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GDF Suez vise un ou deux EPR en Grande-Bretagne :

GDF Suez fait savoir qu'il vise un ou deux réacteurs nucléaires de nouvelle génération EPR (Evolutionary Power Reactor) au Royaume-Uni d'ici à 2020 dans le cadre de son partenariat avec l'espagnol Iberdrola et l'écossais Scottish & Southern Energy (SSE).

L'énergéticien n'exclut pas en outre de se développer dans le nucléaire aux Etats-Unis, notamment en participant à des consortiums.

"Nous avons constitué une alliance avec Iberdrola et SSE dans l'optique de développer un ou deux EPR sur le marché britannique", a déclaré lors d'un séminaire destiné à la presse Pierre Clavel, membre du comité exécutif du groupe, en charge de la division Energie Europe.

GDF Suez précisé dans un document qu'il souhaitait détenir un ou deux EPR au Royaume-Uni d'ici à 2020 et a rappelé qu'à travers son partenariat avec Iberdrola et Scottish & Southern Energy, il participait au processus de vente des terrains nucléaires détenus par la Nuclear Decommissioning Authority.

EDF, qui a racheté British Energy, propriétaire de la plupart des centrales sur le sol britannique, compte pour sa part bâtir deux réacteurs à Sizewell (Suffolk) et deux autres à Hinkley Point (Somerset).

British Energy possède huit centrales nucléaires et de nombreux terrains pouvant accueillir de nouvelles installations.

De leur côté, les allemands RWE et E.ON se sont alliés pour tenter également une percée sur le marché britannique.

Dirk Beeuwsaert, directeur général adjoint, en charge de la branche Energie Europe et International, a pour sa part indiqué que GDF Suez n'excluait pas de se développer dans le nucléaire aux Etats-Unis.

Prié de dire si le groupe pourrait prendre position dans ce domaine, il a déclaré : "Je pense que oui, mais il faut être conscient qu'il y a une série de limitations (...). Un acteur non américain ne peut pas avoir plus de 50% d'une centrale nucléaire et la gestion effective des opérations doit être confiée à des personnes de nationalité américaine."
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http://www.boursorama.com/infos/actuali ... 78316bd9e6

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GDF Suez se fait taper sur les doigts :

GDF Suez : la Commission prononce une amende de 20 millions.

Cercle Finance le 10/06/2009

Régulateur européen de la concurrence, la Commission a annoncé ce matin qu'elle a infligé une amende de 20 millions d'euros à une filiale de GDF Suez, Electrabel, pour avoir acquis la Compagnie nationale du Rhône (CNR) sans son autorisation préalable.

La Commission précise que cette infraction aux règles européennes des concentrations 'a eu une durée significative et qu'Electrabel aurait dû être consciente de son obligation d'obtenir l'autorisation de la Commission avant d'acquérir le contrôle'.

Neelie Kroes, commissaire à la concurrence, ajoute que 'la décision adoptée aujourd'hui envoie un signal clair que la Commission ne tolèrera aucune infraction à cette règle fondamentale du système européen du contrôle des concentrations. '

Electrabel avait obtenu en avril 2008, un mois après sa notification, l'autorisation de la Commission pour racheter la CNR. Cependant, la Commission estime que le groupe 'avait déjà acquis le contrôle exclusif de facto de la CNR en décembre 2003, soit plus de quatre ans avant la notification.'

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GDF Suez sécurise son approvisionnement gaz sur 20 ans

(src : GDF Suez)

GasTerra et GDF Suez renforcent leur partenariat de long terme en prolongeant leur contrat de vente et d’achat de gaz naturel jusqu’en 2029.
Les volumes contractés permettront à GDF Suez d’approvisionner ses marchés en particulier en France et en Belgique. Les volumes fournis par GasTerra représenteront environ 15 % du portefeuille d’approvisionnement de GDF Suez dans les prochaines années.

«Ce nouvel accord renforce notre relation de long terme avec GasTerra. Le gaz naturel en provenance des Pays-Bas apporte une contribution majeure à la sécurité d’approvisionnement gazière de l’Europe de l’Ouest» a expliqué Jean-François Cirelli, Vice-Président et Directeur Général Délégué de GDF Suez. «Les réserves identifiées de gaz naturel aux Pays-Bas assurent une disponibilité d’approvisionnement à long terme et une diversification de portefeuille pour GDF Suez» a ajouté M. Cirelli.

