[Céréales] Production, stocks et prix des céréales

Discussions traitant de l'impact du pic pétrolier sur l'économie.

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switch
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Message par switch » 11 déc. 2007, 21:59

Geispe a écrit :
non, non mais j'essaie tout ce qui peut se cultiver... pour essayer et voir ce qui fonctionne le mieux... rapport qualité/rendement/surface/travail manuel...
blé dur marche pas chez moi... :-)
Ah, ok , si je peux te donner un conseil , regarde autour de toi ce que font les vrais agriculteurs ( sans ironie ) , tu veras qu'ils ont déjà reflechi aux problèmes que tu te pose aujourd'hui. ;)

PS : Si tu tiens absolument à recolter du blé dur dans les vosges , c'est possible , à condition de choisir des variétés bien spécifiques et de retarder les dates de semis au printemps .


Si tu veux plus de renseignements : PV

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Message par Geispe » 12 déc. 2007, 09:03

switch a écrit :
Geispe a écrit :
non, non mais j'essaie tout ce qui peut se cultiver... pour essayer et voir ce qui fonctionne le mieux... rapport qualité/rendement/surface/travail manuel...
blé dur marche pas chez moi... :-)
Ah, ok , si je peux te donner un conseil , regarde autour de toi ce que font les vrais agriculteurs ( sans ironie ) , tu veras qu'ils ont déjà reflechi aux problèmes que tu te pose aujourd'hui. ;)

PS : Si tu tiens absolument à recolter du blé dur dans les vosges , c'est possible , à condition de choisir des variétés bien spécifiques et de retarder les dates de semis au printemps .
il n'y a plus ou pas de vrais agriculteurs dans les Vosges : ils font essentiellement de l'élevage bovin et sont donc aussi dépendants du pétrole pour leur fonctionnement de A à Z et du système moderne pour les débouchés. Ceux qui ne font pas de bovins font du maïs industriel...

pour ce qui est du blé je suis en voie de remettre en cause les céréales et leur culture... du moins prédominante...
d'ailleurs je ne m'intéresse pas aux agriculteurs car dans mon scénario il n'y en a plus : il ne reste que des individus qui savent cultiver et trouver leur subsistance... :-)

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Message par Saratoga Elensar » 12 déc. 2007, 10:16

Il faut cultiver notre jardin. Voltaire était un visionnaire, il avait déjà en tete le PO...il fallait prendre sa phrase au premier degré finalement... :-P
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Message par energy_isere » 16 déc. 2007, 10:15

L'agriculture est-allemande prospère et inverse les rôles

L'héritage de l'ex-RDA a parfois du bon. De son passé communiste, l'est de l'Allemagne a hérité de vastes exploitations céréalières, et en cette année de hausse vertigineuse des prix du blé, c'est tout bénéfice pour cette région par ailleurs plutôt mal lotie.

"C'est vrai, ça va très bien pour nous", commente, satisfait, Martin Umhau, qui produit du blé, du colza, de la betterave à sucre et des pommes de terre dans son exploitation d'Oschatz, entre Dresde et Leipzig. "La récolte a été très moyenne, mais les hausses des prix des céréales et du colza ont plus que compensé", explique-t-il. Pas étonnant quand, tiré par une demande mondiale en forte hausse, le prix du blé a été multiplié par deux sur le marché mondial en un an.

Dans ce que les Allemands appellent toujours, 17 ans après la Réunification, les "nouveaux Länder", le revenu moyen des agriculteurs a fait un bond de 27% entre 2006 et 2007, selon les chiffres publiés la semaine dernière par la fédération agricole allemande.

Par comparaison, à l'ouest, la hausse n'était que de 9% en moyenne, avec de grosses disparités régionales. "La lanterne rouge est le Bade-Wurtemberg, juste derrière la Bavière", a commenté Gerd Sonnleitner, président de la fédération.

Une phrase à la tonalité inhabituelle. Dans tous les autres domaines de l'économie ces deux régions du sud, prospères, au chômage faible, marquent des points. Et l'est, qui se débat toujours avec les conséquences de l'effondrement de son industrie dans les années 90 et un chômage massif, est à la traîne.

"Eh oui, c'est exactement l'inverse de ce qui se passe d'habitude", s'amuse M. Umhau.

