Italie

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Re: Italie

par energy_isere » 26 oct. 2023, 22:20

Italie: Vers un plus bas record du nombre de naissances en 2023

REUTERS•26/10/2023

Le nombre de naissances en Italie se dirige vers un nouveau plus bas record cette année, selon des données préliminaires signalant une aggravation de la crise démographique qui sévit depuis longtemps dans le pays.

Entre janvier et juin, il y a eu 3.500 naissances de moins qu'au cours de la même période en 2022, selon les données du bureau national des statistiques ISTAT.

Sur l'ensemble de l'année 2022, les naissances ont diminué de 1,7% pour atteindre 393.000, soit une 14ᵉ baisse consécutive et le chiffre le plus bas depuis l'unification du pays en 1861.

Ce mois-ci, la présidente du Conseil italien Giorgia Meloni a affecté environ un milliard d'euros à des mesures visant à résoudre la crise, due en partie aux difficultés rencontrées par les Italiennes pour concilier travail et maternité.

La crise démographique est considérée comme une urgence nationale pour la troisième économie de la zone euro.

La diminution et le vieillissement de la population entraînent une baisse de la productivité et une augmentation des coûts de la protection sociale dans un pays qui paie déjà la facture la plus élevée selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

L'ISTAT a déclaré dans son rapport que, sur la base des données de janvier à juin, le taux de fécondité en 2023 devrait baisser à 1,22 enfant par femme, contre 1,24 en 2022.

Ce taux est soutenu par les populations immigrés, alors que chez les femmes de nationalité italienne, il n'était que de 1,18 en 2022.

Le rapport de l'ISTAT montre également qu'en moyenne, les femmes italiennes ont leur premier enfant à 31 ans et l'année dernière, 41,5% des bébés sont nés de femmes non mariées.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 2062fd6815

Re: Italie

par energy_isere » 12 juin 2023, 23:38

vu sur forum bulle immo :
m.enfin a écrit :
12 juin 2023, 12:47
du coup, n'est il pas plus pertinent de l'appeler désormais "Il cadavere" ?

Re: Italie

par phyvette » 12 juin 2023, 11:05

Ah ben, un camarade de Poutine en moins.

Re: Italie

par GillesH38 » 12 juin 2023, 10:58

Silvio Berlusconi, "Il cavaliere", est décédé, à 86 ans

https://www.bfmtv.com/international/eur ... 20330.html

Re: Italie

par phyvette » 07 juil. 2018, 19:51

La dette Target-2 de la Banque d’Italie envers la Banque centrale européenne viennent d’atteindre un nouveau sommet historique à 481 milliards d’euros à la fin du mois de Juin 2018. Enfin la presse parle de sommet, alors que ce serait plutôt en fait d'un gouffre sans fond.

Image

https://twitter.com/Schuldensuehner/sta ... 9319651334

Re: Italie

par energy_isere » 28 nov. 2016, 19:24

Énergie: Edison, filiale d'EDF, veut tripler sa clientèle en Italie

Par Frédéric De Monicault le 28/11/2016

La filiale transalpine d'EDF veut passer de 1 à 3 millions de clients particuliers d'ici 2018. Une opération avec ENI est dans le viseur.


Edison, la filiale italienne d'EDF (dont il détient 97%) n'est pas seulement un «grossiste de l'énergie» - selon les mots de son CEO Marc Benayoun -, qui cherche en priorité à alimenter les gros industriels; c'est aussi une entreprise active sur le créneau des particuliers et qui possède de grosses ambitions dans ce domaine. Lundi à Paris, son dirigeant a souligné qu'elle visait 3 millions de particuliers dans son portefeuille à l'horizon de 2018, contre 1,2 million actuellement. Cette date de 2018 n'a rien d'anodin: elle correspond à la libéralisation complète du secteur du gaz et de l'électricité en Italie, avec la fin des tarifs réglementés pour les ménages. «Ce cap des 3 millions est capital pour le marché de détail, explique Marc Benayoun. En dessous, nous ne disposons pas de la taille critique suffisante.»

