serveurs informatiques 77 milliards de kilowattsheures/an
Publié : 03 sept. 2008, 09:23
serveurs informatiques 45 milliards de kilowattsheures/an
en admettant que ils servent à 5 milliards d'habitants de la terre (ce qui n'est même pas le cas), cela fait environ 25wh/jour par personne ou un watt moyen.
Si un homme fait un maximum d'activité physique, il pourrait fournir un 20eim de cheval soit 37 watts (du genre 120km/jour en vélo). 15 watts moyen sont déjà beaucoup même pour le sportif. Si on considère que un 10eim de la population sur la planète use d'ordinateur, on a 10 watts moyen coté serveur par utilisateur d'ordinateur. Alors les serveurs consomment déjà une énergie qui frôle l'ordre de grandeur de ce que fournirait l'énergie humaine "à main nue".... et si on considère un ordinateur ordinaire consommant 240wh/jour soit 10 watts moyen, alors il consomme pareil par utilisateur que consomment les serveurs!
cela équivaudrait grossièrement à l'énergie permettant le transport de tous les habitants de la terre à raison de 3.5 kilomètre de vélo ou bien 2.4km de train chaque jour (10wh/km).
énergie à décupler pour considérer sur le supposé 10% de la population usant d'un ordinateur, puis à doubler pour inclure le terminal. cela donne 50km de train (type train corail) ou bien 5km/jour en voiture électrique type "blue car" (100wh/km) par utilisateur d'ordinateur...
LA PUBLICITÉ.
Elle a sans doute un fort impact écologique via la consommation des serveurs.
Celle ci entraîne généralement plusieurs phénomènes très coûteux en énergie.
- La consultation d'une page web pleine de pub entraîne des connections multiples: donc provoque des accès simultanées de tout un réseaux supplémentaire de serveurs EN PLUS du serveur qui herberge le site.
- la publicité demande souvent bien plus de ressources que la page, le pire étant les pop-ups ou banières animées en flash vidéo qui provoquent de nouvelles connections mais demande aussi beaucoup de travail aux ordinateurs lecteur. La plaine charge du processeur est vite atteinte. Ces ordinateurs consomment alors bien plus que pour afficher l'information cherchée.
- le niveau technique de ces pages publicitaires met à genoux des machines qui sinon conviendraient parfaitement, elles incitent à une évolution matérielle qui envoie à la casse des machines en état de marche pour les remplacer par d'autres à jour, ce qui fait une grave perte d'énergie due à la technologie.
Il est évident que le trafic publicitaire est la principale occupation des serveurs: il n'y a qu'à regarder la liste des serveurs contactés lorsque que vous vous connectez à un site "pollué" par de la pub. En effet, en plus du nombre de serveurs contactés (donc de la multiplication de l'énergie utilisée en communication et gestion de fichiers), à part sur quelques sites personnels hébergés par des fournisseurs respectueux, la plupart des pages web sont toutes "petites" en taille (du genre 10Ko plus 100 à 200Ko d'image) par rapports aux publicités (plusieurs mégaoctets). Ceci a mis à genoux les connections bas débits, devenus inutilisables alors que la consultation de page web html simplement illustrées passaient par un aussi petit tuyau.
Il ressort de cette nécessité du haut débit une pollution radio électrique bien plus importante avec la généralisations des ordinateurs et téléphones portables liées à un réseau téléphonique: plus de puissance, plus de bandes passante, et donc plus de pollution radio électrique, laquelle devient déjà un scandale sanitaire.
La pollution radio électrique est en effet proportionelle à la bande passante. Si on veut transmettre plus d'information avec un rapport signal sur bruit radio minimal, la puissance minimale augmente d'autant.
En ce domaine, par simple choix des formats de transmission, du formatage du texte et avec le boycott de la publicité, l'évolution des système d'exploitation vers l'économie, il y a moyen de juguler un sacré gaspillage d'énergie.
en admettant que ils servent à 5 milliards d'habitants de la terre (ce qui n'est même pas le cas), cela fait environ 25wh/jour par personne ou un watt moyen.
Si un homme fait un maximum d'activité physique, il pourrait fournir un 20eim de cheval soit 37 watts (du genre 120km/jour en vélo). 15 watts moyen sont déjà beaucoup même pour le sportif. Si on considère que un 10eim de la population sur la planète use d'ordinateur, on a 10 watts moyen coté serveur par utilisateur d'ordinateur. Alors les serveurs consomment déjà une énergie qui frôle l'ordre de grandeur de ce que fournirait l'énergie humaine "à main nue".... et si on considère un ordinateur ordinaire consommant 240wh/jour soit 10 watts moyen, alors il consomme pareil par utilisateur que consomment les serveurs!
cela équivaudrait grossièrement à l'énergie permettant le transport de tous les habitants de la terre à raison de 3.5 kilomètre de vélo ou bien 2.4km de train chaque jour (10wh/km).
énergie à décupler pour considérer sur le supposé 10% de la population usant d'un ordinateur, puis à doubler pour inclure le terminal. cela donne 50km de train (type train corail) ou bien 5km/jour en voiture électrique type "blue car" (100wh/km) par utilisateur d'ordinateur...
LA PUBLICITÉ.
Elle a sans doute un fort impact écologique via la consommation des serveurs.
Celle ci entraîne généralement plusieurs phénomènes très coûteux en énergie.
- La consultation d'une page web pleine de pub entraîne des connections multiples: donc provoque des accès simultanées de tout un réseaux supplémentaire de serveurs EN PLUS du serveur qui herberge le site.
- la publicité demande souvent bien plus de ressources que la page, le pire étant les pop-ups ou banières animées en flash vidéo qui provoquent de nouvelles connections mais demande aussi beaucoup de travail aux ordinateurs lecteur. La plaine charge du processeur est vite atteinte. Ces ordinateurs consomment alors bien plus que pour afficher l'information cherchée.
- le niveau technique de ces pages publicitaires met à genoux des machines qui sinon conviendraient parfaitement, elles incitent à une évolution matérielle qui envoie à la casse des machines en état de marche pour les remplacer par d'autres à jour, ce qui fait une grave perte d'énergie due à la technologie.
Il est évident que le trafic publicitaire est la principale occupation des serveurs: il n'y a qu'à regarder la liste des serveurs contactés lorsque que vous vous connectez à un site "pollué" par de la pub. En effet, en plus du nombre de serveurs contactés (donc de la multiplication de l'énergie utilisée en communication et gestion de fichiers), à part sur quelques sites personnels hébergés par des fournisseurs respectueux, la plupart des pages web sont toutes "petites" en taille (du genre 10Ko plus 100 à 200Ko d'image) par rapports aux publicités (plusieurs mégaoctets). Ceci a mis à genoux les connections bas débits, devenus inutilisables alors que la consultation de page web html simplement illustrées passaient par un aussi petit tuyau.
Il ressort de cette nécessité du haut débit une pollution radio électrique bien plus importante avec la généralisations des ordinateurs et téléphones portables liées à un réseau téléphonique: plus de puissance, plus de bandes passante, et donc plus de pollution radio électrique, laquelle devient déjà un scandale sanitaire.
La pollution radio électrique est en effet proportionelle à la bande passante. Si on veut transmettre plus d'information avec un rapport signal sur bruit radio minimal, la puissance minimale augmente d'autant.
En ce domaine, par simple choix des formats de transmission, du formatage du texte et avec le boycott de la publicité, l'évolution des système d'exploitation vers l'économie, il y a moyen de juguler un sacré gaspillage d'énergie.