par mobar » 30 nov. 2014, 17:28
phyvette a écrit :
Il n'y a rien a faire, nous sonnes face à un effondrement systémique. Les forces en œuvres sont sans commune mesure avec les moyens de l'humanité. Il faut se rendre a l'évidence avec humilité, nous ne sommes rien d'autre qu'une espèce animal qui a trop bien réussie dans sa croissance, et ce voit contrainte par des lois qui la dépasse.
Il n'y a rien a faire si ce n'est ce rendre inutile et inefficace au fonctionnement actuel de l'économie.
Travailler sa résilience, en faisant passer le mot à ceux qui veulent bien l'entendre
Ne pas tenter de réparer ce qui s'écroule, mais accompagner le mouvement en douceur.
Vouloir maintenir le statu-quo actuel, fusse avec des EnR est illusoire, et pas forcément souhaitable.
Et espérer que la fin de la société complexe thermo-industrielle accouche d'une nouvelle société plus simple, qui soit vivable, et qui sait soit meilleure.
La simplicité ne veut pas forcément dire robustesse et la complexité ne veut pas dire forcément dire fragilité
C'est plutot l'inverse un système extrêmement complexe (la vie, le climat, la ronde des planètes ... sont complexes et remarquablement robustes
Les systèmes fragiles sont ceux qui sont déséquilibrés et dont les déséquilibres s'accentuent constamment jusqu'à la rupture. Dès lors que cette rupture a eu, les systèmes vivants se reconstruisent sur la base de leurs signifiants et dans une direction nouvelle, dès lors que les attracteurs qui les agissent sont multiples
.
C'est le cas des civilisations, on n'en a pas vu deux se ressembler, ni emprunter le même chemin à deux moments différent de l'histoire
Les solutions de l'équation sont infinies et visibles de l'extérieur, c'est la pourquoi de la philosophie
[quote="phyvette"]
Il n'y a rien a faire, nous sonnes face à un effondrement systémique. Les forces en œuvres sont sans commune mesure avec les moyens de l'humanité. Il faut se rendre a l'évidence avec humilité, nous ne sommes rien d'autre qu'une espèce animal qui a trop bien réussie dans sa croissance, et ce voit contrainte par des lois qui la dépasse.
Il n'y a rien a faire si ce n'est ce rendre inutile et inefficace au fonctionnement actuel de l'économie.
Travailler sa résilience, en faisant passer le mot à ceux qui veulent bien l'entendre
Ne pas tenter de réparer ce qui s'écroule, mais accompagner le mouvement en douceur.
Vouloir maintenir le statu-quo actuel, fusse avec des EnR est illusoire, et pas forcément souhaitable.
Et espérer que la fin de la société complexe thermo-industrielle accouche d'une nouvelle société plus simple, qui soit vivable, et qui sait soit meilleure.[/quote]
La simplicité ne veut pas forcément dire robustesse et la complexité ne veut pas dire forcément dire fragilité
C'est plutot l'inverse un système extrêmement complexe (la vie, le climat, la ronde des planètes ... sont complexes et remarquablement robustes
Les systèmes fragiles sont ceux qui sont déséquilibrés et dont les déséquilibres s'accentuent constamment jusqu'à la rupture. Dès lors que cette rupture a eu, les systèmes vivants se reconstruisent sur la base de leurs signifiants et dans une direction nouvelle, dès lors que les attracteurs qui les agissent sont multiples
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C'est le cas des civilisations, on n'en a pas vu deux se ressembler, ni emprunter le même chemin à deux moments différent de l'histoire
Les solutions de l'équation sont infinies et visibles de l'extérieur, c'est la pourquoi de la philosophie