chauffage quelles alternatives ?

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Re: chauffage quelles alternatives ?

par energy_isere » Hier, 09:33

L'enjeu de la rénovation des piscines, gouffre énergétique pour les collectivités

AFP le 01 mai 2024

Panneaux solaires, géothermie, bassin nordique... A Bordeaux, trois piscines publiques sur cinq sont actuellement en cours de rénovation, un chantier d'envergure pour moderniser des bâtiments vétustes qui sont de véritables gouffres énergétiques pour les collectivités.

Dans "le top 10 des bâtiments les plus énergivores de la ville, trois sont des piscines", explique Laurent Guillemin, adjoint au maire de Bordeaux en charge de la sobriété dans la gestion des ressources naturelles.

Une situation que l'on retrouve dans d'autres villes, ailleurs en France.

Selon Guillaume Perrin, directeur du programme ACTEE, un programme de certificats d'énergie porté par la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR), les piscines représentent 10 à 25% de la facture énergétique d'une commune.

Elles sont les principales sources de consommation d'énergie des métropoles selon l'Ademe, l'agence gouvernementale dédiée à la transition écologique.

A l'heure de la hausse des coûts de l'énergie, il est donc urgent de rénover un parc vieillissant - 60% des 4.135 piscines municipales françaises ont plus de 30 ans -, d'autant que celles construites des années 1950 aux années 1980 sont les plus mal isolées.

- Abandonner le gaz -

"On avait de l'énergie pas chère, alors on n'a pas investi dans des bâtiments suffisamment isolés", précise Guillaume Perrin.

"Chauffer l'air est ce qui consomme le plus d'énergie. On parle de gros volumes, dont la hauteur de plafond atteint les 5, 6, 8 mètres avec beaucoup d'humidité et de brassage d'air", précise Laurent Guillemin.

Il faut donc investir dans de "nouvelles centrales de traitement d'air vertueuses qui se chargent de refroidir et déshumidifier, puis de chauffer l'air" ajoute-t-il.

Une amélioration prise en compte dans deux piscines actuellement en travaux à Bordeaux (Grand Parc et Judaïque).

Une autre (Stéhelin) devrait, elle, être convertie en piscine nordique, un bassin extérieur ouvert toute l'année, afin d'éliminer les dépenses liées au chauffage de l'air.

Quant au gaz, jusque-là majoritairement utilisé par les piscines françaises, c'est "une énergie carbonée à abandonner au profit d'énergies renouvelables", constate Eric Aufaure, coordinateur du pôle bâtiment à l'Ademe Nouvelle-Aquitaine.

La piscine Judaïque sera donc chauffée grâce à la géothermie et celle du Grand Parc reliée au réseau de chaleur urbain, alimenté par la géothermie et le bois.

"Si la piscine ne peut être reliée au réseau de chaleur urbain, elle peut être chauffée par des chaudières en bois", précise Eric Aufaure. Comme c'est le cas à Périgueux et Bergerac, en Dordogne voisine.

Le solaire photovoltaïque peut alimenter l'éclairage du bâtiment, tandis que le solaire thermique peut chauffer l'eau des douches.

- Eau plus froide -

D'autant plus que "les piscines construites pendant les Trente Glorieuses ont des toits plats, où il est très facile d'installer du solaire", affirme Guillaume Perrin.

En Nouvelle-Aquitaine, 75 piscines publiques sont déjà équipées de solaire thermique, six sont chauffées grâce à la géothermie et une vingtaine au bois ou via le raccordement à un réseau de chaleur urbain selon l'Ademe.

"La rénovation globale d'une piscine peut permettre 60 à 80% d'économie sur la facture énergétique d'une commune" mais "des travaux pas chers et immédiats" suffisent pour atteindre "30% d'économie d'énergie", avance Guillaume Perrin.

Le programme ACTEE préconise notamment d'isoler les canalisations et de nettoyer les bouches d'aération de la centrale de traitement d'air.

Après l'invasion de l'Ukraine et l'envolée des coûts de l'énergie qui s'en est suivie, ce programme a aussi recommandé aux maires de regrouper les plages d'utilisation des bassins afin de baisser la température de l'eau de 1,5 degré, hors horaires dédiés aux séniors et aux bébénageurs.

A Bordeaux, cette mesure, en place depuis l'hiver 2022, permet d'économiser 5 à 6% de l'énergie consacrée au chauffage du bassin.

