[Crise] L' économie réelle en difficulté

[kercoz]

Dans son université d'été , Onfray a raté sa ref a Thoreau qui n'avait que" trois chaises ". C'est dommage , la citation originale (a confirmer) c'est : une chaise pour m'asseoir , une chaise pour l'amitié et une chaise pour la société.

[Angelus68]

Bon je ne sais pas ou mettre vraiment ça. Le chômage aux Etats Unis à augmenté plus que prévu et c'est en train de bien plomber les bourses.

USA : le chômage est au plus haut depuis cinq ans

Licenciant pour le huitième mois consécutif, l'économie américaine a perdu 84.000 emplois en août, après 60.000 en juillet, tandis que le chômage touche désormais 6,1% de la population active, contre 5,7% le mois précédent.

Le chômage a atteint en août son plus haut niveau depuis cinq ans aux Etats-Unis, a annoncé vendredi 5 septembre le département du Travail. Licenciant pour le huitième mois consécutif, l'économie américaine a perdu 84.000 emplois en août, après 60.000 en juillet, tandis que le chômage touche désormais 6,1% de la population active, contre 5,7% le mois précédent.
Ces chiffres sont bien supérieurs aux prévisions des analystes, qui attendaient 75.000 suppressions d'emplois et une stabilité du chômage à 5,7%.
Par ailleurs, les chiffres des mois précédents ont été révisés : au lieu des 51.000 pertes d'emplois annoncés initialement pour juin et juillet, ce sont en fait 100.000 postes qui ont disparu en juin et 60.000 en juillet.

Le spectre de la récession

Ce bond du chômage, qui atteint ainsi son plus haut niveau depuis septembre 2003, confirme la tendance engagée il y a plusieurs mois : depuis avril, le chômage a augmenté de 1,1 point. Et depuis le début de l'année, l'économie américaine a supprimé 605.000 emplois au total. De quoi faire ressurgir les inquiétudes sur une entrée en récession.
La publication de ces chiffres intervient alors que la prochaine réunion de la banque centrale (Fed) doit se tenir dans une dizaine de jours. Elle doit notamment réexaminer le niveau de son taux directeur, qui est aujourd'hui à 2%. Mais en raison du ralentissement attendu de l'économie en fin d'année, les analystes estiment fort possible qu'un nouveau statu quo soit décidé.

L'industrie, secteur le plus touché

En août, le secteur le plus touché a été l'industrie (61.000 emplois, contre 8.000 dans le secteur de la construction). La distribution a perdu 20.000 postes et les services aux entreprises 53.000.
En revanche, le secteur de l'éducation/santé a créé 55.000 emplois et la fonction publique 17.000.
Toujours en août, le salaire horaire moyen a progressé de 0,4% à 18,14 dollars. C'est un chiffre supérieur aux prévisions, qui tablaient sur 0,3%. Sur un an, la hausse atteint 3,6%, après 3,4% le mois précédent.

[Angelus68]

L'Europe admet être au bord de la récession

L'Allemagne, l'Espagne et la Grande-Bretagne seront dans le rouge cette année, d'après Bruxelles. La France est sur le fil du rasoir.

Bruxelles confirme la mauvaise nouvelle : le ralentissement de l'économie européenne est plus fort que prévu et la France n'évitera que d'un cheveu la récession qui devrait frapper les deux autres poids lourds de l'UE que sont l'Allemagne et la Grande-Bretagne.

La Commission européenne a revu en baisse, de plus d'un demi-point, sa projection de croissance pour les Vingt-Sept en 2008. De 2 % au printemps, elle est tombée à 1,4 % au seuil de l'automne. L'Europe paie avec un temps de retard la triple facture de la crise financière américaine, du pétrole cher et de la valse des étiquettes. Dès mercredi, les économistes avertissaient que les chiffres de l'année en cours font craindre aussi «une révision significative vers le bas» de la croissance en 2009.

