de l’électricité en Allemagne ont baissé de manière significative malgré les reports des fermetures, le gouvernement allemand s’est engagé à calculer et à compenser les émissions de CO2 supplémentaires dues aux sept centrales additionnelles.

En 2023, le charbon a fourni 26 % de l’électricité allemande, contre 33 % durant l’année précédente, au plus fort de la crise énergétique.

Dans l’ouest de l’Allemagne, la sortie du charbon semble sur la bonne voie pour respecter l’échéance de 2030. Cependant, les experts affirment que le manque de fonds pour les centrales à gaz de secours pourrait devenir un obstacle.

German utility to build 280 MWh battery at former nuclear plant
German municipal utility Westfalen Weser is looking to develop a 120 MW/280 MWh battery storage facility at the site of a former nuclear power plant in the German state of North Rhine-Westphalia.

MARCH 22, 2024 MARIJA MAISCH

While announcements of battery energy storage projects developed at former coal plants are not unheard of, developing big batteries at former nuclear power plant sites has been uncommon. But, with its last nuclear reactors shut down in April 2023, Germany is now taking the lead on this new type of development.

Municipal energy supplier Westfalen Weser has announced plans to develop a 120 MW/280 MWh battery energy storage system at a former nuclear power plant site in Würgassen, North Rhine-Westphalia. As the utility said this week, the town of Beverungen has handed over the land to Westfalen Weser.

The 1,912 MW Würgassen nuclear power plant was operated by PreussenElektra, both prior to and during decommissioning. Commercial operations began in 1975. The plant was shut down in 1994, after which all fuel elements were removed.

Just like decommissioned coal power plants, retired nuclear reactors are attractive locations for the development of grid-scale battery energy storage systems. They offer the opportunity to reuse existing infrastructure and grid interconnection rights.

Westfalen Weser has confirmed this, saying that the retired Würgassen plant is particularly suitable for a battery storage facility because it has the needed infrastructure in place, including a transformer station and corresponding lines. The facility is scheduled for completion in the second half of 2026, with investments totaling around €92 million ($99.6 million).

“We are investing in energy storage to ensure a secure and efficient power supply as the generation of renewable energies continues to increase,” said Jürgen Noch, the municipal utility’s managing director.

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Le projet namibien d’hydrogène vert hyphen pourrait être désigné comme projet stratégique pour l’Allemagne

Agence Ecofin 21 mars 2024

Le gouvernement allemand a présenté une lettre d’intention confirmant que le projet d’Hyphen en Namibie pouvait faire l’objet d’une approbation finale en vue d’être désigné comme « projet étranger stratégique ». Accordé par le gouvernement allemand, ce statut est réservé aux projets mondiaux hautement prioritaires présentant un intérêt stratégique pour le pays.

Pour rappel, Hyphen est un projet dans lequel le gouvernement namibien s’est fortement engagé depuis quelques années. À pleine capacité, il devrait permettre la production de 300 000 tonnes d’hydrogène vert par an avant la fin de la décennie pour les marchés régionaux et mondiaux, à partir de 5 à 6 GW de capacité de production d’énergie renouvelable et de 3 GW de capacité d’électrolyseur.

Allemagne: Subventions de 4 milliards d'euros pour les entreprises à forte consommation d'énergie
L'Allemagne a lancé mardi un processus d'appel d'offres pour des subventions visant à soutenir les entreprises à forte consommation d'énergie dans le cadre d'un cycle de financement de 4 milliards d'euros, a déclaré le ministère de l'Economie.

REUTERS 12 mars 2024

Dans le cadre des ambitions de l'Allemagne d'atteindre la neutralité carbone sur le plan climatique d'ici 2045, Berlin prévoit d'accorder aux entreprises des secteurs de l'acier, du verre, du papier ou encore des produits chimiques des subventions sur 15 ans en échange de la réduction des émissions de carbone dans la production.


La Commission européenne a approuvé ce processus, dans le cadre duquel les entreprises seront sélectionnées par un appel d'offres et seront mises en concurrence pour réduire leurs émissions à moindre coût.

Grâce à ces contrats dits de protection du climat, les entreprises seront indemnisées pour les coûts supplémentaires dans les secteurs où les processus de production respectueux du climat ne sont pas compétitifs à l'heure actuelle.

"Aujourd'hui est un bon jour pour l'Allemagne sur le plan de l'industrie, pour la protection du climat et pour des emplois durables dans notre pays", a déclaré le ministre de l'Economie, Robert Habeck.

Berlin avait initialement prévu de proposer des subventions plus ambitieuses, mais le programme a été mis en péril par l'arrêt de la Cour constitutionnelle l'année dernière, qui a empêché le gouvernement d'utiliser quelque 60 milliards d'euros de dettes pour des projets de protection du climat.

