Paul Jorion
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Re: Paul Jorion
Merci steph01 pour le lien !
J'en avais déjà entendu parler par les mecs du pole finance au boulot.
Il est vraiment intéressant ce blog !
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Re: Paul Jorion
Une lettre ouverte de Paul Jorion qui mériterait de figurer dans la rubrique "Les négateurs de la rédemption par le Nuke"
À la rédaction de Science et vie
Aux sieurs Vincent Nouyrigat et Frédéric Pajak
Messieurs,
C’est avec un dégoût mêlé de pitié que j’ai aperçu la une de votre magazine (Accident nucléaire. Comment la France s’y prépare). Afin de connaître plus en détail l’étendue de ce désastre culturel et politique – en attendant la catastrophe radiologique annoncée – je me suis forcé à lire cette chose.
Je sais depuis longtemps que le monde radioactif dans lequel les experts de la question entendent nous faire vivre se déploie inlassablement depuis Los Alamos, en dépit de tout. Je sais aussi que l’État, en France, est actionnaire majoritaire de l’industrie nucléaire, y compris et surtout de l’armement, dont les réacteurs fabriquent, entre autres, le plutonium et autres saletés qui lui sont nécessaires. Je sais aussi que les Français, en dépit de la terreur qu’une industrie de la radioactivité suscite chez tout humain un peu conscient de la vie et des enjeux, sont fiers comme des coqs de leur « savoir-faire » nucléaire et de leur armement. Ils pourront toujours venir pleurnicher, le moment venu, sur leurs cancers et leurs beaux terroirs détruits avec le même savoir-faire.
Quelques mois avant Fukushima, Science et vie (juillet 2010) nous expliquait que « la vie reprend le dessus » à Tchernobyl. On y causait biodiversité et génomique de bazar, on traitait sur le même plan incendies de forêts et irradiation des territoires, la vie humaine et sociale était à peu près absente des doctes réflexions des pacificateurs mis à contribution. Aujourd’hui dans un prétendu « après-Fukushima » – comme si l’affaire était réglée –, les industriels de la radioactivité ont décidé de changer leur missile d’épaule. Depuis le temps que les Verts et autres citoyens avides de transparence et de consommation dans le confort hurlent à la désinformation, à l’omertà, les radieux experts font amende honorable : la catastrophe est non seulement fort probable, imminente mais, surtout, elle est dans l’ordre des choses. Ils ont fini par admettre qu’on ne pouvait plus le cacher. Et, bien sûr, les « acteurs » du nucléaire et la protection dite civile nous garantissent qu’ils sont prêts à gérer au mieux un Fukushima français.
Autre nouveauté, non des moindres, les grands manitous de l’atome ne garantissent plus rien du tout, simplement qu’ils feront, au fond, ce qu’ils pourront. C’est-à-dire pas grand chose sinon nous confiner et organiser notre consentement à la vie en milieu irradié. Ce que tout observateur, même négligent, sait de longue date. Mais cet aveu seul suffirait à l’enterrement du nucléaire.
Ce changement d’attitude dont vous faites état dans votre dossier marque un achèvement dans l’habituation à l’horreur. Plutôt sexy pour une époque placée, paraît-il, sous le signe de la rationalité et de la « science » : vie assistée par ordinateur, OGM, surveillance tous azimuts, guerre spatiale, climatique, pillages hystériques des ressources, etc. Après tout il est logique d’accepter enfin officiellement que l’industrie atomique est contre la vie puisque la majorité semble impuissante face aux armes à déchets « appauvris », au calvaire des mineurs d’uranium au Niger et ailleurs ou au spectacle d’enfants-balises japonais élevés avec des dosimètres.
Vous me rétorquerez que vous ne faites là que votre travail de journalistes et, assurément, votre dossier est exhaustif. Vous jouez même avec quelques petites transgressions nécessaires, comme cette remise en question du modèle prédictif probabiliste officiel qui voulait nous faire croire, à l’aide d’une équation à deux sous, que l’éventualité d’une catastrophe était presque nulle ; ou les questions sinistres et évidemment sans réponse que vous posez ici et là, afin de montrer qu’on ne vous la fait pas. Vous donnez la parole à une horde d’experts et contre-experts, illustres ou non ; personne ne pourra vous accuser de ne pas être objectifs. Vous roulez même un peu les mécaniques en évoquant des « questions que jusqu’ici personne n’avait osé poser ». Comme si avant vous personne ne s’était jamais inquiété de rien, mais la mémoire historique n’est pas ce qui vous étouffe. Des décennies de mouvements antiguerre, antibombe, antinucléaire, une longue série de désastres civils avec leur cortège de médecins et de chercheurs, sans parler de la Guerre froide et de ses centaines de tirs nucléaires qu’il était convenu d’appeler « essais », tout cela n’est rien en regard de votre sotte prétention journalistique à révéler… ce que vos donneurs d’ordre consentent à révéler. Ce qui, au passage, rejette dans les ténèbres toute révélation antérieure, éclipsée par votre génie d’enquêteurs.
