L'industrie agricole française.

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Re: L'industrie agricole française.

par kercoz » Hier, 14:29

Pas mal de vignes non taillées par chez moi, qui repartent en feuilles ....probablement pour etre arrachées ....PROBLEME: Elles ne sont pas traitées ! ...et vont propager des ras de merdes plus loin ....perso, je vais doubler mes traitements de BBx ( érinose déja présente ..mais pas trop dangereux)

Re: L'industrie agricole française.

par energy_isere » Hier, 13:48

suite de ce post du 22 dec 2023 http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 3#p2382093
"Un crève-cœur": face à la surproduction, Bordeaux se résigne à arracher des vignes

Article de J. Br. 28 avril 2024 BFM

Méthodiquement, la pince mécanique déracine les vignes de Renaud Jean. Une destruction "compliquée à vivre" pour ce viticulteur, mais "le moins mauvais calcul" grâce à un plan d'arrachage subventionné pour sauver le Bordelais de la surproduction, et bientôt étendu à d'autres régions. Ceps, piquets, fils de fer, les rangées disparaissent sous les secousses de la machine, ramenant ces trois hectares de coteau à l'état de jachère. Le bois entassé sur la parcelle sera brûlé, la ferraille recyclée.

Image
L'arrachage de vignes à Saint-Martin-de-Sescas (Gironde), près de Bordeaux, le 18 avril 2024 (photo d'illustration).

À Saint-Martin-de-Sescas, dans l'Entre-deux-Mers, la terre argilo-limoneuse est pourtant fertile, l'exposition plein sud excellente, les vignes épanouies. Mais face à la surproduction qui mine le Bordelais, premier vignoble AOC de France avec 103.000 hectares, pas moins de 1.200 viticulteurs se sont résignés à bénéficier du dispositif d'arrachage cofinancé par l'État et l'interprofession à hauteur de 57 millions d'euros.

Quelque 8.000 hectares sont concernés d'ici au 31 mai, et jusqu'à 1.500 hectares supplémentaires le seront l'hiver prochain. D'autres viticulteurs arrachent des vignes sans subvention, espérant conserver leur droit à plantation si le marché repart, ont constaté les entrepreneurs du secteur.

"Entre la peste et le choléra"

Arracher, "ce n'est pas un bon calcul, mais c'est le moins mauvais: j'ai dû choisir entre la peste et le choléra", raconte à l'AFP Renaud Jean, qui supprime plus de la moitié de ses 37 hectares de vignes. "Il faut arrêter de rentrer des raisins tous les ans parce qu'il n'y a pas de sortie. L'arrachage est une politique mortifère, c'est quelque chose de très compliqué à vivre, mais ça fera du bien à ceux qui restent", espère ce viticulteur et négociant âgé de 55 ans.

Depuis plusieurs années, la baisse de la consommation de vin et les difficultés à l'export, notamment vers la Chine, ont précipité Bordeaux dans la crise. Début 2023, un tiers des 5.000 vignerons bordelais se déclaraient en difficulté. "Ça fait des années qu'on travaille à rééquilibrer l'offre et la demande", dit à l'AFP Allan Sichel, président du Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB). "Le plan d'arrachage vise à réduire le volume produit", souligne-t-il, même si l'objectif premier est sanitaire: lutter contre la flavescence dorée, une maladie qui menace les vignes laissées à l'abandon.

Les pelles fonctionnent à plein régime. L'activité d'arrachage, habituelle pour replanter les parcelles, a "doublé ou triplé" depuis janvier, observe Benjamin Banton, président départemental des Entrepreneurs de territoire, organisation de prestataires de l'agriculture. Le dispositif d'aide, approuvé en novembre par la Commission européenne, offre 6.000 euros par hectare arraché, à condition de renaturer la parcelle (jachère ou forêt) pendant 20 ans ou d'adopter un autre type de culture.