Le FSRU « Energos Power » en test dans le port allemand de Mukran en vue de sa mise en service
Deutsche regas a annoncé le 24 février l’arrivée dans le port allemand de Mukran, sur l’île de Rügen, en mer Baltique, de l’unité de regazéification (FSRU) « Energos Power ».


Deutsche regas sous-affrète l’« Energos Power » auprès du gouvernement allemand, qui l’affrète lui-même auprès de l’américain Energos infrastructure. Celui-ci a finalisé en janvier l’acquisition de cette unité, ex- « Transgas Power », auprès du grec Dynagas. | DEUTSCHE REGAS

Carole LANZI. Publié le 26/02/2024 Le marin

Le FSRU (unité flottante de stockage et de regazéification) Energos Power est arrivé à Mukran, en Allemagne, avec une cargaison de GNL norvégien, transbordée au terminal Elengy de Montoir-de-Bretagne à partir du méthanier Maran Gas Marseille qu’affrète Totalénergies. D’une capacité allant jusqu’à 7,5 milliards de m³ par an, il fait pour le moment l’objet de tests opérationnels en vue de sa mise en service d’ici à la fin de l’hiver.
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Energie : Uniper provisionne 2,3 mds EUR pour rembourser l'aide de l'Etat allemand

AFP le 15 févr. 2024

Le gazier allemand Uniper, passé près de la faillite après l'arrêt des livraisons de gaz russe, a annoncé jeudi qu'il allait provisionner près de 2,3 milliards d'euros sur ses bénéfices réalisés en 2023 en vue de remboursements liés à sa nationalisation en 2022.

Le montant final de ce paiement, exigible début 2025, dépendra des résultats de 2024 et sera payé à partir des liquidités existantes, a expliqué le groupe dans un communiqué.

Uniper s'était retrouvé asphyxié en 2022 après l'arrêt complet des livraisons de gaz russe, sur fond de guerre en Ukraine, obligeant le principal client du russe Gazprom à s'approvisionner sur le marché au comptant où les prix avaient flambé.

L'État allemand était venu à son secours, nationalisant le groupe grâce à une aide conséquente de 13,5 milliards d'euros. Il reste à déterminer quel montant de capital excédentaire a reçu Uniper et qui n'a pas été utilisé directement pour faire face à la crise, ce qui fera l'objet d'un remboursement obligatoire à l'État allemand.

Uniper est dans une bonne posture financière, en ayant fait état jeudi d'un bénéfice net ajusté de 4,4 milliards d'euros en 2023.

Le solde net annoncé est conforme à sa prévision qui s'établissait entre 4 et 5 milliards d'euros. De même, le résultat d'exploitation (EBIT) ajusté, à plus de 6,3 milliards d'euros, est dans les clous des prévisions, grâce à un bon environnement de marché.

En raison du droit européen de la concurrence et d'après le plan de sauvetage approuvé en décembre 2022 par la Commission européenne, le gouvernement devra revendre au moins 75% des actions du groupes, au plus tard en 2028.

L'Allemagne maintient le cap d'un futur parc de centrales électriques à hydrogène

AFP le 05 févr. 2024

L'Allemagne a confirmé lundi son projet de développement massif de nouvelles centrales à gaz, convertibles à l'hydrogène, éléments-clé mais aussi controversés de la transition énergétique du pays.

Le gouvernement d'Olaf Scholz a validé le cap fixé il y a près d'un an, mais récemment remis en cause par les difficultés budgétaires de la première économie européenne et des divergences politiques au sein de la coalition.

Concrètement, l'Allemagne veut construire jusqu'à quatre centrales électriques à gaz d'une capacité de 2,5 gigawatts chacune, devant faire l'objet d'un appel d'offre "à court terme", a indiqué le gouvernement dans un communiqué lundi.

Selon le magazine Spiegel, l'appel d'offres pour la première centrale sera lancé cet été.

Ces centrales devront être "Hydrogen-ready", c'est-à-dire conçues pour être converties au fonctionnement à l'hydrogène "entre 2035 et 2040, à partir d'une date de transition à fixer en 2032", précise le gouvernement.

L'Allemagne a absolument besoin de ces centrales électriques pour compenser l'intermittence de l'approvisionnement en énergie solaire et éolienne. C'est la seule manière pour le pays industrialisé, qui a fermé ses centrales nucléaires et doit abandonner progressivement le charbon, de garantir la stabilité du réseau.

Mais le projet est controversé sur le plan environnemental, technique et financier.

