https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 1646590f01Quantique, semi-conducteurs, super-ordinateurs : face au contournement des sanctions, Washington serre la vis de ses exportations
information fournie parBoursorama avec Media Services •06/09/2024
Le département du Commerce américain pourra exercer un droit de veto sur les exportations, et un contrôle renforcé sur les circuits parallèles de contournement utilisés par les rivaux de Washington pour accéder à certaines technologies de pointe malgré les restrictions et interdictions. Dans le viseur : Chine, Russie, ou encore Iran.
Les Etats-Unis ont annoncé jeudi 5 septembre un durcissement du contrôle sur les exportations de technologies de pointe, tels que les composants pour ordinateur quantique, en les étendant à l'ensemble du monde, dans une approche qui se veut commune avec ses alliés.
Elargir le dispositif parmi les "pays aux vues similaires"
Concrètement, le département du Commerce contrôlera les exportations de ces technologies, qui concernent également par exemple les machines permettant de fabriquer des semiconducteurs de pointe, et pourra avoir un droit de veto, s'il estime qu'un tel mouvement aurait de conséquences sur la sécurité nationale américaine.
Ce nouveau pas entre dans le cadre d'un durcissement commun depuis "plusieurs pays aux vues similaires" et pourrait être rejoint par d'autres pays, précise le ministère dans son communiqué.
"Il s'agit de nous assurer que nos outils de contrôle s'adaptent à l'évolution rapide de la technologie et qu'ils sont plus efficaces lorsque nous travaillons de concert avec nos partenaires internationaux", a souligné le sous-secrétaire américain en charge du Bureau de l'Industrie et de la Sécurité, Alan Estevez, cité dans le communiqué.
"L'approche la plus efficace consiste à coordonner et renforcer nos actions avec nos partenaires aux vues similaires", a de son côté ajouté la secrétaire adjointe en charge des Exportations, Thea Rozman KIendler.
Les nouvelles règles concernent les composants permettant le développement de l'ordinateur quantique et les équipements industriels afin de produite des semiconducteurs de dernière génération mais aussi d'autres types d'équipements industriels ou des technologies liées aux transistors à effet de champ, qui sont utiles pour les super ordinateurs.
Sanctionner les intermédiaires
Il s'agit d'un pas supplémentaire de la part de Washington pour limiter l'accès aux équipements de technologie de pointe, notamment pour la Chine, l'Iran et la Russie, tous trois d'ores et déjà concernés par des limitations, parfois importantes, en la matière.
Les nouvelles règles pourraient notamment permettre de mieux contrôler et limiter le risque de contournement de sanctions ou d'interdiction d'exportation, des circuits détournés qui impliquent souvent des entreprises installées dans d'autres pays et faisant l'acquisition d'équipements interdits à l'exportation vers la Chine ou la Russie pour ensuite les revendre dans ces pays.
Ces derniers mois les Etats-Unis ont annoncé une série de sanctions visant des entreprises, principalement installées en Turquie ou aux Emirats arabes unis, mais également en Europe, accusées d'avoir participé au contournement de ces interdictions ou de sanctions mises en place, notamment après l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
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Re: Commerce mondial
https://www.rfi.fr/fr/%C3%A9conomie/202 ... xportation«Guerre des puces»: les Pays-Bas s'alignent sur les restrictions américaines à l'exportation
Le gouvernement néerlandais a annoncé, vendredi 6 septembre, un renforcement des restrictions à l'exportation en dehors de l'Union européenne des machines à puces électroniques, suivant ainsi l’exemple des États-Unis. Les Pays-Bas abritent l’un des mastodontes européens pour l’industrie des semi-conducteurs, l'équipementier ASML.
RFI le : 06/09/2024 -
Les Pays-Bas se sont finalement alignés sur les États-Unis, en restreignant, vendredi 6 septembre, les exportations de machines à puces électroniques. Concrètement, ce changement va surtout concerner l’entreprise ASML, très en vue dans ce secteur, qui devra désormais demander une autorisation à La Haye plutôt qu'à Washington pour pouvoir exporter davantage de machines.
ASML, dont le siège est situé à Veldhoven, dans le sud des Pays-Bas, est l'un des principaux fabricants mondiaux d'équipements permettant de fabriquer des puces électroniques qui alimentent de nombreux produits, depuis les téléphones mobiles jusqu'aux voitures. Il était au cœur des tensions entre Pékin et Washington depuis plusieurs mois.