Enerzine

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GDF SUEZ constuit une centrale biomasse-charbon au Pays-Bas :

(AOF)

GDF Suez, au travers de sa filiale Electrabel, démarre la construction d'une centrale fonctionnant à la biomasse et au charbon de 800 MW à Rotterdam, sur le site du Maasvlakte. Ce projet représente un investissement global de 1,2 milliard d'euros, une contribution importante pour le développement économique et pour l'emploi de la région pour les prochaines années. Il s'inscrit dans le programme d'investissement de GDF SUEZ qui prévoit une enveloppe d'investissements de 30 milliards d'euros sur la période 2008 - 2010.

Ce projet est principalement destiné à renforcer la sécurité d'approvisionnement en électricité en Europe de l'Ouest, a indiqué GDF Suez dans un communiqué.

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GDF Suez boucle le financement de sa méga centrale hydroélectrique au Brésil :


AFP le 06/07/2009

GDF Suez a conclu le financement de la centrale hydroélectrique de Jirau (nord), plus grand projet de centrale

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GDF Suez à maintenant un an.

GDF Suez : détaille ses ambitions dans le nucléaire.

Cercle Finance le 16/07/2009

Dans un entretien accordé ce matin à la Tribune, Gérard Mestrallet, le patron de GDF Suez, confirme les ambitions nucléaires de son groupe. GDF Suez pourra d'ici peu se targuer d'être, en France, le premier concurrent d'EDF en matière l'électricité nucléaire. Mais ses projets dépassent largement l'Hexagone.

Gérard Mestrallet, qui qualifie l'atome d''axe de développement stratégique' pour son groupe, rappelle que GDF Suez a été retenu pour construire le deuxième EPR (European Pressurized Reactor) avec EDF sur le site de Penly, non loin de Dieppe.

Il ajoute que l'Etat a 'reconnu' la volonté du groupe de construire et d'opérer un troisième EPR en France, aux côtés de ses partenaires Total, l'allemand E.On et l'espagnol Iberdrola. Le groupe est également partie prenante dans la construction d'un réacteur en Roumanie. Il est sur les rangs, avec ses partenaires, aux Emirats Arabes Unis, et entend lancer un ou deux EPR au Royaume-Uni, avec Iberdrola et Scottish & Southern Energy.

Le journal rappelle que GDF Suez signe actuellement la plus forte baisse du CAC 40 depuis le début de l'année, soit - 29% sur la période considérée.

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GDF Suez s'implante dans l'exploration d'hydrocarbures en Indonésie :

Le groupe d'énergie GDF Suez a annoncé mercredi son entrée dans l'exploration et la production d'hydrocarbures en Indonésie, après avoir finalisé le rachat auprès de l'italien ENI d'une part de 45% dans le contrat de partage de production offshore de Muara Bakau.

Boursorama

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GDF Suez : va doubler la capacité d'une centrale à New York.

Cercle Finance le 10/09/2009

GDF Suez annonce ce matin qu'il a signé un accord qui lui permettra de doubler la capacité de la centrale électrique à gaz new-yorkaise d'Astoria Energy où une deuxième tranche sera construite (Astoria Energy II). L'investissement d'un milliard de dollars, dont le financement a été bouclé cet été, portera la capacité globale de la centrale de 575 à 1.150 MW à mi-2011.

Le groupe gazier français, dont l'Etat détient un peu plus du tiers des actions, rappelle qu'il avait acquis 30,45% du capital de cette centrale en mai 2008.

P-DG de GDF Suez, Gérard Mestrallet a déclaré : 'aux Etats-Unis, un des objectifs majeurs de notre stratégie de développement a toujours été de renforcer notre présence à New-York. (...) Lorsque nous avons acquis notre participation dans Astoria Energy l'année dernière, l'extension du projet sur le site attenant était bien entendu un argument attractif. Son lancement représente la concrétisation de notre stratégie.'

La nouvelle centrale sera liée pour 20 ans avec la Régie d'électricité de New York par un contrat portant sur la totalité de sa production. Astoria Energy II fournira du courant à de grands comptes publics comme la ville de New York, la Metropolitan Transportation Authority, l'Autorité portuaire de New York et du New Jersey, la New York City Housing Authority...

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GDF Suez remporte un important contrat au Chili

08/10/2009

En fournissant de l'électricité à Emel, la compagnie électrique chilienne, entre 2012 et 2026, GDF Suez se renforce sur «un marché clé».

