Le futur prix du baril dans la boule de cristal

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Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 20 janv. 2024, 11:22

Conséquences en Bourse d’une diminution de la production pétrolière

CAFÉ DE LA BOURSE•20/01/2024

Les prix du pétrole Brent (référence de la Mer du Nord) et du Brut WTI (référence américaine) ont respectivement baissé de plus de 11 % et 10 % depuis le début de l'année 2023. Cette baisse intervient après que le pétrole ait enregistré d'impressionnantes performances en 2021 et 2022 avec la reprise de l'activité mondiale après la Covid-19 et la guerre entre l'Ukraine et la Russie.

Aujourd'hui, les inquiétudes concernant la demande de pétrole pour 2024 et le niveau actuel de la production pétrolière des plus grands acteurs du marché pèsent sur le prix du pétrole qui évolue autour des 73 $ le baril pour le Brent et 69 $ le baril pour le WTI. Mais que se passerait-il pour les prix de l'or noir si la production de pétrole venait à baisser durablement en 2024 ?

Les prix du pétrole pourraient augmenter

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses alliés ont décidé en novembre 2023 de mettre en place des réductions volontaires de production pour le premier trimestre 2024. Cette réduction devrait atteindre un total d'environ 2,2 millions de barils par jour (bpj).

Ces baisses de production s'accumulent aux réductions précédentes qui ont été progressivement mises en place depuis la fin de 2022. Selon les informations de Reuters, ces décisions portent le total des réductions prévues à 5,86 millions de barils par jour, représentant approximativement 5,7 % de la demande mondiale quotidienne.

Or, si la production de pétrole diminue et entraîne une réelle diminution de l'offre physique de pétrole, mais que la demande reste la même ou augmente avec une économie mondiale plus forte que prévu par exemple, alors cela pourrait créer un déséquilibre sur le marché, ce qui pourrait entraîner une hausse des prix de l'or noir.

Un pétrole plus cher a un impact direct sur l'inflation et pourrait soutenir des taux d'intérêt élevés

Mais l'augmentation durable des prix du pétrole a un impact sur l'inflation et donc sur la politique monétaire, ce qui peut influencer le niveau de la demande en fonction des conséquences de la trajectoire des politiques monétaires mondiales sur la croissance mondiale.

Lorsque le prix du pétrole augmente, les coûts de production et de transport pour de nombreuses entreprises augmentent également, ce qui se traduit par une hausse des coûts de fabrication et de distribution de biens et de services.

Pour maintenir leurs marges, les entreprises peuvent choisir de répercuter ces coûts supplémentaires sur les consommateurs, ce qui entraîne une augmentation des prix à la consommation lorsqu'elles le font.

Si l'inflation est durable, elle peut devenir un problème pour la croissance et les banques centrales peuvent ajuster leurs politiques monétaires en conservant des taux d'intérêt élevés plus longtemps pour ralentir l'inflation.

Des taux d'intérêt plus élevés influencent aussi généralement le comportement des consommateurs et des investisseurs, ce qui peut avoir des répercussions sur la demande globale, influençant ainsi la croissance économique, et donc la valeur des différents actifs en bourse.

Les investisseurs pourraient préférer les obligations dont les coupons restent élevés si les taux restent à leurs niveaux actuels. De plus, le niveau de risque associé aux obligations est relativement faible comparativement à d'autres placements (notamment pour les obligations catégorisées comme investment grade).

À l'inverse, le marché des actions pourrait pâtir d'une inflation élevée et d'une politique monétaire qui reste en territoire restrictif, surtout que les investisseurs ont largement intégré dans les prix une baisse des taux d'intérêt dans les économies développées en 2024, notamment de la part de la Fed aux États-Unis, de la BCE en Europe et de la BoE en Angleterre.

Les actions des compagnies pétrolières pourraient profiter d'un pétrole plus cher
L'augmentation des prix du pétrole crée une dynamique positive pour les producteurs de pétrole et les entreprises opérant dans le secteur pétrolier comme TotalEnergies , BP , ConocoPhillips , Shell , ExxonMobil , Chevron , Devon Energy ou encore Aramco.

Ils en tirent en effet directement des bénéfices, car une augmentation des prix du pétrole se traduit par une hausse des revenus provenant de la vente du pétrole extrait. Ces entreprises profitent alors d'une amélioration de leurs résultats financiers avec un chiffre d'affaires et des marges plus élevés.