Pour atteindre cet objectif, Edison pourrait conclure une opération avec ENI, le géant transalpin de l'énergie, en lui rachetant tout ou partie de son portefeuille clients - qui regroupe environ 7,6 millions de ménages. Mais Marc Benayoun a bien précisé que cette transaction, si d'aventure elle devait se réaliser, n'est pas mûre pour le moment. Par ailleurs, Edison dispose d'autres moyens pour élargir sa base de clientèle. Lundi, le CEO de l'entreprise a insisté sur le développement des services énergétique et sur le potentiel d'Edison à savoir proposer des offres innovantes. Au passage, le groupe - qui est le troisième énergéticien en Italie derrière ENI et Enel - assure plus de 15% des ventes d'EDF et contribue à hauteur de 7,6% à son résultat d'exploitation (en 2015).

Montée en puissance dans les énergies renouvelables

Au cas où l'opération ENI s'effectuerait, elle serait suffisamment importante pour qu'Edison se retrouve face à la nécessité d'ouvrir son capital à d'autres investisseurs - dans une fourchette de 20 à 35%, selon le chiffre évoqué lundi. Marc Benayoun a aussitôt indiqué qu'EDF avait vocation à garder le contrôle d'Edison et il a insisté sur les efforts entrepris depuis plusieurs mois - changement du logo historique pour une signalétique proche de celle d'EDF, montée en puissance dans les énergies renouvelables… - qui montrent bien à ses yeux que le français n'a aucune intention de se désengager en Italie. Par rapport à d'éventuels nouveaux investisseurs, Marc Benayoun a encore précisé qu'il ne s'agissait pas de s'appuyer sur des partenaires purement financiers désireux de faire rapidement un aller-retour mais bien au contraire de travailler avec des partenaires de long terme.

S'agissant des énergies vertes, celles-ci assurent actuellement 25% du «mix» énergétique d'Edison et l'entreprise vise le seuil des 40% à moyen terme. Les deux vecteurs de développement (dans le renouvelable) de la filiale italienne sont l'éolien et l'hydraulique. «Il faut insister sur le fait qu'Edison ne mène pas sa stratégie indépendamment de la maison mère, termine son CEO. Au contraire, nous sommes en parfaite adéquation avec le programme Cap 2030 affiché en septembre 2015 et qui doit permettre à EDF de devenir un acteur puissant dans les énergies vertes et les services énergétiques.»
http://www.lefigaro.fr/societes/2016/11 ... italie.php

Re: Italie

par energy_isere » 11 mars 2010, 13:19

L'Italie amorce un virage vers l'énergie nucléaire

GE Hitachi Nuclear Energy (GEH) a annoncé mardi la signature d'un accord avec la Fondation EnergyLab afin d'aider l'Italie à produire de l'énergie nucléaire et à satisfaire les objectifs nationaux concernant la sécurité et la propreté énergétique.

...........
http://www.enerzine.com/2/9326+litalie- ... aire+.html

Re: Italie

par geopolis » 12 févr. 2010, 20:32

Décision en fin d'année concernant la reprise du nucléaire

Rome promet de dévoiler sa stratégie avant fin 2010



MILAN, 12 février (Reuters) - L'Italie envisage de présenter avant la fin de l'année sa stratégie très attendue en matière d'énergie, et notamment d'énergie nucléaire, a annoncé vendredi un conseiller du gouvernement italien.
Le gouvernement va présenter un projet de stratégie énergétique en mai ou en juin, a déclaré Sergio Garribba, conseiller énergétique du ministère du Développement économique.
"Le livre vert sera présenté en mai ou juin (...) puis il y aura des consultations avec toutes les parties prenantes via Internet", a-t-il dit aux journalistes en marge d'un débat sur l'énergie nucléaire.
"Sur la base de ces consultations, nous envisageons d'élaborer la stratégie puis de la présenter d'ici la fin de cette année", a-t-il indiqué, ajoutant que la stratégie porterait sur une période allant jusqu'en 2030.

