[Production] L'Arctique, une alternative ...

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Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par energy_isere » 07 avr. 2017, 18:19

Rosneft lance le premier forage jamais réalisé en mer de Laptev

Publié le 07/04/2017 lemarin.fr

Rosneft a lancé le 3 avril le forage le plus au nord jamais réalisé sur le plateau arctique russe, en liaison vidéo avec le président russe Vladimir Poutine. Ce puits est aussi le premier à être réalisé en mer de Laptev. Une zone que le groupe pétrolier estime pouvoir devenir une nouvelle province pétrolière et gazière.

Image
Afin de réduire les coûts, le premier forage jamais mené en mer de Laptev est réalisé depuis la côte. (Photo Rosneft)
http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... -de-laptev

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par mobar » 12 sept. 2016, 16:02

sherpa421 a écrit :
nemo a écrit :Mouais ça sent l'opération de com cachant en fait le fait d'attendre la remontée des prix.
Ça n'a rien de caché, puisque c'est dit explicitement :
Pour Sergueï Donskoi, cette mesure doit aider les compagnies à réallouer leurs budgets d’exploration de manière optimale dans les conditions macroéconomiques actuelles.
C'est ce qu'aurais du faire les producteurs de lait plutôt que d'investir bêtement quand on leur a annoncé la fin des quotas laitiers

Mort aux cons!

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par sherpa421 » 12 sept. 2016, 15:32

nemo a écrit :Mouais ça sent l'opération de com cachant en fait le fait d'attendre la remontée des prix.
Ça n'a rien de caché, puisque c'est dit explicitement :
Pour Sergueï Donskoi, cette mesure doit aider les compagnies à réallouer leurs budgets d’exploration de manière optimale dans les conditions macroéconomiques actuelles.

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par nemo » 10 sept. 2016, 21:57

Mouais ça sent l'opération de com cachant en fait le fait d'attendre la remontée des prix.

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par energy_isere » 09 sept. 2016, 20:34

Moratoire russe sur les forages pétroliers dans les eaux arctiques

Publié le 09/09/2016 lemarin.fr

Le gouvernement russe a décidé d’instaurer un moratoire d’un à deux ans sur les forages dans l’Arctique, a annoncé le 7 septembre son ministre des Ressources naturelles et de l’Environnement, Sergueï Donskoi.

Aucune nouvelle licence ne sera octroyée pour des forages dans les eaux arctiques russes durant cette période. Pour Sergueï Donskoi, cette mesure doit aider les compagnies à réallouer leurs budgets d’exploration de manière optimale dans les conditions macroéconomiques actuelles.

« La pause dans le développement des champs offshore permettra de mieux préparer et organiser des mesures de protection préventives », s’est félicité le WWF. L’organisation a lancé début 2015 une campagne de pétition appelant à un moratoire de dix ans sur les développements dans les eaux arctiques.


L’acheteur Total pointé du doigt

Les ONG estiment que les projets pétroliers y sont trop risqués. En juin, Greenpeace a regretté que Total achète du brut du champ Prirazlomnoye, dans l’Arctique russe, alors même qu’il a affirmé qu’il ne produirait jamais de pétrole dans les eaux arctiques en raison des risques environnementaux.

Totsa, la branche trading de Total, est le principal acheteur du pétrole de Prirazlomnoye exploité par Gazpromneft. Elle pourrait recevoir huit à douze cargaisons de brut arctique russe de 100 000 tonnes cette année. Total acheminerait ce pétrole jusqu’à ses installations de raffinage des Pays-Bas et du Havre et en revendrait aussi à ExxonMobil.

Image
Total est le principal acheteur du pétrole extrait par le russe Gazpromneft sur le champ Prirazlomnoye, en mer de Petchora. (Photo : Gazpromneft)
http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... -arctiques

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par GillesH38 » 23 mai 2016, 07:46

tita a écrit :
Arctique: Oslo ouvre de nouvelles zones à la prospection pétrolière

Oslo - La Norvège a attribué mercredi des licences à 13 compagnies pétrolières dans l'Arctique, y compris dans une nouvelle région de la mer de Barents jusque-là totalement inexplorée, au grand dam des défenseurs de l'environnement.
C'est dire si ils croient aux engagements de la COP21 ...

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par tita » 22 mai 2016, 22:08

Arctique: Oslo ouvre de nouvelles zones à la prospection pétrolière

Oslo - La Norvège a attribué mercredi des licences à 13 compagnies pétrolières dans l'Arctique, y compris dans une nouvelle région de la mer de Barents jusque-là totalement inexplorée, au grand dam des défenseurs de l'environnement.

Alors que sa production pétrolière a été divisée de moitié depuis 2000 et que la faiblesse du cours du baril ampute les revenus de l'État, c'est la première fois depuis 1994 que le pays scandinave ouvre une nouvelle contrée à l'industrie pétrolière.

