ENGIE ( ex GDF-SUEZ )

Discussions traitant des diverses sources d'énergie ainsi que de leur efficacité.

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Re: Naissance, et vie de GDF-SUEZ maintenant ENGIE

Message par energy_isere » 10 nov. 2015, 20:40

Le patron d’Engie s’engage à communiquer en avance sur les risques climatiques

Par AFP — 10 novembre 2015

Engie a annoncé mardi qu’il allait appliquer avec un an d’avance l’obligation de mentionner les enjeux climatiques dans son rapport annuel extra-financier, à l’occasion du lancement d’un grand débat interne sur la transition énergétique, à trois semaines de l’ouverture de la conférence climatique de Paris (COP21).

Promulguée en août, la loi française de transition énergétique prévoit une prise en compte par les entreprises des enjeux climatiques dans leurs rapports RSE (responsabilité sociétale des entreprises) pour l’exercice clos au 31 décembre 2016.

«Nous avons décidé d’anticiper d’un an les obligations de reporting inscrites dans la loi de transition énergétique pour la croissance verte», a déclaré le PDG d’Engie, Gérard Mestrallet, lors du lancement du débat interne en présence de la ministre de l’Ecologie et de l’Energie, Ségolène Royal.

«Il s’agit de communiquer sur les risques financiers induits par le changement climatique pour le groupe, sur ses conséquences sociétales et environnementales ainsi que sur l’ensemble des mesures que nous prenons en interne pour réduire les émissions de CO2», a-t-il ajouté.

Engie a donné mardi le coup d’envoi d’une consultation en ligne de ses 150.000 salariés sur le thème du climat et de l’énergie, jusqu’au 20 novembre, et signé avec Ségolène Royal une convention pour l’expérimentation du «passeport rénovation énergétique».

Ce passeport consiste en un audit gratuit et approfondi du logement, et en une proposition de travaux personnalisés pour inciter les ménages à procéder à la rénovation énergétique de leur habitation.

Financé dans le cadre des certificats d’économie d’énergie, qui oblige les fournisseurs d’énergie à mettre en place et financer des actions d’économie d’énergie, il sera expérimenté à partir du 1er janvier 2016 dans dix «territoires à énergie positive» auprès de propriétaires d’un logement construit avant l’an 2000, a précisé le ministère de l’Ecologie et de l’Energie dans un communiqué.

Selon Engie, un millier de ces passeports pourraient être signés d’ici à 2017.
http://www.liberation.fr/futurs/2015/11 ... es_1412426

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Message par energy_isere » 27 nov. 2015, 19:22

Pour Isabelle Kocher, la directrice générale d’Engie (ex-GDF-Suez), la montée des énergies renouvelables est inéluctable. Ce sont les pays émergents qui devraient le plus profiter de ces technologies aujourd’hui matures.

Usine Nouvelle le 27 Nov 2015

L'Usine Nouvelle : Quel est, selon vous, le mix énergétique idéal pour maintenir le réchauffement climatique en dessous de 2 °C d’ici à la fin du siècle ?
Isabelle Kocher : Il n’existe pas de mix unique. Chaque pays a ses ressources propres. Cependant, une dimension m’apparaît générique, c’est le solaire. Nous n’en sommes encore qu’au début de la maturation de cette technologie. À elle seule, l’énergie solaire représente un potentiel équivalent à vingt fois la consommation mondiale annuelle. Tous les pays, même tempérés, ont un potentiel significatif. Les autres ressources renouvelables, comme l’hydroélectricité et l’éolien, ont également un rôle à jouer.

Mais vous êtes historiquement producteur et fournisseur de gaz…
Dans l’équation future, la majorité de nos capacités de production seront renouvelables. C’est notre parti pris. Mais cela soulève un vrai sujet de sécurité d’approvisionnement face à la question de l’intermittence. Pour répondre à cet enjeu, le gaz est le meilleur allié des énergies renouvelables. Il représente la composante stable et flexible pour soutenir leur développement à grande échelle. À l’avenir, il faudra imaginer un moyen de remplacer le gaz fossile par un gaz renouvelable. Le plus évident est le biogaz produit à partir de déchets. Il y a aussi la possibilité de générer de l’hydrogène par électrolyse de l’eau grâce à des surproductions d’électricité. Il faut imaginer des cycles, qui aujourd’hui ne sont pas économiques, mais qui permettront à l’avenir d’assurer la sécurité du réseau électrique grâce à un gaz vert.

