"Contre-vérité" sur le solaire dans le rapport Syrota, déplore le SER
PARIS - Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) a relevé mercredi une "contre-vérité flagrante" en matière d'énergie solaire, dans le rapport du Centre d'analyse stratégique (CAS) conduit par Jean Syrota sur les perspectives énergétiques de la France publié le 9 octobre.
Concernant l'énergie solaire photovoltaïque, "le CAS affirme que le solaire photovoltaïque émet plus de CO2 qu'il n'en économise sur sa durée de vie", déplore le Syndicat des entreprises produisant des énergies renouvelables, dans un communiqué.
"Or toutes les études (...) démontrent qu'une installation solaire photovoltaïque raccordée au réseau rembourse l'énergie nécessaire à sa fabrication et à son installation dans une période entre deux et quatre ans, pour une durée de vie comprise entre 25 et 30 ans", souligne le SER.
Cette "manipulation des informations, du point de vue des émissions de CO2, a particulièrement choqué les professionnels du secteur" et "conduit à s'interroger sur la pertinence de l'ensemble (des) analyses" du rapport, conclut le SER.
http://www.romandie.com/infos/news2/071 ... agnr2z.asp
Politique(s) européenne(s) de l'énergie.
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Rapport Syrota : mensonges sur le solaire photovoltaïque
J.M. Jancovici : "[Le CSP] est d'ores et déjà économiquement compétitif dans les zones très bien insolées. Certains pays tropicaux pourraient exporter de l'électricité solaire ! (...) nous résoudrions au moins pour partie le problème du RC"
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Pour certains de mes clients , au-delà de 2 ans de RSI, la rentabilité est trop faible pour qu'ils étudient le projet.
Ne pas confondre rentabilité financière, dépendant exclusivement des 92% de subventions de l'Etat et des régions, et la rentabilité écologique, par rapport à une autre énergie.
Ne pas confondre rentabilité financière, dépendant exclusivement des 92% de subventions de l'Etat et des régions, et la rentabilité écologique, par rapport à une autre énergie.
Marre de vendre des installation photovoltaïque à 20.000€ pour donner un 13ème mois à mes clients et moi bouffer de patates, ils me demandent toujours des remises supérieurs à ma marge! http://www.lepargneur.com
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Jean Syrota (ex PDG de l'ancêtre d'AREVA) : "On ne peut réduire les émissions de CO2 en se passant du nucléaire "
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 416,0.html
Phrases-clés du rapport Syrota : "Au plan technologique, la nouvelle source énergétique quasi gratuite, renouvelable, sûre, partagée, qui suppléerait sans dommage, sans gaz à effet de serre et sans déchet à tous les usages combinés du pétrole, du gaz et du charbon, et de l'uranium, n'existe pas, et sans doute n'existera jamais. (...) " (p. 11)
Courrier envoyé aujourd'hui au Service Presse du Centre d'Analyse Stratégique :
caroline.de-jessey@strategie.gouv.fr
Source énergétique quasi gratuite (8 centimes d'euros le kwh aujourd'hui, 4 centimes dans quelques années) , renouvelable (5 milliards d'années), sûre (infiniment plus que le nucléaire, aucun danger), partagée (la grande majorité des pays de la planète sont indondés de soleil, dont les USA, la chine, l'Inde, le Brésil, l'Australie etc.), qui suppléerait sans dommage (impact environnemental nul), sans gaz à effet de serre (zéro émissions de CO2) et sans déchet (aucun déchet) à tous les usages combinés du pétrole, du gaz et du charbon, et de l'uranium, EXISTE DES AUJOURD'HUI mais à cause de types comme toi, on avance pas.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 416,0.html
Phrases-clés du rapport Syrota : "Au plan technologique, la nouvelle source énergétique quasi gratuite, renouvelable, sûre, partagée, qui suppléerait sans dommage, sans gaz à effet de serre et sans déchet à tous les usages combinés du pétrole, du gaz et du charbon, et de l'uranium, n'existe pas, et sans doute n'existera jamais. (...) " (p. 11)
Courrier envoyé aujourd'hui au Service Presse du Centre d'Analyse Stratégique :
caroline.de-jessey@strategie.gouv.fr
Concentrated Solar Power :Monsieur Syrota,
Pourquoi ne pas avoir mentionné le potentiel colossal du solaire à concentration thermodynamique et de l'HVDC dans le rapport LES PERSPECTIVES ÉNERGÉTIQUES DE LA FRANCE À l'HORIZON 2020-2050 ? J'ose espèrer que ce n'est pas parceque ce sont des technologies qui conduisent directement a considèrer que le nucléaire n'est pas incontournable.
Que pensez-vous de l'initiative Solar Euromed? De la statégie Ausra ?
Que pensez-vous de la voiture électrique Tesla Motors?