Depuis 2017, l'effort est aussi porté par Bordeaux Métropole, intercommunalité regroupant 28 communes. Son plan piscines de 40 millions d'euros accompagne la rénovation de 6 des 24 piscines municipales de son territoire et la construction de 7 nouveaux bâtiments.
https://www.connaissancedesenergies.org ... tes-240501

Re: le solaire; une installation en temps réel

par kercoz » 14 déc. 2009, 13:46

Super ton truc . L'idéal serait que ça marche , au moins partiellement en thermosyphon pour s'affranchir de l'elec.

Re: chauffage quelles alternatives ?

par Berthier » 15 sept. 2009, 17:50

Pour l'ECS, au niveau macroéconomique, il n'y a rien de mieux de les chauffe-eau électriques. On régule la production nucléaire pendant les heures creuses (coût de revient 3 c euros/kWh).

Pour le chauffage tout dépend du parc nucléaire qui est derrière, de la température souhaitée et de l'isolation : si on va vers 50 kWh/m2/an, le chauffage électrique par effet Joule est encore ce qu'il y a de mieux surtout pour l'habitât en zone méditerranéenne qui serait en dessous de cette valeur.(Bernard Reynier a fait une étude dans l'Expansion la dessus).

Personnellement, je pense que du solaire passif, de l'isolation et du chauffage par effet Joule sont la meilleure solution.

Si on va vers 50 kWh/m2 et 3 millards de m2, ça fait à peine 150 TWh

Le solaire thermique c'est du 18 c euros du kWh hors subventions, et l'hiver ça ne donne pas grand chose
les PAC c'est pareil et pour l'instant il n'y a de dangereux HFC dedans
Le fossile n'en parlons pas.

Voilà un communiqué qui va dans le même sens :
COMPRENDRE LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE





Après le vote de la loi Grenelle 1, qui réglemente les consommations de chauffage au niveau de l’énergie primaire consommée, le débat sur le chauffage électrique va se déplacer sur les textes d'application, Rappelons que 70 % des logements neufs optent pour des solutions électriques, un taux qui s’explique notamment par le coût réduit des systèmes de chauffages radiants et par la possibilité de produire l’eau chaude par ballon à accumulation(1).

Le fait de prendre pour base de calcul l’énergie primaire et non l’énergie finale, revient selon les standards en vigueur en France (2), à multiplier par prés de trois la consommation énergétique liée au chauffage électrique et élimine de fait une technique qui ne rejette pas ou peu de CO2. Le député Patrick Ollier a bien essayé de revenir à un calcul en énergie finale, qui a le grand mérite de caractériser le degré d’isolation du logement. Il n’a été que partiellement suivi et, finalement, la loi prévoit simplement de tenir compte des émissions de CO2 selon des conditions qui ne pêchent par excès de clarté (3).

Il est fort heureusement prévu que la réflexion sur le décret d'application soit confiée à "l'Office Parlementaire d'Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques" (OPECST) qui a toujours donné des avis réfléchis et responsables.

Les propositions du Grenelle de l’environnement, reprises dans la loi, sont fondées sur une étude fortement biaisée de l’ADEME. Celle-ci fait l’hypothèse que toute la consommation d’électricité liée au chauffage se fait aux heures de pointe et est assurée par des centrales brûlant du charbon ou du gaz. Ces hypothèses sont doublement fausses, comme l’a bien montré une étude de 2004 basée sur les consommations réelles (4): d’une part le nucléaire et l’hydraulique français modulent leurs productions et participent de façon importante à la pointe ; d’autre part, le réseau européen n’est pas du tout dimensionné pour fonctionner « comme une plaque de cuivre », le nucl&ea cute;aire français alimentant l’ensemble de l’Europe en base et le charbon allemand assurant la demande de pointe française.

En revanche, personne ne fait remarquer que le chauffage électrique convenablement piloté par le réseau et se mettant au ralenti aux heures de pointe (5) grâce aux futurs compteurs individuels "intelligents" (6), (ce qui, compte tenu de l’inertie thermique de bâtiments bien isolés ne devrait ne devrait pas être vraiment pénalisant) deviendra un excellent moyen pour lisser les courbes de production quotidienne et éliminer bon nombre de centrales à flamme encore en fonctionnement.

