Avec moins d'hydrocarbures, ils ne font plus les malins nos amis d'outre-Manche !La croissance au plus bas depuis 1992 [26 janvier 2006]
Royaume-Uni. La croissance de l'économie britannique est tombée au plus bas depuis 13 ans en 2005 selon une estimation de l'Office des statistiques. Le PIB a progressé de 1,8% l'an dernier à quelque 2 000 milliards de livres, contre 3,2% en 2004. Ce coup de frein de 2005 a ramené la performance du Royaume-Uni vers la moyenne européenne, alors que le pays se félicitait de faire beaucoup mieux depuis plusieurs années.
Difficultés énergétiques au Royaume Uni
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La Royal Navy va tomber sous la barre des 10 sous-marins d’attaque
31/01/2006
Entré en service le 22 septembre 1979, le HMS Spartan a été désarmé la semaine dernière, après 26 ans de service. Ce sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) avait regagné sa base de Falsane fin décembre, après un déploiement de cinq mois, notamment en océan Indien. C’est à cette occasion qu’il avait fait relâche à la Réunion, du 20 au 28 septembre dernier. Le Spartan appartient à la série des 5 Swiftsure, des bâtiments de 4900 tonnes en plongée, armés de 25 torpilles Spearfish, de missiles antinavires Sub Harpoon et de missiles de croisière Tomahawk. Le S 105 était également équipé d’un Dry Dock Shelter (DDS) pour recevoir des commandos et leur matériel.
Vers une réduction de la flotte sous-marine ?
Avec le désarmement prématuré du Swiftsure en 1991, suite à des problèmes de réacteur, le retrait du Spartan et celui du Sovereign, également prévu cette année, la marine britannique, va tomber, pour la 1ère fois depuis 1 siècle, sous la barre des 10 sous-marins d’attaque. En plus des 7 SNA du type Trafalgar, livrés entre 1983 et 1991, les 2 dernières unités de la classe Swiftsure seront désarmées en décembre 2008 (Superb) et 2010 (Sceptre). Le programme de renouvellement de la flotte sous-marine a pris énormément de retard. A ce jour, seuls 3 SNA de nouvelle génération ont été commandés. L’Astute, L’Ambush et l’Artful rejoindront la flotte entre 2009 et 2012. La construction de ces navires a connu des difficultés et leur prix a explosé, atteignant 4 milliards de Livres, contre 2 initialement prévus.
ce qu'il y a de terrible quand on cherche la vérité... c'est qu'on la trouve !
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So... que la Grande-Bretagne a de plus en plus de mal à maintenir le niveau de sa puissance navale, et militaire en général, et qu'en raison de la chute irréversible et régulière de sa production de pétrole et de gaz, et donc de ses ressources financières, ça ne risque pas de s'arranger...
peut-être finira-t'elle par confier sa défense entièrement aux USA ?
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"Les Britanniques vont souffrir encore plus !!!"
On se croirait un 1er avril
Greenspan va conseiller le ministre britannique des Finances
2006-02-02 14:17:25
LONDRES, 1er février (XINHUANET) -- Alan Greenspan, qui a présidé mardi sa dernière réunion de politique monétaire à la tête de la Réserve fédérale américaine (FED), va devenir un conseiller du ministre britannique des Finances, a annoncé mercredi le Trésor britannique.
M. Greenspan a accepté de devenir un conseiller honoraire du Trésor britannique, a signalé le ministre britannique des Finances, Gordon Brown.
M. Brown a indiqué que son nouveau conseiller aiderait le Trésor à développer sa pensée sur des questions relatives aux changements de l'économie mondiale.
M. Brown, qui considère M. Greenspan comme "le plus grand économiste mondial de notre génération", a affirmé que la nouvelle nomination était "une bonne nouvelle".
Cette nomination intervient sur fond de ralentissement économique en Grande-Bretagne, imputé par Gordon Brown à la concurrence asiatique, aux prix élevés du pétrole ou encore à l'activité tournant au ralenti dans la zone euro, le partenaire commercial primordial de la Grande-Bretagne.
On se croirait un 1er avril
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Dr Greenspan, le médecin qui fait des miracles auprès des vieilles économies impériales rongées par la bulle immobilière ?
Méfiez-vous des biais cognitifs
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Politique et énergie, ça fait bon ménage !Londres défendra British Gaz contre Gazprom
ÉNERGIE Le géant énergétique russe aurait l'intention de fournir 20% des besoins britanniques d'ici à 2015
Sonia Stolper
[04 février 2006]
LE LIBÉRALISME forcené prôné par le gouvernement britannique a des limites. En témoignent les réactions officielles aux rumeurs de reprise du britannique Centrica – propriétaire de British Gaz – par le géant russe Gazprom. «Tout acheteur potentiel ferait l'objet d'un examen rigoureux des autorités de régulation et de la concurrence», a averti le ministère britannique du Commerce et de l'Industrie (DTI). Et ce alors que Centrica assure n'avoir fait l'objet d'«aucune approche de la part de Gazprom». Ce dernier a indiqué que les propos de l'un de ses dirigeants affirmant qu'une analyse du rachat de Centrica était en cours avaient été «mal interprétés».
Si la reprise d'une entreprise britannique par une société étrangère ne suscite en général pas de réactions du gouvernement britannique, il en va autrement lorsque le candidat repreneur se trouve être un géant nationalisé comme Gazprom. D'autant que la réputation de ce dernier s'est trouvée sérieusement entachée par la suspension de livraison de gaz à l'Ukraine, qui a par ricochet gêné et agacé l'Union européenne. Les réticences londoniennes ne sont pas sans rappeler le rejet, en 2005 par les Etats-Unis, de l'OPA du chinois Cnooc sur la compagnie pétrolière californienne Unocal.