Mais la réalité est bien plus sordide : vous êtes salariés, aux ordres, vous n’avez de liberté de parole que celle consentie par vos donneurs d’ordre via votre rédaction. N’ayant pas cette limitation, j’ai ici le mauvais goût de ne parler qu’en mon propre nom et celui de tout humain qui n’en peut plus de ce monde où seule la marchandise conditionne la vie et la mort, où la soumission à tous les diktats morbides de l’économie, aux impératifs de la guerre pour l’énergie, l’organisation de la peur et de la haine sont de règle.
Votre dossier est donc destiné à nous faire accepter l’inacceptable puisque Jacques Repussard de l’IRSN l’a dit : « il faut imaginer l’inimaginable ». Ceux qui posaient encore récemment aux maîtres de l’atome ont enfin compris qu’il leur fallait avouer une bonne fois pour toutes : qu’ils nous tiennent tous en otages, pro comme anti, au nom du « progrès » technique dont on nous rebat les oreilles et qui est désormais le seul horizon qui fasse sens pour une société qui n’en a plus ; que nous avons intérêt à filer doux et à accepter avec reconnaissance notre rôle de victimes consentantes, puisque la majorité a déjà tout accepté au nom de la mythique indépendance énergétique.
Je vous souhaite à tous de beaux cancers.
Un irradié non consentant.
Saclay, le 14 septembre 2014
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
« Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes bien informées et impliquées puisse changer le monde, en fait, ce n'est jamais que comme cela que le monde a changé »
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Re: Paul Jorion
http://www.atlantico.fr/decryptage/espe ... 38557.htmlL’espèce humaine est-elle suffisamment outillée pour empêcher sa propre extinction ?
le 27 Mars 2016 Atlantico
Le genre humain se découvre, surpris, au bord de l’extinction et ne réagit que mollement, en tentant de manière dérisoire de dégager un bénéfice commercial de toute tentative de réponse. Notre constitution psychique et notre histoire jusqu'ici suggèrent malheureusement que notre espèce n’est pas à la hauteur de la tâche : la découverte que chacun d’entre nous est mortel l’a plongée dans une stupeur profonde dont plusieurs milliers d’années de rumination ne sont pas parvenues à la faire émerger. Extrait de "Le dernier qui s'en va éteint la lumière" de Paul Jorion, aux éditions Fayard 2/2
Vous avez peut-être eu l’occasion de voir cette vidéo où un conférencier conclut en disant que sa conviction personnelle est qu’il y a dans la salle des personnes qui vivront mille ans.
S’il avait fait débuter sa conférence par une telle profession de foi, il aurait évidemment couru le risque que certains de ses auditeurs ne se lèvent aussitôt pour quitter la salle, persuadés d’avoir affaire à un fou.
Mais d’autres seraient certainement restés assis pour connaître la suite : pareils propos sont sûrs d’amuser, d’intriguer en tout cas, même ceux qu’il sera difficile de convaincre.
Ce qui nous détourne de prendre au sérieux l’idée de vivre mille ans, c’est que nous imaginons trop bien le type d’individus que ce genre d’idées séduira : des gens. imbus de leur personne, convaincus que leur présence est indispensable à l’avenir du genre humain. Ce sont eux qui veillent à ce que leur corps soit cryogénisé à leur décès, congelé de telle sorte qu’ils puissent être ressuscités lorsque les progrès de la médecine permettront de guérir l’affection qui les a emportés.
La perspective de vivre mille ans est une approximation pour nous du rêve de l’immortalité. Oui, nous ressentons un choc quand nous découvrons que nous mourrons un jour, mais nous assimilons rapidement la nouvelle, qui va rejoindre alors les autres faits désagréables que nous regroupons dans la catégorie dite de la " dure réalité ".
Dans le cas de notre espèce, la vie, le processus biologique, a échoué à réaliser ce qui était pourtant l’une des options envisageables : assurer la perpétuation de l’espèce par l’immortalité de ses représentants. C’était là l’option qui aurait rencontré les aspirations de l’être humain : prenant conscience de lui-même comme immortel, il en aurait été satisfait.
Nous, êtres humains, n’avons en réalité jamais digéré le fait que nous allions mourir un jour. Nous nous faisons sans doute une raison quand nous comprenons que notre existence sera nécessairement limitée dans le temps, mais notre espèce dans son ensemble a très mal pris la nouvelle : la quasi-totalité des religions est dans le déni, affirmant que la mort individuelle est une illusion, qu’après la corruption – indéniable, celle-ci ! – du corps nous existerons encore d’une certaine manière dans un " au-delà ".
L’homme a réagi à la découverte de sa mortalité individuelle en plongeant dans une dépression profonde qui affecte depuis l’espèce tout entière. Constatant au contraire son immortalité, il ne lui serait jamais venu à l’esprit de concevoir une eschatologie : la représentation d’un monde situé ailleurs auquel il aura accès plus tard et où se déroulera enfin sa " vraie vie ".