Au moment ou l’instauration de nouvelles normes d’isolation va justifier la présence de systèmes de chauffage très réactifs mais de faible puissance, espérons donc l’on ne va pas devoir se priver d’utiliser une technique bien adaptée, au nom d’un mode de calcul aberrant. Souhaitons que les membres de l’OPCEST n’acceptent pas sans sourciller des calculs et des recommandations simplistes, contraires aux intérêts de la nation.



(1) L’eau chaude sanitaire représente aujourd’hui le tiers de la consommation d’énergie d’un logement et en représentera les 2/3 dans un bâtiment basse consommation.

(2) Il ne s’agit nullement d’une norme européenne. Compte tenu de ce facteur de conversion les 50 KWh/m²/an d’énergie primaire ne correspondent plus qu’à 19 KWh/m²/an

(3) Article 4: « Toutes les constructions neuves faisant l'objet d'une demande de permis de construire déposée à compter de la fin 2012 et, par anticipation à compter de la fin 2010, s'il s'agit de bâtiments publics et de bâtiments affectés au secteur tertiaire, présentent une consommation d'énergie primaire inférieure à un seuil de 50 kilowattheures par mètre carré et par an en moyenne ; pour les énergies qui présentent un bilan avantageux en termes d'émissions de gaz à effet de serre, ce seuil sera modulé afin d'encourager la diminution des émissions de gaz à effet de serre générées par l'énergie utilisée, conformément au premier alinéa ; ce seuil pourra égal ement être modulé en fonction de la localisation, des caractéristiques et de l'usage des bâtiments ; chaque filière énergétique devra, en tout état de cause, réduire très fortement les exigences de consommation d'énergie définies par les réglementations auxquelles elle est assujettie à la date d'entrée en vigueur de la présente loi. Afin de garantir la qualité de conception énergétique du bâti, la réglementation thermique fixera en outre un seuil ambitieux de besoin maximal en énergie de chauffage des bâtiments ; ce seuil pourra être modulé en fonction de la localisation, des caractéristiques et de l'usage des bâtiments. Une étude de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques sera réalisée afin de proposer un niveau pertinent de modu lation pour respecter les objectifs fixés au premier alinéa et de mesurer l'impact économique de l'ensemble du dispositif prévu ; cette étude examinera également les questions liées aux facteurs de conversion d'énergie finale en énergie primaire. »

(4) Voir à ce propos : http://www.sauvonsleclimat.org/document ... uffage.pdf

(5) Abaisser la température de 1°permet de réduire la consommation d’énergie de 7%

(6) Le développement des réseaux intelligents (« smart grid ») est également indispensable pour permettre d’intégrer au réseau électrique une part significative d’énergies renouvelables discontinues telles que l’éolien ou le photovoltaïque.














Le collectif "Sauvons le climat " fondé en mai 2004, association loi 1901 depuis Décembre 2005, a pour ambition d’informer nos concitoyens, de manière indépendante de tout groupe de pression ou parti politique, sur les problèmes relatifs au réchauffement climatique et sur les solutions proposées pour le ralentir. Il est doté d’un comité scientifique, présidé par Michel Petit, ancien responsable du groupe français d’experts au GIEC. Son manifeste a été signé par plusieurs milliers de personnes.
La signature du manifeste et les adhésions sont possibles sur le site de Sauvons Le Climat

Re: chauffage quelles alternatives ?

par de vangelis » 15 sept. 2009, 10:54

petite remarque pour les pellets, il faut se les faire livrer en vrac, par un camion souffleur.

Celui ci grace a une soufflerie vous envoie les pellets dans votre lieu de stockage; celui-ci doit être TRES sec sinon les pellets se décomposent en sciure.

en sac c'est hors de prix et ca sert en depannage.

Re: chauffage quelles alternatives ?

par GillesH38 » 05 juin 2009, 13:35

eiramstuob a écrit :oui
je vois cela
merci
ma préoccupation est la suivante :
je suis dans une situation précaire (= pas riche) - alors je cherche comment joindre mes préoccupations écologiques à mes contraintes budgétaires. C'est pour ça que je demande ce que vaut le convecteur à gaz, comparé à l'electrique.
Mais peut-être ne suis je pas sur le bon forum? Où trouve-t-on des réponses, alors?
merci.
je pense que si tu es dans une situation précaire pas riche, ton impact écologique est de toutes façons faible en valeur absolue, donc tu n'as pas trop de culpabilité à avoir - les calculs comparant le chauffage au gaz à l'électrique sont très complexes parce qu'ils dépendent de l'heure d'utilisation et du type de centrale allumée à ce moment, même les spécialistes s'empaillent sur le sujet. Donc prend ce qui te revient le moins cher, dans ta situation, personne ne te le reprochera.