Mercredi, Rome a approuvé un décret important établissant les critères de sélection des sites d'implantation de nouvelles centrales nucléaires.
Cela constitue un pas supplémentaire vers la relance du nucléaire en Italie, abandonné depuis une consultation publique en 1987 à la suite de la catastrophe de Tchernobyl.
Toutefois les retards dans la mise en place d'une agence de sécurité nucléaire ont retardé le choix de nouveaux sites par le plus grand groupe italien de services aux collectivités Enel et le géant français EDF

EDF ET AREVA CONCERNES

"Nous ne pouvons pas commencer à choisir des sites avant que l'agence ne soit créée, a d'ailleurs souligné Francesco de Falco, directeur général de Sviluppo Nucleare Italia, une coentreprise constituée par Enel et EDF pour construire quatre centrales nucléaires de l'autre côté des Alpes.
Enel et EDF prévoient de mettre en chantier leur première centrale nucléaire en 2013, cette dernière devant commencer à produire de l'énergie en 2020; des objectifs conformes à ceux de Rome qui espère que les centrales nucléaires produiront à l'avenir 25% de l'électricité italienne.
Toutefois, les deux groupes ne seront pas en mesure de prendre une décision finale d'investissement sur les projets nucléaires tant que les sites des centrales n'auront pas été choisis, a dit Francesco de Falco.

En attendant, Sviluppo Nucleare Italia et le syndicat du patronat italien Confindustria ont entamé un processus de sélection en plusieurs étapes de futurs fournisseurs et espèrent commencer à passer des commandes en 2013, a ajouté Francesco de Falco.
Areva , plus gros constructeur mondial de centrales nucléaires, dont la technologie EPR serait utilisée par EDF et Enel en Italie, prévoit en l'occurrence de signer des contrats commerciaux "peut-être en 2012", a indiqué Ali Nouri, son vice-président pour le développement du groupe dans le sud-est de l'Europe et la zone Méditerranée.

Re: Italie

par geopolis » 11 févr. 2010, 21:08

info du Figaro
Italie : nouvelles centrales prévues pour 2020


LE GOUVERNEMENT italien a approuvé définitivement hier le décret sur les modalités de retour au nucléaire. La construction des centrales démarrera en 2013 et leur mise en service est prévue en 2020. Une agence de la sécurité nucléaire sera créée prochainement. Le choix des sites où seront construites les centrales constitue le point le plus épineux. La diffusion début décembre par le parti des Verts d'une liste des futurs sites probables avait provoqué une vive polémique. L'opposition à l'atome reste vive dans la péninsule, qui y avait renoncé il y a plus de vingt ans par référendum après la catastrophe de Tchernobyl.

Re: Italie

par krolik » 30 déc. 2009, 21:29

Oui je crois qu'il faut lire 0,03 euro/kWh , là c'est raisonnable d'autant que le KWh italien est bien plus élevé que le kWh français.

Mais il n'y a pas eu de loi sur la sortie du nucléaire en Italie, il y a u seulement un moratoire de 5 ans. Il y a bien longtemps que le moratoire est passé, cequi est le sort de tous les moratoires.. se terminer un jour.

@+

Re: Italie

par energy_isere » 30 déc. 2009, 20:48

En Italie, le gouvernement Berlusconi prépare avec prudence l'opinion à un retour au nucléaire

LE MONDE | 29.12.09

Rome, correspondance

Beaucoup d'argent et de la discrétion. Ce sont les deux arguments choisis par le gouvernement Berlusconi pour faire avancer son nouveau programme nucléaire. L'argent va copieusement arroser les communes qui accepteront d'accueillir sur leur territoire de nouvelles centrales. La discrétion entoure la localisation des sites. Mais - ce n'est pas un hasard -, le choix n'interviendra pas avant l'été prochain, soit après les régionales de mars 2010.