GDF Suez a annoncé ce jeudi avoir signé un contrat de 3 milliards de dollars, soit 2,04 milliards d'euros, pour l'approvisionnement de filiales d'Emel, la compagnie électrique chilienne, entre 2012 et 2026. Le contrat a été signé par Edelnor, la co-entreprise qu'il détient au Chili avec Codelco, le groupe minier public chilien, leader mondial dans la production de cuivre. Les capacités annuelles de 2.000 GWh que GDF Suez devra fournir dans le cadre de ce contrat permettront de couvrir 20% des besoins électriques des régions Nord du Chili, en particuliers des industries.

Cette électricité sera issue de gaz naturel liquéfié, qui sera regazéifié sur le terminal de Mejillones, que GDF Suez possède pour moitié, le reste du capital de cette structure étant aux mains de Codelco. Le site de Mejillones doit être mis en service en 2010.

GDF Suez est présent depuis le milieu des années 1990 au Chili. Egalement implanté au Brésil et au Pérou, le groupe considère l'Amérique latine comme «un marché clé». Dans l'ensemble de cette zone sud-américaine, le groupe a dégagé en 2008 un chiffre d'affaires annuel de 2,6 milliards d'euros, pour 10,3 GW de capacité. Pour comparaison, l'Amérique du Nord a généré sur la même période un chiffre d'affaires de 5 milliards d'euros, pour 6,8 GW de capacités.


Un parc éolien pour se diversifier

Gérard Mestrallet, le président de GDF Suez doit rencontrer demain, vendredi, Andres Velasco, le ministre des Finances chilien, Marcelo Tokman, le ministre de l'Energie chilien, à l'occasion d'un autre événement pour le groupe au Chili : il va en effet inaugurer le plus grand parc éolien du pays, implanté à Monte Redondo, à 325 km au nord de Santiago.

Grâce à ce champ éolien, GDF Suez entend diversifier ses activités au Chili, et espère ainsi «stabiliser les prix tout en réduisant sa dépendance vis-à-vis des combustibles fossiles.» L'exploitation du site de Monte Redondo doit débuter en janvier 2010, pour quatorze ans, et doit permettre la production de 100 GWh chaque année. GDF Suez a investi 100 millions de dollars dans ce projet.

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GDF Suez ouvert à l'entrée d'un fonds souverain chinois à son capital :

Le groupe d'énergie GDF Suez est ouvert à l'entrée d'un fonds souverain chinois dans son capital, a affirmé son PDG, Gérard Mestrallet, lundi dans un entretien au quotidien Libération.

Boursorama

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GDF Suez : développe un projet en Norvège.

Cercle Finance le 29/12/2009

GDF Suez annonce l'arrimage, à Stord en Norvège, d'une plate-forme gazière et pétrolière destinée au champ de Gjøa en Mer du Nord, lors d'une opération complexe pour le compte de l'opérateur Statoil.

L'assemblage de la coque et du dessus de la plate-forme représente une étape importante dans ce projet d'exploration-production off-shore et est considéré comme l'un des plus importants de GDF Suez, qui sera opérateur du champs de Gjøa dans sa phase de production à partir d'octobre 2010.

Découvert en 1989, le gisement de Gjøa a une capacité estimée de 40 milliards de m3 de gaz et de 82 millions de barils de pétrole. Il fait partie du portefeuille du groupe énergétique franco-belge depuis 2003.

En avril 2010, la plate-forme sera acheminée depuis le chantier naval jusqu'au champs en Mer du Nord. La production débutera en automne.

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GDF Suez est déterminé à mettre fin au règne sans partage d'EDF sur le nucléaire français

LE MONDE | 06.02.10

Y a-t-il de la place pour deux joueurs dans le pré carré nucléaire français, où EDF dicte sa loi depuis cinquante ans ? GDF Suez - présenté par Nicolas Sarkozy comme le "deuxième énergéticien français de rang mondial" dans le gaz et l'électricité - veut mettre un terme à ce règne sans partage. Le "protocole d'accord" que la société de Gérard Mestrallet a finalisé avec le groupe nucléaire Areva illustre ses ambitions. Sans le regain de tension entre EDF et Areva, il aurait été soumis dès la mi-janvier au conseil d'administration du géant franco-belge. Mais M. Mestrallet avance avec prudence : l'Etat, actionnaire de GDF Suez (36 %) et d'Areva (91 %), est seul habilité à autoriser l'implantation d'un nouveau réacteur au nom de la sûreté nucléaire.