Trois des dix licences couvrant au total 40 blocs sont situées à proximité immédiate de la frontière maritime de la Russie, dans une zone que les deux pays se sont longtemps disputée jusqu'à la conclusion d'un accord en 2010.

L'exploitation de deux d'entre elles a été offerte au géant pétrolier national Statoil, la troisième à son compatriote Det norske avec une participation notable du russe Lukoil.

Aujourd'hui s'ouvre un nouveau chapitre dans l'histoire de l'industrie pétrolière norvégienne. Pour la première fois depuis plus de 20 ans, nous ouvrons de nouvelles zones à l'exploration, s'est félicité le ministre du Pétrole et de l'Énergie, Tord Lien, dans un communiqué.

Cela contribuera à l'emploi, à la croissance et à la création de valeur en Norvège. C'est maintenant au tour du Nord de la Norvège d'écrire les nouveaux chapitres de l'aventure pétrolière norvégienne, a-t-il ajouté.

Libres de glace grâce au Gulf Stream, les eaux ouvertes à la prospection, en particulier celles proches de la Russie, sont jugées prometteuses mais la décision a ulcéré les ONG de défense de l'environnement.

Nous ne pouvons risquer un Deepwater Horizon en mer de Barents, une région à l'écosystème riche mais fragile, a critiqué Truls Gulowsen, responsable de la branche norvégienne de Greenpeace.

En 2010, un accident qui s'était produit sur cette plateforme exploitée pour le compte de BP avait provoqué la mort de 11 personnes et une gigantesque marée noire dans le Golfe du Mexique.

A Paris (lors de la COP21 de décembre dernier, ndlr), les dirigeants du monde entier se sont engagés à maintenir la hausse des températures sous 1,5 degré, a aussi souligné M. Gulowsen. Si l'on veut atteindre cet objectif, on ne peut chercher du pétrole et du gaz naturel dans l'Arctique.

Parmi les autres groupes s'étant vu attribuer des parts figurent le suédois Lundin (représenté dans cinq des dix licences), les américains Chevron et ConocoPhillips ou encore le britannique Centrica.
source: http://www.romandie.com/news/Arctique-O ... 704212.rom

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par Raminagrobis » 29 févr. 2016, 21:19

lien un puits "sec" dans le secteur norvégien de la mer de Barents...

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par Raminagrobis » 26 déc. 2015, 15:52

Militarisation de l'océan arctique ?

lien La Canada va construire une classe de six navires destinés à défendre sa souveraineté dans l'Arctique, la classe Harry DeWorlf.
Conçus spécialement pour l'arctique, ils auront une capacité brise glace. Ils pourront aussi transporter un hélico, des troupes et du matériel.

C'est de la surveillance et du transports, ces navires ne seront armés que d'un canon.

Actuellement le Canada ne possède pas de "flotte du nord". Sa marine s'organise en deux flottes de taille à peu près égale :
La flotte de l'Atlantique basée à Halifax en Nvelle Ecosse qui possède 8 destroyers et frégates, et la flotte du Pacifique basée à Esquimalt en Colombie-Britannique qui en a 7.

Mais un nouveau petit port militaire est en construction à Nanisivik tout au nord de l'île de baffin, à partir d'un ancien site minier. Celà donnera à la marin canadienne un point d'appui logistique en plein dans l'Arctique. .

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par energy_isere » 19 oct. 2015, 20:11

Les États-Unis annulent deux ventes de permis dans l’offshore arctique

Publié le 19/10/2015 lemarin.fr

Nouveaux revers pour les activités pétrolières dans l’offshore arctique. Le département de l’Intérieur américain a décidé d’annuler deux ventes de permis pétroliers au nord de l’Alaska. Ces ventes étaient prévues dans le cadre du programme d’attribution de permis en mer 2012-2017.
http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... -loffshore

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par energy_isere » 08 oct. 2015, 20:42

Pourquoi les pétroliers n'ont pas renoncé à l'Arctique

Anne Feitz / Journaliste Les Echos Le 08/10/2015

En annonçant l'arrêt de sa campagne d'exploration au nord de l'Alaska, le groupe Shell a réjoui les ONG environnementales. Mais en réalité les compagnies pétrolières sont loin d'avoir tiré un trait sur les prometteuses réserves de l'Arctique.

Les amoureux des ours blancs ont crié victoire. Le 28 septembre, Shell a annoncé qu'il stoppait sa campagne d'exploration pétrolière en mer des Tchouktches, au nord de l'Alaska, après un forage décevant. Beaucoup ont vu dans ce recul le signal qu'ils attendaient : les compagnies pétrolières ont enfin renoncé à l'or noir de l'Arctique. Les ONG environnementales, comme Greenpeace, ont triomphé sur les réseaux sociaux. Peut-être un peu vite ?