Re: chauffage quelles alternatives ?

par hrdr » 04 juin 2009, 20:49

eiramstuob a écrit :onjour
Je vais louer un appartement entièrement équipé de chauffages électriques.
La propriétaire propose d'installer un convecteur à gaz. Je ne sais pas si ça vaut vraiment le coup, autant par rapport à la qualité du chauffage (quatre pièces avec double vitrage, 50m2) que par rapport au cout du gaz (par rapport à l'électrique) et aussi pour la question écologique.
est-ce que quelqu'un sait me répondre?
merci!
La diferrence entre les deux systeme de chauffage n'est pas clairement définit car pour 50m² si tu dois prendre un abonement au gaz en plus economiquement c'est pas évident. cela dépent aussi de l'eau chaude de ton appart.

Aprés avec l'un des systeme ou l'autre le plus éfficasse reste que le logement est bien isoler, les fenetre ne laisse pas passer l'air et une temperature pas trop élever dans l'apart (dans ce cas vive les couverture sur le canap!!)

Pour le confort les deux systeme sont proche cela dépend surtout de l'inertie du logement

Re: chauffage quelles alternatives ?

par phyvette » 04 juin 2009, 20:36

@Eiramstuob.

Dans tous les cas le gaz naturel de réseaux, comparé à l'électrique et toujours moins cher. Environ 0.05€ le kWh thermique gaz, contre 0.07/ 0.11€ le kWh de chauffage électrique, suivant contrat.

C'est valable pour le gaz naturel de réseaux, pas pour les gaz en citerne ou en bouteille de 13 kg, qui reste plus cher que l'électricité.

Re: chauffage quelles alternatives ?

par eiramstuob » 04 juin 2009, 19:39

oui
je vois cela
merci
ma préoccupation est la suivante :
je suis dans une situation précaire (= pas riche) - alors je cherche comment joindre mes préoccupations écologiques à mes contraintes budgétaires. C'est pour ça que je demande ce que vaut le convecteur à gaz, comparé à l'electrique.
Mais peut-être ne suis je pas sur le bon forum? Où trouve-t-on des réponses, alors?
merci.

Re:

par energy_isere » 02 juin 2009, 21:44

Trop de chauffage électrique direct ? Rééquilibrons le parc

La France a un penchant prononcé -excessif ?- pour le chauffage électrique direct. Un observatoire des émissions de CO2 des systèmes de chauffage serait un outil utile pour aller vers plus d'équilibre


L' Expansion 02 Juin 2009

La France s’engage dans un vaste programme en faveur de l’environnement dans le cadre du Grenelle. Cependant, alors même que nous nous fixons des objectifs ambitieux, la France possède une spécificité bien particulière par rapport à ses voisins européens. En effet, le chauffage électrique direct, convecteurs ou panneaux rayonnants électriques par exemple, connaît depuis plusieurs années une croissance continue et prend une place importante dans le parc français, notamment dans les bâtiments neufs, avec un taux d’équipement quatre fois supérieur à la moyenne européenne.

Ce phénomène, unique à la France, implique chaque année une augmentation non négligeable de la consommation d’électricité due au développement du parc neuf. Cette consommation nouvelle se traduit par un besoin de puissance supplémentaire chaque année de l'ordre de 1 000 MW, soit les 2/3 d’une tranche nucléaire.


Par ailleurs, pour illustrer les conséquences de cette situation purement française, on notera qu'une baisse d’un degré de la température extérieure entraîne aujourd’hui une augmentation instantanée de la puissance appelée de 2 100 MW; ce qui explique pour l'essentiel les nombreux commentaires de la presse sur les pics d'appel de puissance totale de plus de 92 000 MW constatés cet hiver. La valeur de ces pics a, quant à elle, augmenté de plus de 10% depuis 2001 et poursuivra inexorablement sa croissance avec le développement du chauffage électrique direct dans les bâtiments. Pourtant, l’appareil français de production d’électricité basé sur le nucléaire ne suffit pas à répondre à ces pointes et rend obligatoire le recours à l’importation ou à d’autres moyens de production. C’est ainsi que des centrales thermiques plus émettrices en CO2 sont utilisées ou réactivées afin de répondre à la consommation en période de chauffage.