Si l'on s'en tient au détail des chiffres trimestriels, la France tire son épingle du jeu. Au contraire de l'Allemagne, du Royaume-Uni ou encore de l'Espagne, elle échappera aux deux trimestres consécutifs de décroissance qui définissent la récession, aux yeux des experts. Après avoir baissé de 0,2 % au deuxième trimestre, le PIB de l'Hexagone serait étale au troisième avant de se ressaisir faiblement au quatrième (+ 0,1 %).


Tir de barrage

Pour Paris, la consolation est faible. Sur l'année, la croissance française s'établirait à 1 %, au lieu de 1,6 % espéré au printemps. C'est mieux que l'Italie. Mais moins bien que les autres économies de référence, l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Espagne, les Pays-Bas ou encore la Pologne. Plus que d'autres, l'Hexagone est frappé par le déclin de l'investissement et la détérioration du commerce extérieur.

Réunis à Nice à partir de demain, les ministres de l'Économie et des Finances, rejoints pour l'occasion par les banquiers centraux, vont se pencher sur les issues possibles à la crise. Le spectre de la récession risque de relancer, à Paris et ailleurs, un débat politique sur la «relance» européenne, l'assouplissement de la contrainte budgétaire ou encore l'orthodoxie reprochée à la BCE. Pour parer au dérapage, les trois architectes européens de la politique économique et monétaire ont lancé mercredi l'équivalent d'un tir de barrage.

À 3,8 % cette année, l'inflation est le danger numéro 1, disent-ils. Le choix n'est pas entre la stagnation et le desserrement des contraintes financières. «L'heure n'est pas à la complaisance», avertit Jean-Claude Trichet, président de la BCE. Le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, n'envisage de soutien budgétaire que pour les «couches sociales les plus vulnérables». Joaquin Almunia, commissaire aux Affaires économiques et financières, appelle «à plus de flexibilité» sur les marchés du travail, des biens et des services. «Ces réformes sont difficiles quand les vaches sont grasses, reconnaît-il , mais elles sont encore plus nécessaires en période de vaches maigres.»

http://www.lefigaro.fr/economie/2008/09 ... ssion-.php

[Angelus68]

Crise financière: la plus grave depuis un siècle, selon Alan Greenspan

La crise financière actuelle est la plus grave depuis 50 ans et probablement depuis un siècle, a estimé dimanche Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine (Fed), jugeant que la tourmente était encore loin d'être terminée.

"On doit reconnaître qu'il s'agit d'un événement qui se produit une fois tous les cinquante ans, probablement une fois par siècle", a-t-il dit dans interview à la chaîne de télévision ABC.

"Il n'y a aucun doute, je n'ai rien vu de pareil et ce n'est pas encore fini et cela prendra encore du temps", a ajouté M. Greenspan, patron mythique de la Banque centrale américaine pendant 19 ans (jusqu'en 2006), estimant à plus de 50% le risque de récession aux Etats-Unis.

M. Greenspan a prédit que la gravité exceptionnelle de la crise financière allait entraîner la chute de plusieurs institutions financières majeures, alors même que Washington cherchait ce dimanche à sauver de la faillite la banque d'affaires Lehman Brothers. Et, "bien entendu, nous ne devrions pas chercher à protéger toutes les grandes institutions financières", a-t-il relevé.

La défaillance d'une grande banque "en soi n'est pas un problème", a-t-il relevé. "Tout dépend comment cela est géré et comment la liquidation est menée".

Il a estimé que le gouvernement fédéral "ne pouvait pas mettre un filet de sécurité sous toutes les firmes financières faisant faillite" notant que les efforts en cours des autorités concernant Lehman Brothers consistaient à trouver une solution sans recourir à des fonds publics.

M. Greenspan a également expliqué l'interventionnisme très inhabituel des pouvoirs publics aux Etats-Unis, où le laisser-faire économique est la norme, par la mondialisation accélérée des dix dernières années qui accroît les risques de contagion.

