[Céréales] Production, stocks et prix des céréales
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Blé : les 7 plaies d'Australie
http://www.boursorama.com/conseils/deta ... ws=4785178
Telles les calamités s'abattant les unes après les autres sur l'Egypte de Pharaon, les catastrophes climatiques s'acharnent impitoyablement depuis 2 ans sur la malheureuse Australie, par ailleurs véritable Terre promise des matières premières...Rappelons en effet que le pays avait été marqué l'année dernière par une grave sécheresse, qui s'était traduite par une très mauvaise récolte de blé : celle-ci avait été inférieure à 10 millions de tonnes contre 25 millions en 2005...
Cette année, les choses semblaient mieux parties puisque l'on prévoyait une récolte de 22,5 millions de tonnes il y a de cela à peine 4 mois. Mais c'était compter sans la cruauté de Cérès : en effet, il n'a quasiment pas plu dans les régions céréalières australiennes depuis le mois de septembre... Concrètement, il s'agit d'ores et déjà de la plus grande sécheresse qu'ait connue le pays depuis près de 100 ans ! Du véritable pain bénit pour les grands prêtres et autres prophètes d'Apocalypse du réchauffement climatique !
Quoi qu'il en soit, les prévisions de récoltes ne cessent d'être revues en baisse : de 15,5 millions de tonnes en septembre on est désormais passé à 12 millions... Par delà les répercussions dramatiques sur les cours mondiaux du blé depuis quelques semaines, nombre d'agriculteurs australiens se retrouvent aujourd'hui dans une situation infernale, pris en tenaille entre l'effondrement de leurs revenus et l'envolée concomitante du coût de l'alimentation du bétail. Qui plus est, beaucoup d'entre eux, ayant vendu à terme une récolte qu'ils sont aujourd'hui incapables de livrer en totalité, se voient désormais contraints de racheter leurs couvertures, au plus haut historique...
Pour échapper à la ruine, l'endettement est le plus souvent la seule solution mais elle est d'autant plus pénible que les taux d'intérêt australiens sont aujourd'hui au plus haut depuis 11 ans tant il est vrai que, dans ce jardin d'Eden des commodities, l'on a au moins compris une chose : la prochaine plaie qui va s'abattre, peut-être la plus terrible d'entre toutes, c'est l'inflation...
http://www.boursorama.com/conseils/deta ... ws=4785178
Telles les calamités s'abattant les unes après les autres sur l'Egypte de Pharaon, les catastrophes climatiques s'acharnent impitoyablement depuis 2 ans sur la malheureuse Australie, par ailleurs véritable Terre promise des matières premières...Rappelons en effet que le pays avait été marqué l'année dernière par une grave sécheresse, qui s'était traduite par une très mauvaise récolte de blé : celle-ci avait été inférieure à 10 millions de tonnes contre 25 millions en 2005...
Cette année, les choses semblaient mieux parties puisque l'on prévoyait une récolte de 22,5 millions de tonnes il y a de cela à peine 4 mois. Mais c'était compter sans la cruauté de Cérès : en effet, il n'a quasiment pas plu dans les régions céréalières australiennes depuis le mois de septembre... Concrètement, il s'agit d'ores et déjà de la plus grande sécheresse qu'ait connue le pays depuis près de 100 ans ! Du véritable pain bénit pour les grands prêtres et autres prophètes d'Apocalypse du réchauffement climatique !
Quoi qu'il en soit, les prévisions de récoltes ne cessent d'être revues en baisse : de 15,5 millions de tonnes en septembre on est désormais passé à 12 millions... Par delà les répercussions dramatiques sur les cours mondiaux du blé depuis quelques semaines, nombre d'agriculteurs australiens se retrouvent aujourd'hui dans une situation infernale, pris en tenaille entre l'effondrement de leurs revenus et l'envolée concomitante du coût de l'alimentation du bétail. Qui plus est, beaucoup d'entre eux, ayant vendu à terme une récolte qu'ils sont aujourd'hui incapables de livrer en totalité, se voient désormais contraints de racheter leurs couvertures, au plus haut historique...