Ses machines sont très prisées en Asie notamment, mais l'industrie des semi-conducteurs est devenue un champ de bataille géopolitique. L'Europe et les États-Unis craignent que la Chine n'utilise les machines produisant des puces à des fins militaires ou d'espionnage économique.
« Je prends cette décision pour notre sécurité », a déclaré dans un communiqué la ministre néerlandaise du Commerce extérieur, Reinette Klever. « Nous constatons que les évolutions technologiques impliquent davantage de risques pour la sécurité lors de l'exportation de ces équipements de production spécifiques, surtout dans le contexte géopolitique actuel », a-t-elle ajouté, sans directement mentionner la Chine.
En « harmonie » avec Washington
La Haye renforce ainsi des mesures déjà en vigueur depuis un an pour s'aligner sur celles en place outre-Atlantique. De son côté, « ASML estime que cette exigence harmonisera l'approche de délivrance des licences d'exportation », a réagi le groupe dans un communiqué.
Auparavant, l'entreprise devait demander à Washington une autorisation d'exportation de certaines de ses machines jusqu'ici non concernées par les mesures en vigueur aux Pays-Bas. Désormais, ASML pourra directement passer par La Haye, a expliqué le groupe. « Comme il s'agit d'un changement technique, cette annonce ne devrait pas avoir d'impact sur nos perspectives financières pour 2024 ou sur nos scénarios à plus long terme », a-t-il souligné.
Les restrictions ciblent des systèmes DUV ("deep ultraviolet") de pointe, qui impriment les minuscules éléments composant une micropuce. Les machines EUV ("extreme ultraviolet") d'ASML, permettant de fabriquer les puces les plus avancées, étaient déjà soumises à des contrôles d'exportation.
À partir de samedi 7 septembre, « l'exportation d'un plus grand nombre de types d'équipements de production avancés sera soumise à l'obligation d'obtenir une licence nationale », a indiqué le gouvernement néerlandais dans un communiqué. Si ASML souhaite exporter une des machines concernées vers la Chine, le gouvernement néerlandais prendra une décision sur l'autorisation d'exportation. « Il n'est donc pas question d'une interdiction d'exportation », a souligné le gouvernement.
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Re: Commerce mondial
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 84495bcaacLa France utilise "tous les moyens" pour bloquer le traité UE-Mercosur, assure le ministre de l'Economie
AFP •14/11/2024
La France utilise "tous les moyens" pour bloquer l'adoption du traité entre l'UE et des pays du Mercosur, a affirmé jeudi le ministre de l'Economie Antoine Armand, au moment où ce projet est rejeté en bloc par des agriculteurs.
"On utilise tous les moyens y compris les moyens institutionnels et de vote au niveau européen pour que le Mercosur en l'état ne passe pas", a détaillé M. Armand au cours d'une interview à la radio SudRadio, ajoutant qu'"on convainc nos partenaires qui peuvent parfois hésiter".
L'Union européenne semble déterminée à signer d'ici la fin de l'année un accord de libre-échange avec des pays latino-américains du Mercosur, au grand dam de la France, qui le refuse en l'état et se mobilise.
Pour bloquer la décision, la France doit réunir une minorité de blocage au sein du Conseil, qui regroupe les Etats membres de l'UE.
Or, rien n'est moins sûr. L'Allemagne et l'Espagne poussent de tout leur poids. Et si la Pologne ou l'Autriche ont régulièrement exprimé leur opposition, c'est insuffisant, car il faut au minimum quatre Etats pour constituer une minorité de blocage.
Pourtant, certains à Bruxelles veulent y croire, jugeant que des pays comme l'Italie, l'Irlande ou les Pays-Bas peuvent faire pencher la balance.
Mais ces pays réservent pour l'instant leur position, selon des sources diplomatiques à Bruxelles.
"On s'organise avec les pays européens pour faire comprendre le danger que représenterait cet accord", a ajouté jeudi M. Armand, martelant que "la France est totalement déterminée (...) à ce que le Mercosur ne soit pas signé en l'état".
"En l'état, cet accord il est inacceptable et insupportable pour nos agriculteurs", a encore dit le ministre français jeudi.