Gaz de France intéressé
«La sécurité de l'approvisionnement des consommateurs britanniques en énergie est de la plus haute importance», a souligné le DTI dans un communiqué. Pas question de soumettre les particuliers britanniques aux humeurs des dirigeants de Gazprom. Le marché de l'énergie anglais est ouvert à la concurrence depuis déjà plusieurs années – les Français y sont présents avec EDF – et British Gaz reste, de loin, le principal pourvoyeur d'énergie en Grande-Bretagne avec 12 millions de foyers alimentés en gaz et 6 millions en électricité. Centrica emploie 30 000 personnes, opère 7 centrales énergétiques alimentées en gaz qui génèrent 6% de l'électricité britannique et possède le réservoir offshore de Rough qui constitue 80% de la capacité de stockage d'énergie du pays.
Centrica, dont la valeur boursière est estimée à 11 milliards de livres (16,2 milliards d'euros), fait l'objet de rumeurs de reprises depuis des semaines. Gazprom mais aussi le français Gaz de France ou le malaisien Petronas ont été évoqués. Gazprom avait même indiqué au quotidien The Guardian espérer fournir 20% des besoins britanniques en gaz d'ici à 2015.
- lionstone
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Les faillites de ménages britanniques au plus haut depuis 45 ans
http://www.lexpansion.com/html/4/4051.2.139887.html
67.580 foyers britanniques ont dû se déclarer en faillite en 2005 car leur dette privée était devenue insupportable, selon des chiffres officiels. Ce chiffre, en hausse de 45% par rapport à 2004, est le plus élevé depuis 45 ans, depuis que ces statistiques existent, et a même dépassé les niveaux constatés lors de la récession qu'a traversé la Grande-Bretagne au début des années 90. Parallèlement, plus de 10.200 ménages ont dû quitter leur maison hypothéquée car ils ne pouvaient plus rembourser leurs emprunts, soit 70% de plus qu'en 2004. Durant le second semestre de 2005, le nombre de ménages britanniques en retard pour rembourser leurs emprunts immobiliers a progressé de 20% par rapport au premier semestre. La dette des ménages britanniques totalisait après Noël 1.650 milliards d'euros.
formidable le model que sarko veut copier, non?
http://www.lexpansion.com/html/4/4051.2.139887.html
67.580 foyers britanniques ont dû se déclarer en faillite en 2005 car leur dette privée était devenue insupportable, selon des chiffres officiels. Ce chiffre, en hausse de 45% par rapport à 2004, est le plus élevé depuis 45 ans, depuis que ces statistiques existent, et a même dépassé les niveaux constatés lors de la récession qu'a traversé la Grande-Bretagne au début des années 90. Parallèlement, plus de 10.200 ménages ont dû quitter leur maison hypothéquée car ils ne pouvaient plus rembourser leurs emprunts, soit 70% de plus qu'en 2004. Durant le second semestre de 2005, le nombre de ménages britanniques en retard pour rembourser leurs emprunts immobiliers a progressé de 20% par rapport au premier semestre. La dette des ménages britanniques totalisait après Noël 1.650 milliards d'euros.
formidable le model que sarko veut copier, non?
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Déficit commercial record en Grande-Bretagne
La Grande-Bretagne a enregistré l'an dernier un déficit commercial record de 65,5 milliards de livres (92,5 milliards d'euros), contre 60,4 milliards en 2004 et 47,9 milliards en 2003 selon les chiffres publiés par l'office des statistiques nationales (ONS). Ce déficit équivaut à 5,4% du PIB britannique, pourcentage le plus élevé depuis 1974. Il résulte d'une évolution similaire des importations et des exportations, en hausse de 9,5%. Les exportations vers l'UE ont augmenté de 7%, celles vers les autres pays de 13,5%. A l'inverse, les importations depuis l'UE ont augmenté de 7%, celles des autres pays de 11%. Au total, le déficit avec l'UE atteint 34,5 milliards, celui avec les autres pays, 31 milliards. Pour la première fois depuis 26 ans, la balance pétrolière a été négative en 2005. Le Royaume-Uni se heurte au vieillissement de ses champs pétroliers. Le ralentissement de la consommation et l'aggravation du déficit commercial pèse sur la croissance : à 1,8% l'an dernier, elle a été la plus faible depuis 13 ans, et les économistes prédisent une année 2006 encore difficile.
La Grande-Bretagne a enregistré l'an dernier un déficit commercial record de 65,5 milliards de livres (92,5 milliards d'euros), contre 60,4 milliards en 2004 et 47,9 milliards en 2003 selon les chiffres publiés par l'office des statistiques nationales (ONS). Ce déficit équivaut à 5,4% du PIB britannique, pourcentage le plus élevé depuis 1974. Il résulte d'une évolution similaire des importations et des exportations, en hausse de 9,5%. Les exportations vers l'UE ont augmenté de 7%, celles vers les autres pays de 13,5%. A l'inverse, les importations depuis l'UE ont augmenté de 7%, celles des autres pays de 11%. Au total, le déficit avec l'UE atteint 34,5 milliards, celui avec les autres pays, 31 milliards. Pour la première fois depuis 26 ans, la balance pétrolière a été négative en 2005. Le Royaume-Uni se heurte au vieillissement de ses champs pétroliers. Le ralentissement de la consommation et l'aggravation du déficit commercial pèse sur la croissance : à 1,8% l'an dernier, elle a été la plus faible depuis 13 ans, et les économistes prédisent une année 2006 encore difficile.
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Quelle est ta source ? En tout cas, elle s'oppose aux déclarations du DTI qui ne voit pas le Royaume devenir importateur net avant 2010
Méfiez-vous des biais cognitifs