Pour échapper à la ruine, l'endettement est le plus souvent la seule solution mais elle est d'autant plus pénible que les taux d'intérêt australiens sont aujourd'hui au plus haut depuis 11 ans tant il est vrai que, dans ce jardin d'Eden des commodities, l'on a au moins compris une chose : la prochaine plaie qui va s'abattre, peut-être la plus terrible d'entre toutes, c'est l'inflation...
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Spaghettis et macaronis plus rares et chers avec la flambée des prix du blé
Pour les amateurs de spaghettis la note s'alourdit: depuis quelques semaines les fabricants répercutent dans leurs prix l'envolée des cours du blé dur, un phénomène lié aux mauvaises récoltes céréalières mondiales et à la fonte des stocks de ce type de blé.
"Jamais nous n'avons été confrontés à pareille situation. Le prix de la tonne de blé dur, matière première pour confectionner des pâtes sèches, a triplé en un an, passant de 180 euros la tonne en janvier dernier à plus de 470 euros en octobre", explique Christiane Petit, secrétaire générale du syndicat des industriels fabricants de pâtes alimentaires de France (SIFPAF)
"L'impact de cette envolée des prix est toutefois à relativiser pour le consommateur. Il sera de l'ordre de 25 centimes par mois (hausse de 15% du prix du vente d'un paquet de 500 grammes) pour un foyer français qui avale chaque année 11 kilos de pâtes", tempère Mme Petit.
Pour l'instant les groupes de distribution tentent de limiter pour les consommateurs la hausse des prix réclamée par les fabricants de pâtes.
Selon le porte-parole de Système U (hyper U et magasin U) les fabricants ont augmenté leurs prix de 20% en juillet, de 15% en septembre, de 5% en octobre et de 13% en novembre, soit 50% environ en 5 mois.
D'après l'Insee, le prix d'un paquet de spaghettis est resté stable au cours des dix dernières années, valant en 1997 4,95 francs et en septembre 2007 0,72 euros, soit 4,75 francs.
Il faut dire que le marché européen des pâtes était plutôt coutumier de baisses ces dernières années en raison d'une surproduction de cet aliment apprécié particulièrement aux Etats-Unis et en Europe, mais aussi depuis quelques années par les consommateurs de pays émergents.
L'Italie, premier producteur mondial de pâtes avec 3,22 millions de tonnes fournit à la France plus de 50% des pâtes qu'elle consomme et elle produit la quasi totalité des pâtes commercialisées sous la marque des grands distributeurs.
Compte-tenu des mauvaises récoltes céréalières ces deux dernières années et de l'effondrement des stocks de céréales, la crise risque de perdurer chez les "pastiers" au cours des prochains mois, estiment les professionnels.
La production mondiale de blé dur ne cesse de diminuer, étant passée de 40 millions de tonnes en 2004 à 34 millions l'an dernier en raison notamment de mauvaises conditions climatiques.
Depuis deux ans les stocks de report ont également dégringolé en particulier chez les trois principaux exportateurs mondiaux: Canada, Etats-Unis et Union européenne.
"Le risque de pénurie de pâtes dans les six mois à venir n'est donc pas à exclure", avance Mme Petit.
Déjà certains rayons de grandes surfaces ne sont plus en mesure d'offrir à l'amateur de coquillettes son produit préféré, le magasin étant en rupture de stocks.
Des fabricants italiens de pâtes auraient récemment rompu des contrats avec de grandes enseignes (Casino ou Leclerc) qui ont refusé de réviser leurs tarifs, confient des professionnels du secteur.
Chez Auchan on indique ne pas connaître des difficultés particulières d'approvisionnement même si on admet que les négociations avec les fabricants ne sont pas faciles actuellement.
La France produit 240.000 tonnes de pâtes par an, tandis que sa consommation s'élève à 464.000 tonnes (55% importés).
En Europe l'Italien est le premier amateur de pâtes avec 28 kilos consommés par chaque habitant en un an. Viennent ensuite le Grec (10 kilos), le Suisse 59,4 kg), le Suédois (9 kg) et le Français (7,5 kilos).