Dans la ligne du Grenelle, il parait donc nécessaire d’évaluer l’impact potentiel du développement non maîtrisé du chauffage électrique direct mais également l’impact potentiel des autres énergies disponibles. Compte tenu de différentes positions connues à ce jour, quelquefois contradictoires, quant au contenu carbone des énergies utilisées pour le chauffage des bâtiments, la création d’un indicateur objectif apparaît indispensable. Ainsi, Energies et Avenir appelle à la mise en place d’un Observatoire officiel des émissions de CO2 qui assurerait ce suivi. Le chiffrage, établi pour chaque énergie et actualisé, permettrait d’orienter et d’asseoir sur des bases impartiales et équitables les mesures législatives et réglementaires visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre mais également les décisions et comportements des propriétaires et occupants des bâtiments.

Les professionnels du chauffage durable appellent donc à une prise de conscience et à une réflexion commune face à l’enjeu que représente le rééquilibrage entre les différents systèmes de chauffage et les solutions énergétiques.
http://energie.lexpansion.com/articles/ ... s-le-parc/

convecteur au gaz

par eiramstuob » 02 juin 2009, 20:01

Bonjour
Je vais louer un appartement entièrement équipé de chauffages électriques.
La propriétaire propose d'installer un convecteur à gaz. Je ne sais pas si ça vaut vraiment le coup, autant par rapport à la qualité du chauffage (quatre pièces avec double vitrage, 50m2) que par rapport au cout du gaz (par rapport à l'électrique) et aussi pour la question écologique.
est-ce que quelqu'un sait me répondre?
merci!

par Schlumpf » 08 sept. 2006, 23:28

sceptique a écrit :Pour les "pellets" j'ai vu une horreur à Castorama :
cout du kWh par sacs de 25 kg : 16 centimes du kWh :evil:
ordre de grandeur : gaz 3 centimes, fuel 6 centimes, électrique 9 centimes (hors contrat spécial chauffage électrique).
Là, j'ai quand même beaucoup de mal avec Casto... Une tonne de pellet c'est 5000 kWh. A 180€ (c'est les chiffres de l'isère_energie), ca fait pour moi le pellet à 3,6 cents du kWh. Que le fait de le mettre en sac de 25 kg multiplie le prix par 4, c'est proche de l'usure...

Je veux bien que le pellet soit à l'investissement plus onéreux que le convecteur électrique. Mais de là à multiplier le prix par 4, il y a un fossé qu'il est à mon avis de mauvaise fois de franchir...

par mahiahi » 08 sept. 2006, 10:19

Et le pull-over?

par energy_isere » 07 sept. 2006, 23:56

Schlumpf a écrit :ah oui ! Ca doit être ça ! Casto livre en sac de 25 kg pour alimenter les briquets en pellets...

Vendre des sacs de 25 kg alors qu'il faut de 2 à 5 tonnes de pellets pour alimenter une maison pour l'hiver, c'est complètement à coté de la plaque. Si c'est la seule méthode qu'a trouvé Castorama pour discréditer le chauffage au bois par granulé, c'est une ignominie sans nom. Si c'est une erreur de marketing, elle est de taille ! En tout cas, que cela soit une manoeuvre pour discréditer le pellet ou une erreur magistrale, cela ne parle guère en faveur du professionalisme de Castorama. Dommage.
je pencherais plutot pour dépanner (au prix fort) le quidam qui a oublié de faire le plein de pellet en quantité et qui se trouve à devoir en acheter un peu pour tenir quelques jours.

par Schlumpf » 07 sept. 2006, 23:48

ah oui ! Ca doit être ça ! Casto livre en sac de 25 kg pour alimenter les briquets en pellets...

Vendre des sacs de 25 kg alors qu'il faut de 2 à 5 tonnes de pellets pour alimenter une maison pour l'hiver, c'est complètement à coté de la plaque. Si c'est la seule méthode qu'a trouvé Castorama pour discréditer le chauffage au bois par granulé, c'est une ignominie sans nom. Si c'est une erreur de marketing, elle est de taille ! En tout cas, que cela soit une manoeuvre pour discréditer le pellet ou une erreur magistrale, cela ne parle guère en faveur du professionalisme de Castorama. Dommage.

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