ENGIE ( ex GDF-SUEZ )

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GDF Suez change de nom : l'énergéticien s'appellera désormais Engie

24 Avril 2015 Usine Nouvelle

Selon l'hebdomadaire La Lettre de L'Expansion, le groupe GDF Suez va être rebaptisé Engie. Gérard Mestrallet devrait annoncer officiellement la nouvelle le 28 avril, pendant l'assemblée générale qui réunira les actionnaires de l'énergéticien.

Le spécialiste tricolore de l'énergie GDF Suez va changer de nom de baptême : il se fera prochainement appeler Engie, selon un article publié le 23 avril par La Lettre de L'Expansion. La nouvelle dénomination de l'énergéticien sera dévoilée en interne ce 24 avril par le patron du groupe Gérard Mestrallet, et officiellement le 28 avril lors de l'assemblée générale du groupe, détaille l'hebdomadaire.

GDF Suez est le quatrième groupe mondial du secteur de l'énergie (hors compagnies pétrolières), d’après le classement mondial des entreprises Global 500 de 2014 réalisée par le magazine américain Fortune. Il a été créé mi-2008 de la fusion de Gaz de France et de Suez.

http://www.usinenouvelle.com/article/gd ... ie.N326546

Mestrallet sans doute nostalgique du rube des RollingStone d' il y a 40 ans :'' Angie''.


La direction de GDF Suez (de g à d: le PDG Gerard Mestrallet, la vice-président Isabelle Kocher et la responsable de la communication Valérie Bernis) présente le nouveau nom du groupe le 24 avril 2015 à Paris ( AFP / MIGUEL MEDINA )

..........."Cinq syllabes pour un nom, c'était un peu long", a souligné M. Mestrallet.
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"Le nom +Engie+ parle très directement de nos métiers", a pour sa part estimé Mme Kocher, soulignant qu'il était phonétiquement proche d'"énergie".

http://www.boursorama.com/actualites/gd ... a907d410c4

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Engie (GDF Suez): baisse de 17% du résultat opérationnel courant au 1T, objectifs 2015 confirmés

27 Avril 2015

L'énergéticien français Engie - nouveau nom de GDF Suez - a annoncé lundi un repli de 17% de son bénéfice opérationnel courant au premier trimestre, pénalisé par l'arrêt de centrales nucléaires en Belgique et la baisse du pétrole, mais a confirmé ses objectifs pour l'ensemble de l'année.

Au cours des trois premiers mois de l'année, le groupe a dégagé un résultat opérationnel courant de 2,4 milliards d'euros contre 2,9 milliards un an plus tôt.

Son excédent brut d'exploitation a atteint 3,6 milliards d'euros, contre 4 milliards un an plus tôt, en baisse de 10%. C'est légèrement moins que les 3,7 milliards qu'attendaient les analystes, selon le consensus établi par Factset.

Le chiffre d'affaires s'est lui replié de 3%, à 22,1 milliards contre 22,7 milliards d'euros.

Le premier trimestre a été impacté par l'indisponibilité des centrales nucléaires de Doel 3 et Tihange 2 et par la baisse des prix du (baril de) brent et du gaz et des prix de l'électricité sur les marchés, a expliqué le groupe dans un communiqué.

Les centrales Doel 3 et Tihange 2, exploitées par Electrabel, filiale d'Engie en Belgique, sont à l'arrêt depuis le 25 mars 2014 afin de réaliser des tests supplémentaires sur leurs cuves, après la découverte de microfissures à l'été 2012.

La baisse des prix des hydrocarbures a de son côté pénalisé les activités d'exploration-production et les ventes de GNL, a ajouté le groupe.

Le climat, qui avait pesé sur ses résultats au premier trimestre 2014 en raison d'un hiver très doux en Europe, a cette fois été plus favorable.

La branche Energy International, qui regroupe les activités de production d'électricité hors d'Europe, a en revanche enregistré une forte hausse de son excédent brut d'exploitation, grâce à la mise en service de nouveaux actifs, a souligné Engie.

La branche Infrastructures, qui inclut notamment la filiale de distribution GrDF, a également connu une forte progression, bénéficiant d'un climat plus favorable (hiver plus froid que l'année précédente) et des hausses tarifaires annuelles.