Cette prime "ne couvre pas la moitié de la valeur du vignoble", calcule le viticulteur Renaud Jean, qui avait acheté cette parcelle au prix de 13.000 euros l'hectare dix ans auparavant. En outre, l'arrachage lui coûte 1.500 euros par hectare de vignes, sans compter un labour pour ôter les racines. "Au final, il ne va me rester vraiment pas grand-chose", note-t-il. "Ce n'est pas un parachute doré", mais "l'opportunité de pouvoir passer à autre chose".

Jusqu'à 100.000 hectares

Le vigneron va laisser en jachère les parcelles proches des habitations et reboiser celles adossées à des forêts. Enfin, une dizaine d'hectares seront consacrées à sa diversification: cultiver de la luzerne pour l'alimentation animale, avec le projet d'un séchoir photovoltaïque partagé avec d'autres agriculteurs.

D'autres régions françaises pourraient aussi se mettre à arracher des vignes. Sous réserve d'un feu vert européen, un fonds gouvernemental de 150 millions d'euros sur deux ans est annoncé pour restructurer le vignoble, via des arrachages définitifs, ou bien temporaires pour replanter des cépages plus résistants au réchauffement climatique ou mieux adaptés à la demande. "Jusqu'à 100.000 hectares" pourront être concernés, selon le ministre de l'Agriculture Marc Fesneau, sur près de 800.000 hectares de vignes en 2020.

En attendant, même si le Bordelais avait déjà connu l'arrachage dans les années 2000, la destruction de vieilles vignes est un "crève-cœur", relève Benjamin Banton. "C'est notre métier, ce sont nos bébés", confie-t-il. "On a arraché toute la propriété d'une personne de 70 ans", signale Serge Maury, entrepreneur spécialisé dans les travaux viticoles. "C'est toute une vie, plusieurs générations qui ont vécu là, et ça s'en va."
https://www.msn.com/fr-fr/finance/econo ... 3771&ei=15

Re: L'industrie agricole française.

par energy_isere » 27 avr. 2024, 10:07

Ce fruit surprenant envisagé par certains vignerons pour se diversifier

Lefigaro 27 avril 2024

Dans le Gard, à Bagnols sur Cèze, le viticulteur Thomas Saleilles s'est lancé dans l'aventure de la grenade en 2010. Soucieux de ne pas dépendre que de la vigne, il a choisi très tôt de s'orienter vers la culture de cet arbre méditerranéen, plutôt commun dans le sud de la France, résistant aux conditions climatiques extrêmes et peu sensible aux maladies. Aujourd'hui, il cultive quelque 12 000 plants de grenadiers bios sur 14 hectares de terres, qui lui assurent 70% de ses revenus. Parmi les 70 variétés de grenadiers qu'il expérimente sur son domaine, Thomas Saleilles en multiplie et vend sept d'entre elles au sein de sa pépinière La Grenattitude. «Je suis pépiniériste, producteur de grenades et transformateur avec des variétés comme la Provence, la Wonderful, l'Acco, l'Hermione, la Seedless et la Fleshman», explique-t-il. Outre la vente de plants de grenadiers qu'il propose, Thomas Saleilles produit également 50 000 litres de jus de grenade chaque année qu'il vend sur son domaine, écoule via la coopérative Uni-Vert et par correspondance sur son site internet. «On a une grosse unité de transformation spécialisée dans le jus de grenade avec des outils spécifiques pour enlever la peau et ne presser que les arilles, ces baies que l'on trouve à l'intérieur et qui contiennent un pépin plus ou moins dur, duquel on peut extraire une huile, très recherchée en cosmétique», détaille le producteur. Le cuir de la grenade, sa peau, riche en antioxydants, offre également des débouchés dans l'univers de la cosmétique, des compléments alimentaires, et il peut, de façon plus anecdotique, être employé pour les teintures végétales.

La grenade, une production complémentaire au raisin ?