Très cordialement,
Source énergétique quasi gratuite (8 centimes d'euros le kwh aujourd'hui, 4 centimes dans quelques années) , renouvelable (5 milliards d'années), sûre (infiniment plus que le nucléaire, aucun danger), partagée (la grande majorité des pays de la planète sont indondés de soleil, dont les USA, la chine, l'Inde, le Brésil, l'Australie etc.), qui suppléerait sans dommage (impact environnemental nul), sans gaz à effet de serre (zéro émissions de CO2) et sans déchet (aucun déchet) à tous les usages combinés du pétrole, du gaz et du charbon, et de l'uranium, EXISTE DES AUJOURD'HUI mais à cause de types comme toi, on avance pas.
J.M. Jancovici : "[Le CSP] est d'ores et déjà économiquement compétitif dans les zones très bien insolées. Certains pays tropicaux pourraient exporter de l'électricité solaire ! (...) nous résoudrions au moins pour partie le problème du RC"
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Tous à 20% de renouvelables sauf la Grande Bretagne ?
Le Guardian révèle que la Grande Bretagne reste circonspect sur l'objectif européen de faire passer la part de son énergie renouvelable à 20 % d'ici 2020.
Un document préparé par le ministre de l'Economie et de l'Entreprise, John Hutton, doit avertir M. Brown qu'atteindre cet objectif coûtera cher et ne se fera pas sans "de sérieuses difficultés pratiques". Toujours selon le Guardian, le ministère de l'Economie estime qu'il en coûtera 4 milliards de livres (5,7 milliards d'euros) à la Grande-Bretagne pour faire passer d'ici 2020 à seulement 9% la part des énergies renouvelables dans le pays, qui n'est actuellement que de 2%.
Rappelons que pendant le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement qui s'est tenu en début octobre 2007, l'objectif européen d'atteindre les 20% en énergies renouvelables avait été validé de concert.
Les pays membres de l'UE s'étaient même engagés à réduire de 20 % leur émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020, voire de 30 % dans le cadre d'un accord international engageant les autres grands pays industrialisés.
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Pétrole : le monde ne nous appartient plus (l'europe out dans la course aux réserves) : http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1390
contreinfo a écrit :Olivier Appert directeur de l’Institut Français du Pétrole, et Hervé Juvin, d’EuropGroup Management, analysent le futur de l’approvisionnement pétrolier. Si M. Appert - comme on peut s’y attendre, au vu de ses fonctions - ne croit pas à une pénurie prochaine, tous deux s’accordent pourtant sur un point : le « crédo libéral » anglo-saxon en vigueur à Bruxelles entrave l’action Européenne pour une nécessaire sécurisation de ses approvisionnements, et ne permet pas d’anticiper les mesures requises par les tensions géopolitiques et environnementales.
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le pétrole, le pétrole .... mais pendant qu' il monte , le charbon en profite pour se placer.
en Europe les importations de charbons en provenance des USA ont augmentés de 15% ; 11.4 millions de tonnes importés sur les 9 premiers mois de l' année.
Al Gore , au secours !
en Europe les importations de charbons en provenance des USA ont augmentés de 15% ; 11.4 millions de tonnes importés sur les 9 premiers mois de l' année.
c'est la dedans : http://www.theglobeandmail.com/servlet/ ... y/BusinessGore's nightmare: Europe turns to U.S. coal ........
U.S. coal exports to Europe for the first nine months of this year were 11.4 million tons, up 15 per cent from the same period in 2006, according to the U.S. Energy Department.
Al Gore , au secours !
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Sommet franco-italien vendredi à Nice dominé par la coopération énergétique
Nicolas Sarkozy et Romano Prodi se retrouvent vendredi à Nice (sud de la France) pour un premier sommet entre la France et l'Italie depuis l'élection du président français qui devrait être dominé par la coopération énergétique, source de frictions dans le passé entre Rome et Paris.
L'immigration et les projets des deux dirigeants pour organiser l'espace méditerranéen devraient aussi figurer en bonne place des entretiens, alors que M. Sarkozy a évoqué dès son entrée en fonction sa volonté de créer une Union méditerranéenne.
Il s'agira de la deuxième rencontre, hors sommets internationaux, entre le président français, de droite, et le chef du gouvernement italien, de centre-gauche, depuis la venue de M. Prodi à Paris fin mai.
"Le thème central de cette rencontre sera la coopération énergétique", ont souligné des sources gouvernementales italiennes.
"Nous allons dissiper les nuages entre la France et l'Italie en matière d'énergie", ont indiqué des sources diplomatiques françaises qui évoquent une "pax electrica".
Les deux pays pourraient s'approcher d'un accord définitif entre Enel et EDF permettant au numéro un italien de l'électricité de participer au programme nucléaire français de troisième génération EPR.