Le rôle de transition que doivent jouer pendant encore plus de dix ans les centrales thermiques au gaz, qui utilisent donc un combustible fossile, est critiqué par les défenseurs du climat. Les 10 nouveaux gigawatts que veut installer le gouvernement reviennent à augmenter d'un tiers la puissance de centrales thermiques au gaz déjà disponible en Allemagne.

Le projet est aussi jugé incertain car faute d'hydrogène vert en quantité suffisante localement, l'Allemagne va devoir importer une grande part de cette ressource.

Le coût est également un obstacle, ces nouvelles centrales devant être subventionnées car leur fonctionnement intermittent va limiter leur rentabilité. Selon la presse, la facture s'élèvera à environ 16 milliards d'euros pour les vingt prochaines années.

Or l'Allemagne a récemment été privée de 60 milliards de crédits d'investissement par un rappel à l'ordre budgétaire de la Cour constitutionnelle, qui rend incertaine sa capacité de soutenir la transition énergétique avec des fonds publics, également soumis à l'approbation de la Commission européenne.

Le pays doit dans le même temps accélérer sa transition pour remplir son objectif de produire 80% d'électricité à partir d'énergies renouvelables d'ici 2030, contre un peu plus de 50% l'an dernier, tout en sortant du charbon en 2038 au plus tard.

Les EnR ont couvert près de 60 % de la demande d’électricité en Allemagne en 2023
De nouvelles statistiques de l’Institut Fraunhofer pour les systèmes d’énergie solaire montrent que les systèmes photovoltaïques en Allemagne ont produit environ 59,9 TWh d’énergie solaire en 2023, dont 6,4 TWh ont été utilisés pour la consommation domestique.

JANVIER 5, 2024 SANDRA ENKHARDT

Les énergies renouvelables représenteront une part record de 59,7 % de la production publique nette d’électricité en Allemagne en 2023, selon les nouveaux chiffres de Fraunhofer ISE.

L’institut de recherche a enregistré de nouveaux records pour l’énergie éolienne et solaire. L’éolien terrestre et offshore était la source la plus importante de production publique d’électricité avec 139,8 TWh, soit 32 % du total. La production des parcs éoliens a augmenté de 14,1 % par rapport à 2022.



L’Allemagne a atteint une capacité photovoltaïque nouvellement installée record d’environ 14 GW l’année dernière, marquant la première fois que le taux d’expansion atteignait deux chiffres, dépassant l’objectif de 9 GW fixé par le gouvernement fédéral. Les 59,9 TWh produits par les systèmes photovoltaïques ont contribué à hauteur de 53,3 TWh au réseau public, et 6,4 TWh ont été utilisés pour l’autoconsommation.

Pour le seul mois de juin, les systèmes photovoltaïques en Allemagne ont produit environ 9 TWh d’électricité, ce qui constitue un nouveau record mensuel.

L’hydroélectricité a également progressé, mais sa production n’a quasiment pas évolué. Elle contribue à hauteur de 20,5 TWH à la production publique d’électricité, soit 3 TWh de plus qu’en 2022. La biomasse est restée stable à 42,3 TWh. Au total, les énergies renouvelables ont produit environ 260 TWh, soit une hausse de 7 % par rapport à 2022.

La capacité installée des batteries a presque doublé, passant de 4,4 GW en 2022 à 7,6 GW l’année dernière. La capacité de stockage est passée de 6,5 GWh à 11,2 GWh. La production des centrales de pompage-turbinage allemandes a atteint 6 GW.

energy_isere a écrit : ↑

04 janv. 2024, 20:10

mobar a écrit : ↑

04 janv. 2024, 14:23

C'est bien plus compliqué que ça, la France vends à l'Allemagne de l'électricité qu'elle produit en trop a des moments ou la demande allemande est faible ou moyenne ce qui permet aux allemands de l'acheter à bas cout en réduisant ses productions pilotables

Affirmation péremptoire étayée sur rien du tout, comme d'habitude.

Hier l' Allemagne s'est gavée avec 6 GW d'importation de la France. Si ils en on pris tant c'est qu'ils avaient de bonnes raisons. Ne serais ce que pour diminuer leur production d'électricité de centrale lignite si polluant.

Jeuf a écrit : ↑

04 janv. 2024, 16:32

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-trop de nucléaire, le production va bien au-delà de la base, et il arrive qu'elle doive être diminuée. Est-ce que ça n'a pas un impact sur les réacteurs?

.....

mobar a écrit : ↑

04 janv. 2024, 14:23

C'est bien plus compliqué que ça, la France vends à l'Allemagne de l'électricité qu'elle produit en trop a des moments ou la demande allemande est faible ou moyenne ce qui permet aux allemands de l'acheter à bas cout en réduisant ses productions pilotables