L’Ademe a révélé un scénario d’une France 100 % renouvelable en 2050. Y croyez-vous ?
Oui, j’y crois, à condition de mettre en place un écosystème qui le permette. Il ne faut pas que les renouvelables créent une volatilité insupportable sur les prix et des problèmes d’intermittence. Cela demande de développer des solutions de stockage. Si le stockage suit des courbes d’évolution technologique et de réduction des coûts aussi rapides que celle du photovoltaïque, il sera prochainement compétitif à toutes les échelles. En ajoutant des outils de gaz renouvelable, le scénario 100 % renouvelable est peut-être crédible à l’horizon 2050.

Engie vient d’annoncer l’arrêt de ses investissements dans le charbon. Ne vous coupez-vous pas des nombreux pays, en Asie et en Afrique, qui misent sur cette ressource pour se développer ?
Pour prospérer dans la durée, il faut agir réellement pour le bien des communautés. Et le risque de voir cette source de production surtaxée par rapport aux autres sources d’énergie augmente. C’est donc une décision stratégique, que nous avons prise pour des raisons écologiques, mais aussi économiques. Oui, nous nous privons sans doute de projets, mais nous en ferons d’autres résolument tournés vers la transition énergétique.

Mais vous conservez vos centrales actuelles…
Nous allons évaluer notre flotte de production charbon. La prise de décision sur son devenir sera réfléchie pays par pays. Le plus important est de savoir comment nous allons allouer nos ressources futures. Engie a une politique d’investissement d’environ 6 à 7 milliards d’euros par an, dont 4 milliards pour des développements. La part du charbon était de toute façon très petite. Elle sera d’abord ­réallouée aux capacités renouvelables et au gaz. Et aussi de plus en plus à des solutions locales et intégrées. Le ­scénario de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) sur ce sujet est impressionnant. Il prévoit qu’en 2030 la moitié de l’électricité sera produite sur site, dans les villes, les usines, les bâtiments, les foyers… C’est une transformation fondamentale qui est en cours et cela nous invite à réfléchir à des solutions associant production d’électricité, stockage, smart grids…

Où aura lieu cette transformation ?
Le développement des énergies renouvelables a été lancé en Europe. Elle a financé la maturation de ces outils. Désormais, ce sont les pays émergents qui embrayent le plus sur ces technologies. Il y a deux raisons à cela. D’une part, ils font face à une demande d’énergie qui croît à toute vitesse et ils ont besoin d’y répondre sans être trop dépendants de leurs voisins. D’autre part, les énergies renouvelables peuvent se développer à petite échelle, de manière décentralisée et sans nécessiter de lourdes infrastructures. La décentralisation de l’énergie permettra aux pays émergents de reproduire le saut de génération qui s’est produit dans les télécoms avec le développement du téléphone portable sans passer par des lignes fixes.

Et en Europe ?
Ce n’est pas là que nous verrons le plus ce type de développement. Bien que l’Europe ait fourni les subventions pour développer les renouvelables, avec une efficacité que l’on peut parfois discuter, ce n’est pas elle qui en profitera le plus. L’Europe a un gisement renouvelable plutôt modeste par rapport à d’autres régions du monde. Les pays industrialisés ont un autre mode de développement, extrêmement important : celui des économies d’énergie. En Europe, la consommation d’électricité baisse du fait de la faible croissance et il y a de grands gisements d’économies à exploiter. Il faut engager un travail très exigeant en la matière. Chez Engie, les économies d’énergie font partie de nos points forts grâce à notre filiale de services à l’énergie, qui compte 100 000 personnes. Il n’y a pas d’équivalent dans le monde.

Vous exploitez sept réacteurs en Belgique. Est-ce que le nucléaire a sa place dans le mix du futur ?
Le nucléaire n’est pas à nos yeux l’élément central de la politique énergétique mondiale. C’est un marché de niche. Mais les pays qui ont un parc nucléaire installé ont raison d’investir dans son maintien quand c’est conciliable avec la sûreté. Les montants nécessaires à la prolongation des réacteurs ont du sens par rapport au coût de production de l’électricité. Il y a un intérêt évident à le faire. C’est ce qui se passe en Belgique. Après avoir envisagé de stopper les réacteurs, le pays a opté pour leur prolongation. La réalité économique s’est imposée. Nous allons réinvestir dans nos centrales belges sous réserve de nous entendre avec le gouvernement. Pour le reste, nos projets nucléaires sont peu nombreux et très sélectifs : nous avons un projet en Angleterre et un en Turquie.
http://www.usinenouvelle.com/article/l- ... ie.N364388

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Message par energy_isere » 01 déc. 2015, 14:08

Engie et la Belgique confirment leur accord sur le nucléaire

Publié le 01 décembre 2015, PARIS/BRUXELLES (Reuters)

Le gouvernement belge et Engie ont annoncé mardi avoir finalisé un accord afin de prolonger la durée de vie des réacteurs nucléaires Doel 1 et 2 de 10 ans, jusqu'en 2025.