Depuis la lettre d'intention signée par les deux groupes en mai 2005, la signature d'un accord définitif bute sur des obstacles politiques, dont le premier fut la menace d'une OPA d'Enel sur Suez qui grippa les relations franco-italiennes.
Cet obstacle est levé mais un autre s'est dressé depuis du côté d'EDF, actionnaire de contrôle du numéro deux italien de l'électricité Edison, qui craint d'être empêché par les autorités italiennes de la concurrence de garder sa participation dans le groupe de production d'électricité Edipower, filiale d'Edison.
Officiellement, EDF s'est dit "prêt" à signer l'accord avec Enel que le groupe italien espérait aussi conclure au sommet de Nice.
Le protocole de 2005 prévoit qu'Enel participe à hauteur de 12,5% au programme de l'EPR (réacteur nucléaire de troisième génération) et donne au groupe italien la possibilité de construire au moins deux centrales à cycle combiné en France.
La décision de l'Italie de renoncer en 1987 au nucléaire est aujourd'hui remise en question par une partie de la classe politique qui souligne l'extrême dépendance énergétique du pays.
Enel cherche à restaurer ses compétences dans ce secteur et, outre l'EPR, le groupe a acquis en 2005 un producteur slovaque présent dans le nucléaire.
Sur le plan énergétique, Rome et Paris devraient conclure un accord entre le réseau italien de transport d'électricité Terna et son homologue français RTE afin d'améliorer l'interconnexion entre les deux pays, selon les sources italiennes.
Boursoram^
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A nouveau la preuve :energy_isere a écrit :le pétrole, le pétrole .... mais pendant qu' il monte , le charbon en profite pour se placer.
en Europe les importations de charbons en provenance des USA ont augmentés de 15% ; 11.4 millions de tonnes importés sur les 9 premiers mois de l' année.

EON investit 1,5 milliards dans une centrale à charbon
E.ON a annoncé aujourd'hui son intention d'investir dans une nouvelle centrale électrique au charbon dans la zone portuaire d'Anvers, en Belgique. La nouvelle usine coûtera environ 1,5 milliards d'euros. Elle aura une capacité de 1100 Megawatt (MW) et sa mise en service est prévue pour 2014
Selon le groupe allemand de l'énergie, la nouvelle centrale d'un rendement de 46%, utilisera une technologie plus propre que les centrales au charbon existantes avec une réduction des émissions de CO2 à la clé de l'ordre de 25%.
L'implantation de la centrale sur le port d'Anvers a été choisie en raison d'un accès facilité à la houille. Elle demeure également à proximité de gros utilisateurs d'énergie, comme l'est l'industrie chimique en Belgique.
E.ON travaille activement sur les technologies du futur dans le captage de CO2, afin de réaliser des centrales électriques à charbon sans émission de CO2.
"L'électricité produite grâce au charbon continuera de jouer un rôle important dans le bouquet énergétique aux côtés du gaz, du nucléaire et des énergies renouvelables. Nous devons nous assurer que nos investissements apporteront une amélioration durable dans la sécurité des approvisionnements, dans l'efficacité, dans le respect de l'environnement et dans les infrastructures énergétiques européens. Le charbon a un rôle important à jouer dans l'avenir de nos sources d'énergie et, par conséquent, doit devenir aussi efficace et propre que possible. La nouvelle génération de nos centrales électriques constitue un pas important vers cet objectif." a indiqué le président d'E.ON Wulf H. Bernotat.
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Les bourses d'électricité allemande et française fusionnent.
Dans le même temps, le français RTE, le néerlandais APX et le belge Belpex achètent 34% de la Bourse énergétique française.
C'est une journée agitée que ce vendredi 7 novembre pour la Bourse française d'échange d'énergie Powernext. Elle annonce ce jour dans un communiqué, publié ce vendredi, deux opérations: l'approbation de sa fusion avec son homologue allemand et l'achat de 34% de son capital par trois réseaux de transports d'électricité européen.
La première annonce est une confirmation. Le conseil d'administration de Powernext a approuvé jeudi 6 novembre sa fusion avec son homologue allemande EEX. "Le conseil d'administration de Powernext a approuvé le 6 décembre 2007 le projet de fusion entre égaux des marchés "spot" (court terme) d'électricité allemand et français au sein d'une société commune basée à Paris, ouverte à d'autres Bourses spot européennes", précise Powernext dans son communiqué.
La seconde opération relève du Blitzkrieg. "NYSE Euronext cédera sa participation dans Powernext SA à HGRT, holding de gestionnaires de réseaux de transport d'électricité mené par le français RTE, avec le belge Elia et le néerlandais TenneT", indique Powernext dans son communiqué. Cette participation s'élève à 34% du capital de la Bourse d'échange d'énergies française.