Chaque commune choisie pour abriter une centrale devrait recevoir 30 millions d'euros (6 millions par an pour les cinq années de construction prévues). Les habitants et les entreprises auront droit, eux, à des avantages fiscaux ; les municipalités voisines ne seront pas oubliées non plus. Les communes où se fixeront les centrales bénéficieront aussi de 13 millions d'euros par an en taxe d'aménagement. Enfin, localement, le prix de l'énergie sera un prix de faveur à 0,3 euro le kWh durant la période de fonctionnement de la centrale, estimée à soixante ans.

Après le vote définitif du Sénat, début juillet, le retour au nucléaire, auquel l'Italie avait renoncé en 1987, s'est fait avec une grande prudence. Lors du conseil des ministres du 22 décembre, le gouvernement s'est ainsi limité à "fixer les normes d'individuation des sites", ainsi que les "formes de compensation pour les collectivités locales".

Ce sont les premières étapes d'un long parcours législatif programmé en vue du début des travaux de construction des centrales en 2013. La mise à régime des quatre réacteurs prévus, au départ, est, elle, fixée à l'horizon 2020. Le but, à terme, est de parvenir à une capacité de 13 000 mW, soit 25 % du besoin en énergie du pays. Aujourd'hui, l'Italie dépend à 85 % de l'étranger pour son énergie, pour un coût du kWh estimé 1,6 fois plus cher, en moyenne, que dans le reste de l'Europe.

Risque sismique

La concertation avec les collectivités locales est la voie préférentielle mais le gouvernement ne veut pas de mauvaises surprises. D'où la possibilité qu'il s'est octroyé de décréter "zone d'intérêt stratégique" les sites choisis afin de les faire surveiller par l'armée, pour couper court à toute possible mobilisation contre l'installation.

Comment les sites seront-ils choisis ? Le critère principal dans un pays comme l'Italie au grand risque sismique, est d'avoir la certitude d'échapper à tout danger de tremblement de terre. Du coup, la presse parle des sites possibles : ce sont souvent ceux qui existaient avant que le programme nucléaire ne soit abandonné, en 1987, suite à un référendum, peu de temps après l'incident de Tchernobyl, alors que le pays en pointe dans ce domaine (Rovigo, en Vénétie ; Trino Vercellese, au Piémont, ou Montalto di Castro, près de Rome).

Le gouvernement est convaincu que le vent a tourné et que l'opinion est prête à revenir sur sa décision de 1987. Stefano Ciafani, de l'association écologiste Legambiente dénonce, elle, le fait que "les compensations annoncées sont la confirmation de ce que ce sont encore les citoyens qui payeront la facture".

Dans l'opposition, on se prépare à livrer bataille. Les écologistes, à défaut d'être représentés au Parlement, seront dans la rue. Selon Angelo Bonelli, président des Verts, le gouvernement aurait déjà en poche la liste des sites mais s'en réserve l'annonce "pour éviter que le vote des régionales ne se transforme en un boomerang".

Pierluigi Bersani, le secrétaire du Parti démocrate (centre gauche), parle d'une décision "insensée" et ne voit pas "l'utilité de s'aventurer dans un projet qui dépend d'une technologie à importer de l'étranger". Quant à l'Italie des valeurs, le parti de l'ancien juge Antonio Di Pietro, il va plus loin et propose un référendum pour abroger la loi sur le retour au nucléaire.
http://www.lemonde.fr/europe/article/20 ... _3214.html

Il ya une grosse coquille dans "0,3 euro le kWh "

Re: Italie

par energy_isere » 26 mai 2009, 21:42

krolik a écrit :En fait l'Italie n'avait adopté par référendeum qu'un moratoire de cinq ans sur l'énergie nucléaire.
Ca fait déjà bien longtemps que ce moratoire est clos, alors Berlusconi n'a même pas besoin de retourner devant les électeurs pour décider de refaire du nucléaire, puisque le "retour" automatique est inclus dans la question de ce qui n'est qu'un moratoire.

@+
merci pour la précision.