Cet accord s'inscrit dans un cadre plus global révisant à la baisse la taxe nucléaire imposée à Electrabel, la filiale du groupe français qui exploite les sept réacteurs belges, comme annoncé en juillet.

Bruxelles avait fixé au 30 novembre la date limite pour se prononcer sur l'avenir de réacteurs Doel 1 et 2, les plus anciens et les plus petits réacteurs en Belgique, d'une capacité de 433 mégawatts (MW) chacun.


Selon l'accord signé lundi, pour les réacteurs Doel 3, Doel 4, Tihange 2 et Tihange 3, la taxe nucléaire s'élèvera à 200 millions d'euros en 2015 et 130 millions en 2016, puis sera égale à 34% de la marge avec un minimum de 150 millions par an sur la période 2017-2019.

Pour la prolongation de Doel 1 et Doel 2, une redevance annuelle de 20 millions d'euros par an sera due à partir de 2016 et jusqu'en 2025 et alimentera le fonds de transition énergétique belge.

Electrabel s'est acquitté d'un montant total de 2,16 milliards d'euros au titre de la taxe nucléaire belge sur la période 2008-2014, ce qui représente une moyenne proche de 310 millions par an.

L'accord finalisé lundi prévoit aussi de mettre fin à un litige en cours entre Electrabel et l'Etat belge portant sur un montant de 100 millions d'euros en 2015 et 20 millions en 2016.

Engie a ainsi confirmé son intention d'investir 700 millions d'euros à Doel pour la prolongation de 10 ans de ses centrales, qui s'ajoutent à 600 millions d'investissement prévus pour prolonger Tihange 1.
http://www.usinenouvelle.com/article/en ... re.N366356

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Message par energy_isere » 11 déc. 2015, 12:14

Engie envisage de céder ses centrales thermiques aux Etats-Unis

Reuters le 11/12/2015

Engie étudie la possibilité de céder ses centrales thermiques aux Etats-Unis, a déclaré vendredi sa directrice générale déléguée Isabelle Kocher, confirmant une information du quotidien Les Echos.

Face à la faible croissance de la consommation d'électricité dans les pays matures qui cherchent à améliorer leur efficacité énergétique, l'ex-GDF Suez compte réduire sa présence sur ce segment de la production thermique, en particulier outre-Atlantique, a expliqué la numéro deux d'Engie.

"On y réfléchit activement. C'est une option qui est tout à fait possible", a-t-elle dit sur la chaîne de télévision LCI.

Les centrales thermiques du groupe aux Etats-Unis représentent une capacité de 10 gigawatts. L'opération pourrait permettre au géant de l'énergie de récolter entre 3 et 5 milliards d'euros, écrit le journal Les Echos en citant des informations évoquées par La Lettre de l'Expansion.

Engie pourrait mener à bien d'autres opérations du même type, en particulier en Europe, a indiqué la DG déléguée de l'énergéticien dont la stratégie vise à donner la priorité aux énergies renouvelables et aux services à l'énergie.

"Les Etats-Unis, comme en Europe, c'est une zone dans laquelle au fond, la consommation d'électricité croît peu parce qu'il y a des efforts d'efficacité énergétique qu'il faut continuer à faire", a-t-elle expliqué.

"Donc effectivement, nous essayons de nous alléger dans la production thermique, en particulier aux Etats-Unis, en Europe et dans toutes les zones matures."

Selon Les Echos, qui citent une source non identifiée, de nombreuses réflexions sont engagées sur le portefeuille d'activités du groupe et ces opérations pourraient permettre une prise de contrôle de Suez, un scénario qui fait l'objet de fréquentes spéculations.

"Le groupe n'a certes pas mandaté de banque mais la question se pose effectivement: il faudra bien utiliser le produit des cessions", déclare la source citée par Les Echos.