L'amélioration de leurs performances financières peut aussi renforcer leur capacité à investir dans de nouveaux projets comme l'exploration de nouveaux gisements ou l'amélioration de leurs technologies.
https://www.boursorama.com/bourse/actua ... efc3e7d3fa

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 25 nov. 2023, 15:16

Pétrole : JP Morgan prévoit un prix moyen de 83 $ le baril en 2024 et de 75 $ en 2025

Agence Ecofin 24 nov 2023

La baisse des cours de brut attendue en 2025 devrait découler essentiellement des gains substantiels en matière d'efficacité énergétique et de la hausse des ventes de véhicules électriques au détriment des véhicules à moteur à combustion interne.

Le baril moyen du baril de Brent, qui sert de prix de référence pour une grande partie de la production pétrolière mondiale, devrait tourner autour de 83 dollars en 2024 avant de reculer à 75 dollars en 2025, a estimé la banque américaine JP Morgan dans un rapport publié le 21 novembre.

La prévision de prix pour 2024 découlera d’une demande « résiliente aux États-Unis, forte dans les marchés émergents et stable dans les pays européens », ont précisé les analystes de la banque.

Pour 2025, la prévision de prix se base sur les attentes de gains substantiels en matière d'efficacité énergétique et de hausse des ventes de véhicules électriques au détriment des véhicules à moteur à combustion interne, deux facteurs qui devraient engendrer une baisse de la demande de carburants.

En termes de demande globale, les analystes de JP Morgan s’attendent à une croissance de 1,9 million de barils par jour en 2023. Cette demande devrait ensuite s'affaiblir pour se situer à 1,6 million de barils par jour en 2024 et à 1 million de barils par jour seulement en 2025.

Du côté de l'offre, JP Morgan prévoit une croissance de la production de brut hors Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), ce qui pourrait saper les efforts du cartel pour maintenir les prix à un niveau élevé.

Dans ce contexte, les membres de l'OPEP+ (une alliance entre 13 pays membres de l’OPEP et 10 autres producteurs, dont la Russie et le Mexique) devraient continuer à réduire leur production pour tenter de soutenir les cours du baril.
https://www.agenceecofin.com/petrole/24 ... 75-en-2025

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 03 nov. 2023, 08:30

Analysts Say $98 2024 Brent Forecast is Supported by Fundamentals

by Andreas Exarheas|Rigzone Staff|Thursday, November 02, 2023

In a new report sent to Rigzone this week, analysts at Standard Chartered said they think their 2024 $98 per barrel Brent forecast is supported by supply and demand fundamentals.

“We expect global demand to grow 1.5 million barrels per day in 2024, with non-OPEC supply adding 0.88 million barrels per day led by the U.S., Canada, Guyana, and Brazil,” the analysts said in the report.

“The balance shows supply deficits in Q1 and Q2 giving way to a mild surplus in H2. OPEC’s aim of stabilizing prices in an acceptable range is likely to continue; we therefore maintain our current 2024 price forecasts and expect a further tightening of fundamentals in 2025,” they added.

According to the report, Standard Chartered sees the ICE Brent price averaging $109 per barrel in 2025 and $128 per barrel in 2026. The company projects that the commodity will average $92 per barrel in the first quarter of 2024, $94 per barrel in the second quarter of next year, $98 per barrel in the third quarter, $106 per barrel in the fourth quarter, and $107 per barrel in the first quarter of 2025, the report showed.
.............................
https://www.rigzone.com/news/analysts_s ... 3-article/

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par CP3 » 01 sept. 2023, 21:30

Le prix du baril est déjà bien assez haut . Etrange que ces niveaux ne satisfasse pas encore la Russie et l' Arabie saoudite ( Attendent-ils les 100 avec le risque de ralentissement de l' économie mondiale ) . C' est un peu louche . Ces diminutions de production soit disant volontaire ne le sont peut-être pas tant .

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 01 sept. 2023, 10:26

Barclays hikes 2024 Brent crude price forecast on tighter balance view

Reuters August 30, 2023

Barclays on Wednesday raised its Brent price forecast for 2024 by $8 per barrel to $97 a barrel as it expects market balances to tighten further next year.

"Slowing non-OPEC+ supply growth, driven primarily by the US, and persistent underproduction from several OPEC+ producers due to structural constraints bolsters our core thesis behind a constructive view on oil prices," Barclays said in a note.

Earlier this month, Saudi Arabia extended its voluntary production cut of 1 million bpd to the end of September, adding that it could be extended beyond then or deepened. Russia also said it would cut oil exports by 300,000 bpd in September.

Barclays forecasts a supply deficit of 670 thousand barrels per day (kb/d) in 2023 and 250 kb/d in 2024 and recommends going long the $90-$95 per barrel call spread on January 2024 Brent contract at a net cost of $1.1 per barrel.