Preuve que l'agriculture a le vent en poupe en ex-RDA, la Bourse de Francfort vient d'accueillir son premier fermier, la société KTG Agrar qui exploite plusieurs milliers d'hectares dans les nouveaux Länder.

A l'est, les exploitations agricoles portent toujours la marque du socialisme. Ce sont les héritières des LPG (Landwirtschaftliche Produktionsgenossenschaft), gigantesques coopératives agricoles dont la surface moyenne tournait autour de 4.000 hectares, soit 80 fois plus que la taille moyenne d'une exploitation en Europe de l'ouest.

Certes, les LPG ont été démantelés, mais les exploitations à l'est sont toujours les plus grosses d'Europe, et se prêtent plus à la culture céréalière que les petites fermes de l'ouest. M. Umhau d'Oschatz exploite par exemple 500 hectares, les exploitations de plus de 1.000 voire 2.000 hectares ne sont pas rares.

L'élevage est en outre peu représenté dans cette partie du pays parce que, explique Jörg Hilger, président de la fédération agricole de Saxe, quand les coopératives d'Etat ont été démantelées, "c'était plus facile de se mettre à son compte dans la culture (que dans l'élevage), cela nécessitait moins d'investissements". Or, avec des prix du bétail en forte baisse, les éleveurs ont souffert ces derniers mois.

Pour autant, tout n'est pas rose dans le secteur primaire en ex-RDA. Les prix de l'énergie et des engrais, qui ont déjà fortement grimpé, continuent à monter. Après trois mauvaises années marqués par la retenue, les professionnels ont également d'importants investissements à financer. Et enfin, beaucoup d'exploitants se sont fortement endettés pour se moderniser dans les années 90, et paient encore les traites de ces crédits.

Au final, explique M. Umhau, "du gros gâteau que reçoivent les agriculteurs, beaucoup est déjà parti".

Pour M. Hilger de la fédération saxonne, avec des salaires horaires dans le secteur de 6 à 6,50 euros, "dire que ça va mieux est un peu audacieux". Pour lui, les agriculteurs de l'ouest sont tout simplement jaloux: "ils ne comprennent pas la manière dont on pratique l'agriculture ici, ces grandes exploitations, cela leur paraît suspect". Encore un domaine où les différences entre est et ouest ont la vie dure.

Boursorama^

supertomate

Message par supertomate » 16 déc. 2007, 16:05

Dans ce que les Allemands appellent toujours, 17 ans après la Réunification, les "nouveaux Länder", le revenu moyen des agriculteurs a fait un bond de 27% entre 2006 et 2007, selon les chiffres publiés la semaine dernière par la fédération agricole allemande.

Par comparaison, à l'ouest, la hausse n'était que de 9% en moyenne
Et 9% des revenus de l'ouest dont ils parlent, ça ne ferait pas plus que les 27% de l'est? Des fois que, lors de cette "inversion des rôles", la différence entre le plus riche et l'autre est augmentée.

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Message par lionstone » 17 déc. 2007, 16:17

Les prix du blé et du soja ont atteint de nouveaux records. Alan Greenspan indique que l’époque d’une faible inflation est désormais révolue. http://www.lefigaro.fr/marches/2007/12/ ... ourses.php

10.09 dollars le boisseau. Le prix affiché par le blé sur le marché à terme de Chicago a de quoi laisser songeur plus d’un trader. En avril dernier, le prix du même boisseau était de 4.25$. Soit des prix plus que doublés en huit mois. Comme de nombreuses matières premières, le blé n’a cure de la crise du subprime et de ses éventuelles conséquences sur l’économie mondiale. Les graines de soja ont elles aussi atteint des plus hauts depuis 34 ans, à 11.57 dollars.

Le rapport du Département américain à l’Agriculture publié mardi dernier a sans conteste été au centre de ce mouvement haussier sur les céréales. Celui-ci a fait état de faibles stocks de soja et de blé, et d’une baisse de ceux de maïs. Egalement au banc des accusés dans cette hausse, le développement des biocarburants, avec un objectif fixé par le législateur américain de neuf milliards de gallons de biocarburants en 2008. Par ailleurs, la forte demande des pays émergeants, qui se traduit par un niveau d’exportation surpassant celui de la récolte 1979/80, a fait fondre le stock de blé à 7,62 millions de tonnes (Mt). Du jamais vu depuis 60 ans!