Engie, qui possède 33,55% de Suez, n'a pas souhaité faire de commentaire sur cette information.

Mi-novembre, le groupe avait démenti des informations de presse selon lesquelles il avait mandaté des banques pour mettre la main sur Suez. Le sujet n'a été soumis à aucune des instances de gouvernance du groupe, avait-il affirmé à l'époque.
http://www.boursorama.com/actualites/en ... dd48c2b476

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Message par energy_isere » 14 déc. 2015, 19:25

ENGIE : 325 MW de nouveaux projets dans le solaire photovoltaïque

14 dec 2015 enerzine

ENGIE a annoncé mercredi avoir remporté 14 projets photovoltaïques représentant 95,5 MW de puissance installée dans le cadre d'un appel d'offres organisé par la Commission de régulation de l'énergie (CRE).

Le groupe français à travers ses filiales Solairedirect, la Compagnie Nationale du Rhône, la Compagnie du Vent et Futures Energies, conforte ainsi sa position de leader dans le photovoltaïque en France avec une puissance développée, construite et exploitée de 570 MW.

Sur ces 14 projets, 4 utilisent la technologie des trackers (les panneaux photovoltaïques sont mobiles et suivent la trajectoire du soleil pour un rendement optimal) et les 10 autres adoptent a technologie de panneaux photovoltaïques fixes. Leur mise en service est prévue d'ici fin 2017. Ils seront tous développés sur des terrains non-agricoles.

Plus largement dans les énergies renouvelables, ENGIE reste leader également dans l'éolien terrestre en France avec 1.450 MW installés, mais second acteur hydraulique avec 3.824 MW installés.


Au Brésil,
ENGIE a remporté récemment des enchères pour développer 230 MW dans le solaire à la suite d'un appel d'offres organisé par l'ANEEL (Agência Nacional de Energia Elétrica), agence affiliée au Ministère brésilien de l'énergie, illustrant la capacité du Groupe à proposer une offre solaire compétitive.

A la suite de ces enchères, le Groupe a sécurisé la vente de l'électricité générée par des projets totalisant 230 MW via ses filiales Tractebel Energia pour 30 MW et Solairedirect pour 200 MW. Les contrats portent sur une période de 20 ans à partir de novembre 2018.

L'électricité sera produite par une centrale photovoltaïque de 30 MW à Assu, située dans la région de Rio de Grande do Norte qui sera construite et exploitée par Tractebel Energia, et par deux parcs photovoltaïques : Floresta, d'une capacité de 80 MW, et Paracatu de 120 MW, situés respectivement dans les régions de Rio de Grande do Norte et Minas Gerais, qui seront construits et exploités par Solairedirect.

ENGIE exploite déjà plus de 10.000 MW dans les renouvelables au Brésil.

Outre ces nouveaux projets solaires et les parcs éoliens existants, Tractebel Energia développe des projets éoliens pour environ 750 MW, à travers le projet de Santa Monica (97 MW), dans l'État de Ceará, et le parc de Campo Largo, situé dans l'État de Bahia qui compte plusieurs projets éoliens pour un total d'environ 650 MW, à différents stades de développement.
http://www.enerzine.com/1/18928+engie-- ... ique+.html

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Message par energy_isere » 14 janv. 2016, 18:47

Engie : Qui est Isabelle Kocher, la première femme PDG du CAC 40 ?

Par Astrid Gouzik - Usine Nouvelle le 14 janvier 2016,

Lors de ses vœux à la presse, Gérard Mestrallet a confirmé qu'Isabelle Kocher s'installerait dans le fauteuil de PDG à partir du mois de mai. Mais qui est celle qui deviendra la première femme à diriger un groupe du CAC 40 ?
........................
lire : http://www.usinenouvelle.com/article/en ... 40.N373643

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Re: GDF-SUEZ maintenant ENGIE

Message par sherpa421 » 15 janv. 2016, 15:59

Née à Neuilly-sur-Seine
Une ville qui a une population d'un peu plus du tiers de la population de la ville de Saint Etienne, et ils viennent tous de là pour nous parler démocratie !
La guerre tue.
Moi, j'aime pas le foot.