Les trois réseaux sont déjà les principaux actionnaires de la holding HGRT qui détient 17% de Powernext. Ils expliquent que "cette opération s'inscrit dans le rôle de facilitation de l'ouverture du marché interne de l'énergie, tel que la Commission européenne l'a défini pour les gestionnaires de réseau".
C'est vendredi dans la matinée que l'opérateur boursier transatlantique Nyse-Euronext a annoncé la mise en vente de ses 34%, à la suite de son achat de Powernext Carbon, marché d'échange de quotas et crédits de CO 2.
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Curieux la juxtaposition des 2 phrases.... comme si le captage du CO2 etait indépendant de l'emplacement des centrales.energy_isere a écrit : L'implantation de la centrale sur le port d'Anvers a été choisie en raison d'un accès facilité à la houille. Elle demeure également à proximité de gros utilisateurs d'énergie, comme l'est l'industrie chimique en Belgique.
E.ON travaille activement sur les technologies du futur dans le captage de CO2, afin de réaliser des centrales électriques à charbon sans émission de CO2.
En clair,la sequestion, ils s'en foutent.
"the greatest shortcoming of the human race is our inability to understand the exponential function"- Bartlett.
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Re:
L'interconnexion au menu du sommet franco-espagnol
Ce jeudi, le premier ministre espagnol José Luis Zapatero est en visite en France. Au programme de ce 20ème sommet franco-espagnol, l'interconnexion franco-espagnole à très haute tension.
Le sommet entre les deux pays devrait permettre de faire progresser le projet de ligne à très haute tension (THT) entre Figueras en Espagne, et Perpignan. Un projet "particulièrement nécessaire dans l'unification du marché énergétique européen", selon David Martinon, porte-parole de l'Elysée, mais qui se heurte depuis des années à la farouche opposition des populations pyrénéennes françaises et des écologistes.
Du côté espagnol, le sujet est d'importance : le pays connaît en effet de graves problèmes d'approvisionnement, les 4 lignes à haute tension le reliant à la France étant saturées.
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Re: Re:
Alstom: première centrale à cycle combiné aux Pays-Bas
Alstom vient de remporter auprès du producteur d’électricité Electrabel Nederland un contrat de plus de 400 millions d’euros pour la réalisation clé en main d’une centrale à cycle combiné de 870 MW.
La centrale de Flevo sera la première centrale à cycle combiné de technologie GT26 construite par Alstom dans ce pays, et sera implantée à Lelystadt au centre des Pays Bas.
Alstom, chargé de la conception et de la construction de cette centrale totalement intégrée, fournira les principaux équipements dont 2 turbines à gaz GT26, les turbines à vapeur, les turboalternateurs ainsi que les chaudières de récupération de chaleur.
La technologie très avancée des turbines à gaz d’Alstom va permettre d’exploiter la centrale avec une très grande flexibilité opérationnelle tout en bénéficiant d’un excellent rendement.
Alstom, dont les équipements sont à l’origine de 60% de l’électricité produite aux Pays-Bas, est depuis de nombreuses années. un acteur majeur sur le marché néerlandais des centrales électriques.
Maus van Loon, Directeur Général d’Electrabel Nederland, a déclaré : « Notre compagnie est aujourd’hui engagée dans un programme de production d’électricité plus propre, plus abordable, mais aussi plus fiable. La construction de cette nouvelle centrale, destinée à remplacer une centrale existante dotée d’un plus faible rendement, s’inscrit dans cette démarche. Nous sommes fiers de coopérer pour ce faire avec Alstom, leader mondial dans le secteur de l’énergie propre. »
A ce jour, 81 turbines de type GT24/GT26 sont en service dans le monde et totalisent 2,5 millions d’heures d’exploitation.
Philippe Joubert, Vice-Président Exécutif d’Alstom et Président d’Alstom Power Systems, a déclaré : « L’obtention de ce nouveau contrat témoigne de la confiance d’Electrabel dans la technologie d’Alstom ainsi que dans nos capacités d’intégrateur de centrales. De plus, notre activité de services présente aux Pays Bas apportera le savoir-faire et le support technique requis pour maintenir cette centrale en exploitation dans les meilleures conditions et créer simultanément des emplois dans plusieurs sociétés locales. »
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Re: Politique(s) européenne(s) de l'énergie.
lienHuit pays, dont la France et l'Allemagne, ont réaffirmé leur opposition à la libéralisation radicale du marché de l'énergie prônée par la Commission européenne, tout en proposant une alternative.
La France, l'Allemagne, l'Autriche, la Bulgarie, la Grèce, le Luxembourg, la Lettonie et la Slovaquie, soit une minorité de blocage, ont adressé mercredi un courrier au commissaire à l'Energie, Andris Piebalgs, pour s'opposer à la "séparation patrimoniale" des activités de production et de distribution...