Production d'électricité "verte" - machine alterna
Publié : 12 janv. 2006, 19:53
Bonjour.
Je me permets de créer un post pour avoir vos avis, suggestions et idées. SVP, ne me linchez pas, ne m'envoyez pas sur les rotules... Je suis ouvert à toute aide ou idée mais je ne viens pas chercher des commentaires rabaissant ou moqueurs. Merci d'avance pour votre compréhension car j'ai déjà eu droit à ça avec des organismes locaux qui auraient pû me financer et c'est non seulement démoralisant, désagréable mais ça rabaisse et ça nous fait passer de (très) mauvaises idées dans la tête.
La machine en question que je souhaite vous exposer est un rassemblement de deux modules. Chaque module étant une invention appartenant à un porteur de projet différent.
Le premier, est un système mécano-électrique de production d’électricité entretenu par roues d'inerties exploitant l'attraction terrestre, le tout contrôlé par API et une multitude de tachymètres, de capteurs optiques et d'outils électroniques, le tout débouchant sur un alternateur de puissance variable (plus l'alternateur est gros, plus notre machine globale doit être redimensionnée en fonction). Inconvénients ; la taille (environ 10 à 20 fois la taille de l'alternateur) et le poids.
Le second module dont les photos sont dans le second post, est l'invention d'un génie se trouvant dans la région parisienne et qui a accepté de coupler son invention à la première. En effet le premier module s'arrête au bout d'un certain nombre de cycles et il lui manque 23% de l'énergie nécessaire au fonctionnement de l'alternateur pour son entretien continue. Ces 23% sont apportés par le module de ce monsieur qui répond aux caractéristiques suivantes : (copie et "compactage" des communications avec son aimable autorisation) :
Il a besoin de compétences en thermodynamie, mécanique des fluides, dynamique des matériaux, de personnes compétentes dans les calculs des venturies et des personnes férues de formules. Des ingénieurs fort compétents.
Concernant le premier module, les besoins sont les suivants ; Ingénieurs en mécanique avancée, spécialistes en thermodynamie, dimensionnement et optimisation.
Enfin pour les deux réunis ; compétences techniques pour l'accouplement des deux machines et développement éventuels de modules additifs en vue de cet accouplement.
Hors "on" refuse toute aide et subvention car ce sont deux projets séparés et, séparément, le premier module ne peut fonctionner en H24 ce qui fait qu'on le juge "non faisable". Mais accouplé à celui de ce monsieur, ça devient une machine fort intéressante. Hors, accouplés, on refuse tout financement car on considère que ça revient à financer deux projets, pour deux porteurs de projets qui ne se trouvant pas dans la même région et donc les intérêts économiques locaux sont à mettre en question. De plus, ils considèrent que la machine globale laisserait à désirer au vue de la concurrence, c'est à dire que d'un point de vue finances, pognon, rentabilité, ça laisserait à désirer selon eux. Ils n'ont pas hésité à dire que l'écologie c'est un détail. Lorsqu'un associé a rétorqué que dans 50 ans il n'y aura plus de pétrole, il a été coupé par un "on n'est pas ici pour philosopher mais pour voir si c'est rentable". bref, l'écologie n'est pas un élément qui guide les créanciers.
Niveau financement, j'ignore les sommes requises pour les optimisations et finalisations des deux machines accouplées. Concernant la première, l'estimation faite par un professeur-chercheur, a cependant été la suivante :
20 jours ouvrés pour la mise au point
30 jours ouvrés pour le dimensionnement
50 jours ouvrés au total soit un montant annoncé de 33.000 €
Le prix de ce module a été calculé de la manière suivante ;
Avec les pièces existantes sur le marché, coût de revient en petite série :
- 6000 € partie mécanique
- 3000 € partie électrique-électronique.
Prix approximatif de revient sur la base d'un modèle soumis à expertise, générant 24Kw au compteur client. Donc exit EDF, exit les abonnements et le paiement des Kw consommés. De plus, on peut envisager aisément des versions "mobiles", il n'y aurait que quelques modifs à apporter.
