Marée noire sur la croissance occidentale
Modérateurs : Rod, Modérateurs
- lionstone
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En 2006, gare aux déséquilibres
http://www.liberation.fr/page.php?Article=349839
Une nouvelle augmentation des prix du pétrole pourrait aussi venir déranger le scénario optimiste. Les conséquences économiques dépendent fondamentalement de l'origine de la hausse. Si, comme en 2005, les prix du pétrole augmentent du fait de la croissance de la demande mondiale, alors, comme en 2005, les effets devraient être assez bénins. En fait, l'augmentation des prix du pétrole n'a pas été aussi dramatique pour l'Europe qu'on ne l'avait craint, car les pays exportateurs, qui ont vu leur revenu augmenter fortement, ont tendance à importer davantage d'Europe que des Etats-Unis ou du Japon. Une partie de ces revenus a aussi servi à acheter des actifs américains, ce qui a renchéri le dollar et aidé ainsi nos exportateurs. En revanche, si en 2006 les prix du pétrole augmentent à cause d'un problème du côté de l'offre (du fait d'une détérioration de la situation politique au Moyen-Orient), les conséquences seront beaucoup plus négatives.
http://www.liberation.fr/page.php?Article=349839
Une nouvelle augmentation des prix du pétrole pourrait aussi venir déranger le scénario optimiste. Les conséquences économiques dépendent fondamentalement de l'origine de la hausse. Si, comme en 2005, les prix du pétrole augmentent du fait de la croissance de la demande mondiale, alors, comme en 2005, les effets devraient être assez bénins. En fait, l'augmentation des prix du pétrole n'a pas été aussi dramatique pour l'Europe qu'on ne l'avait craint, car les pays exportateurs, qui ont vu leur revenu augmenter fortement, ont tendance à importer davantage d'Europe que des Etats-Unis ou du Japon. Une partie de ces revenus a aussi servi à acheter des actifs américains, ce qui a renchéri le dollar et aidé ainsi nos exportateurs. En revanche, si en 2006 les prix du pétrole augmentent à cause d'un problème du côté de l'offre (du fait d'une détérioration de la situation politique au Moyen-Orient), les conséquences seront beaucoup plus négatives.
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- frgo84
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PRODUCTION INDUSTRIELLE -
États-Unis : les commandes industrielles ont reculé de 4,5% en janvier [ 06/03/06 - 16H46 ]
C'est la plus forte baisse depuis juillet 2000, notamment en raison d'une chute de 31% des commandes dans le secteur des transports
Les commandes industrielles aux États-Unis ont reculé de 4,5% en janvier par rapport à décembre, a annoncé aujourd'hui le département du Commerce. Ce repli est légèrement inférieur aux attentes des économistes, qui tablaient en moyenne sur une baisse de 5,4%. Il s'agit cependant de la plus forte baisse enregistrée depuis juillet 2000, et de la première en quatre mois, a précisé le département du Commerce.
Le département du Commerce a par ailleurs révisé à la hausse la progression enregistrée en décembre, à 1,6% contre 1,1% annoncé initialement.
En janvier, les commandes de biens non durables ont progressé de 2,2% tandis que celles de biens durables reculaient de 9,9%, une baisse finalement légèrement inférieure aux 10,2% annoncés le 24 février.
Hors transports, les commandes industrielles ont progressé de 1,6%, mais hors défense, elles ont reculé de 3,3%, leur plus fort repli depuis septembre 2001. Les commandes dans les transports ont reculé de 31%, celles de machines de 2,4% et celles d'ordinateurs de 0,4%.
AFP
- Tiennel
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L'info date de novembre 2005, mais il ne me semble pas avoir vu à un post à ce sujet...
Dans les Perspectives pour l'Economie Mondiale 2006, il y a un scénario "catastrophe" discrètement planqué dans un coin (Risques et Aléas) :

Les conclusions de ce scénario sont très OMC-compliant, mais les résultats de la simulation économique sont assez intéressants - de telles analyses macro-économiques chiffrées sont plutôt rares sur le Net.
