EPZ a écrit : Bon c'est Dimanche matin ,pas tout lu ,tête dans le ...donc je fais dans le grossier
Voilà ce graphique résume et donne amha à lui tout seul la solution . le problème de la production de l'energie aujourd'hui vient non pas de sa quantité,qui reste négligeable par rapport au reste ,mais des GES induit par la consommation d'hydrocarbures , qui modifie enormément le bilan radiatif de la Terre .
Peu importe les sources d'energies à venir (nucléaire , solaire , éolien ,marémotrice ,etc ) du moment qu'on supprime l'émission de GES , nous pouvons mulitplier par 10 la production totale d'energie dans le monde sans se soucier des problèmes d'entropie tout ça
Bon j'avais prévenu j'ai fait dans le brut

oui, tout à fait d' accord avec toi.
L' entropie on s' en moque un peu. (je veux dire 99% de la population, sauf les thermodynamiciens).
On s' en moque tellement que meme les physiciens ne lui on pas donné une unité en propre !
Si je me souviens bien c' est un quotient Energie divisé par une temperature soit J/K.
De plus il n' existe pas d' appareil à mesurer l' entropie (comme un thermométre pour la temperature, le calorimétre pour l' energie)
La nature n' a doté l' étre vivant d' aucun capteur d' entropie (alors qu' elle à doté de terminaisons nerveuses pour la temperature).
et puis comme le dit Gilles le systéme planétaire terrestre est un énorme génerateur d' entropie par transformation d'un rayonnement de l'energie solaire en rayonnement infrarouge.
Bon je sais je suis lourd !
Bon, j' arrette la, je vais dans mon potager bécher un peu et changer son entropie en ordonnant la taille des cailloux (je retire les gros cailloux et je les mets ailleurs).
L' entropie dans Wikipedia :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Entropie
En thermodynamique, l'entropie est une fonction d'état introduite en 1865[1] par Rudolf Clausius dans le cadre du second principe, d'après les travaux de Carnot[2]. Clausius a montré que le rapport Q/T (où Q est la quantité de chaleur échangée par un système à la température T) correspond, en thermodynamique classique, à la variation d'une fonction d'état qu'il a appelée entropie, S et dont l'unité est le joule par kelvin (J/K).
La thermodynamique statistique a ensuite fourni un nouvel éclairage à cette grandeur physique abstraite : elle mesure le degré de désordre d'un système au niveau microscopique. Plus l'entropie du système est élevée, moins ses éléments sont ordonnés, liés entre eux, capables de produire des effets mécaniques, et plus grande est la part de l'énergie inutilisée ou utilisée de façon incohérente. Boltzmann a formulé une expression mathématique de l'entropie statistique en fonction du nombre d'états microscopiques Oméga définissant l'état d'équilibre d'un système donné au niveau macroscopique : formule de Boltzmann S = k Ln Omega
Cette nouvelle définition de l'entropie n'est pas contradictoire avec celle de Clausius. Les deux expressions de l'entropie résultent simplement de deux points de vue différents, selon que l'on considère le système thermodynamique au niveau macroscopique ou au niveau microscopique.
.......
La difficulté à donner une définition intuitive de l'entropie d'un système vient du fait qu';elle ne se conserve pas. Elle peut augmenter spontanément lors d'une transformation irréversible. En effet, selon le second principe de la thermodynamique, l'entropie d'un système isolé ne peut pas diminuer, elle augmente ou elle reste constante si la transformation est réversible.