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sourceLe JDD a écrit :Alimentation: Vers une pénurie mondiale ?
Un rapport alarmant fait état, mardi, d'une baisse considérable des stocks alimentaires, notamment de céréales, du fait que le monde mange plus qu'il ne produit. Selon cette étude de l'institut de recherche international sur la politique alimentaire, les prix vont s'envoler, notamment en raison de la production de biocarburants: le maïs pourrait augmenter de plus de 60% et le colza de 50% d'ici 2020. Le changement climatique est aussi en cause. Le rapport estime que les stocks céréaliers sont à leur plus bas niveau depuis les années 1980, et que des conflits sociaux et politiques risquent de découler de situation de famine.
Quelqu'un sait-il ou trouver le dit rapport de l'institut de recherche alimentaire?
La différence entre l’amour et l’argent, c’est que si on partage son argent, il diminue, tandis que si on partage son amour, il augmente. L’idéal étant d’arriver à partager son amour avec quelqu’un qui a du pognon.
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Il suffit d'aller sur leur site de l'Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI)mrlargo a écrit :sourceLe JDD a écrit :Alimentation: Vers une pénurie mondiale ?
Un rapport alarmant fait état, mardi, d'une baisse considérable des stocks alimentaires, notamment de céréales, du fait que le monde mange plus qu'il ne produit. Selon cette étude de l'institut de recherche international sur la politique alimentaire, les prix vont s'envoler, notamment en raison de la production de biocarburants: le maïs pourrait augmenter de plus de 60% et le colza de 50% d'ici 2020. Le changement climatique est aussi en cause. Le rapport estime que les stocks céréaliers sont à leur plus bas niveau depuis les années 1980, et que des conflits sociaux et politiques risquent de découler de situation de famine.
Quelqu'un sait-il ou trouver le dit rapport de l'institut de recherche alimentaire?
http://www.ifpri.org/
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Le monde mange plus qu’il ne récolte, les pénuries menacent http://www.lefigaro.fr/matieres-premier ... acent-.php
Les stocks mondiaux de céréales sont tombés à leur plus bas niveau depuis les années 1980.
C’est du rarement vu de mémoire de paysan : l’Europe, un des greniers à grains du monde, est devenue importatrice nette de céréales. Au point que Bruxelles envisage de suspendre les droits de douanes sur leurs importations ! Cette baisse de récolte combinée à celle de l’Australie, dévastée par la sécheresse, prive le marché mondial d’une partie de sa ration de blé et de riz. L’Inde vient ainsi de suspendre ses exportations de riz non basmati. Ce qui oblige les pays consommateurs à puiser dans leurs stocks.
«Le monde mange actuellement plus qu’il ne produit, ce qui se reflète dans la baisse des réserves depuis cinq ou six ans. Cela ne peut pas continuer, car on arrivera bientôt à l’épuisement des stocks», a averti hier Joachim von Braun, directeur de l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (Ifpri), lors d’une conférence de presse à Pékin. «En 2006, les stocks mondiaux de céréales, en particulier ceux de blé, étaient à leur plus bas niveau depuis le début des années 1980. Ceux de la Chine, qui constituent environ 40 % du stock mondial, ont chuté significativement entre 2000 et 2004 et ne se sont pas reconstitués depuis», indique le rapport qu’il a rendu public hier.
Le symptôme d’un début de pénurie mondiale commence à provoquer des troubles sociaux dans les pays les plus pauvres. Le Mexique a ainsi connu des émeutes de la faim consécutives à une envolée des prix du maïs, produit de base de l’alimentation dans ce pays. L’Afrique connaît également des tensions, notamment au Maroc, en Mauritanie et désormais au Sénégal. Même en Côte d’Ivoire de nombreux habitants se contentent aujourd’hui d’un seul repas par jour. En moyenne, les populations pauvres ont encaissé depuis 2000 un triplement du prix du blé et un quasi-doublement du prix du riz, estime le rapport.