Cette hausse des cours ne vient que renforcer la nervosité des marchés financiers, à l’heure où l’attention des opérateurs est plus que jamais portée sur le niveau de l’inflation, qui empêche toute poursuite du processus de baisse des taux engagé par la Fed depuis septembre. La hausse d’un indice des prix à la production en rythme annuel inédite depuis 1973 avait déjà inquiété les marchés jeudi. La publication vendredi d’un indice des prix à la consommation en hausse de 4.3% en rythme annuel pour novembre a, elle, fait reculer Wall Street en clôture de 1.32% vendredi. Les places boursières asiatiques et européennes ont suivi ce matin, avec notamment une baisse de 1.57% du CAC 40 à 13h15 à Paris.
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Re: Production céréalière mondiale

Message par MadMax » 04 janv. 2008, 00:38

La fièvre des prix n'épargne pas les matières premières agricoles
La fièvre qui pousse les matières premières à la hausse ne devrait pas épargner les valeurs agricoles, dopées par la hausse des taxes à l'exportation sur les céréales en Chine et en Russie, une très forte demande mondiale, la mauvaise récolte en Australie et une intense spéculation.

La Chine a annoncé en fin de semaine dernière la mise en place effective dès le 1er janvier de taxes à l'exportation pour les céréales, le riz et le soja allant de 5% à 25%.

La Russie a annoncé au même moment le quasi-quintuplement de 22 à 105 euros la tonne des taxes à l'exportation de céréales pendant trois mois, ce qui devrait de facto la faire sortir du marché international.

Des annonces qui interviennent alors que l'Argentine vient de suspendre ses exportations de blé jusqu'à nouvel ordre, et alors que la mauvaise récolte 2007 de l'Australie pour cause de sécheresse avait déjà largement réduit l'offre.

Ne restent donc comme grands exportateurs que les Etats-Unis, le Canada ou le Kazakhstan. Dans l'Union européenne, la récolte de la France, premier producteur céréalier de l'UE, a elle aussi été mauvaise, notent les analystes.

En outre, le baril de pétrole a atteint mercredi pour la première fois 100 dollars, un niveau qui encourage le transfert vers les énergies alternatives et accroît la demande de blé et de maïs, avec lesquels sont produits le bioéthanol, ou celle de soja (biodiesel).

La répercussion de ces nouvelles sur le marché de Chicago a été immédiate: le contrat à terme sur le soja a fini mercredi à 12,3250 dollars, à moins de 60 cents de son pic historique (12,90 dollars), atteint en 1973.

Le contrat de blé pour livraison en mars a gagné 30 cents, la progression quotidienne maximum autorisée sur le Chicago Board of Trade (CBOT). Le contrat de maïs pour échéance en mars a lui aussi clôturé en forte hausse (+7,50 cents).

"La situation sur le marché est vraiment très tendue", constate Joe Victor, analyste d'Allendale.

"Les stocks sont à des planchers historiques, et toute restriction supplémentaire sur les exportations ne peut que conduire à des niveaux de prix plus élevés", remarque Abdolreza Abbassian, analyste du marché céréalier à l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et de l'agriculture (FAO).

Selon lui, l'impact sur le marché est avant tout psychologique car "la majeure partie des céréales russes qui auraient pu être exportées l'a déjà été".

Mais, si la Chine comme la Russie disposent d'assez de ressources céréalières pour leur marché intérieur, les autorités de ces pays s'inquiètent du retour de l'inflation et de la hausse du prix des denrées alimentaires.

Pour éviter une "course à l'exportation" des céréales et du soja, elles veulent faire passer le message, parfois à vocation électorale comme en Russie, que "tant que les prix augmentent, elles ne laisseront pas les ressources céréalières partir à l'exportation", souligne M. Victor.

Alors que l'indice de la FAO mesurant l'évolution des prix alimentaires dans le monde a bondi de près de 40% en 2007, M. Victor s'attend à ce que la tendance haussière persiste au moins "jusqu'au début du mois d'avril", quand les perspectives pour les récoltes 2008 seront un peu plus claires.