Pour info, le second module est breveté. Brevets : Fr 03 1661, PCT 03 3921, Fr 04 7600, PCT 05 1386
Photo du second module ci-dessous. Pour le premier module, les accords de confidentialité rendent impossible pendant encore 5 ans, la diffusion de tous plans ou animations à d'autres qu'aux associés et partenaires.
Je me permets de créer un post pour avoir vos avis, suggestions et idées. SVP, ne me linchez pas, ne m'envoyez pas sur les rotules... Je suis ouvert à toute aide ou idée mais je ne viens pas chercher des commentaires rabaissant ou moqueurs. Merci d'avance pour votre compréhension car j'ai déjà eu droit à ça avec des organismes locaux qui auraient pû me financer et c'est non seulement démoralisant, désagréable mais ça rabaisse et ça nous fait passer de (très) mauvaises idées dans la tête.
La machine en question que je souhaite vous exposer est un rassemblement de deux modules. Chaque module étant une invention appartenant à un porteur de projet différent.
Le premier, est un système mécano-électrique de production d’électricité entretenu par roues d'inerties exploitant l'attraction terrestre, le tout contrôlé par API et une multitude de tachymètres, de capteurs optiques et d'outils électroniques, le tout débouchant sur un alternateur de puissance variable (plus l'alternateur est gros, plus notre machine globale doit être redimensionnée en fonction). Inconvénients ; la taille (environ 10 à 20 fois la taille de l'alternateur) et le poids.
Le second module dont les photos sont dans le second post, est l'invention d'un génie se trouvant dans la région parisienne et qui a accepté de coupler son invention à la première. En effet le premier module s'arrête au bout d'un certain nombre de cycles et il lui manque 23% de l'énergie nécessaire au fonctionnement de l'alternateur pour son entretien continue. Ces 23% sont apportés par le module de ce monsieur qui répond aux caractéristiques suivantes : (copie et "compactage" des communications avec son aimable autorisation) :
La machine (Note : 2ème module dans la machine globale) est plus un convertisseur d'énergie naturelle qu'un moteur à combustion.
Je l'ai conçu dans une perspective fondamentale de production fixe d'énergie électrique ou d'énergie mécanique directe.
Il est radicalement orienté exploitation des flux d'énergies naturelles (force marines, énergies des vent violents, géo thermie....mais aussi faibles puissances de flux air et/ou eau et en dérivée vapeur vive en chauffe solaire).
Le cycle ne possède aucun point mort et démarre à bas régime, il n'y a pas besoin de le lancer à la main, ni d'avoir un embrayage, ni d'avoir de boite de vitesse.
Le moteur démarre en charge (pression et/ou dépression de gaz ou de fluide incompressible)
Sur une de mes photos vous devez apercevoir une petite ampoule en haut d'un module moteur : c'est une dynamo de vélo qui permet de l'alimenter en 6 volts 3 watts. L’énergie de ce petit démonstrateur de 117 cm3 de variations volumétrique sur un seul tour (encombrement de la base moteur = 8cm X 7cm x 4,5cm) est mon souffle d'humain, c'est-à-dire quelques dizaines de millibars de pression d'air quand je souffle dans l'admission.
Le même moteur couplé à un générateur de vapeur vive (cocote minute modifiée) délivre ½ cheval vers 500t/mn et 2,5 kg de pression en entrée.
J'ai construit aussi, dans la même veine, un accouplement 9 cylindres en H qui délivre une puissance proportionnelle (dans les 4,5 CV).
Un moteur de plus grosse cylindrée, par exemple mon proto mono de 1350 cm3 à 2 étages intégrés doit facilement approcher les 5 CV sous 2,5 kg de pression et 500t/mn. Il pèse environ 5kg.
J'utilise le bronze, l'inox et l'alu dur (fortal) pour les faire fabriquer d'après mes plans.