Cette inflation a gagné la Chine d’une manière dramatique. Il y a une dizaine de jours, trois personnes sont mortes piétinées lors d’une bousculade dans un supermarché Carrefour qui faisait une opération promotionnelle sur l’huile de friture ! Et les prévisions de l’institut ne sont guère optimistes. Avec la flambée du prix du pétrole, les agriculteurs auront davantage intérêt à vendre leurs récoltes aux fabricants d’éthanol. À partir de deux hypothèses (basse et haute) de l’utilisation énergétique des denrées alimentaires, le rapport teste deux scénarios de prix à l’horizon 2020.
Les stocks mondiaux de céréales sont tombés à leur plus bas niveau depuis les années 1980.
C’est du rarement vu de mémoire de paysan : l’Europe, un des greniers à grains du monde, est devenue importatrice nette de céréales. Au point que Bruxelles envisage de suspendre les droits de douanes sur leurs importations ! Cette baisse de récolte combinée à celle de l’Australie, dévastée par la sécheresse, prive le marché mondial d’une partie de sa ration de blé et de riz. L’Inde vient ainsi de suspendre ses exportations de riz non basmati. Ce qui oblige les pays consommateurs à puiser dans leurs stocks.
«Le monde mange actuellement plus qu’il ne produit, ce qui se reflète dans la baisse des réserves depuis cinq ou six ans. Cela ne peut pas continuer, car on arrivera bientôt à l’épuisement des stocks», a averti hier Joachim von Braun, directeur de l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (Ifpri), lors d’une conférence de presse à Pékin. «En 2006, les stocks mondiaux de céréales, en particulier ceux de blé, étaient à leur plus bas niveau depuis le début des années 1980. Ceux de la Chine, qui constituent environ 40 % du stock mondial, ont chuté significativement entre 2000 et 2004 et ne se sont pas reconstitués depuis», indique le rapport qu’il a rendu public hier.
Le symptôme d’un début de pénurie mondiale commence à provoquer des troubles sociaux dans les pays les plus pauvres. Le Mexique a ainsi connu des émeutes de la faim consécutives à une envolée des prix du maïs, produit de base de l’alimentation dans ce pays. L’Afrique connaît également des tensions, notamment au Maroc, en Mauritanie et désormais au Sénégal. Même en Côte d’Ivoire de nombreux habitants se contentent aujourd’hui d’un seul repas par jour. En moyenne, les populations pauvres ont encaissé depuis 2000 un triplement du prix du blé et un quasi-doublement du prix du riz, estime le rapport.
Cette inflation a gagné la Chine d’une manière dramatique. Il y a une dizaine de jours, trois personnes sont mortes piétinées lors d’une bousculade dans un supermarché Carrefour qui faisait une opération promotionnelle sur l’huile de friture ! Et les prévisions de l’institut ne sont guère optimistes. Avec la flambée du prix du pétrole, les agriculteurs auront davantage intérêt à vendre leurs récoltes aux fabricants d’éthanol. À partir de deux hypothèses (basse et haute) de l’utilisation énergétique des denrées alimentaires, le rapport teste deux scénarios de prix à l’horizon 2020.
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- Localisation : Je suis la où mon nom l'indique
L’International Food Policy Research Institute publie un rapport sur la situation de l’alimentation mondiale, marquée par une insuffisance des ressources disponibles face à une consommation croissante. Depuis plusieurs années le monde consomme plus de céréales qu’il n’en produit. C’est une bonne nouvelle, car elle indique une régression de la sous-alimentation. Mais c’est aussi une menace pour le futur, car ces tensions se traduisent par une augmentation sans précédent des cours, et une difficulté plus grande pour les plus pauvres à s’alimenter correctement. A cette situation de pénurie vont s’ajouter les pertes de production dues aux biocarburants et au réchauffement climatique. L’ère de la nourriture relativement bon marché a-t-elle pris fin ?
http://contreinfo.info/
Il serait sans doute bon d'apprendre aux jeunes (et moins jeunes) à s'alimenter sainement et sans excès.. Je suis persuadé que cela serait de nature à diminuer la tension sur les ressources
http://contreinfo.info/
Il serait sans doute bon d'apprendre aux jeunes (et moins jeunes) à s'alimenter sainement et sans excès.. Je suis persuadé que cela serait de nature à diminuer la tension sur les ressources
Un changement radical de nos modes de vie et un renoncement au « progrès » est le prix à payer pour éviter le désastre. Comme cela paraît irréalisable, l’occultation du mal s’ensuit inévitablement (jean-Pierre Dupuy).