Engie, qui n'a pas communiqué son résultat net pour le premier trimestre, a confirmé ses objectifs pour l'ensemble de l'année 2015.

Il vise notamment un résultat net récurrent compris entre 3 milliards et 3,3 milliards d'euros, à climat moyen et régulation stable. En 2014, le producteur d'électricité et de gaz avait publié un bénéfice hors éléments non récurrents de 3,1 milliards d'euros.

Il attend par ailleurs un résultat opérationnel courant entre 6,8 milliards et 7,4 milliards et un excédent brut d'exploitation entre 11,7 milliards et 12,3 milliards.

GDF Suez a annoncé vendredi avoir choisi de se rebaptiser Engie, pour incarner son repositionnement stratégique vers les marchés émergents et les services.

http://www.romandie.com/news/Engie-GDF- ... 588129.rom

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Assemblée générale d'Engie (ex-GDF-Suez):les "anti-charbon" pointent les contradictions du groupe

30 Avril 2015

Coup de théâtre à l'Assemblée générale du Groupe Engie (anciennement GDF-SUEZ) : ce 28 avril, des militants de l'ONG Les Amis de la terre, masqués en François Hollande, ont tenté de pénétrer dans le lieu où se tenait cette AG. Ils protestaient contre les projets du groupe basés sur le charbon, et voulaient demander à Engie d’aligner ses choix énergétiques sur ceux de l’un de ses principaux actionnaires, à savoir l’État français, qui a annoncé le retrait de ses subventions publiques à l'export aux centrales à charbon. Derrière cette action coup de poing, des enjeux complexes.
Décryptage.
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http://www.novethic.fr/gouvernance-dent ... 43259.html

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Engie veut croître dans l’exploration-production

Par Ludovic Dupin - Usine Nouvelle le 29 mai 2015,

Engie veut accroître ses réserves de gaz. Pour cela, le groupe est à l’affût d’une acquisition dans l’exploration-production.

A quelques jours de l’ouverture du congrès mondial du gaz, un évènement triennal qui réunit toute la filière mondiale, Engie (ex-GDF Suez) organisait ce jeudi 28 mai un séminaire pour faire valoir la place du gaz dans la transition énergétique. Selon le PDG, Gérard Mestrallet, cet hydrocarbure, qui émet deux fois moins de CO2 que le pétrole et le charbon lors de sa combustion, est un outil dont doit s’emparer la COP21 à Paris en décembre prochain pour maintenir la hausse des températures sous 2°C.

Fort de cette ambition, le groupe veut développer ses activités sur tous les maillons de la chaine gazière, y compris dans l’exploration-production (E&P). "Ce que nous faisons avec notre effort d'exploration nous permet de renouveler nos réserves. Pour aller au-delà, cela passera par des acquisitions", a expliqué Didier Holleaux, directeur général adjoint en charge de la branche E&P. Il ajoute : "Nous regardons beaucoup d’opportunités. J'ai bon espoir qu'on en conclue une dans les mois qui viennent."

Avec le cycle bas des cours du pétrole, la période est en effet favorable aux fusions-acquisitions. Début avril, le géant Shell a annoncé l’acquisition du pétrolier BG Group pour 47 milliards de livres. Didier Holleaux explique que "BG était un peu gros pour Engie E&P, et même pour Engie dans son ensemble. Cela aurait changé très profondément la physionomie du groupe."

Levier de négociations

C’est donc une cible plus modeste que vise l’énergéticien. Son ambition est de porter ses réserves de 759 millions de barils équivalent-pétrole à 1,2 milliard de barils. Le groupe ne se fixe cependant pas de date butoir pour atteindre cet objectif. D’autant plus, qu’en raison de la faiblesse des cours du pétrole, les investissements d’exploration-production du groupe vont diminuer de 25 à 30 % dans les années qui viennent. En 2014, Engie y a investi un milliard d’euros pour 2,8 milliards d’euros de chiffre d’affaire et 900 millions d’euros de résultat d’exploitation.