Au dernier mondial de l’invention et de l’innovation qui s’est tenu du 04/12 au 12/12/2004 au parc des expo de la porte de Versailles à PARIS…j’ai dévoilé mon invention : un tout nouveau concept de moteur rotatif polyvalent chargé de puiser son l’énergie dans les courants naturels (eau, air, gaz, vapeur, géothermie etc ) et de restituer de l’énergie mécanique ou électrique.
Grâce à cette invention j’ai été propulsé sur la plus haute marche du podium lors de la remise des prix le vendredi 10/12/2004 et le jury (U.F.I. + I.N.P.I + industriels) ma accordé d’une façon très élogieuse le grand prix « JULES VERNES ».
Motivation/sensibilité qui m’ont conduit à ces honneurs :
« La nature est extrêmement généreuse, mais souvent irrégulière, impétueuse voire capricieuse, inventons de nouvelles machines qui s’adaptent mieux et permettrons à l’homme de mieux profiter de cette immense générosité »
Ce nouveau concept de moteur est très caractéristique quant à ses propriétés par rapport à tout ceux qui existent jusqu’à maintenant :
- Cycle heurté
- Bi centre de rotation fictif
- Volumétrique
- Concept à deux étages dissociables (deux moteurs en un)
- Polyvalence d’alimentation de fluide (compressibles, incompressibles, chauds, froids)
- Polyvalence de régime d’admission (pression, dépression)
- Polyvalence de fonctionnalité (moteur, pompe)
- 100 % du cycle est moteur (pas de point mort)
- toujours couple maxi sur un cycle
- démarrage en charge (comme moteur électrique)
- très faible seuil de puissance, en admission de fluide au démarrage.
- Inertie très réduite du fait de la simplicité de conception
J’ai eu deux articles dans la revue spécialisée des amateurs de trains et de vapeur vive « l’ ESCABILLE » N° 98 et 99 de mars et juin 2005….et sur le site « LES REPORTAGES DE PTITRAIN ». Mes expo/salons 2004/2005 :
- M2i « mondial des inventions parc des expo de ma porte de Versailles à PARIS du 04 au 12/12/2004 (1er prix toutes catégories), jury composé d’ingénieurs de l’I.N.P.I. PARIS, de l’aéronautique et de l’U.F.I. (Union Française des Inventeurs)
- Mondial de la maquette et du modèle réduit porte de Versailles à PARIS du 23/04 au O1/05//2005 sur le stand C.A.V. « Confrérie des Amateur de Vapeur vive »
- Expo Sannois (95) les 24 et 25/09/2005 pour la C.A.V.
- EXPO Romorantin Lanthenay les 08 et 09/10/2005
- Invité hors concours à l’EXPO SALON de Jonquières les 15 et 16/10/2005 (dep 84 à côté d’Orange).
Soit un total de 24 jours de démonstrations publiques sur une année mobile et autour de 100 000 visiteurs touchés.
L’avantage de mon concept machine par rapport à tous les autres est qu’il possède un fort couple à bas régime et qu’il est extrêmes polyvalent (se nourrit de tous types de fluides même mélangés.
Actuellement j’ai construit une machine de 6eme génération que je termine en mise au point et qui peux, en même temps, accepter une entrée air et une autre eau, ou encore une entrée air et une vapeur…..enfin le but est de pouvoir changer de fluide en cas d’irrégularité des débits/pression naturels par type de fluides.
Redimensionnement en plus gros pour l’adapter à votre système ?
Réponse : réponse oui, mais comme je suis très pragmatique, je ne l’affirme que quant je peux le vérifier/le démontrer publiquement au travers de prototypes spécifiques.
Ma machine en coefficient 1 fait 117cm3 et environ 7/8 cm sur 4, si j’applique le coef 2 je tombe dans les 15/16cm sur 8 et ma puissance est multipliée par le coef puissance 3 soit par 8, c’est intéressant et j’ai des protos coef 2 qui le confirment, au delà je ne serait dire, il est alléchant de pensez qu’au coef 4 c'est-à-dire 30/35 cm sur 16 la puissance est multipliée par 4*4*4 soit par 64…..