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Re: GDF-SUEZ maintenant ENGIE

Message par energy_isere » 04 févr. 2016, 10:56

ENGIE exploitera le Réseau de chaleur géothermique de Dammarie-les-Lys

04 fev 2016

La ville de Dammarie-les-Lys (Seine et Marne) a une nouvelle fois choisi ENGIE Réseaux, filiale d'ENGIE, pour l'exploitation de son réseau de chaleur, avec le projet de l'alimenter à près de 90 % en énergie géothermique.


Cette transformation répond aux engagements de la ville en matière de transition et d'efficacité énergétique et permettra à l'équivalent de 3 400 logements de bénéficier d'une chaleur de très faible empreinte environnementale à un prix maîtrisé.

Dammarie-les-Lys vient de renouveler pour une durée de 27 ans le contrat de délégation de service public de son réseau de chaleur à ENGIE Réseaux, qui s'engage à mener d'importants travaux de conversion des installations. Grâce à la géothermie, le réseau jusqu'à présent alimenté au gaz va pouvoir livrer à ses abonnés une chaleur d'origine locale et renouvelable.

La modernisation du réseau de chaleur de la ville, rebaptisé Géodalys, débutera fin 2016 avec le forage d'un doublet géothermique à 1.800 mètres de profondeur, puis la construction de la centrale géothermique. La géothermie profonde, parmi les plus efficaces d'Ile-de-France, contribuera pour 86 % au mix énergétique du réseau (le complément étant assuré par la chaufferie gaz). Après les travaux d'adaptation à cette nouvelle énergie, le réseau actuel de 5 km sera dans un second temps, rallongé de 1,5 km. Les 36 points de livraison de chaleur seront également rénovés pour une gestion centralisée et optimisée des installations.

D'une puissance totale de 30 MW, le réseau fournira en chaleur principalement des bâtiments d'habitation mais aussi des bâtiments communaux. Particulièrement vertueux, il permettra d'économiser plus de 9 320 tonnes de CO2 par an, soit l'équivalent des émissions annuelles de près de 7 000 véhicules. Le recours majoritaire à une énergie renouvelable permettra de plus aux usagers de bénéficier du taux réduit de TVA à 5,5 %.

Le projet, financé à hauteur de 20 millions d'euros par ENGIE Réseaux , s'inscrit dans la transition énergétique de la ville de Dammarie-les-Lys et du territoire d'Ile-de-France.

( src : CP - Engie )
http://www.enerzine.com/4/19047+engie-e ... -lys+.html

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Message par energy_isere » 08 févr. 2016, 18:02

Engie pourrait céder jusqu'à 20 milliards d'actifs sur 2016-2018

Usine Nouvelle le 08 février 2016

Les cessions concerneraient l'exploration-production (entre 2,5 et 3 milliards d'euros), les centrales à charbon (2 à 3 milliards), les centrales américaines (5 milliards environ) et les infrastructures, ajoute l'hebdomadaire, qui ne précise pas ses sources.

Toujours selon La Lettre de l'Expansion, divers actifs "non stratégiques" complètent cette liste pour 3 à 5 milliards d'euros, ainsi que l'ouverture du capital de l'exploitant nucléaire belge Electrabel.

L'ex-GDF Suez prévoirait en outre de renforcer son plan d'économies Perform en tablant sur 2,8 milliards d'euros de réduction de coûts pour 2016-2018, contre 1,9 milliard entre 2012 et 2015.

Personne n'était disponible dans l'immédiat chez Engie pour commenter ces informations.

Le groupe a fait savoir mi-janvier qu'il souhaitait accélérer sa politique de cessions d'actifs pour mieux s'adapter à un monde de l'énergie en pleine mutation
http://www.usinenouvelle.com/article/en ... 18.N378032

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Re: GDF-SUEZ maintenant ENGIE

Message par energy_isere » 25 févr. 2016, 17:24

Engie paye la transition énergétique au prix fort

LE MONDE ECONOMIE | 25.02.2016 à Par Jean-Michel Bezat

Le vaste bureau du PDG baigne dans une belle lumière, ce mardi 23 février, au 35e étage de la tour Engie de La Défense. Gérard Mestrallet ne se départit pas de son calme olympien, même s’il sait qu’il annoncera deux jours plus tard une perte de 4,6 milliards d’euros imputable à 8,7 milliards de dépréciations d’actifs dans les centrales électriques et l’exploration-production d’hydrocarbures.