"Nous n'avons jamais connu un degré aussi élevé d'interconnexion à l'échelle mondiale", a expliqué l'ancien patron de la Fed.

M. Greenspan a noté des facteurs positifs qui minimisent partiellement l'impact de la crise financière sur l'activité économique. Il a cité le fort repli des prix du pétrole et des produits des denrées alimentaires permettant de faire reculer l'inflation, tout au moins à court terme.

"Je serais très heureux si ces facteurs pouvaient suffire à stabiliser cette crise mais je ne parierais pas mon argent sur cela", a poursuivi Alan Greenspan.

La réputation de M. Greenspan est un peu ternie alors que certains l'accusent d'avoir contribué à la bulle spéculative immobilière à l'origine de la crise actuelle en maintenant les taux d'intérêt de la Fed à des niveaux trop bas pendant trop longtemps.

http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=5866878

Avant c'était la plus grave depuis 20 ans, après depuis la Seconde Guerre Mondiale, maitenant la plus grave depuis un siécle.

[lionstone]

Je dirais même plus, c’est la pire crise depuis l’effondrement du prix du mammouth à la dernière glaciation

[energy_isere]

Hewlett-Packard va supprimer 24.600 emplois sur trois ans

Le géant informatique américain Hewlett-Packard a annoncé lundi soir la suppression de 24.600 emplois, soit 7,5% de ses effectifs, au cours des trois prochaines années.

Ce vaste plan de restructuration fait suite à la récente acquisition par HP de la société de services technologiques Electronic Data Systems (EDS), a précisé la firme basée à Palo Alto (Californie) dans un communiqué publié peu après la clôture de Wall Street.

La plupart des emplois supprimés concernent des postes au sein d'EDS. Près de la moitié des emplois seront supprimés sur le sol américain.

HP a racheté récemment la firme EDS pour 13,9 milliards de dollars avec l'objectif de mieux rivaliser avec le géant IBM sur le juteux marché de la fourniture aux entreprises de services en matière d'infrastructures informatiques.

Avant l'acquisition, HP comptait 178.000 employés à travers le monde et EDS 142.000, soit un total de 320.000 salariés après fusion. HP attend de ces suppressions d'emplois, à terme, une économie de 1,8 milliard de dollars par an.

A la clôture de Wall Street, avant l'annonce du plan de restructuration, l'action HP était en recul de 3,5% à 45,33 dollars dans le sillage d'une séance fortement baissière (le Dow Jones en chute de 4,42%) marquée par la déconfiture de la banque Lehman Brothers. Lors des cotations d'après-clôture, l'action HP remontait de 18 cents à 45,51 dollars. AP

[Alter Egaux]

Les pompiers continuent d'arroser (le désert, disent certains) :

La Fed annonce une "grosse" opération de refinancement impromptue

Ben Bernanke le 16 juillet 2008 à Washington

La banque de réserve fédérale de New York, intermédiaire traditionnel entre la banque centrale américaine et les marchés, a annoncé mardi qu'elle allait procéder à une "grosse" opération de refinancement des banques, non prévue à l'origine dans son programme.

Les modalités de cette prise en pension d'effets commerciaux seront annnoncées "plus tard dans la journée", a précisé la Fed de New York sur son site internet.

Plusieurs banques centrales étrangères ont déjà procédé à des injections de liquidités dans le circuit bancaire pour calmer les inquiétudes nées du dépôt de bilan de Lehman Brothers, de la reprise à la hussarde de Merrill Lynch et les difficultés croissantes de l'assureur AIG.

La prise en pension de la Fed s'ajoute à celle normalement prévue ce mardi, d'une montant de 20 milliards de dollars sur 28 jours.

"Si nécessaire", la Fed de New York se dit prête à mettre en place des opérations de refinancement supplémentaire en cours de journée.