Dans les Perspectives pour l'Economie Mondiale 2006, il y a un scénario "catastrophe" discrètement planqué dans un coin (Risques et Aléas) :
2 millions de baril par jour, c'est 80% des exportations iraniennes - ou deux ans de croissance chinoise (version lente du choc)La Banque Mondiale a écrit :Les résultats d’une simulation concernant l’impact d’un choc négatif sur l’offre de 2 millions de barils par jour nous montrent que si l’hypothèse de départ est une perturbation de l’offrequi s’étend pendant toute la durée des projections, amenant les prix à s’établir à 120 dollars le baril durant une période initiale de trois mois, pour retomber ensuite à 80 dollars pendant trois trimestres, après quoi le jeu de l’offre et de la demande amène les prix à regagner progressivement un niveau de 40 dollars.
En réponse au choc initial, la production mondiale se contracte, par rapport au niveau prévu dans le scénario de référence, dans des proportions représentant 1,5 % du PIB au bout de deux ans, tandis que l’inflation augmente rapidement.

Les conclusions de ce scénario sont très OMC-compliant, mais les résultats de la simulation économique sont assez intéressants - de telles analyses macro-économiques chiffrées sont plutôt rares sur le Net.
Méfiez-vous des biais cognitifs
- MadMax
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conjoncture
L'OCDE note le ralentissement conjoncturel des plus grandes économies
Les sept plus grandes économies de l'OCDE montrent des signes de ralentissement. En revanche, la Russie, la Chine et l'Inde continuent de montrer des signes d'expansion.
L'avenir s'assombrit pour les grandes économies mondiales. Particulièrement remarquable aux Etats-Unis, première puissance mondiale où la croissance est passée de 5,6 à 2,5% au deuxième trimestre, ce ralentissement s'opère également au Canada, en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, en Italie et au Japon.
Qui plus est, les perspectives de ces pays apparaissent désormais "mitigées", selon les derniers indicateurs avancés de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Selon les données de juin, les taux de variation sur 6 mois des indicateurs composites avancés qu'élabore chaque mois l'OCDE montrent "un affaiblissement des performances des sept grandes économies". Ces pays affichent désormais "une perspective de croissance mitigée", constate l'organisation.
L'ensemble des 29 pays développés qui composent la zone OCDE donne également des signes de ralentissement de l'activité. L'indicateur composite avancé pour cette zone a diminué de 0,1 point en juin par rapport à mai (109,7 contre 109,8) et son taux de variation sur 6 mois est en baisse pour le troisième mois consécutif, précise l'organisation. Les indicateurs composites avancés de l'OCDE sont conçus pour signaler à l'avance les points de retournement (pics et creux) entre les phases d'expansion et de ralentissement de l'activité économique.
A l'inverse, les données les plus récentes pour les grandes économies non membres de l'OCDE signalent le maintien d'une expansion forte pour la Chine, l'Inde et la Russie. Seul le Brésil voit ses perspectives s'assombrir. En juin, l'indicateur composite avancé pour ce pays a diminué de 0,4 point et son taux de variation sur 6 mois est en baisse pour le quatrième mois consécutif.
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- Hydrogène
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La croissance européenne va rattraper celle de l'Amérique du Nord.
Selon un rapport de l'OCDE, l'Organisation de coopération et de développement économique, la zone euro sauvera la croissance des pays riches l'an prochain, rapporte les Echos. Même si l'organisme a revu légèrement à la baisse ses prévisions pour l'an prochain, à cause du ralentissement américain, l'activité de la zone euro devrait compenser celle des Etats-Unis et cela malgré un euro fort, mais qui n'entame pas la compétitivité européenne, remarque la Tribune. Les projections tablent sur une croissance de 2,5 % en 2007, contre 2,9 % estimé précédemment. L'activité ralentirait également au Japon, tandis que la croissance ne se démentirait pas dans les pays émergents, Chine, Inde et Russie. Pour l'OCDE, l'économie française devrait elle aussi se raffermir (autour de 2,2 %), avec la poursuite du recul du chômage. La seule question qui reste inquiétante dans l'Hexagone est la dégradation des performances à l'export (la France a perdu dix points de part de marché sur les trois dernières années).
- MadMax
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Sondage.
Un Français sur deux pense qu’il pourrait devenir Sans-abri. Selon un sondage qui paraît aujourd’hui dans l’hebdomadaire La Vie et dans l’Humanité, 48 % des Français se sentent menacés par le fait de devenir un jour sans-abri. Cette crainte monte à 62 % chez les 35-49 ans, à 74 % chez les ouvriers et à 51 % chez les femmes.
- matthieu25
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- Goudron
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je ne sais même pas ou poster ce sujet
quel est l'expression favorite du moment... question à 1.3265 USD
vous ne devinez pas ?