Pas d’inquiétude, ni le sentiment d’avoir trop tardé à négocier le grand virage de la transition énergétique mondiale. Il préfère insister sur une forte génération de « cash-flow » (9,8 milliards d’euros) et un résultat récurrent de 2,6 milliards. Et puis la poursuite du grand ménage – après 14,9 milliards de dépréciations en 2013 – est une étape nécessaire, dit-il, pour asseoir le nouveau « plan de transformation stratégique 2016-2018 ».

Ce plan, c’est Isabelle Kocher, officiellement nommée directrice générale du groupe début mai, qui le mettra en œuvre. « Le patron d’un groupe, c’est le directeur général. C’est donc Isabelle, il n’y a aucune ambiguïté. Elle est prête. Je lui céderai l’ensemble de mes responsabilités opérationnelles en mai prochain », tranche M. Mestrallet en se tournant vers son numéro deux. Il avait mis sur orbite cette agrégée de physique, ingénieure des Mines dès 2008 en la propulsant à la tête de la Lyonnaise des eaux.
« Le groupe a une bonne solidité financière »
S’il a souhaité assurer la présidence jusqu’en mai 2018, en obtenant de l’Etat et des autres actionnaires un report...
http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.html

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Re: GDF-SUEZ maintenant ENGIE

Message par energy_isere » 25 févr. 2016, 17:32

Engie lance sa «révolution énergétique» après des pertes records en 2015

25 fev 2015 20minutes.fr

Entraîné par la chute des cours du pétrole, l’énergéticien Engie (ex-GDF Suez) a plongé dans le rouge en 20185.

« Lancer une révolution profonde » « face aux bouleversements sans précédent » du monde énergétique. C’est la feuille de route tracée ce jeudi par Gérard Mestrallet, le PDG de Engie (ex GDF-Suez), après l’annonce de pertes records.

4,6 milliards d’euros de pertes

Le contexte énergétique dégradé, marqué par un effondrement des prix du pétrole, du gaz et de l’électricité, a valu à Engie de retomber dans le rouge en 2015, comme en 2013 : après un bénéfice net de 2,4 milliards en 2014, l’énergéticien a enregistré une perte nette de 4,6 milliards d’euros. En cause : des dépréciations massives de 8,7 milliards d’euros, notamment dans l’exploration-production et dans la production d’électricité.

Engie a manqué de peu également les objectifs qu’il s’était fixés pour 2015, avec un excédent brut d’exploitation (Ebitda) de 11,3 milliards d’euros (-7,2 %) et un bénéfice net récurrent de 2,6 milliards (-5 %), pour un chiffre d’affaires en repli de 6,4 % à 69,9 milliards d’euros, affecté par la chute des prix et l’indisponibilité de réacteurs nucléaires en Belgique.


Devenir le leader mondial de la transition énergétique

Face à ces difficultés, le groupe entend répondre en accélérant son virage stratégique vers les énergies renouvelables. L’objectif affiché est clair : devenir le leader mondial de la transition énergétique.

Ce plan de transformation, qui se déclinera jusqu’en 2018, prévoit de mettre l’accent sur les énergies bas carbone, dans lesquelles Engie inclut le gaz : « Notre portefeuille (production et efficacité énergétique) sera à plus de 90 % bas carbone fin 2018 (contre 75 % en 2015) », a expliqué au «Monde» Isabelle Kocher, qui prendra officiellement les commandes du groupe comme directrice générale début mai.

« Nous nous appuyons sur ces trois métiers pour bâtir notre vision de l’avenir d’Engie, qui est d’être non plus seulement un fournisseur de gaz et d’électricité, mais un apporteur de solutions énergétiques et digitales globales pour un monde décarboné », a également expliqué ce jeudi Gérard Mestrallet.

Investissements, cessions d’actifs et économies

Pour y arriver, le groupe détenu à environ 33 % par l’Etat français compte réaliser 22 milliards d’euros d’investissements et céder pour 15 milliards d'euros d'actifs à l'horizon 2018. Un tiers de ces cessions a déjà été effectué grâce à la vente de 13 gigawatts de capacités de production d’électricité.

Ces opérations concernent 10 GW de centrales à gaz, à charbon et hydroélectriques aux Etats-Unis, exposées aux prix de marché, ainsi que deux centrales à charbon de 3 GW en Inde et en Indonésie. Elles représentent une réduction de la dette nette du groupe de 5,5 milliards d’euros et abaisseront de 20 % sa capacité de production d’électricité à partir de charbon. Devant les analystes, le groupe a indiqué que l’exploration-production faisait également « partie des actifs pouvant être cédés ».

