
2011 le petit trait rouge...


Modérateurs : Rod, Modérateurs
http://www.boursorama.com/infos/actuali ... 63120daf1fLa livre de coton atteint un sommet historique :
La livre du coton a atteint un nouveau sommet historique vendredi à New York, à près de 2,13 dollars, alors que l'offre de fibre blanche était extrêmement réduite mais que la demande ne faiblissait pas.
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Le principal problème reste la Chine, dont les importations de coton augmentent fortement", ont souligné les analystes de Commerzbank, de 86% en 2010.
Le pays, premier producteur mondial de coton, est incapable de couvrir environ un tiers de sa demande par sa propre production, selon l'USDA, ont-ils précisé.
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http://www.univers-nature.com/inf/inf_a ... gi?id=4595Nouveau record pour les prix alimentaires en février
Univers Nature 04 Mars 2011
Selon le bulletin de mars 2011 de la FAO (1), les prix alimentaires mondiaux ont continué leur progression pour le huitième mois consécutif. L’ensemble des produits alimentaires, excepté le sucre, a connu une nouvelle hausse. L'indice FAO des prix (2) a atteint 236 points en février 2011, soit une hausse de 2,2 % par rapport à janvier.
L'indice des prix des céréales (blé, le riz, le maïs…) a augmenté de 3,7 % en février. Celui des produits laitiers a progressé de 4 % et celui de la viande de 2 %. En un an, les prix à l'exportation des principales céréales ont augmenté d'environ 70 %.
La FAO n’est guère optimiste pour l’évolution des prochains mois, notamment en raison de l’augmentation des prix du pétrole. Lors de la publication du bulletin, David Hallam, Directeur de la Division du commerce et des marchés à la FAO, a déclaré : « Des hausses inattendues des cours du pétrole pourraient exacerber davantage la situation déjà précaire des marchés alimentaires ». L’énergie et particulièrement le pétrole sont très présents dans l’ensemble du secteur alimentaire ; dans la production au travers des engrais et pesticides de synthèse, dans l’utilisation des machines agricoles et dans le transport.
Un autre facteur d’inquiétude est la demande croissante qui fait face à un déclin de la production céréalière mondiale en 2010. La FAO s’attend : « à une chute brutale des stocks céréaliers mondiaux du fait de la diminution des quantités de blé et de céréales secondaires ».
Enfin, la FAO pointe, une fois de plus, l’utilisation accrue du maïs pour la production d'éthanol aux Etats-Unis.
Curieusement la FAO ne fait pas mention de la spéculation financière actuelle sur les matières premières. Spéculation qui atteint à nouveau des niveaux records sur les places financières de la planète.
Michel Sage
1- FAO : Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture.
2- L’Indice des prix alimentaires de la FAO est constitué d'un panier de denrées alimentaires de base, il avait une valeur moyenne de 100 entre 2002 et 2004.
Je ne crois pas à une grosse concurence. Pas plus que le Canderel et l' Aspartam qui n' ont pas coulé les betteraviers.kercoz a écrit :Il faudrait infirmer ou confirmer , mais Non§anto a fait autoriser la stévia dont elle controle une part de la production pour couler le bettereraviers .
extrait de cet interessant document sur la Stevia : http://www.vulgarisation.net/bul174.htm....
Economie et Marché de la stévia
Il existe peu de données sur le coût de production de la stévia. Mais les données existantes montrent que le coût de production est très élevée en première année de culture en raison du coût de production des plantules en pépinière (jusqu’à 60 % du coût total). En culture pérenne, le coût de production est réduit et le bénéfice net se trouve amélioré, notamment en deuxième et troisième années de production. Les coûts d’extraction et de raffinement des extraits de la stévia ne sont pas disponibles. Au Maroc, les essais sont en cours pour évaluer le coût de production de la stévia. Selon les résultats préliminaires, on peut estimer le coût de production à 81.385 Dh/ha en première année dont 34 % sont dû au coût d’installation de l’infrastructure nécessaire à la production des plants en pépinière et 31 % destinés à l’installation du système d’irrigation goutte à goutte. En deuxième et troisième années de production, le coût devient seulement 27.060 Dh/ha. La rentabilité de la stévia serait donc faible en première année et très élevée en années suivantes (2ème et 3ème années).
Les prix des extraits de la stévia sont très variables selon les pays en fonction de la nature et de la qualité des produits. Le prix des feuilles sèches varie de 1,6 $US/kg à 2,85 $US/kg et celui des stéviosides varie, en fonction du type d’emballage, de 145 $US/kg pour les paquets en vrac jusqu’à 615 $US/kg pour les petits paquets de 15-60 mg. Sur la base du pouvoir sucrant, les prix de la stévia sont souvent supérieurs de 25 % à ceux du sucre et sont presque similaires à ceux des édulcorants synthétiques.
Le marché mondial de la stévia est dominé par le Japon qui commercialise à lui seul 40 % des édulcorants issus de la stévia. Mais les décisions récentes de son approbation aux USA et en Australie augmenteraient davantage sa demande, notamment par les grandes compagnies internationales. Le marché de la stévia est également très croissant en Inde et en Chine avec l’augmentation du nombre de diabétiques et de personnes obèses suite à une sur-consommation en sucre de canne.
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http://www.leblogfinance.com/2011/12/le ... gueur.htmlLe cours du sucre reprend un peu de vigueur
Si durant les semaines passées, le cours du sucre avait été nettement impacté par les prévisions d'une offre pléthorique des principaux pays producteurs, les prix ont quelque repris du poil de la bête ces derniers jours.
Raison d'un tel phénomène : le devenir des récoltes au Brésil.
Si Inde, Thaïlande, Union européenne et Russie pourraient bien accroître l'offre de manière très conséquente dans les mois qui viennent, la récolte de canne à sucre brésilienne pourrait être davantage destinée à la fabrication d'éthanol qu'à celle de sucre si l'on en croit les analystes.
Un contexte de nature à booster les cours, alors que le Brésil est le premier producteur mondial de canne à sucre.
A noter également que la torpeur économique mondiale est loin de favoriser la hausse des prix.
Au final, vendredi, en début de matinée, sur le Liffe de Londres, la tonne de sucre blanc pour livraison en mars valait 610,20 dollars contre 600,50 dollars vendredi dernier.
Je vois pas comment on peut faire de la confiture sans sucre, en régulant la pression osmotique il empêche le développement des bactéries (le sel aussi, en fait.) Tu fais juste une sorte de compote stérilisée.kercoz a écrit :perso , j'ai des problèmes avec le sucre , et on fait tout a la stévia (confiote , gateaux etc ...) . A partit du moment ou il n' y a pas de recherche calorique , le sucre calorique est plus négatif qu' utile.
Non ! , je mets de l' agar agar ...qui gélifie ce qui empeche l'air de pénétrer .Silenius a écrit :Je vois pas comment on peut faire de la confiture sans sucre, en régulant la pression osmotique il empêche le développement des bactéries (le sel aussi, en fait.) Tu fais juste une sorte de compote stérilisée.kercoz a écrit :perso , j'ai des problèmes avec le sucre , et on fait tout a la stévia (confiote , gateaux etc ...) . A partit du moment ou il n' y a pas de recherche calorique , le sucre calorique est plus négatif qu' utile.