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Pas de Chat Confortable en effet, il s'agit d'un simple IGCC, BP se reconvertit dans les We. Je pense que celle-ci sera pas mal visitée, au moins autant que le joujou à Angela.Tiennel a écrit :Je cherche toujours le GTL dans l'image, cela dit... C'est dommage, je l'ai montré aujourd'hui en réunion, elle a eu beaucoup de succès. Si j'avais pu glisser un coup de CTL en plus du CCS, c'était la standing ovation
http://www.worldcoal.com/Coal/CL_news_list.htmSEPTEMBER 2006: Amid worries of strained water supply, the Chinese Government has raised the capital threshold for coal-to-liquids projects. Excessive construction of projects such as these have proved unsustainable alongside developing the national economy. Control will be tightened over such projects and the Government plans to reject coal liquefaction projects with a production capacity under 3 million tpa. Linked to the fluctuating international price of oil, the profit margins of coal liquefaction projects change each year. It has been claimed that coal-for-oil technology will only be economic with a crude oil price of over US$ 25 per barrel. The recent oil rally toward US$ 80 a barrel has further prompted a spate of coal liquefaction projects.
Le GNL a toujours eu une mauvaise image chez les pétroliers : produit dangereux, mal valorisé, que des emmerdes.Tiennel a écrit :Y a quand même pas flopée de projets de GTL
tom m'a signalé une intéressante update des papiers de Lahérrère (6 novembre 2006) dans laquelle (page 44) il place le pic gazier en 2030, ce qui rend "les projets de remplacer le pétrole par le GTL (très cher) hypothétiques"
), mais j'ai trouvé au moins ça d'intéressant :http://www.worldcoal.org/assets_cm/file ... _fuels.pdfLiquid fuel from coal is not a new idea, but its
development has been constrained by low oil
prices – typically oil prices need to be of the
order of $35 per barrel or higher for coal to
liquids to be economically attractive. In the
USA, studies suggest certain liquid fuels can
be produced in conjunction with electricity
production at a ‘break even crude oil price’ of
between $27 and $45 per barrel, including
the costs of carbon capture and storage[Williams & Larson 2003].
Monash Energy has established a project
to produce 62,000bbl/day of coal-derived
diesel and other liquids, and aims to have a
demonstration plant in place by 2010. The
plant will also produce 220MW of electricity
to power the process and supply the national
electricity grid.
The plant will be located in SE Australia and
will use the local, low-grade brown coal. CO2
emissions will be captured from the process
and transported less than 200km for geological
storage in the oil and gas fields of the Bass
Strait.
. Enerzine a écrit :Le CEA avance dans la gazéification de la biomasse
Portés à une température d'environ 900°C, les matériaux organiques tels que le bois se transforment à l'aide de vapeur d'eau en un mélange gazeux renfermant principalement du monoxyde de carbone (C0) et de l'hydrogène.
Or il est possible de produire des carburants de synthèse de type gazole à partir de ces deux molécules. Seul inconvénient, la présence dans le mélange gazeux produit à partir de la biomasse, de méthane, de dioxyde de carbone, de goudrons volatils, de particules et d'autres composés issus des cendres de biomasse, autant de molécules préjudiciables au procédé chimique de synthèse du biodiesel.
Certes, l'utilisation d'un procédé catalytique permettrait de purifier ce gaz. Mais celui-ci entraînerait à l'échelle industrielle des contraintes de coût et de fiabilité. D'où l'idée d'une équipe du CEA de Grenoble d'explorer une solution, thermique celle-ci, consistant à coupler au réacteur de gazéification une installation dite "étage haute température".
A une température de 1300 à 1 500° C, et en présence de vapeur d'eau, celle-ci permet de "casser" les molécules de goudrons et de méthane pour ne récupérer que le CO et l'H2, l'apport d'énergie sur les deux étapes se faisant par alimentation électrique. Cette démonstration de "vaporeformage", les chercheurs grenoblois viennent de la réaliser en laboratoire.
Pour ce premier essai, l'étage haute température a fonctionné en mode autonome. Mais dès le début 2007, la mise en place d'une liaison à 900° C entre la sortie du réacteur de gazéification et l'étage haute température permettra à cette équipe du CEA de poursuivre des expérimentations complémentaires et indispensables à l'étude de la faisabilité technico-économique de l'ensemble de ces procédés qui présentent le gros avantage de ne pas générer de gaz à effet de serre.