« Il y a encore de nombreuses activités pétrolières en Arctique, par exemple sur terre en Alaska et en Russie, ou en mer en Norvège », souligne Mikå Mered, président du consultant spécialisé Polarisk. Exploitée par Gazprom, la plateforme de Prirazlomnoye, en mer de Pechora, produit même du pétrole depuis l'an dernier. ENI et Statoil s'apprêtent à démarrer leur projet Goliat, en mer de Barents norvégienne - qui deviendra alors le site de production de pétrole le plus au nord de la planète. Dans cette même mer de Barents, le gouvernement norvégien a lancé au début de l'été un processus d'enchères sur une toute nouvelle zone. « De nombreuses compagnies ont manifesté leur intérêt », assure Jon Marsh Duesund, spécialiste de l'Arctique chez le consultant Rystad Energy, à Oslo.


En réalité, si l'échec de Shell a donné un coup d'arrêt à l'exploration en Arctique, c'est seulement dans des zones restreintes, les plus fragiles : les mers polaires gelées une grande partie de l'année (ce qui n'est pas le cas de la mer de Barents), comme les mers des Tchouktches et de Beaufort, au large de l'Alaska, du Canada, ou du Groenland. « De nombreuses compagnies, comme ConocoPhillips, Statoil, ExxonMobil ou Chevron, ont laissé Shell partir le premier en adoptant une attitude "wait and see" », note Jon Marsh Duesund. « Je ne les vois pas y revenir avant au moins cinq ans. » Chevron, ExxonMobil et BP avaient déjà annoncé cette année qu'ils suspendaient leurs opérations dans la région.

Réaliser des forages d'exploration dans cet environnement extrême, c'est accumuler les difficultés - et les coûts. La fenêtre pendant laquelle les eaux ne sont pas gelées est réduite aux trois ou quatre mois d'été. Les conditions climatiques (froid, tempêtes, icebergs) rendent les opérations techniquement complexes et risquées. Et les contraintes imposées pour limiter les conséquences d'une fuite éventuelle dans cet écosystème extrêmement fragile sont énormes.


Shell en sait quelque chose. Lors d'une tentative précédente, en 2012, il avait accumulé les revers. L'un de ses systèmes anti-marée noire avait échoué à un test, ce qui l'avait empêché de forer jusqu'aux couches pétrolières. Surtout l'une de ses plates-formes, Kulluk, s'était échouée sur le chemin du retour. Pour sa campagne de 2015 le groupe avait pris ses précautions : il a acheminé sur le site deux plates-formes de forage, une trentaine de navires, sept avions… En dix ans, le groupe a englouti la somme exorbitante de 7 milliards de dollars dans l'aventure de la mer des Tchouktches.

Shell a aussi dû affronter les campagnes virulentes des ONG environnementales : Greenpeace a organisé des manifestations très médiatisées, mobilisant par exemple des centaines de kayaks à plusieurs reprises cette année pour protester et sensibiliser les régulateurs américains.

Ni le coût de l'exploration ni le risque juridique ou politique n'ont toutefois réellement découragé les compagnies pétrolières. Car l'espoir, en Arctique, est à la mesure des difficultés. Les réserves estimées en pétrole et en gaz y sont colossales : 90 milliards de barils de pétrole (15 % des réserves mondiales) et 47 milliards de mètres cubes de gaz (30 % du total mondial), selon une évaluation de l'US Geological Survey de 2008. Alors que les compagnies ont un besoin vital de renouveler leurs réserves, l'Arctique est l'une des rares « nouvelles frontières » où elles espèrent effectuer des découvertes majeures.

Même la chute récente du baril, qui a perdu 50 % depuis juin 2014, les a à peine freinées. Dans un premier temps, seules les compagnies les plus fragiles ont levé le pied. Non parce que le coût estimé d'extraction d'un baril en Arctique (entre 70 et 80 dollars) est largement supérieur au cours actuel (autour de 50 dollars) : « Nous ne prenons pas nos décisions d'investissement sur la base du prix du pétrole à court terme », expliquait en janvier Tim Domson, le patron de l'exploration de Statoil, dans un entretien aux « Echos ». « En Arctique, les délais entre les premiers forages et la production sont supérieurs à dix ans : le prix du brut aura remonté d'ici là. »