Ce partenariat stratégique Areva-GDF Suez tient dans un document de 24 pages dont l'élaboration a débuté il y a plusieurs mois - avant la nomination d'Henri Proglio à la tête d'EDF. Chez GDF Suez, on récuse l'idée que cette collaboration renforcée serait une réponse aux propos du patron d'EDF revendiquant le rôle de "chef de file" de la filière nucléaire française. Ses dirigeants savent que l'opérateur historique restera dominant en raison de sa puissance (58 réacteurs) ; ils veulent néanmoins mettre un terme à ce règne sans partage.

EDF a toujours rechigné à faire de la place à d'autres exploitants nucléaires. "La création de GDF Suez en 2008 a affaibli EDF", reconnaît M. Proglio. Son prédécesseur, Pierre Gadonneix, avait dû se faire violence pour accepter l'entrée de son rival à hauteur de 33 % (avec Total) dans la société qui construira le deuxième EPR français à Penly (Seine-Maritime). Mais le "petit nouveau" n'est pas assuré de participer à l'exploitation de ce réacteur dit "de troisième génération".

L'accord avec Areva précise qu'en cas de feu vert de l'Etat, GDF Suez aura la maîtrise d'ouvrage du prochain EPR français et qu'ils collaboreront à la construction de deux autres à l'étranger. S'il n'obtient pas ce puissant réacteur de 1 650 mégawatts (MW), le groupe d'énergie pourra construire dans l'Hexagone l'Atmea 1, un réacteur moins puissant (1 100 MW) conçu par Areva avec le japonais Mitsubishi Heavy Industries. Le protocole prévoit, en effet, une "coopération privilégiée, non exclusive" pour le développer et l'exploiter. GDF Suez s'engage à en "appuyer la promotion" à l'étranger et aurait la "priorité " de sa construction et de son exploitation. M. Mestrallet sait, comme M. Proglio, que la filière française ne peut plus avoir en magasin que l'EPR, trop puissant et trop cher pour des pays émergents qui ont besoin de réacteurs plus petits.

Autre point fort du projet Areva-GDF Suez : le couplage entre centrales nucléaires et usines de dessalement d'eau de mer - ces dernières sont très gourmandes en énergie. Le marché est en plein développement au Maghreb, au Moyen-Orient, en Asie et en Australie.

GUERRE ÉCONOMIQUE

L'accord est intéressant pour Areva, qui s'adjoint un troisième partenaire pour le développement de réacteurs, après EDF et l'allemand E. ON. Il est tout aussi profitable pour GDF Suez. Dès 2005, Suez avait décidé de prendre "une part active" à la renaissance du nucléaire. Avec des ambitions limitées. M. Mestrallet souhaite avoir un "mix énergétique" diversifié et maintenir la part actuelle du nucléaire (20 %) dans sa production mondiale à l'horizon 2020 - sans devenir un électricien presque "tout nucléaire" comme EDF. Mais pour proposer à des clients étrangers la construction et l'exploitation de l'EPR ou d'Atmea 1, il a besoin d'une référence en France.

Le sujet est politiquement très sensible. La fédération CGT de l'énergie, qui sait avoir l'oreille de Nicolas Sarkozy, est arc-boutée sur le monopole nucléaire d'EDF. A Penly, elle a fait cause commune avec ses dirigeants pour le convaincre de confier au groupe public la majorité et l'exploitation du réacteur. L'accord Areva-GDF va, selon elle, "à l'encontre du besoin de réorganisation de la filière nucléaire". S'il était appliqué, "il continuerait à alimenter la guerre économique et technologique à laquelle se livrent les principaux acteurs du domaine" et "contribuerait à affaiblir toute la filière".

Le gouvernement avance prudemment. Dans un discours prononcé en février 2009 à Flamanville (Manche), site du premier EPR français en construction, M. Sarkozy soulignait que GDF Suez a droit à une référence française pour pouvoir "exporter la technologie de l'EPR". Mais rien sur son droit à exploiter une centrale dans l'Hexagone. Le chef de l'Etat a commandé à François Roussely un rapport sur la réorganisation de la filière nucléaire. L'ex-PDG d'EDF devra dire s'il faut autoriser l'entrée d'un autre protagoniste dans le champ clos du monopole nucléaire.

http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... id=1253535

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GDF Suez hors de Bolivie: le gouvernement français exige «une indemnisation adéquate»

Le 04 mai 2010 Usine Nouvelle

Le 1er mai, Evo Morales a décrété la nationalisation, entre autres producteurs d’électricité, d’une filiale de GDF Suez. Quatre jours plus tard, le ministère des Affaires étrangères a réagi à cette «confiscation».