Le moteur serait alors dans les registres de la trentaine de CV pour 2,5 kg de pression et 500t/mn environ….toujours en consommant un ou plusieurs flux naturels.
Mais par honnêteté intellectuelle je ne l’affirmerais que quand je pourrais physiquement le faire constater.
Maintenant coef 10 ou 30, la marche est trop haute : à chaque changement de coéf je découvre des paramètre supplémentaires à gérer et il faut progresser d’une façon très régulière et progressive dans l’escalade des coefficients….sinon de mon point de vue on prend trop de risques.
Expérimentalement plusieurs moteurs tournent et tournent bien, tous les visiteurs du dernier salon mondial de l’invention et de l’innovation qui s’est tenu du 04/12 au 12/12/2004 au parc des expo de la porte de Versailles à PARIS ont pu le vérifier sur le stand D 120 « MOTEUR ROTATIF », j’ai produit de l’électricité en public et en soufflant dans l’admission avec la bouche ou encore en le connectant à un aspirateur ménager. L’ensemble des scientifiques (CNRS, ENSAM, EDF, écoles d’ingénieurs, industriels sont venu observer, disséquer, prendre des photos de l’invention : Il y a unanimité quand à l’avancée technique au moins sur le plan théorique dans le domaine des moteurs et des pompes.
Il a besoin de compétences en thermodynamie, mécanique des fluides, dynamique des matériaux, de personnes compétentes dans les calculs des venturies et des personnes férues de formules. Des ingénieurs fort compétents.
Concernant le premier module, les besoins sont les suivants ; Ingénieurs en mécanique avancée, spécialistes en thermodynamie, dimensionnement et optimisation.
Enfin pour les deux réunis ; compétences techniques pour l'accouplement des deux machines et développement éventuels de modules additifs en vue de cet accouplement.
Hors "on" refuse toute aide et subvention car ce sont deux projets séparés et, séparément, le premier module ne peut fonctionner en H24 ce qui fait qu'on le juge "non faisable". Mais accouplé à celui de ce monsieur, ça devient une machine fort intéressante. Hors, accouplés, on refuse tout financement car on considère que ça revient à financer deux projets, pour deux porteurs de projets qui ne se trouvant pas dans la même région et donc les intérêts économiques locaux sont à mettre en question. De plus, ils considèrent que la machine globale laisserait à désirer au vue de la concurrence, c'est à dire que d'un point de vue finances, pognon, rentabilité, ça laisserait à désirer selon eux. Ils n'ont pas hésité à dire que l'écologie c'est un détail. Lorsqu'un associé a rétorqué que dans 50 ans il n'y aura plus de pétrole, il a été coupé par un "on n'est pas ici pour philosopher mais pour voir si c'est rentable". bref, l'écologie n'est pas un élément qui guide les créanciers.
Niveau financement, j'ignore les sommes requises pour les optimisations et finalisations des deux machines accouplées. Concernant la première, l'estimation faite par un professeur-chercheur, a cependant été la suivante :
20 jours ouvrés pour la mise au point
30 jours ouvrés pour le dimensionnement
50 jours ouvrés au total soit un montant annoncé de 33.000 €
Le prix de ce module a été calculé de la manière suivante ;
Avec les pièces existantes sur le marché, coût de revient en petite série :
- 6000 € partie mécanique
- 3000 € partie électrique-électronique.
Prix approximatif de revient sur la base d'un modèle soumis à expertise, générant 24Kw au compteur client. Donc exit EDF, exit les abonnements et le paiement des Kw consommés. De plus, on peut envisager aisément des versions "mobiles", il n'y aurait que quelques modifs à apporter.
Pour info, le second module est breveté. Brevets : Fr 03 1661, PCT 03 3921, Fr 04 7600, PCT 05 1386
Photo du second module ci-dessous. Pour le premier module, les accords de confidentialité rendent impossible pendant encore 5 ans, la diffusion de tous plans ou animations à d'autres qu'aux associés et partenaires.