par thorgal » 22 mai 2008, 13:18
j'ai écouté la chose. Ce qui m'a fait hausser un sourcil, ce n'est pas le fond du débat mais la fin de l'interview, les dernières paroles de Cochet : on sent l'animal politique derrière tout ça. Je n'ai rien contre lui, c'est son job et il dit des trucs qui doivent être dits par des politiciens, c'est même essentiel pour la suite. Je n'apprécie pas trop, par contre, le vague feeling qu'il suggère en présentant SON parti comme l'alternative "salvatrice" (cf. "Nous sommes prêts"). Ils ne sont pas prêts, personne ne l'est et ce n'est pas à un parti de proposer des solutions mais à tous le spectre politique. En fait, c'est le fonctionnement de l'arène politique qui doit évoluer avec la situation, nous ne pouvons pas nous permettre de rejouer le même jeu, avec les mêmes règles pourries dans l'espoir de sortir d'une situation qui n'existe que parce que le jeu politique est foireux à la base.
j'ai écouté la chose. Ce qui m'a fait hausser un sourcil, ce n'est pas le fond du débat mais la fin de l'interview, les dernières paroles de Cochet : on sent l'animal politique derrière tout ça. Je n'ai rien contre lui, c'est son job et il dit des trucs qui doivent être dits par des politiciens, c'est même essentiel pour la suite. Je n'apprécie pas trop, par contre, le vague feeling qu'il suggère en présentant SON parti comme l'alternative "salvatrice" (cf. "Nous sommes prêts"). Ils ne sont pas prêts, personne ne l'est et ce n'est pas à un parti de proposer des solutions mais à tous le spectre politique. En fait, c'est le fonctionnement de l'arène politique qui doit évoluer avec la situation, nous ne pouvons pas nous permettre de rejouer le même jeu, avec les mêmes règles pourries dans l'espoir de sortir d'une situation qui n'existe que parce que le jeu politique est foireux à la base.