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Re: Commerce mondial
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 9b3e95efd8Accord UE-Mercosur : les agriculteurs de toute l'Europe dénoncent le projet
Boursorama avec Media Services •18/11/2024
Dès ce lundi 18 novembre, les agriculteurs français prévoient de se mobiliser contre ce traité - négocié depuis des décennies entre l'UE et les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Uruguay, Paraguay et Bolivie) - que la Commission européenne, soutenue par plusieurs pays comme l'Allemagne et l'Espagne, espère signer d'ici à la fin de l'année.
Les agriculteurs français sont loin d'être les seuls à rejetter l'accord UE-Mercosur. Dans les grands pays producteurs d'Europe, les organisations agricoles dénoncent également le projet d'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les pays latino-américains. Mais la réponse de leurs gouvernements est plus nuancée, la France restant la plus véhémente dans son opposition.
Alors que le Mercosur exporterait vers l'UE d'abord des produits agricoles (viande bovine, volaille, porc, miel, sucre...), l'inquiétude est vive quant à des conditions de concurrence jugée déloyales, ces denrées ne répondant pas aux mêmes normes environnementales, sociales qu'en Europe, voire sanitaires en cas de contrôles défaillants. Le Copa-Cogeca, l'organisation européenne des syndicats majoritaires, a appelé l'UE à "revoir" ce projet et à "défendre une politique commerciale portant les standards rigoureux de notre agriculture".
France
La mobilisation est particulièrement forte dans le premier pays agricole du continent en valeur. Une vaste mobilisation est annoncée dès ce lundi 18 novembre, sur fond de crise générale de l'agriculture. "Un rapport d'audit de l'UE vient de mettre au jour des failles au Brésil dans les procédures de contrôle du respect des normes sanitaires", souligne la Fédération nationale bovine. "Malgré cela, la Commission européenne poursuit avec conviction les négociations qui favoriseront l'accès supplémentaire de 99.000 tonnes de viandes bovines sud-américaines". Paris essaie de rallier d'autres Etats, comme la Pologne, pour bâtir une minorité de blocage au sein de l'UE.
Allemagne
L'Allemagne, réticente à l'accord sous Angela Merkel pour cause de déforestation en Amazonie, a changé de pied avec Olaf Scholz, désireux d'élargir ses débouchés industriels. Aujourd'hui, l'effondrement de la coalition gouvernementale place les agriculteurs dans l'expectative.
Pour l'Association des agriculteurs allemands (DBV), principal syndicat, "il est urgent de renégocier" cet accord. Il "conduirait à remplacer la production nationale par des importations aux normes du siècle dernier, au détriment des consommateurs, des agriculteurs, des animaux, de l'environnement et du climat", explique Joachim Rukwied, son président, pour qui "l'agriculture de l'UE ne peut survivre que si des mécanismes viennent compenser les différences entre les normes internationales et européennes". Aucune manifestation officielle n'est prévue, ce qui ne devrait pas empêcher des convergences à la frontière franco-allemande, comme à la frontière franco-espagnole.
Espagne
En Espagne, l'ensemble des grands syndicats agricoles ont dit leurs craintes, notamment pour l'élevage. Cet accord est "dépassé et incohérent", pour l'organisation Asaja. Aucune mobilisation n'est annoncée, mais l'inquiétude suscitée par le projet avait pesé dans le mouvement de colère des agriculteurs en début d'année. Pour autant, le gouvernement du Premier ministre socialiste Pedro Sánchez s'est prononcé pour. Il est "nécessaire stratégiquement", assurait mi-octobre le ministre de l'Agriculture Luis Planas : des filières pourraient souffrir, comme la filière bovine, mais d'autres en profiter comme le vin et l'huile d'olive.
Italie
La grande organisation Coldiretti a écrit à la Première ministre Giorgia Meloni pour exprimer la "profonde inquiétude" à l'égard d'un accord qui "aurait des effets dévastateurs sur le secteur agro-alimentaire". "Nous estimons qu’une collaboration étroite avec d'autres Etats membres de l'UE, comme la France, qui partagent nos inquiétudes, peut empêcher l'adoption de l'accord sous sa forme actuelle", appelle la lettre. Le ministère de l'Agriculture n'a pas répondu aux sollicitations de l'AFP.
Pays-Bas
Le principal syndicat agricole LTO appelle "à arrêter les négociations". Aux Pays-Bas, le secteur avicole et le sucre seraient menacés, explique Klaas Johan Osinga, conseiller stratégie politique du LTO à l'AFP. "L'accord pourrait toutefois être bon pour le secteur du fromage, être une opportunité pour l'horticulture, mais ce sont relativement de petites sommes", ajoute-t-il, relevant que les quatre partis de la coalition gouvernementale sont divisés sur le sujet.