Ce qui a freiné l'exploration en Arctique, c'est l'impact de la chute du brut sur les cash-flows des compagnies, qui les a conduites à tailler dans leurs investissements. Ou encore, en Russie, les sanctions imposées aux compagnies occidentales, qui visent directement les technologies nécessaires à l'exploration de l'arctique offshore. ExxonMobil et Rosneft ont annoncé en septembre 2014 une découverte potentiellement gigantesque en mer de Kara, mais ont dû refermer les puits et interrompre leur programme pour respecter les sanctions. Les compagnies russes, Rosneft et Gazprom, n'ont ni les moyens ni la technologie nécessaires pour mener leurs programmes seules. Elles les ont décalés de plusieurs années : l'exploration ne reprendra pas en mer de Kara avant 2020 ou 2021, a indiqué le ministre russe de l'Energie mi-septembre, selon l'agence Interfax. Autant de circonstances toutefois loin d'être définitives. « Shell continue de voir un potentiel important en mer des Tchouktches », a affirmé Marvin Odum, patron de l'exploration-production de la compagnie pour l'Amérique. Les compagnies ont gelé leurs projets, mais ne les ont pas définitivement enterrés.

Anne Feitz
http://www.lesechos.fr/idees-debats/edi ... 163444.php

encore un chiffre erroné : ....et 47 milliards de mètres cubes de gaz (30 % du total mondial), [-X

le seul Gazoduc Nord Stream transporte 55 milliards de m3 de Gaz par an.

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par energy_isere » 28 sept. 2015, 19:58

kercoz a écrit :
yvesT a écrit :
Raminagrobis a écrit :lien Shell renonce à son exploration au large de la côte nord de l'Alaska. C'est un sérieux revers pour l'exploration de l'océan arctique, à rapprocher de l'info juste au dessus coté russe.
Aussi sur le monde :
http://abonnes.lemonde.fr/energies/arti ... 53054.html

J' y crois pas trop.....Si tu veux éviter la ruée vers l' or ( noir), tu évites de clamer que t'as gagné le Jack pot .....Comme si je poussais un grand cri qd je trouve un cèpe!
Ben si, ENI à annoncé le plus gros gisement de Gaz en Méditerranée il y a 2-3 semaines.
rico a écrit :+1
non. -1

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par kercoz » 28 sept. 2015, 19:30

yvesT a écrit :
Raminagrobis a écrit :lien Shell renonce à son exploration au large de la côte nord de l'Alaska. C'est un sérieux revers pour l'exploration de l'océan arctique, à rapprocher de l'info juste au dessus coté russe.
Aussi sur le monde :
http://abonnes.lemonde.fr/energies/arti ... 53054.html

J' y crois pas trop.....Si tu veux éviter la ruée vers l' or ( noir), tu évites de clamer que t'as gagné le Jack pot .....Comme si je poussais un grand cri qd je trouve un cèpe!

Re: [Production] L'Arctique, une alternative ...

par energy_isere » 28 sept. 2015, 17:16

Nouveau délai pour le démarrage d'un champ d'Eni dans l'Arctique

le 28 septembre 2015, Usine Nouvelle
OLSO (Reuters)

Eni est confronté à un nouveau retard dans la mise en route de son champ pétrolier Goliat, situé dans les eaux de l'Arctique et il doit encore obtenir l'autorisation des autorités norvégiennes pour lancer la production, ont déclaré le géant pétrolier italien et un régulateur du secteur.

Vers 11h20 GMT, le titre Eni perdait 1,7% à 13,77 euros, évoluant en phase avec l'indice regroupant les valeurs pétrolières européennes (-1,56%).

Premier champ pétrolier a être développé dans l'Arctique, Goliat a connu plusieurs dépassements de coûts et des retards au cours de sa construction. Mais Eni a dit le mois dernier que le démarrage du projet n'était plus qu'une question de semaines.


"Il y a encore du travail à faire à Goliat. Tant que cela restera le cas, l'Autorité de sûreté pétrolière ne donnera pas son feu vert, qui est nécessaire pour lancer les opérations", a dit Eileen O'Connell Brundtland, porte-parole de cette instance.

Eni a pour sa part dit être persuadé que la production commencerait cette année, allant ainsi à l'encontre d'un article de Teknisk Ukeblad (TU), une publication professionnelle, disant que la mise en route pourrait n'intervenir que l'année prochaine.

"Nous sommes dans la phase finale de l'installation. Certains de ses travaux ont pris plus de temps que prévu", a déclaré Andreas Wulff, porte-parole d'Eni.

Prié de dire si la production démarrera en 2015, il a répondu : "Oui", sans donner de date spécifique.

Le coût de Goliat a atteint à ce stade 46,7 milliards de couronnes (4,9 milliards d'euros) contre une estimation initiale, de 2009, de 30 milliards de couronnes.

Quand le champ, détenu à 65% par Eni et à 35% par Statoil, entrera en activité, ce sera le champ pétrolier situé le plus nord du globe.
http://www.usinenouvelle.com/article/no ... ue.N353108

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