Parallèlement, Engie a acquis la société californienne OpTerra, forte d’un chiffre d’affaires de 275 millions de dollars en 2015, qui lui permet de devenir le troisième acteur dans le secteur des services à l’énergie outre-Atlantique.

Hausse des activités à prix régulés

Pour mieux de protéger contre la volatilité des cours de l’énergie, Engie prévoit aussi d’investir dans les activités à prix régulés, moins risquées que celles exposées aux prix de marché.. « La part du régulé ou du contracté dans notre activité passera de 55 % à 85 % en 2018 », a ainsi annoncé Isabelle Kocher, qui sera en charge de mettre en œuvre le plan.

Le plan de transformation s’accompagnera en outre d’un programme d’économies de coûts opérationnels (« Lean 2018 ») qui lui permettra d’économiser 1 milliard d’euros à l’horizon 2018.

« Ce programme est ambitieux. Il représente un effort supplémentaire de 50 % par rapport au rythme annuel d’économies que nous avons produit ces dernières années », a indiqué Isabelle Kocher, qui préfère parler de « révolution énergétique », plutôt que de « transition énergétique ».
http://www.20minutes.fr/economie/179427 ... cords-2015
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.

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Re: GDF-SUEZ maintenant ENGIE

Message par energy_isere » 14 mars 2016, 20:00

Eolien : Engie acquiert totalement Maïa Eolis

14 mars 2016 enerzine

ENGIE a annoncé la semaine dernière l'acquisition de 51% des actions de MAÏA EOLIS, une société spécialisée dans le développement, la construction, l'exploitation et la maintenance de parcs éoliens en France qu'il détient désormais à 100%**.

Filiale du Groupe MAÏA, MAÏA EOLIS exploite actuellement 21 parcs éoliens totalisant 246 MW, principalement dans les régions Nord-Pas-de-Calais-Picardie, et Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine. MAÏA EOLIS possède également un portefeuille de 250 MW en construction ou ayant obtenu des permis de construire et un potentiel de développement additionnel de plus de 400 MW.

"Cette acquisition illustre parfaitement la stratégie d'ENGIE d'être leader de la transition énergétique dans le monde. MAÏA EOLIS, que nous contrôlerons désormais à 100%, est un acteur reconnu dans l'exploitation et la maintenance de parcs éoliens. Son expertise viendra renforcer l'excellence opérationnelle du Groupe dans ce domaine. Dans un contexte de forte croissance du secteur d'ici à 2020, nous souhaitons accroître le développement des projets déjà engagés par les équipes de MAÏA EOLIS." a déclaré Gérard Mestrallet, Président-Directeur général d'ENGIE.

De son côté Christophe Gruy, Président du groupe MAÏA, a ajouté : "Je suis particulièrement heureux de conclure cette transaction avec notre partenaire depuis dix ans. J'ai été convaincu par l'offre d'ENGIE tant du point de vue industriel que social. Les équipes ont ainsi une formidable opportunité de continuer à développer leurs activités au sein d'un groupe mondialement reconnu".

ENGIE renforce sa position de numéro 1 de l'éolien en France avec une capacité installée de 1 533 MW. En Europe et à l'international, ENGIE dispose de 21,5 GW de capacités installées, soit 18 % de sa capacité installée de production électrique au niveau mondial.

** moyennant levée des conditions suspensives dès que la cession sera finalisée
http://www.enerzine.com/3/19133+eolien- ... olis+.html

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Re: Naissance, et vie de GDF-SUEZ

Message par energy_isere » 13 avr. 2016, 16:31

Solairedirect (Engie) remporte 100 MW de projets en Inde et au Mexique

Par Manuel Moragues Usine Nouvelle le 13 avril 2016

Solairedirect, ex-PME chantre du solaire compétitif et filiale d’Engie depuis juillet 2015, poursuit son développement en Inde en remportant un projet de parc de 75 MW. Et se fait une place sur le bouillonnant marché mexicain avec un parc de 23 MW.

Le français Solairedirect est censé être la locomotive solaire d’Engie. L’ex-PME, acquise par l’énergéticien en juillet 2015, remplit pour le moment son contrat. Le développeur et exploitant de parcs photovoltaïques a remporté 100 mégawatts (MW) de projets à l’international, a annoncé Engie ce mercredi 13 avril.