Atterissage en douceur...
http://fr.biz.yahoo.com/13122006/202/l- ... diale.html
L'économie mondiale à un tournant délicat, selon la Banque mondiale
Par Par Claire GALLEN
mer 13 déc, 7h51
WASHINGTON (AFP) - L'économie mondiale est à un tournant, et même si ce n'est pas le scénario le plus probable, une récession américaine liée à l'immobilier ne peut être exclue, a averti mercredi la Banque mondiale.
"L'économie mondiale se trouve à un tournant" et "les ingrédients sont en place pour un atterrissage en douceur", qui reste le scénario le plus probable, a estimé Hans Timmer, chargé du suivi des tendances mondiales, à l'occasion de la publication mercredi du rapport semi-annuel de conjoncture de la Banque.
Agrandir la photo
Cependant ces périodes charnières sont toujours pleines d'incertitudes et "il reste certains risques", a-t-il souligné.
La Banque mondiale table sur un croissance mondiale de 3,2% l'an prochain dans le monde, après 3,9% cette année. Les pays en développement devraient faire beaucoup mieux (+6,4%) que les pays riches (+2,4%) en 2007, après une dichotomie similaire en 2006 (+7% contre +3,1%).
L'institution juge que de nombreux facteurs pourraient entraîner "un ralentissement plus marqué", notamment lié aux marchés immobiliers.
Elle dresse un parallèle avec le début du XXe siècle, qui avait connu une forte croissance. "Mais au lieu de continuer comme les principaux économistes le prévoyaient à l'époque, le monde a plongé dans la Grande dépression", note-t-elle.
La Banque cite quatre grands risques:
- une crise immobilière pourrait provoquer une récession aux Etats-Unis. Le marché s'est retourné cette année et il y a un risque que le ralentissement soit beaucoup plus important, souligne la Banque, selon qui "un tel choc provoquerait une récession aux Etats-Unis". Cela conduirait à un ralentissement de la croissance dans d'autres parties du monde, "mais pas forcément à une récession, notamment dans les pays en développement", a estimé M. Timmer.
- une période de surchauffe de l'économie mondiale pourrait entraîner ensuite un ralentissement plus marqué. De plus, "des pressions inflationnistes pourraient continuer à apparaître" et on ne peut exclure que les prix des matières premières augmentent encore.
- un choc pétrolier pourrait perturber la croissance.
- les déséquilibres mondiaux pourraient avoir des problèmes à se résorber en douceur. Pour la Banque mondiale, le risque à moyen terme est que les ajustements se fassent par le biais financier, si par exemple "les investisseurs perdent rapidement confiance dans le dollar, provoquant une crise des changes, des taux d'intérêt beaucoup plus élevés et un affolement des marchés financiers".
Le rapport, intitulé "Gérer la prochaine vague de la mondialisation", consacre une large part aux défis et aux opportunités de la globalisation des marchés.
"Le nombre de personnes ayant moins de 1 dollar par jour pour vivre pourrait être réduit de moitié, de 1,1 milliard actuellement à 550 millions en 2030", a estimé François Bourguignon, économiste en chef de la BM. Mais "certaines régions, notamment l'Afrique, courent le risque de rester à la traîne" et "les inégalités de revenus pourraient s'accentuer dans bien des pays", a-t-il ajouté.
La mondialisation "intensifiera probablement" les pressions sur le patrimoine mondial. "Les pays vont devoir faire un effort concerté pour renforcer leur rôle dans les domaines mettant en jeu les biens publics mondiaux, qu'il s'agisse de réduire le réchauffement planétaire, d'endiguer les maladies infectieuses comme la grippe aviaire, ou encore d'empêcher la destruction des ressources halieutiques mondiales", note la Banque.
La BM estime que le réchauffement planétaire constitue un "risque grave", avec une hausse des émissions annuelles de gaz à effet de serre de l'ordre de 50% d'ici à 2030. Pour éviter cela, les responsables politiques devront promouvoir une croissance "propre", affirme-t-elle.
quel est l'expression favorite du moment... question à 1.3265 USD

vous ne devinez pas ?
Atterissage en douceur...

http://fr.biz.yahoo.com/13122006/202/l- ... diale.html
L'économie mondiale à un tournant délicat, selon la Banque mondiale
Par Par Claire GALLEN
mer 13 déc, 7h51
WASHINGTON (AFP) - L'économie mondiale est à un tournant, et même si ce n'est pas le scénario le plus probable, une récession américaine liée à l'immobilier ne peut être exclue, a averti mercredi la Banque mondiale.