Pour Engie, cette activité ne représente qu’environ 3 à 4 % des achats gaz. Mais cette présence, même modeste, permet au groupe de diversifier le risque sur l’ensemble de la chaîne de valeur du gaz et surtout de renforcer les capacités de négociation de la société avec ses fournisseurs.

http://www.usinenouvelle.com/article/en ... on.N332459

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Engie: accord d'approvisionnement en GNL avec Novatek.

le 02/06/2015

Engie annonce la signature d'un accord d'approvisionnement en Gaz Naturel Liquéfié (GNL) avec Novatek.

Dans le cadre de cet accord, Engie recevra un million de tonnes de GNL par an à partir de 2018, pendant 23 ans. 14 cargaisons seront livrées chaque année par les méthaniers brise-glace de Yamal LNG au terminal de Montoir-de-Bretagne.

' Ces volumes viendront compléter et diversifier le portefeuille d'approvisionnement long-terme d'Engie, tout en permettant de répondre à la demande croissante en GNL et au souci de nos clients d'accéder à une énergie fiable et respectueuse de l'environnement.' a déclaré Gérard Mestrallet, Président-Directeur Général.

Le projet Yamal LNG, dont Novatek possède 60%, est le premier projet de liquéfaction de gaz naturel de cette taille au-delà du cercle arctique. Yamal LNG sera l'une des plus grandes usines de liquéfaction au monde et devrait démarrer en 2017.

http://votreargent.lexpress.fr/bourse-d ... 85641.html

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Engie se renforce dans l’énergie solaire

LE MONDE ECONOMIE | 01.07.2015 Par Jean-Michel Bezat

Engie, l’ex-GDF Suez a annoncé, mercredi 1er juillet, l’acquisition de 95 % du capital (et de 100 % des droits de vote) de Solairedirect, un acteur important dans la production d’électricité solaire photovoltaïque. Le montant de cette opération est d’un peu moins de 200 millions d’euros, auxquels s’ajoutera une augmentation de capital de 130 millions d’euros.

Cette opération est d’abord un constat d’échec pour la stratégie « stand alone » de Solairedirect. Son patron-fondateur, Thierry Lepercq, n’est pas parvenu à introduire sa société en Bourse au premier semestre pour y lever 175 millions, comme il l’avait annoncé le 5 mars en déposant son document de base auprès de l'Autorité des marchés financiers.

Ces fonds devaient lui permettre de « consolider son bilan » et d' « exploiter de nouvelles opportunités de croissance » dans les pays émergents à fort potentiel solaire (Inde, Thaïlande, Chili, Mexique, Afrique du Sud)... où Engie est déjà implanté et compte se déployer.

C’est donc Engie qui lui donnera « les moyens financiers et la taille critique pour accélérer son développement ». Et non plus la Bourse, trop volatile pour des sociétés comme Solairedirect ou les laboratoires d’analyses Labco et plus accueillante aux grosses opérations (Spie, Europcar...).

PDG d’Engie, Gérard Mestrallet, était à l’affût. « Ce n’était pas le moment de faire une introduction Bourse, et nous avons alors intensifié nos discussions », reconnaît-il, ravi de voir son groupe devenir ainsi le numéro un du solaire en France.

Coût des projets en forte baisse

La stratégie choisie de longue date par sa « cible » de développer un « solaire compétitif », capable de vivre sans subventions dans les pays émergents, avait placé Solairedirect dans le radar d’Engie. Une acquisition qui s’inscrit bien dans sa stratégie, définie fin 2013, de devenir le leader de la transition énergétique en Europe et un énergéticien de référence dans les pays émergents.

Si cette source d’énergie n’est pas encore tout à fait viable dans l’Hexagone sans tarifs de rachat du courant par EDF, elle est devenue rentable dans les pays du Sud à fort ensoleillement ou dans de nombreux Etats du sud des Etats-Unis.

Le coût des projets a fortement baissé – et continuera à un rythme de 5 % par an – après le « bain de sang » du début de la décennie, où de grands fabricants de panneaux allemands, américains et même chinois ont disparu.