Le premier projet porte sur un parc de 75 MW en Inde et découle d’un nouvel appel d’offres – de 420 MW au total - de la National Solar Mission, l’organisme qui chapeaute l’ambitieux programme solaire indien. Ce dernier vise 100 000 MW de capacité solaire installée d’ici à 2022.

Pionnier sur ce marché où il est présent depuis 2011, Solairedirect y fait valoir avec succès son credo : le "solaire compétitif", grâce à l’ingénierie financière. Le nouveau parc, qui doit être construit à partir de novembre 2016 dans l’Etat de l’Uttar Pradesh, vendra son électricité à 4430 roupies/MWh (environ 59 euros/MWh). Solairedirect affiche au total une capacité de 450 MW d’énergie photovoltaïque en Inde.


Compétition acharnée et tarif record au Mexique

Le Mexique hébergera le second projet annoncé, de 23 MW au tarif de 48 dollars/MWh (environ 42 euros). Il permet à Solairedirect de participer au décollage tant attendu du marché mexicain. Le premier appel d’offres national pour les énergies propres du Mexique a attribué environ 1 700 MW de projets photovoltaïques et éoliens. Il a généré une compétition acharnée, avec 229 offres déposées par 69 entreprises représentant 15 fois les volumes mis en jeu. 18 offres ont été retenues.

Le solaire se taille la part du lion de l’appel d’offres mexicain avec près de 1 100 MW et un prix moyen de 41,80 dollars/MWh (environ 37 euros), contre 620 MW pour l’éolien avec un tarif moyen d’environ 39 euros/MWh. Le grand gagnant de cet appel d’offres reste Enel Green Power, qui a remporté 992 MW de projets et décroché le record du tarif le plus bas, à 35,40 dollars/MWh (environ 31,50 euros) pour un parc de 472 MW.
http://www.usinenouvelle.com/article/so ... ue.N387098

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Re: Naissance, et vie de GDF-SUEZ

Message par energy_isere » 19 avr. 2016, 22:56

Engie : deux contrats d’énergie avec l’Egypte

le 19 avril 2016

Engie a annoncé le 18 avril 2016 la signature de deux contrats en Egypte. Ces opérations se sont déroulées à l’occasion de la visite officielle de François Hollande.


Ainsi, un 1er accord de coopération a été signé avec la National Renewable Energy Association (NREA) et l’Egyptian Electricity Transport Company (EETC) pour continuer le développement des énergies renouvelables.

Dans le pays, Engie et ses partenaires mènent déjà plusieurs projets relatifs aux énergies renouvelables, notamment le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance de projets solaires photovoltaïques (2 X 50 MW) à Benban, encadrés par un dispositif de tarif d’achat, le parc éolien « Ras Ghareb » de 2 X 50 MW (avec tarif d’achat) ou encore le complexe « West of Nile » pour lequel la société a été présélectionnée pour la construction et l’exploitation (Build-Own-Operate) de projets éoliens, solaires photovoltaïques et de solaire à concentration.

Tous ces projets entrent dans le cadre du programme du gouvernement égyptien qui a pour but de promouvoir le développement de l’électricité d’origine renouvelable et à porter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique à 20 % en 2022. Il permettra aussi de diminuer la tension entre la demande et l’offre d’électricité en Egypte et de diversifier les sources d’énergie du pays.

A noter : le 18 avril 2016, Engie et la société nationale égyptienne Egas, sous l’égide du Ministère égyptien du Pétrole et des Ressources minérales, ont également conclu un contrat de coopération portant sur l’importation de GNL dans le pays. Partenaire de longue date de l’industrie gazière locale, Engie contribuera ainsi à approvisionner le marché égyptien en gaz.
http://www.constructioncayola.com/envir ... egypte.php

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Re: Naissance, et vie de GDF-SUEZ

Message par energy_isere » 28 avr. 2016, 22:07

Engie investit le gaz carburant dans le port d’Anvers

Publié le 28/04/2016 lemarin.fr

Le groupe gazier français a obtenu une concession de 30 ans dans le port belge d’Anvers pour développer à partir de la fin 2017 une vaste plateforme de distribution de carburants alternatifs destinés à la fois au transport fluvial, maritime et routier. Ce hub énergétique sera construit sur les quais 526 et 528.

Image
La future plateforme d’Engie offrira des ravitaillements en gaz naturel liquéfié, en gaz naturel comprimé et en électricité aussi bien pour le fluvial, le maritime que le routier. (Image : DR)
http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... rt-danvers

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