However, the bank lowered its 2023 Brent forecast by $3 per barrel to $84 per barrel, but left fourth quarter outlook unchanged at $92 per barrel.
https://www.reuters.com/business/energy ... ext%20year.

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 18 août 2023, 00:22

Standard Chartered: All-Time-High Demand Will Push Oil To $100
By Alex Kimani - Aug 17, 2023,

> Standard Chartered analysts: highly effective producer output restraint, led by Saudi Arabia, will create the conditions for a price rally.
> Stanchart: the sharp tightening shown in most H2 balances is starting to spill-over into physical markets.
> Brent crude could hit an intra-quarter high of $100 per barrel in Q4 according to Standard Chartered.

......................
https://oilprice.com/Energy/Crude-Oil/S ... o-100.html

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par mobar » 03 août 2023, 08:35

Et on n’est pas pret d’y etre surtout si l’Arabie reouvre ses vannes des lors que le prix aura etteint l’objectif qu’elle s’est fixe (en accord avec ses complices de l’opep+)

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par GillesH38 » 29 juil. 2023, 19:29

on n'est pas encore au pic de la demande donc ?

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 29 juil. 2023, 10:57

Goldman Sachs prévoit une flambée des prix du pétrole, en raison d’une demande sans précédent

Agence Ecofin 24 juillet 2023

Goldman Sachs s’appuie sur de nombreux facteurs fondamentaux comme la réduction de la production et des exportations de l’OPEP et des alliés pour anticiper une hausse conséquente du prix de l’or noir sur les marchés.

Les prix du pétrole devraient atteindre 86 dollars le baril d’ici la fin de l’année, contre 80 dollars actuellement, le marché étant confronté à un déficit important dû à une demande de pétrole record et à une offre réduite. C’est ce que suggère Goldman Sachs, dans une étude publiée le lundi 24 juillet.

Daan Struyven, responsable de la recherche pétrolière chez Goldman Sachs, a déclaré que le troisième trimestre serait marqué par des déficits de près de 2 millions de barils par jour, alors que la demande atteindra un niveau record avant fin septembre. Ladite hausse de la demande se fera persistante au fur et à mesure que dureront les nouvelles politiques de réduction de l’offre de l’OPEP et de ses alliés.

« Les réductions de la production et des exportations de l’OPEP+, associées à un ralentissement de la croissance de la production pétrolière aux États-Unis, contribueront à des déficits substantiels au troisième trimestre », a expliqué la Banque.

La semaine dernière, le nombre d’appareils de forage aux États-Unis est tombé à 669, ce qui représente plus de 100 appareils de forage non actifs depuis le début de l’année. Cela suggère un ralentissement de la demande de forage sur le marché nord-américain et équivaut à une chute programmée de la production américaine.

En outre, un autre facteur fondamental est la baisse des exportations russes de pétrole pour la deuxième semaine consécutive, atteignant leur niveau le plus bas depuis un mois et demi. Par ailleurs, la Russie se prépare à réduire ses exportations de pétrole de 500 000 barils par jour en août.

De même, les exportations de pétrole brut de l’Arabie saoudite sont tombées sous la barre des 7 millions de barils par jour en mai, le pays ayant réduit sa production d’un million de barils par jour en juillet et en août.
https://www.agenceecofin.com/petrole/24 ... -precedent

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 26 mai 2023, 10:52

Russia’s Deputy Prime Minister Sees Brent Oil Price Above $80 At Year-End

By Tsvetana Paraskova - May 25, 2023,

Brent Crude prices are set to be slightly higher than $80 per barrel at the end of this year, thanks to rising demand in the summer and production reductions from OPEC+, Russian Deputy Prime Minister Alexander Novak told Izvestiya in an interview published on Thursday.
https://oilprice.com/Energy/Energy-Gene ... r-End.html

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 20 mai 2023, 15:13

Bank Of America Sees Oil Prices Heading Toward $90 This Year

By Tsvetana Paraskova - May 19, 2023,

> Bank of America believes oil prices will head back above $80 in the second half of the year and rise toward $90 due to a supply deficit.

> While Bank of America’s forecast for the second half of the year was bullish, it believes the second quarter will average in the mid-$70s.

> The main drivers behind Bank of America’s bullish prediction are rising demand, the OPEC+ cuts, and a lack of response from U.S. shale.
https://oilprice.com/Energy/Energy-Gene ... -Year.html

Bon, je vais garder mes actions Total. ;-)

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 21 mars 2023, 00:46

suite de 3 posts au dessus
Oil Prices Won't Hit $100 This Year

by Bloomberg|Salma El Wardany|Monday, March 20, 2023

Goldman Sachs Group Inc., one of the most bullish banks on its outlook for oil, has nudged its forecasts down as worries over the banking sector and the potential for recession outweigh a surge in demand from China.