"L'économie mondiale se trouve à un tournant" et "les ingrédients sont en place pour un atterrissage en douceur", qui reste le scénario le plus probable, a estimé Hans Timmer, chargé du suivi des tendances mondiales, à l'occasion de la publication mercredi du rapport semi-annuel de conjoncture de la Banque.
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Cependant ces périodes charnières sont toujours pleines d'incertitudes et "il reste certains risques", a-t-il souligné.
La Banque mondiale table sur un croissance mondiale de 3,2% l'an prochain dans le monde, après 3,9% cette année. Les pays en développement devraient faire beaucoup mieux (+6,4%) que les pays riches (+2,4%) en 2007, après une dichotomie similaire en 2006 (+7% contre +3,1%).
L'institution juge que de nombreux facteurs pourraient entraîner "un ralentissement plus marqué", notamment lié aux marchés immobiliers.
Elle dresse un parallèle avec le début du XXe siècle, qui avait connu une forte croissance. "Mais au lieu de continuer comme les principaux économistes le prévoyaient à l'époque, le monde a plongé dans la Grande dépression", note-t-elle.
La Banque cite quatre grands risques:
- une crise immobilière pourrait provoquer une récession aux Etats-Unis. Le marché s'est retourné cette année et il y a un risque que le ralentissement soit beaucoup plus important, souligne la Banque, selon qui "un tel choc provoquerait une récession aux Etats-Unis". Cela conduirait à un ralentissement de la croissance dans d'autres parties du monde, "mais pas forcément à une récession, notamment dans les pays en développement", a estimé M. Timmer.
- une période de surchauffe de l'économie mondiale pourrait entraîner ensuite un ralentissement plus marqué. De plus, "des pressions inflationnistes pourraient continuer à apparaître" et on ne peut exclure que les prix des matières premières augmentent encore.
- un choc pétrolier pourrait perturber la croissance.
- les déséquilibres mondiaux pourraient avoir des problèmes à se résorber en douceur. Pour la Banque mondiale, le risque à moyen terme est que les ajustements se fassent par le biais financier, si par exemple "les investisseurs perdent rapidement confiance dans le dollar, provoquant une crise des changes, des taux d'intérêt beaucoup plus élevés et un affolement des marchés financiers".
Le rapport, intitulé "Gérer la prochaine vague de la mondialisation", consacre une large part aux défis et aux opportunités de la globalisation des marchés.
"Le nombre de personnes ayant moins de 1 dollar par jour pour vivre pourrait être réduit de moitié, de 1,1 milliard actuellement à 550 millions en 2030", a estimé François Bourguignon, économiste en chef de la BM. Mais "certaines régions, notamment l'Afrique, courent le risque de rester à la traîne" et "les inégalités de revenus pourraient s'accentuer dans bien des pays", a-t-il ajouté.
La mondialisation "intensifiera probablement" les pressions sur le patrimoine mondial. "Les pays vont devoir faire un effort concerté pour renforcer leur rôle dans les domaines mettant en jeu les biens publics mondiaux, qu'il s'agisse de réduire le réchauffement planétaire, d'endiguer les maladies infectieuses comme la grippe aviaire, ou encore d'empêcher la destruction des ressources halieutiques mondiales", note la Banque.
La BM estime que le réchauffement planétaire constitue un "risque grave", avec une hausse des émissions annuelles de gaz à effet de serre de l'ordre de 50% d'ici à 2030. Pour éviter cela, les responsables politiques devront promouvoir une croissance "propre", affirme-t-elle.
- matthieu25
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- GillesH38
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Un article de Jerome a Paris denonçant la folie financière actuelle, et prédisant un crash prochain (ce n'est pas un rigolo, c'est un banquier travaillant dans le financement des énergies renouvelables).
http://europe.theoildrum.com/node/2564
Sur le même sujet
http://www.monde-diplomatique.fr/2006/10/KOLKO/13992
http://europe.theoildrum.com/node/2564
Sur le même sujet
http://www.monde-diplomatique.fr/2006/10/KOLKO/13992
Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".
- matthieu25
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La fin de l'article est tres prometteuse.
Du coup, les experts de la dette impayable et de la restructuration d’entreprises en faillite ou sur le point de l’être sont de plus en plus demandés à Wall Street.
La religion est la maladie honteuse de l' humanité.la politique en est le cancer(Millon de Montherlant)