Par ailleurs, la Réserve fédérale américaine se réunit mardi pour décider du niveau de son principal taux d'intérêt, qu'elle devrait maintenir à 2,0%, même si les chances d'une baisse ont beaucoup gagné en crédibilité depuis la quasi-faillite de la banque d'affaires Lehman Brothers.

Le comité de politique monétaire (FOMC) de la Fed rendra sa décision publique vers 14H15 heure de Washington (18H15 GMT).

Avant le week-end et l'échec des négociations pour trouver un repreneur à Lehman, qui a déposé son bilan lundi, les analystes tablaient dans leur ensemble sur un statu quo. Une baisse n'était pas attendue avant le début 2009.

Mais l'annonce de l'effondrement de Lehman Brothers a changé la donne, et certains économistes estiment désormais que la Fed pourrait surprendre en baissant une nouvelle fois les taux comme elle l'a fait à sept reprises depuis l'été 2007 et le début de la crise financière.

Néanmoins, la réserve fédérale a déjà annoncé dimanche des mesures destinées à atténuer le choc de cette faillite en pourvoyant plus facilement les banques d'argent frais dont elles ont besoin, et a joint le geste à la parole lundi en allouant 70 milliards de dollars en deux opérations de refinancement distinctes.

Au vu des contrats à terme sur le taux de l'argent au jour le jour, les opérateurs de marché pariaient eux lundi soir à 68% sur une baisse du taux directeur de la Fed, actuellement à son plus bas niveau depuis 2004. La décision du comité pourrait être influencée par le niveau de l'indice des prix à la consommation pour août qui doit être publié à 12H30 GMT ainsi que par le comportement de Wall Street, qui a connu lundi sa plus forte baisse en point depuis les attentats du 11-Septembre.

Une inflation trop forte aiderait ceux qui, au sein du FOMC, jugent les taux déjà trop bas. Un nouveau recul marqué de la Bourse mardi ferait le jeu de ceux qui privilégient le soutien à l'économie.

Six jours après les attentats contre le World Trade Center, la Fed avait baissé ses taux de 0,5 point, mais à l'époque le taux directeur était à 3,0%. Aujourd'hui, la Fed, en abaissant ses taux, prendrait le risque de réduire sa marge de manoeuvre si la croissance de l'économie américaine venait encore à se détériorer.
http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=5873878

[Pura Vida]

Dire qu'on a des génies "surexpérimentés" pour nous emmener là!

http://tropicalbear.over-blog.com/

[Glycogène]

Un commentaire intéressant sur le blog de Paul Jorion :

Les Subprimes ont bon dos pour expliquer les raisons de l’effondrement de la spéculation qui a lieu depuis 25 ans.

Depuis 25 ans, les actionnaires ont voulu que leurs actions grimpent de 15% par an, et bien ils l’ont eu a peu de chose prés : 1500% d’augmentation pour le Dow et le S&P depuis 25 ans soit 12 % par an.

Le probléme, c’est que les entreprises américaines correctement gérées croissent de 5% par an (ce qui est déja beaucoup).

Il y a donc depuis 25 ans, 7% de croissance inexpliquée par l’investissement productif innovant.
Le capitalisme qui investi habituellement dans l’innovation n’est pas la cause de cette crise.

[GillesH38]

L'Irlande est le premier pays de la zone euro a etre officiellement en récession (2 trimestres consécutifs de baisse du PIB) (le Danemark avait été le premier pays de l'UE).

http://fr.biz.yahoo.com/25092008/5/l-ec ... ssion.html

L'Allemagne, l'Espagne et la Grande Bretagne pourraient suivre....mais la zone euro dans son ensemble pourrait avoir une tres legere croissance au 3e trimestre. Enfin, faut voir...

[pascal47]

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=44774

Alerte au tsunami social !
Ici ou là on entend parler de tsunami alors je vous propose à une petite analogie :

Printemps 2007 : le séisme soulève le fond de la mer, signes du cataclysme avec les premiers défauts.