The bank’s analysts now see Brent reaching $94 a barrel for the 12 months ahead, and $97 a barrel in the second half of 2024, versus $100 a barrel previously.

“Oil prices have plunged despite the China demand boom given banking stress, recession fears, and an exodus of investor flows,” the bank said in a March 18 note. “Historically, after such scarring events, positioning and prices recover only gradually, especially long-dated prices.”

Global markets have been roiled this week as turmoil at Credit Suisse Group AG triggered panic across markets. Oil has slumped to a 15-month low, with Brent dropping 12% this week to below $73 a barrel.

Following the decline in prices, the bank now expects OPEC producers to only increase output in the third quarter of 2024, versus in the second half of 2023 which Goldman had estimated before the price rout.
https://www.rigzone.com/news/wire/oil_p ... 3-article/

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par mobar » 14 févr. 2023, 12:20

Le prix du baril n'explosera plus, on a vu ce que ça avait donné en juillet 2008, ce serait du perdant-perdant pour tous les acteurs!

Mais il va plafonner régulièrement dans l'intervalle 100-150$ pour rappeler les fondamentaux puis reviendra à des niveaux plus acceptables quelques mois plus tard avant de s'effondrer quand les volumes de consommation se seront aussi effondrés

Dans 30 ans, le prix du baril, plus personne ne s'en préoccupera!

On se réjouit que le litre de gazole soit à 1.80 € alors qu'il y a trois ans, à 1.50 €, il avait mis des millions de gilets jaunes dans la rue!

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par tita » 14 févr. 2023, 07:23

En août 2022:
Le prix du pétrole risque d’exploser d’ici fin 2022, alerte Goldman Sachs
En août 2022, le baril se situait autour de $90-95 et actuellement il se situe autour de $75-80. Je ne pense pas que les "prédictions" de ces grandes banques soient pertinentes.

Actuellement, il n'y a pas de pression à la hausse sur le prix du baril. Dans le dernier STEO de l'EIA, la production dépassait la consommation et du coup les stocks se remplissent. Mais on peut s'attendre à une hausse de la consommation en 2023... Les voyages en Chine vont désormais reprendre (j'ai un ami qui est marié à une chinoise et leur famille va pouvoir aller en Chine, ce qu'ils n'ont pas fait en cinq ans, parce que les billets d'avions sont devenus plus abordables). La consommation des pays de l'OCDE est 3Mb/j en-dessous de 2019. De quoi évoquer la logique du pic de la demande...

Re: Le futur prix du baril dans la boule de cristal

par energy_isere » 11 févr. 2023, 13:26

Le prix du baril de pétrole retrouvera la barre des 100 dollars cette année (Goldman Sachs)

Agence Ecofin 6 fev 2023

Alors que beaucoup ont parié sur une nouvelle chute du prix du pétrole, le baril a démarré l’année dans le vert et pourrait retrouver la barre des 100 dollars, avant la fin de l’année.

Goldman Sachs prédit que le prix du baril de pétrole dépassera les 100 dollars cette année selon une information publiée dimanche 5 février par Bloomberg. D’après les analystes de la banque, deux facteurs favoriseront la remontée des prix à ce niveau.

Il s’agit des sanctions internationales vis-à-vis de la Russie, qui sont susceptibles de faire chuter les exportations vers des consommateurs clés. En second lieu, il y a la demande chinoise qui devrait connaitre un redressement significatif, alors que le pays envisage de mettre fin à sa politique de confinement.

Ceci, dans un contexte où l’OPEP+ refuse d’augmenter sa production et où les analystes s’alarment du manque d’investissements dans les capacités de production. « D’ici mai, les marchés pétroliers devraient basculer vers un déficit de l’offre par rapport à la demande […]. Cela pourrait affecter une grande partie de la capacité inutilisée des producteurs mondiaux, ce qui serait positif pour les prix », a commenté Jeff Curie, analyste et responsable de la division en charge de la recherche sur les matières premières, chez Goldman Sachs.

Le manque de dépenses pour la production nécessaire pour satisfaire la demande et le manque de capacité seront également des facteurs de hausse des prix, et pourraient devenir un problème majeur en 2024. Les problèmes suscités pourraient par ricochet, entraîner de graves difficultés d’approvisionnement en 2024, indique la banque.
https://www.agenceecofin.com/trade/0602 ... dman-sachs

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