L'accord franco-bolivien sur l'encouragement et la protection des investissements signé le 27 septembre 1989 semble bien loin. Le mardi 4 mai, le gouvernement français a réagi à la mesure prise par Evo Morales pendant la fête du Premier mai.
Prônant la «réappropriation des ressources naturelles», le président bolivien a inclus une filiale de GDF Suez dans le lot des producteurs d’énergies dont il a décrété la nationalisation. En l’occurrence, Eletrica Corani, société possédant plusieurs centrales hydroélectriques dans la province de Cochabamba et dont GDF Suez avait acquis la moitié du capital à la fin du millénaire écoulé.
Or, l’Etat français est actionnaire à 35,7 % du numéro deux français dans le secteur de l’environnement, raison pour laquelle le ministère des Affaires étrangère a publié le communiqué suivant: «Si la France respecte le droit souverain de l'Etat bolivien à assurer le contrôle direct de ses ressources naturelles, elle n'en attend pas moins que la nationalisation soit accompagnée d'une indemnisation prompte et adéquate, calculée sur la valeur réelle de l'investissement à la date de l'expropriation.» Le Quai d’Orsay a apporté une nuance à de tels propos: «les entreprises françaises sont disposées à coopérer avec la Bolivie pour mettre en œuvre des projets innovants dans les énergies propres et renouvelables.»

http://www.usinenouvelle.com/article/gd ... te.N131051

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si ca se passe mal en Bolivie, en Egypte c' est plus porteur pour GDF Suez :

GDF Suez : développe sa présence en Egypte.

Cercle Finance le 04/05/2010

(CercleFinance.com) - GDF Suez annonce l'acquisition définitive d'une participation de 50% dans la licence pétrolière offshore d'Ashrafi auprès d'Ieoc (filiale d'Eni en Egypte). Ieoc conserve les 50% restants dans cette licence. Elle est située dans le Sud-Ouest du golfe de Suez.

La licence d'Ashrafi couvre une superficie de 124 km2 et 11 puits. Ils produisent aujourd'hui environ 4 800 barils par jour.

Avec West El Burullus, North Damietta et Alam El Shawish, cette 4ème licence renforce la stratégie de développement du Groupe en Egypte.

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GDF Suez renforce sa présence au Chili et au Pérou

GDF Suez renforce sa présence au Chili et au PérouLe Président chilien, Sebastian Piñera et le Président Directeur général de GDF Suez, Gérard Mestrallet ont inauguré le 15 juillet dernier, le terminal de regazéification de GNL Mejillones qui a représenté un investissement de 500 millions de dollars US.

GDF Suez est partenaire du terminal avec la société Codelco (50-50), le 1er producteur mondial de cuivre.

Après moins de 24 mois de construction, GDF Suez a débuté en mai dernier la livraison de 2 millions de m3/jour de GNL regazéifié à quatre grandes sociétés minières du Nord du Chili et aux sociétés de production d’électricité E-CL et Gas Atacama.

Le terminal GNL Mejillones est un projet stratégique pour le Nord du Chili. Il recevra un méthanier de GDF Suez par mois. Il permettra également de diversifier le mix énergétique du Chili, lui assurant ainsi son indépendance énergétique.

Par ailleurs, Gérard Mestrallet a aussi confirmé l'engagement de GDF Suez dans la poursuite de ses projets de développement au Pérou, qui représentent un investissement d'environ 600 millions de dollars dans les quatre années à venir. Cet engagement résulte de la participation de GDF Suez, en avril dernier, à des enchères énergétiques de long terme, à l'issue desquelles le Groupe s'est vu attribuer un total de 662 MW, soit un revenu total d’environ 1,9 milliard de dollars.

Ces nouveaux projets incluent la conversion de la centrale thermique de ChilcaUno, située près de Lima, en une centrale à cycle combiné, augmentant ainsi ses performances et portant sa capacité totale à environ 800 MW. Ils prévoient également la construction d’une nouvelle centrale hydro-électrique de 112 MW à Quitaracsa, à 500 km au nord-est de Lima, qui fera partie du réseau électrique national.

Avec une demande énergétique très forte et un grand potentiel en énergies renouvelables, l’Amérique latine reste un marché clé pour GDF Suez où il demeure le premier producteur privé d'énergie.
(src : GDF Suez)

http://www.enerzine.com/12/10074+gdf-su ... erou+.html