D'autant plus que la demande des pays émergents continue à fortement augmenter: "le 31 décembre, on a encore reçu un appel d'offre de 610.000 tonnes de blé du Pakistan et de 50.000 tonnes de plus du Bangladesh", note l'analyste d'Allendale.

Les analystes de la banque d'affaire Goldman Sachs s'attendent à ce que l'envolée des matières premières continue cette année, et en particulier dans le domaine des denrées agricoles, pour lesquelles ils ont relevé leurs perspectives de prix il y a trois semaines, notamment pour le soja (+60%).

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Re: Stocks mondiaux et cours des céréales

Message par MadMax » 09 janv. 2008, 22:31

Les experts se sont dits préoccupés en outre par la sécurité alimentaire mondiale, au moment où les prix de nombreuses denrées sont à leur plus haut et les réserves au plus bas depuis 25 ans. "L'approvisionnement alimentaire mondial est vulnérable à une crise internationale ou à une catastrophe naturelle", selon le rapport.
A lire dans le rapport annuel du forum économique de Davos http://www.lesechos.fr/info/inter/300231940.htm

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Re: Stocks mondiaux et cours des céréales

Message par Tiennel » 09 janv. 2008, 22:46

L'approvisionnement alimentaire mondial est vulnérable à une crise internationale ou à une catastrophe naturelle
Ca tombe bien, les deux arrivent justement : récession mondiale suite à l'explosion de la bulle financière US et réchauffement climatique toujours en accélération (vous avez vu l'état de la cryosphère ? :shock:)

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Re: Stocks mondiaux et cours des céréales

Message par tolosa » 10 janv. 2008, 14:06

Oubliez le pétrole, la vraie crise mondiale c’est l’alimentation
9 janvier 2008

Une nouvelle crise alimentaire mondiale est en train d’émerger, et elle pourrait être bien plus dramatique que tout ce que le monde a connu par le passé. La crise du crédit et les conséquences de l’envol du prix du pétrole seront peu de choses en regard de ce qui nous attend.
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1556
Un article dans la veine de contre info, interessant mais quelque peu dramatique. Le pire n'est pas toujours certain.
Un changement radical de nos modes de vie et un renoncement au « progrès » est le prix à payer pour éviter le désastre. Comme cela paraît irréalisable, l’occultation du mal s’ensuit inévitablement (jean-Pierre Dupuy).

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Re: Stocks mondiaux et cours des céréales

Message par sylva » 10 janv. 2008, 14:20

on va peut-etre se recentrer sur l'essentiel...
La Terre est bleue comme une orange. Paul Eluard
Il n'y a que la fiction qui dise le vrai. Vladimir Nabokov
Un écran, ça empêche de voir ; c'est sa fonction.

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Re: Stocks mondiaux et cours des céréales

Message par rico » 10 janv. 2008, 14:24

on va peut-etre se recentrer sur l'essentiel...
A savoir que quoi qu'il arrive on va en chier au delà de toutes nos espérances. Si après ça y'en a encore qui doutent que les atroces souffrances vont nous être épargnées....

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Re: Stocks mondiaux et cours des céréales

Message par Goupil666 » 10 janv. 2008, 16:41

rico a écrit :A savoir que quoi qu'il arrive on va en chier au delà de toutes nos espérances.
Je te trouve parfois trop optimiste, penses-tu qu'on aura encore quelque chose à chier ?
:-#

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Re: Stocks mondiaux et cours des céréales

Message par sylva » 10 janv. 2008, 16:54

Goupil666 a écrit :
rico a écrit :A savoir que quoi qu'il arrive on va en chier au delà de toutes nos espérances.
Je te trouve parfois trop optimiste, penses-tu qu'on aura encore quelque chose à chier ?
:-#
bien vu !! :smt038 :smt044
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Re: Stocks mondiaux et cours des céréales

Message par kercoz » 10 janv. 2008, 16:57

""""M.Coxe estime que les rendements du maïs dans le monde devront tendre vers ce que l’on observe dans l’Illinois, qui produit 500 boisseaux l’hectare, alors que la moyenne mondiale n’est que de 75 boisseaux.

« Cela sera possible avec plus d’engrais, plus d’OGM, et grâce à une mécanisation et une technologie de pointe, » prévoit-il."""""

Ce Mr COXE , il bosse pas chez Monsanto ?
L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)

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