Certains peuples ont fait du combat contre la mort le cœur même de leur civilisation, comme les Égyptiens anciens. D’autres se sont enfermés dans le déni et ont préféré inventer des fadaises : que la mort est une illusion parce que tout finit par s’arranger dans un monde qui s’ouvre au moment de la mort et où l’on réside à partir de là éternellement.
Les religions ont inventé des eschatologies nous expliquant ce qui se passera " après " ; et, comme l’imagination humaine est sans limite, ces mythologies diffèrent les unes des autres. Il y a deux inconvénients tragiques à cela. Le premier est que, comme Dieu est manifestement " de notre côté " et non de celui des autres, nous nous imaginons rendre un grand service à l’humanité tout entière en débarrassant le globe de la vermine qu’ils sont. Le second inconvénient, c’est que focaliser son attention sur cette chimère qu’est la vie après la mort dans un ailleurs inévitablement présenté comme un paradis par rapport au monde où nous vivons distrait de la tâche d’améliorer celui-ci, ou du moins de le rendre ou de le garder viable. De telles eschatologies ont joué un rôle démobilisateur majeur vis-à-vis de la lutte contre l’éventuelle extinction du genre humain, dont l’urgence serait sinon apparue en pleine lumière : organiser sur une base renouvelable et durable la vie du genre humain sur la planète qu’il occupe.
Extrait de Le dernier qui s'en va éteint la lumière de Paul Jorion, publié aux éditions Fayard, mars 2016. Pour acheter ce livre, cliquez ici.
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Re: Paul Jorion
http://www.businessbourse.com/2016/04/0 ... clysmique/Paul Jorion: ” Ce monde passe en mode cataclysmique !”
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Re: Paul Jorion
Bah, le matérialisme c'est bien mais il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Il y a aussi la théosophie, l'ésotérisme, la psychotronique, les NDEs, et toutes sortes de système de pensée permettant de ne pas s'enfoncer exclusivement dans un obscurantisme matérialiste.Nous, êtres humains, n’avons en réalité jamais digéré le fait que nous allions mourir un jour. Nous nous faisons sans doute une raison quand nous comprenons que notre existence sera nécessairement limitée dans le temps, mais notre espèce dans son ensemble a très mal pris la nouvelle : la quasi-totalité des religions est dans le déni, affirmant que la mort individuelle est une illusion, qu’après la corruption – indéniable, celle-ci ! – du corps nous existerons encore d’une certaine manière dans un " au-delà ".
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Re: Paul Jorion
entre le matérialisme des Lumières et l'obscurantisme fanatisant des religions, le choix est simple : Carpe Diem ou ceinture de TATPalga a écrit :
Bah, le matérialisme c'est bien mais il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Il y a aussi la théosophie, l'ésotérisme, la psychotronique, les NDEs, et toutes sortes de système de pensée permettant de ne pas s'enfoncer exclusivement dans un obscurantisme matérialiste.
Mourir pour des idées, mais de mort lente!
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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Re: Paul Jorion
tu ne va tout de même pas faire un speach croyance versus raison.....menfin les esprits libres sont prêt à tout, mais vu que toute tradition s'est evaporée ou se trouvent de tels esprits....?
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Re: Paul Jorion
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Re: Paul Jorion
Esprits libres prêts à tout ou esprits tout à fait prêts à être libres?hyperion a écrit :tu ne va tout de même pas faire un speach croyance versus raison.....menfin les esprits libres sont prêt à tout, mais vu que toute tradition s'est evaporée ou se trouvent de tels esprits....?
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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Re: Paul Jorion
T'as aucune raison de changer quoi que ce soit mobar, ça va bien partout, aller, rendors toi.
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Re: Paul Jorion
mobar tu es vraiment le champion de la tchatche : des mots des mots des mots et aucune substance.mobar a écrit :Esprits libres prêts à tout ou esprits tout à fait prêts à être libres?hyperion a écrit :tu ne va tout de même pas faire un speach croyance versus raison.....menfin les esprits libres sont prêt à tout, mais vu que toute tradition s'est evaporée ou se trouvent de tels esprits....?
"Tu connaîtras la vérité et la vérité te rendra libre"
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"Dans le spectacle la vérité est un moment du mensonge"
Debord
"Aucun compromis sur les principes, toutes les adaptations sur le terrain."
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Re: Paul Jorion

Dans ma pile de lecture !
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Re: Paul Jorion
Ton avis là dessus m'intéresse.... 

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Re: Paul Jorion
L'humanité peut très bien se passer d' électricité. Pendant des siècles, il s' en est bien passé.
La religion est la maladie honteuse de l' humanité.la politique en est le cancer(Millon de Montherlant)
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Re: Paul Jorion
se passer d'une chose conduit fréquemment à une baisse du niveau de vie.
L'électricité en l'occurrence est l'un des facteurs majeurs d'élévation du niveau de vie, peut-être même à égalité avec la médecine, laquelle d'ailleurs sans électricité deviendrait piètre.
L'électricité en l'occurrence est l'un des facteurs majeurs d'élévation du niveau de vie, peut-être même à égalité avec la médecine, laquelle d'ailleurs sans électricité deviendrait piètre.