Face aux débouchés de la grenade et à ses relatives contraintes de production, la filière grenade a commencé à se structurer dès 2020. Fondé en février 2023, le Syndicat France Grenade s'emploie donc à promouvoir la grenade sous toutes ses formes. Il travaille en collaboration avec le réseau Bio de Provence-Alpes-Côte d'Azur qui accompagne les producteurs sur de multiples fronts : de la mise en place des itinéraires techniques dans les vergers à la commercialisation des produits. «Le grenadier, c'est une variété que l'on retrouve de façon endémique et depuis des siècles dans les jardins. Face au réchauffement climatique, il est intéressant ; il résiste aux grosses chaleurs et au gel, et ses fruits sont récoltés en octobre et novembre, ce qui est compatible avec le calendrier viticole. De plus, les viticulteurs peuvent mutualiser leur main-d’œuvre pour la récolte et employer leurs pressoirs, en les adaptant, pour presser les grenades», précise Enora Jacob, animatrice à Bio de Paca.

Les bémols de la culture du grenadier

En Occitanie, le vigneron Philippe Bardou, qui cultive 54 hectares de vignes dans son Domaine Val des Bruyères, a planté ses premiers grenadiers en 2016. Après quelques aléas climatiques sur sa production, il envisage ses premiers débouchés cette année pour la vente en primeurs de fruits de bons calibres. «Si tout est bon dans la grenade, il faut tout de même savoir qu'il faut attendre 5 ans avant que l'arbre ne donne des fruits en grandes quantités. Et il lui faut aussi de l'eau au moment du développement de la grenade afin que les baies grossissent bien, car la peau n'est pas élastique. Enfin, je pense qu'il est également important de bien mixer les variétés de grenadiers sur son exploitation afin de pouvoir obtenir des jus équilibrés en sucre et en acidité», conseille-t-il. Pour Enora Jacob, le marché de la grenade, s'il permet une diversification intéressante des cultures, n'est pas non plus un eldorado. «Les fruits et jus d'importation prennent déjà une grande place sur le marché français, qui est soumis à des coûts de production élevés. C'est en structurant la filière française de la grenade et en l'aidant à trouver toute sa place que l'on aidera les producteurs à tirer leur épingle du jeu», termine-t-elle.
https://www.msn.com/fr-fr/Lifestyle/Lif ... 0#comments

Re: L'industrie agricole française.

par mobar » 26 avr. 2024, 18:59

https://avis-vin.lefigaro.fr/economie-d ... ial-de-vin
La France devrait, selon de premières estimations, redevenir en 2023 le premier producteur mondial de vin devant l'Italie.

C'est une performance «symbolique». La France est en passe de redevenir en 2023 le premier producteur mondial de vin devant l'Italie. Ce retour sur la première marche est principalement lié à une récolte moins abondante en Italie, a estimé lundi auprès de l'AFP un spécialiste du secteur. La production viticole française «s'élèverait (cette année) à 46 millions d'hectolitres, soit un niveau comparable à celui de 2022 et supérieur de 3% à la moyenne 2018-2022», a indiqué vendredi le service statistique du ministère français de l'Agriculture, Agreste, en se basant sur des estimations établies au 1er octobre.

La production italienne devrait de son côté tomber à environ 43 millions d'hectolitres, contre 50 millions l'année précédente, a signalé le 2 octobre la principale organisation agricole italienne, Coldiretti, dans un communiqué. «C'est un événement notable car c'est symbolique», a souligné auprès de l'AFP Jean-Marie Cardebat, spécialiste de l'économie du vin à l'Université de Bordeaux. Depuis 2007, mis à part en 2011 et 2014, l'Italie garde en effet la place de premier producteur de vin au monde, selon les chiffres de l'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV).
https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html
Les volumes de vin écoulés sur la planète ont connu une nouvelle évaporation en 2023. La consommation mondiale a, en effet, décru de 2,6 % sur un an, pour atteindre 221 millions d'hectolitres, selon les données publiées, jeudi 25 avril, par l'Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV).
L’épicentre du phénomène est à chercher en Chine, où la consommation s’est réduite de 2 millions d’hectolitres par an depuis 2018. La décélération a été encore plus brutale en 2023, puisque les volumes ont plongé de 24,9 %, à 6,8 millions d’hectolitres. La Chine se situe désormais en neuvième position dans le classement des Etats les plus avides de vin. Il y a six ans, elle occupait le cinquième rang.
Les chinois ont baissé leur consommation de vin, bilan des courses : la viticulture mondiale est en crise!
Pour une fois que ce n'est pas la faute au réchauffement climatique, on va pas se plaindre! :lol: :lol:

Re: L'industrie agricole française.

par phyvette » 26 avr. 2024, 12:19

La production mondiale de vin a chuté de 10% en 2023 et atteint son plus bas niveau depuis 1961

Cette dégringolade, qui va de pair avec une baisse continue de la consommation, est la conséquence directe de "conditions environnementales extrêmes", selon l'Organisation internationale du vin.
https://www.francetvinfo.fr/culture/cui ... 08217.html

Re: L'industrie agricole française.

par energy_isere » 23 avr. 2024, 22:00

A Saint-Emilion en Gironde, des bougies pour protéger les vignes du gel

AFP VIDEO •23/04/2024

Les gelées blanches sont chaque année redoutées par les vignerons du Bordelais. Cette année, ils sont particulièrement prudents et allument la nuit des bougies pour réchauffer leurs vignes.
https://www.boursorama.com/videos/actua ... be2fd95b34

Re: L'industrie agricole française.

par supert » 14 avr. 2024, 15:54

Moi je préfère que 40 000 poules la ferme plutôt qu'une ferme de 40 000 poules.


Supert qui passe sans trépasser

Re: L'industrie agricole française.

par energy_isere » 13 avr. 2024, 15:16

Yvelines : la justice interdit la création d'une ferme de 40.000 poules
La Cour administrative d'appel de Versailles met un coup d'arrêt à la création d'une immense ferme de 40.000 poules pondeuses à Gressey dans les Yvelines. Elle justifie sa décision en raison de l'existence de risques environnementaux.

le 12 avr. 2024 lesechos
https://www.lesechos.fr/pme-regions/ile ... es-2088664

Re: L'industrie agricole française.

par energy_isere » 10 avr. 2024, 22:24

Le géant des huiles Avril vante sa "résilience" en dépit d'un net recul des ventes

BOURSORAMA AVEC AFP•10/04/2024

Le groupe agroalimentaire Avril, géant français des huiles et producteur d'agrocarburant, a vu ses ventes refluer et son bénéfice net chuter de 82% en 2023, mais a salué mercredi "des résultats financiers solides" dans un "contexte mondial difficile".

Ce reflux n'est pas une surprise: après une année de performances record en 2022, le groupe avait annoncé des perspectives moins bonnes avec une baisse du carnet de commandes dès le premier trimestre 2023.

Connu du grand public pour ses marques Lesieur et Puget, Avril a insisté sur "la résilience de son modèle", avec la poursuite de ses investissements et un nouveau plan stratégique, lors d'une conférence de presse mercredi à Paris.

Le groupe, également actif dans les agrocarburants (Saipol) et l'alimentation des animaux d'élevage (Sanders), a réalisé l'an dernier un chiffre d'affaires de 7,9 milliards d'euros, en net recul de 13% par rapport à 2022.

Son bénéfice net est tombé à 39 millions d'euros et sa marge nette s'est inscrite à 0,5% (contre 2,4% en 2022).

Le directeur général du groupe, Jean-Philippe Puig, a relativisé ces chiffres, mettant en avant le modèle particulier d'Avril qui "ne verse aucun dividende": un résultat net, même faible, vient gonfler les capitaux propres.

M. Puig explique le repli du chiffre d'affaires "à la fois par une baisse du prix du pétrole - et donc de l'énergie - et des matières premières agricoles".

"On vend beaucoup plus d'énergie qu'on n'en achète. On fait du biodiesel (Oléo100), donc quand le prix de l'énergie baisse, le chiffre d'affaires baisse, c'est très mécanique", a-t-il détaillé.