Re: Italie

par krolik » 26 mai 2009, 21:35

En fait l'Italie n'avait adopté par référendeum qu'un moratoire de cinq ans sur l'énergie nucléaire.
Ca fait déjà bien longtemps que ce moratoire est clos, alors Berlusconi n'a même pas besoin de retourner devant les électeurs pour décider de refaire du nucléaire, puisque le "retour" automatique est inclus dans la question de ce qui n'est qu'un moratoire.

@+

Re: Italie

par energy_isere » 26 mai 2009, 21:24

Tiens ? Les Italiens veulent diversifier leur retour au Nucléaire avec les Japonais. AREVA plus seul en course !
Japan, Italy sign nuclear plant technology agreement

Economy, Trade and Industry Minister Toshihiro Nikai and Italian Economic Development Minister Claudio Scajola signed a nuclear cooperation agreement during a G8 energy ministers meeting in Rome.

Nikai held talks with Scajola on Sunday, and they signed an agreement under which Japan will provide technology for Italy's plan to build new nuclear power plants.

Italy halted nuclear power plant operations in 1990 following the 1986 Chernobyl nuclear reactor disaster. However, Italian Prime Minister Silvio Berlusconi has declared his intention to resume operations as a measure against global warming, considering the fact that nuclear power stations have low greenhouse gas emissions.

Italy plans to build new nuclear power plants in the near future, and decided to ask Japan, which has high technical capabilities, for assistance.
http://mdn.mainichi.jp/mdnnews/news/200 ... 2000c.html

Re: Italie

par energy_isere » 24 févr. 2009, 18:30

Enel : s'allie avec EDF pour le nucléaire en Italie.

Cercle Finance le 24/02/2009

EDF annonce avoir signé avec l'italien Enel un partenariat industriel pour le développement de l'énergie nucléaire en Italie lors du sommet Franco-Italien qui se tient ce mardi à Rome. Deux accords industriels relatifs au développement de l'énergie nucléaire ont été scellés, faisant suite au précédent accord conclu à Nice en novembre 2007.

Le premier accord annoncé ce jour prévoit la création d'un consortium 50/50 entre EDF et Enel, chargé de réaliser les études de faisabilité pour le développement d'au moins 4 réacteurs de technologie EPR en Italie. Cet accord confirme donc la possibilité pour EDF de participer au programme nucléaire qu'Enel envisage de pouvoir développer en Italie, et dont la réalisation reste à ce stade suspendue à l'évolution du cadre législatif et réglementaire, ainsi qu'aux choix technologiques.

Un deuxième accord prévoit également d'étendre la participation d'Enel dans le nouveau programme nucléaire français et de l'associer dans la construction et l'exploitation du nouveau réacteur EPR de Penly (Seine Maritime). Déjà partenaire à hauteur de 12,5 % dans l'EPR en cours de construction à Flamanville (Manche), Enel prendra ainsi une participation équivalente, aux côtés d'autres partenaires, dans le second EPR français, dont la réalisation sera conduite par EDF pour une mise en service en 2017.

Ce partenariat s'inscrit dans la continuité du partenariat industriel signé par les deux entreprises en 2007 et prévoyant qu'Enel puisse en effet participer au programme nucléaire français de 3éme génération, dans le cadre des projets EPR conduits par EDF en France d'ici 2023. EDF disposait également de la possibilité de prendre part aux éventuels projets nucléaires développés par ENEL en Europe et notamment en Italie.

'Le partenariat entre EDF et Enel contribue à renforcer les relations entre la France et l'Italie dans un secteur stratégique pour l'avenir des deux pays. EDF se réjouit de pouvoir participer, le moment venu, au développement de nouveaux réacteurs EPR en Italie. EDF se félicite en outre d'accueillir un partenaire industriel majeur comme Enel dans le projet de réalisation d'un nouveau réacteur EPR à Penly en France. Cet accord prolonge la coopération fructueuse initiée entre nos deux entreprises dans le cadre de la construction en cours de l'EPR de Flamanville en Normandie, dans l'objectif de développer une énergie sûre, compétitive et non émettrice de CO2, de nature à garantir la sécurité d'approvisionnement en Europe.' déclare Pierre Gadonneix, Président Directeur Général d'EDF.

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