On peut désormais produire du courant d’origine photovoltaïque entre 55 et 80 euros le mégawattheure (MWh). Trois fois moins cher que les coûteuses éoliennes en mer (200 euros le MWh). Moins cher même (et moins risqué) que les nouveaux réacteurs nucléaires comme l’EPR d’Areva (plus de 100 euros le MWh), dont la compétitivité est chaque jour remise en cause par la dérive des chantiers.

http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.html

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Engie s’associe au japonais Kanzai Electric dans le gaz naturel liquéfié


21 juillet 2015 Usine Nouvelle

Engie (ex-GDF Suez) annonce la signature d’un contrat de partenariat avec le producteur d’électricité japonais Kansai Electric. Cet accord vise à optimiser le transport du gaz naturel liquéfié (GNL) et il "offrira aux deux groupes des opportunités sur le plan commercial et marketing en Europe et dans d’autres marchés", précise l’énergéticien français dans un communiqué.

En pratique, "Engie achètera à Kansai Electric aux Etats-Unis 0,4 million de tonnes par an de GNL. En fonction des conditions de marché, ENGIE pourra ensuite vendre une quantité équivalente de GNL à Kansai Electric au Japon".

Ce partenariat doit débuter en 2019 pour une période initiale de 4 ans, prorogeable à 20 ans maximum. Engie prendra en charge l’achat, la vente et le transport du gaz au sein de son propre portefeuille diversifié de GNL.

http://www.usinenouvelle.com/article/en ... ie.N342262

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Engie : résultats en baisse de 56% à fin juin

Par lefigaro.fr avec AFP le 29/07/2015

L'énergéticien français Engie a vu son bénéfice net chuter de 56% au premier semestre, à 1,11 milliard d'euros, pénalisé par la baisse des prix des matières premières, l'indisponibilité de réacteurs nucléaires en Belgique, ainsi que des dépréciations d'actifs.

L'ex-GDF Suez a toutefois confirmé ses objectifs pour l'ensemble de l'année 2015, qui comprennent notamment un résultat net courant compris entre 2,85 milliards et 3,15 milliards d'euros.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/0 ... n-juin.php

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Accord de principe entre Engie et la Belgique pour deux réacteurs nucléaires

le 29 juillet 2015

Engie (ex-GDF Suez) annonce ce mercredi 29 juillet, la signature d'un accord de principe avec le gouvernement belge pour le prolongement jusqu'en 2025 de la durée de vie des réacteurs nucléaires Doel 1 et Doel 2.

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http://www.usinenouvelle.com/article/ac ... es.N343252

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Engie détiendra 9 % du projet de gazoduc Nord Stream 2

Posted on 4 septembre 2015 by Eric Saudemont

04 sept 2015

Les compagnies Gazprom, BASF, EON, Engie, OMV et Shell ont signé aujourd’hui un pacte d’actionnaires pour la mise en œuvre du projet d’extension du gazoduc Nord Stream. Cette infrastructure, qui vise à « améliorer l’offre de gaz naturel au marché de l’Union européenne », sera portée par la société New European Pipeline AG détenue à 51 % par le groupe russe.

Les autres partenaires seront actionnaires chacun à hauteur de 9 %. Le projet d’extension du gazoduc Nord Stream (appelée aussi North Stream 2) prévoit la construction de deux pipelines offshore pour une capacité annuelle totale de 55 milliards de mètres cubes.

http://www.petrole-et-gaz.fr/tag/transport-de-gaz/

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Suez compte augmenter sa production de biogaz de 30 à 50% en cinq ans

Usine Nouvelle le 15 septembre 2015,

Suez a annoncé mardi 15 septembreson intention d'augmenter sa production de gaz à partir de déchets et de boues de 30% à 50% d'ici à 2020, le groupe misant en particulier sur l'injection croissante de biométhane dans le réseau de gaz français.

Le biogaz, qui alimente également des centrales et des réseaux de chaleur, représente aujourd'hui un térawattheure d'électricité produite par an pour le spécialiste du traitement de l'eau et des déchets.

"On a vraiment intérêt aujourd'hui à jouer la réutilisation du biogaz en tant que gaz plutôt que de le transformer en énergie électrique", a déclaré lors d'une conférence de presse Thierry Mallet, directeur de l'innovation, du marketing et de la performance industrielle de Suez.

La France, en retard

"La France, par rapport au reste de l'Europe, est extrêmement en retard en matière de production de biogaz (...) ."On est dans un rapport de un à dix entre ce que nous produisons en France et ce que produit l'Allemagne

GrDF, le gestionnaire du réseau de distribution français, estime que le biométhane - du biogaz épuré - devrait représenter 1% de la consommation française en 2020, la loi de transition énergétique ayant fixé un objectif de 10% en 2030. Il a également élaboré un scénario selon lequel 73% du gaz consommé en France pourrait être d'origine renouvelable en 2050.

