Je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas pu m'empêcher de rire aux éclats en lisant ce fil...
C'est le côté concret, sympathique des situations décrites, je suppose.
Ceci étant : ma préparation à l'après-pic se limite à prendre une douche froide le matin depuis quatre ans (je triche en hiver, je prends une douche tiède avant la douche froide).
Je suis propriétaire de mon appartement. L'immeuble est chauffé au fioul ! S'il n'y avait plus de chauffage, il faudrait prendre quelques mesures :
1. Mettre des doubles vitrages à toutes les fenêtres (pour l'instant, il n'y en a que dans la salle de bain).
2. Installer des baldaquins au-dessus des lits. Dormir sous un baldaquin, c'est comme faire du camping chez soi : le tissu, de préférence épais, au-dessus et autour du lit permet de conserver la chaleur. Ça peut fait la différence entre mourir de froid et "simplement" se les geler... En fait, je crois qu'en cas de nécessité je transformerais simplement mon lit en tente canadienne
3. S'habiller à l'intérieur comme à l'extérieur.
4. Se laver avec une bassine, comme il y a cent ans.
La région parisienne n'a pas un climat polaire, heureusement (quoique si le Gulf Stream s'inverse...) mais j'ai peur qu'il suffise que les canalisations d'eau éclatent une fois pour que dans le désordre de l'après-pic elles ne soient jamais réparées :(
Idem pour les ascenseurs (j'habite au 6e étage).
Je ne sais pas pourquoi mais je n'ai pas pu m'empêcher de rire aux éclats en lisant ce fil...
C'est le côté concret, sympathique des situations décrites, je suppose.
Ceci étant : ma préparation à l'après-pic se limite à prendre une douche froide le matin depuis quatre ans (je triche en hiver, je prends une douche tiède avant la douche froide).
Je suis propriétaire de mon appartement. L'immeuble est chauffé au fioul ! S'il n'y avait plus de chauffage, il faudrait prendre quelques mesures :
1. Mettre des doubles vitrages à toutes les fenêtres (pour l'instant, il n'y en a que dans la salle de bain).
2. Installer des baldaquins au-dessus des lits. Dormir sous un baldaquin, c'est comme faire du camping chez soi : le tissu, de préférence épais, au-dessus et autour du lit permet de conserver la chaleur. Ça peut fait la différence entre mourir de froid et "simplement" se les geler... En fait, je crois qu'en cas de nécessité je transformerais simplement mon lit en tente canadienne :)
3. S'habiller à l'intérieur comme à l'extérieur.
4. Se laver avec une bassine, comme il y a cent ans.
La région parisienne n'a pas un climat polaire, heureusement (quoique si le Gulf Stream s'inverse...) mais j'ai peur qu'il suffise que les canalisations d'eau éclatent une fois pour que dans le désordre de l'après-pic elles ne soient jamais réparées :(
Idem pour les ascenseurs (j'habite au 6e étage).