Pologne
Le ministère de l'Agriculture a exprimé ses "sérieuses réserves" à l'égard d'un projet qui "aura peut-être quelques bénéfices pour l'industrie, le transport maritime et certains services, aux dépens de la plupart des segments de la production agro-alimentaire". Une des principales organisations agricoles, NSZZ RI Solidarność, a appelé le chef du gouvernement Donald Tusk, à aller plus loin et à "bloquer" le projet.
Autriche
Les parlementaires du Conseil national ont adopté une résolution contre, rappelle le ministère de l'Agriculture : "restreindre la production agricole en Europe via des normes toujours plus sévères tout en poussant des accords commerciaux de la vieille école, ce n'est pas compatible. L'Autriche est un pays orienté à l'export, nous tenons à ce que le jeu soit équitable". De telles importations sans droits de douane "mettent notre agriculture en péril", résume la première association agricole (Bauernbund).
Irlande
Alors qu'en Irlande les élections législatives de fin novembre concentrent l'attention, les représentants des éleveurs (ICSA) ont protesté devant la chambre basse du Parlement.
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Re: Commerce mondial
cOMMERCE MONDIAL/ IL FAUT CHANGER DE PARADIGME/
https://www.mediapart.fr/journal/politi ... s-inutiles
« Il est temps de remiser l’obsession de la croissance au rayon des accessoires inutiles »
L’économiste Alain Coulombel, membre de la direction des Écologistes, auteur d’un « Petit Traité de la démesure », est un des seuls responsables politiques à plaider sans ambiguïté pour la décroissance. Et à vouloir lui donner un débouché politique concret.
Mathieu Dejean
https://www.mediapart.fr/journal/politi ... s-inutiles
« Il est temps de remiser l’obsession de la croissance au rayon des accessoires inutiles »
L’économiste Alain Coulombel, membre de la direction des Écologistes, auteur d’un « Petit Traité de la démesure », est un des seuls responsables politiques à plaider sans ambiguïté pour la décroissance. Et à vouloir lui donner un débouché politique concret.
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L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)
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Re: Commerce mondial
on va déja arrêter la croissance des pays pauvres pour commencer, parce qu'ils commencent vraiment à nous gonfler sérieusement avec leurs émissions qui augmentent.


Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".
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Re: Commerce mondial
Quand on regarde la croissance des emissions par tete et pas par pays on a un ecrasement des ecarts assez impressionant

mis a part les ultra riches les gens normaux plafonnent assez rapidement en termes de besoins et donc d’impact sur leur environnement
C’est bien pour ca qu’il faut "exterminer" les ultra riches puis ensuite, les super riches et reduire autant que possible les inegalites
mis a part les ultra riches les gens normaux plafonnent assez rapidement en termes de besoins et donc d’impact sur leur environnement
C’est bien pour ca qu’il faut "exterminer" les ultra riches puis ensuite, les super riches et reduire autant que possible les inegalites
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
« Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes bien informées et impliquées puisse changer le monde, en fait, ce n'est jamais que comme cela que le monde a changé »
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Re: Commerce mondial
https://www.usinenouvelle.com/editorial ... e.N2223801Le Mercosur, le marché sud-américain qui affole l'Europe
L'accord commercial conclu entre la Commission européenne et le Mercosur promet d'ouvrir un marché de 770 millions de consommateurs. Mais il fait polémique en Europe et est durement combattu par la France qui tente de rallier d'autres États-membres à sa cause.
Solène Davesne 09 décembre 202
La France joue son va-tout pour convaincre d’autres États membres de s’opposer à la ratification de l’accord commercial conclu entre l’Union européenne et le Mercosur le 6 décembre. Elle n'a pour l'instant réussi à rallier que la Pologne, même si l'Italie a émis des doutes à son tour ces derniers jours.
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Re: Commerce mondial
https://www.usinenouvelle.com/article/u ... s.N2227012UE: Temu et Shein seront tenues responsables de la vente de produits dangereux sur leurs sites
Les plateformes chinoises de commerce électronique Temu et Shein seront tenues responsables de la vente de produits dangereux sur leurs sites, a déclaré mercredi la Commission européenne, dans le cadre d'une série de mesures contre les produits importés à bas prix qui entrent dans l'Union européenne (UE) par le biais du commerce en ligne.
REUTERS 05 février 2025
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