Eté 2007 : l’onde de choc atteint la surface, les marchés voient l’émergence de la vague. Ils plongent.

Eté 2007- été 2008 : la vague court sur la mer, engloutit petites îles et coule les petits bateaux, Northern Rock, Bear Sterns…

Septembre 2008 : la vague atteint la côte, détruit les bars à cocktails et chaises de plage. Fannie Mae, Freddie Mac, Lehman, Merril Lynch, AIG trépassent.

Automne 2008 et plus : la vague entame son grand travail de nettoyage en profondeur. Combien de buildings réputés indestructibles, de « fleurons » de nos économies, de beaux jardins préservant la paix vont y passer ? Et les femmes, les hommes dans tout cela…


Il serait dommage de s’arrêter en si « bon » chemin alors je poursuis sur des suppositions peu optimistes.

Nous venons de voir le passé et futur désastre bancaire, il faudrait être aveugle pour croire qu’il va se limiter à la sphère financière.


Comme les vagues de baisses de l’analyse technique (Elliott), ces prévisions vont par trois.

La première nous est maintenant connue et nous sommes embarqués sur un frêle esquif terriblement ballotté. Et la vague vient juste de frapper la plage.


La seconde touchera l’économie et, si nous reprenons l’analogie du tsunami, la secousse initiale est déjà là avec ses premiers dégâts : l’immobilier et la construction, le secteur automobile, les compagnies aériennes (Alitalia, XL).


Quand nous serons bien engagés dans cette seconde phase d’implosion économique, qui suit l’implosion financière, aurons-nous une troisième implosion ?

Non, surprise ! Ce sera une explosion !


Les individus, salariés, petits entrepreneurs, chômeurs, retraités… qui devront subir un changement radical de leurs revenus et mode de vie ne vont pas aller cultiver leurs jardins ou champs comme dans les années 30. Ils sont dans leur très grande majorité citadins maintenant et ne peuvent plus vivre en autarcie.

Ils vont prendre leurs GPS, téléphones portables et autres Box dont ils ne pourront plus payer les abonnements pour aller les jeter par-dessus les barricades, à défaut des pavés que les rues des villes n’ont plus.

La troisième phase sera donc sociale et, pour me risquer une fois encore à un pronostic, je dirais que, si 2008 est l’année financière, 2009 sera économique et 2010 celle de l’explosion sociale.

Et là, ce sera réellement grave dans une société où déjà les principes démocratiques sont déjà mis à mal et où le désespoir de l’individu sans ressources se nourrira des plus mauvais instincts sociaux et politiques.


J’ai parlé avec ma grand-mère (94 ans et toute sa tête) et elle m’a dit : « j’ai l’impression de voir ce que j’ai déjà vécu dans ma jeunesse ».

Elle avait 22 ans en 1936.

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[franck1968]

J’ai parlé avec ma grand-mère (94 ans et toute sa tête) et elle m’a dit : « j’ai l’impression de voir ce que j’ai déjà vécu dans ma jeunesse ».

Elle avait 22 ans en 1936.

Période riche dans l'histoire qui a construit des personnes riches (pour celles qui ont de la mémoire et veulent transmettre).
Profite bien de ces moments précieux.

[FOWLER]

En Europe, où les signes de ralentissement prononcé de l'économie s'accumulent, le ministre allemand des Finances Peer Steinbrück a appelé jeudi à "re-civiliser" les marchés financiers, par une véritable régulation internationale.

Loin d'être optimiste sur l'évolution de la crise, il a lancé: "si d'aucuns prétendent voir de la lumière au bout du tunnel, ils devraient envisager la possibilité que cette lumière soit simplement celle des phares du train qui arrive en sens inverse".[/

sur boursorama actuellement....j'aime bien l'image.....

[Alturiak]

Un fan de Metallica ?

[FOWLER]

J'avais pas fais le joint, mais ça parait clair !

<== rage against the machine