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çà peut poser problème de réduire sa consommation de céréales dans la mesure où nous sommes devenus accros... comme au sucre... d'ailleurs c'est du sucre... : plus on en mange plus çà donne faim et plus on a envie d'en manger...
Il faudrait d'ailleurs faire la distinction entre le blé tendre (notre farine et notre pain) et qui pousse bien chez nous, et le blé dur (nos semoules y compris couscous et nos pâtes alimentaires) mais qui ne pousse correctement que dans les pays de climat méditerranéen...
Il faudrait d'ailleurs faire la distinction entre le blé tendre (notre farine et notre pain) et qui pousse bien chez nous, et le blé dur (nos semoules y compris couscous et nos pâtes alimentaires) mais qui ne pousse correctement que dans les pays de climat méditerranéen...
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- Kérogène
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Faux et archi faux le blé dur est cultivé dans tout l'ouest de la France jusqu'à la Loire sans aucun problème.Geispe a écrit : Il faudrait d'ailleurs faire la distinction entre le blé tendre (notre farine et notre pain) et qui pousse bien chez nous, et le blé dur (nos semoules y compris couscous et nos pâtes alimentaires) mais qui ne pousse correctement que dans les pays de climat méditerranéen...
Moi même je cultive du blé dur depuis quelques années et je suis en charente maritime, département au climat méditeranéen comme chacun sait

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- Hydrogène
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j'avais dit :
" mais qui ne pousse correctement que dans les pays de climat méditerranéen..."
alors pour l'archi faux voici wikipédia :
Le blé dur est une variété de blé (genre Triticum), donc céréale, cultivée pour la production de semoule et la fabrication de pâtes alimentaires. Il se différencie du blé tendre par son grain à albumen vitreux et sa plus haute teneur en protéines. Plus sensible au froid que le blé tendre, sa culture est plus développée autour du bassin méditerranéen et dans les pays de climat tempéré chaud, comme l'Australie et l'Argentine notamment.
d'ailleurs j'ai aussi essayé d'en cultiver chez moi alors que je suis dans le Nord Est... donc çà peut se cultiver partout
" mais qui ne pousse correctement que dans les pays de climat méditerranéen..."
alors pour l'archi faux voici wikipédia :
Le blé dur est une variété de blé (genre Triticum), donc céréale, cultivée pour la production de semoule et la fabrication de pâtes alimentaires. Il se différencie du blé tendre par son grain à albumen vitreux et sa plus haute teneur en protéines. Plus sensible au froid que le blé tendre, sa culture est plus développée autour du bassin méditerranéen et dans les pays de climat tempéré chaud, comme l'Australie et l'Argentine notamment.
d'ailleurs j'ai aussi essayé d'en cultiver chez moi alors que je suis dans le Nord Est... donc çà peut se cultiver partout

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Geispe a écrit :j'avais dit :
" mais qui ne pousse correctement que dans les pays de climat méditerranéen..."
alors pour l'archi faux voici wikipédia :
Le blé dur est une variété de blé (genre Triticum), donc céréale, cultivée pour la production de semoule et la fabrication de pâtes alimentaires. Il se différencie du blé tendre par son grain à albumen vitreux et sa plus haute teneur en protéines. Plus sensible au froid que le blé tendre, sa culture est plus développée autour du bassin méditerranéen et dans les pays de climat tempéré chaud, comme l'Australie et l'Argentine notamment.
d'ailleurs j'ai aussi essayé d'en cultiver chez moi alors que je suis dans le Nord Est... donc çà peut se cultiver partout
Tu es agriculteur ?
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