Suez envisage de participer à plus d'une centaine de projets de méthanisation dans les cinq ans qui viennent, alors qu'il en compte aujourd'hui 170.

Les producteurs de biométhane - dont l'injection sur les réseaux français est autorisée depuis 2011 - bénéficient de tarifs d'achat garantis sur 15 ans.

GrDF estime que le surcoût du biométhane par rapport au gaz naturel, compensé par une contribution payée par les consommateurs, devrait représenter cette année 0,30 euro pour une maison individuelle et un montant compris entre 7 et 24 euros par an pour le même foyer en 2020.

http://www.usinenouvelle.com/article/su ... ns.N350326

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Mer du Nord : Engie acquiert 30 % de quatre licences d’exploration

le 23/09/2015 lemarin.fr

Avec deux rigs actifs à fin août, Engie reste le foreur le plus actif en mer du Nord néerlandaise. Le groupe français vient de renforcer sa présence dans la région en acquérant 30 % des licences 4Quads (blocs G18, H16, M3 et N1) auprès du britannique Hansa Hydrocarbons.

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... xploration

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Engie a annoncé jeudi avoir à nouveau abaissé sa prévision de résultat net pour 2015 en raison de l'indisponibilité de deux centrales nucléaires en Belgique pour deux mois supplémentaires.

usine Nouvelle 01 octobre 2015,
PARIS (Reuters)

Le producteur et distributeur de gaz et d'électricité indique dans un communiqué qu'il table désormais sur un résultat net récurrent compris entre 2,75 et 3,05 milliards d'euros pour cette année contre une prévision de 2,85 à 3,15 milliards précédemment.

Cet objectif repose sur une estimation d'Ebitda et de résultat opérationnel courant de respectivement 11,45 à 12,05 milliards d'euros et 6,55 à 7,15 milliards d'euros, a précisé Engie.

Sa filiale Electrabel a reporté au 1er janvier 2016 la période d'indisponibilité de ses réacteurs Doel 3 et Tihange 2, alors que leur redémarrage était précédemment envisagé pour le 1er novembre 2015.

http://www.usinenouvelle.com/article/en ... 15.N354083

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Engie confirme l’arrêt de ses investissements dans le charbon

Usine Nouvelle le 14 octobre 2015,

Confirmant des propos de Ségolène Royal, la direction Engie annonce la fin des investissements du groupe dans le charbon. Le premier énergéticien mondial conserve ses actifs existants et les projets en cours, mais ne lance plus de nouveaux chantiers. Il se retire en particulier du projet de grande centrale en Turquie.

Lors du dernier conseil d’administration d’Engie qui s’est déroulé les lundi 12 et mardi 13 octobre, la décision a été prise de mettre fin aux investissements dans le charbon a confirmé le groupe contacté par l'Usine Nouvelle.

L'énergéticien va conserver ses centrales en activité, soit 30 unités qui comptent environ pour 15 % de son mix électrique. Par ailleurs, les projets les plus avancés seront menés à leur terme. En revanche, les dossiers encore en cours de négociation, comme la grande centrale Ada Yumurtalik en Turquie (1320 MW), sont stoppés. Le groupe confirme aussi qu’il se retire de la construction de la centrale à charbon de Thabametsi en Afrique du Sud (600 MW).

Engie avait prévu de communiquer sur le sujet en prévision de la COP21. Mais il s’est fait griller la politesse par la ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, Ségolène Royal, qui, invitée sur BFMTV, a révélé l’information. "Les entreprises françaises vont retirer leurs investissements dans le charbon, et Engie s'y est d'ailleurs engagé", a-t-elle déclaré. Un tiers du capital d’Engie est détenu par l’Etat.

"On ne peut pas d'un côté déplorer les effets catastrophiques du dérèglement climatique et de l'autre continuer à investir dans les énergies fossiles, avait souligné la ministre. Il faut de la rigueur et un bon ordre des choses." L'Etat avait déjà décidé de retirer toutes les aides à Alstom pour l’exportation de centrales à charbon.