Dans un contexte de fort ralentissement économique en Europe, M. Puig estime qu'Avril "réalise une solide performance" avec un excédent brut d'exploitation (Ebitda) de 341 millions d'euros. En baisse de 41,5% sur un an, ce résultat est toutefois la "troisième meilleure performance" de l'histoire du groupe né en 1983, a-t-il souligné.

En 2022, les résultats étaient portés par "l'explosion du prix des matières premières" et la "peur de manquer (d'huile, d'énergie...)", a noté le directeur financier du groupe, Aymeric Mongeaud.

En 2023, taux d'intérêts et inflation sont montés et "on a vu une forte baisse de la demande, avec moins de volumes sur les activités offrant les plus grands taux de marge, mais nous n'avons perdu aucune part de marché", a-t-il dit.

Deux domaines en particulier ont souffert: l'oléochimie, pénalisée par la baisse des achats des clients industriels du groupe, et la grande consommation, avec un mauvais bilan pour les huiles, dont Lesieur en France.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... e42bc0f89c

Re: L'industrie agricole française.

par supert » 27 mars 2024, 13:57

Ma mémoire croit se souvenir que certaines maisons champenoises achetaient des hectares en Angleterre. Pas pour y faire du mouton.


Supert qui a mal au Reims

Re: L'industrie agricole française.

par GillesH38 » 27 mars 2024, 13:47

phyvette a écrit :
27 mars 2024, 13:21
Des scientifiques prédisent la disparition des vignobles des côtes et des plaines du sud de la France, de l’Espagne, de l’Italie, de la Grèce et de la Californie si le réchauffement climatique dépasse 2°C. Des vins de qualité seront produits en Belgique, aux Pays-Bas, et même au Danemark.
https://www.vitisphere.com/actualite-10 ... iecle.html
le titre ne correspond pas tout à fait au contenu (qui est celui que j'ai entendu sur France Inter ce matin)
risquent de perdre leur aptitude à produire du vin de qualité à des rendements économiquement soutenables
ils craignent plus pour la qualité que la disparition proprement dite des vignobles.

Après vu ce qu'on arrive à faire boire au chinois comme "bon vin français", je me demande si c'est un vrai problème :lol:

Re: L'industrie agricole française.

par phyvette » 27 mars 2024, 13:21

Des scientifiques prédisent la disparition des vignobles des côtes et des plaines du sud de la France, de l’Espagne, de l’Italie, de la Grèce et de la Californie si le réchauffement climatique dépasse 2°C. Des vins de qualité seront produits en Belgique, aux Pays-Bas, et même au Danemark.
https://www.vitisphere.com/actualite-10 ... iecle.html


“Il y a une viticulture très prospère qui est en train de s’installer en Angleterre, aux Pays-Bas aussi où on commence à planter des vignes. J’ai goûté également récemment un vin polonais qui n’était pas mal du tout. Des opportunités vont aussi apparaître dans le nord de la France et aussi en Bretagne et en Normandie”,
https://rmc.bfmtv.com/actualites/scienc ... 70239.html

Re: L'industrie agricole française.

par energy_isere » 04 mars 2024, 08:29

merci pour la vidéo. J'avais jamais vu le pistachier. Il ya donc des males et des femelles.

Re: L'industrie agricole française.

par Silenius » 04 mars 2024, 03:22

kercoz a écrit :
03 mars 2024, 17:15
energy_isere a écrit :
03 mars 2024, 14:47

Mais ceux qui irriguent leurs pistachiers le font « dans des limites raisonnables. On s’est fixé une barrière aux alentours de 1.000 m3/hectare, ce qui correspond à peu près à ce qui est pratiqué dans la viticulture.
Pas glop !
Vive l'irrigation !
https://www.youtube.com/watch?v=O2JRQHj0ASw

Re: L'industrie agricole française.

par kercoz » 03 mars 2024, 17:15

energy_isere a écrit :
03 mars 2024, 14:47

Mais ceux qui irriguent leurs pistachiers le font « dans des limites raisonnables. On s’est fixé une barrière aux alentours de 1.000 m3/hectare, ce qui correspond à peu près à ce qui est pratiqué dans la viticulture.
Pas glop !

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