EDF en cours de revue stratégique

Reste à savoir désormais ce que va faire EDF qui détient également 16 centrales à charbon, dont deux en France. Lors d'une conférence, mardi 13 octobre, la directrice du développement durable d'EDF, Claude Nahon, a assuré qu’une revue stratégique de l'ensemble des actifs fossiles du groupe en Europe continentale est en cours. "Cette revue stratégique devrait prendre fin en 2016, nous ne pouvons pas affirmer qu'il y aura des fermetures pour le moment."

L'électricien a réduit de 3 000 mégawatt sa production d'électricité à base de charbon entre 2013 et 2015, en fermant ses dix unités de production au charbon les plus vétustes en France.

Il y a quelques jours, l’association écologistes Les Amis de la Terre avait dénoncé l’utilisation du charbon par les deux énergéticiens EDF et Engie dont les 46 centrales à charbon émettraient 151 millions de tonnes de CO2. Dans la perspective de la COP21, le sommet sur le climat qui se tiendra début décembre à Paris, Jean-Bernard Lévy et Gérard Mestralllet, les patrons des deux entreprises, se sont prononcés pour la mise en place d’un prix du carbone efficace et favorables aux énergies les moins émettrices.

Pour mémoire, le charbon est le premier fournisseur d’énergie primaire et d’électricité de la planète, dont il couvre 40 % des besoins. Sa part est même beaucoup plus importante dans des économies en forte croissance comme la Chine et l’Inde. En France, en 2014, le charbon a compté pour 1,5 % de la production d’électricité, deux fois moins que l’éolien.

Ludovic Dupin

http://www.usinenouvelle.com/article/en ... on.N356876

Le géant énergétique Engie renonce à investir dans le charbon

le 14-10-2015 Challenges.fr

L'ex-GDF Suez était régulièrement sous le feu des critiques des associations environnementales, qui lui reprochaient ses projets de développement de centrales électriques à charbon.
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http://www.challenges.fr/energie-et-env ... arbon.html

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ENGIE : et Cheniere signent un accord d'achat-vente de GNL

28/10/2015 zonebourse.com

ENGIE vient d'annoncer la signature d'un accord d'achat-vente pour une durée de 5 ans avec Cheniere Marketing International LLP. Dans le cadre de cet accord, ENGIE achètera auprès de Cheniere jusqu'à 12 cargaisons de gaz naturel liquéfié (GNL) par an, livrées ex-ship au terminal de regazéification de Montoir-de-Bretagne depuis les terminaux méthaniers de Sabine Pass et Corpus Christi. Le prix de vente des cargaisons de GNL est indexé sur les marchés du nord de l'Europe.

Pierre Chareyre, Directeur Général Adjoint en charge de la branche Global Gaz & GNL, a déclaré : «ENGIE s'est engagé à fournir à ses clients européens une énergie propre et sûre. L'importation de GNL américain participera au renforcement de la sécurité d'approvisionnement en Europe. En outre, dans le contexte de la transition énergétique, le gaz naturel est le partenaire idéal pour les énergies renouvelables, dans la mesure où il est flexible et abondant.»

L'acheminement de GNL depuis les États-Unis contribuera à diversifier l'origine du gaz naturel consommé en Europe. Le GNL proviendra du portefeuille de Cheniere et sa source primaire sera l'usine de liquéfaction de Corpus Christi actuellement en construction.

Aux termes de cet accord, les livraisons débuteront en 2018 et s'étendront sur une période de 5 ans. Le GNL pourra également être livré à d'autres terminaux méthaniers européens, ce qui améliorera la flexibilité de la gestion du portefeuille du Groupe.

Acteur international de premier plan dans le GNL, ENGIE en est le premier importateur européen. Aujourd'hui, ENGIE possède l'un des plus grands portefeuilles d'approvisionnement de GNL au monde. Le Groupe exploite une large flotte de 14 méthaniers sous contrats d'affrètement à moyen et long termes. Cette flotte est en permanence optimisée pour répondre aux engagements de long terme d'ENGIE et saisir les opportunités à court terme. Le Groupe est également très présent dans des terminaux de regazéification à travers le monde.

http://www.zonebourse.com/ENGIE-SA-4995 ... -21278920/

Terminal de Sabine Pass qui a été construit aux USA pour écouler du ...... gaz de schiste.