économie russe

[supert]

Citons latribune.fr :

La croissance du PIB russe a atteint 4,1 % en 2024, a annoncé le Premier ministre Mikhaïl Michoustine, ce vendredi 7 février

Et tout l'article est fait comme si l'annonce de MM était une réalité. J'ai cherché désespérément un truc qui me dirait dans quelle mesure il fallait prendre ces annonces au sérieux ou pas, je n'ai rien trouvé.
J'en conclu que pour la tribune.fr et ceux qui la relaient, les paroles émises par le premier ministre russe a valeur de Vérité.


Supertomate qui ne confond pas stère en 25 et mini-stère

[mobar]

Heureusement qu’il y a toujours des blaireaux pour relayer ad nauseam ces articles de journaux que plus personne ne lit, sinon on ne serait pas au courant!

[LeLama]

Oui, c'est assez instructif ce qui se passe pour les journaux. Aujourd'hui, ya pas mal de debats sur X, et tu retrouves les pbmatiques lues sur X avec du retard dans les journaux, parfois qq jours plus tard ou parfois qq mois plus tard. Mais alors que sur X, ca "frotte" pas mal et que ca te permet d'entendre chacun des points de vue, quand tu lis les journaux, t'as un peu l'impression de lire la pravda.

C'est un peu comme si les journaux avaient organisé leur auto-destruction. Ils ont enlevé tout débat pour devenir des instances qui déclarent le vrai. Et du coup, ca n'interesse plus grand monde. Peu de gens ont envie de redevenir un élève qui écoute et est réprimandé s'il pense mal. Il reste comme lecteurs des medias mainstream qq personnes qui cherchent un environnement rassurant, qq personnes éduquées qui sont flattées et se sentent appartenir a une caste supérieure, et qq vieux ou entre-2-ages pour qui c'est le mode de connection au monde. Mais les journaux sont morts et leur déclin va s'amplifier avec les nouvelles générations.

[kercoz]

Avec l' IA, la pollution et désinformation des médias est un jeu d'enfant désargenté......Les zones et zhommes de pouvoir ayant la main sur ces levier feront ce qu'ils voudront au vu du niveau débile des récepteurs

[mobar]

Oui, c'est assez instructif ce qui se passe pour les journaux. Aujourd'hui, ya pas mal de débats sur X, et tu retrouves les pbmatiques lues sur X avec du retard dans les journaux, parfois qq jours plus tard ou parfois qq mois plus tard. Mais alors que sur X, ca "frotte" pas mal et que ca te permet d'entendre chacun des points de vue, quand tu lis les journaux, t'as un peu l'impression de lire la pravda.

C'est un peu comme si les journaux avaient organisé leur auto-destruction. Ils ont enlevé tout débat pour devenir des instances qui déclarent le vrai. Et du coup, ca n'interesse plus grand monde. Peu de gens ont envie de redevenir un élève qui écoute et est réprimandé s'il pense mal. Il reste comme lecteurs des medias mainstream qq personnes qui cherchent un environnement rassurant, qq personnes éduquées qui sont flattées et se sentent appartenir a une caste supérieure, et qq vieux ou entre-2-ages pour qui c'est le mode de connexion au monde. Mais les journaux sont morts et leur déclin va s'amplifier avec les nouvelles générations.

Les journaux en déficit permanent alimentent les journaleux de radio et de télé qui vont déblatérer pendant des plombes et bourrer les cranes de leurs auditeurs et téléspectateurs, tous vivent de la publicité qui bientôt ne fera plus rien vendre et cette connerie de société de consommation finira par disparaitre

La fin de cette histoire à la con n'a jamais été aussi proche!

[energy_isere]

..............
La fin de cette histoire à la con n'a jamais été aussi proche!

C'est pas les communistes qui nous rabâchent ça depuis 60 ans ? Allez ca tiendra bien 20 ans de plus.

[kercoz]

Je serais curieux de connaitre le % de l'économie informelle ( appelée "black" par les libéraux) sur l'économie russe ...
https://www.sciencespo.fr/ceri/fr/conte ... l-informel

""""""Quels sont les racines et les effets du secteur informel ? Constitue-t-il un bienfait ou une malédiction ? A ce débat, nourri depuis trois décennies par les considérations sur la situation des pays en développement, les mutations post-soviétiques apportent de nouveaux éléments. On observe en effet en Russie des processus de formalisation - et de “déformalisation” - des règles non seulement dans les pratiques des acteurs économiques, mais également dans la distribution de services publics devenus rares. L’analyse des pratiques informelles concrètes alimente la réflexion sur les relations qui lient mutations économiques et politiques : quel est leur impact sur l’instauration d’un marché et d’un Etat de droit, sur la recomposition de l’espace tant économique que social ? L’examen des visions de l’informel par les milieux académiques russes et les acteurs sociaux est l’occasion de mettre en évidence les différents déterminants des comportements : réaction à la conjoncture, racines culturelles, représentations sociales… L’exemple russe illustre la façon dont l’informel est non seulement une modalité d’action qui contourne les règles légales, mais également un mode de sociabilité qui refuse les relations sociales anonymes ; il aide à réfléchir à la façon de réencastrer l’économique dans le social.""""

Passionnant !

[mobar]

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La fin de cette histoire à la con n'a jamais été aussi proche!

C'est pas les communistes qui nous rabâchent ça depuis 60 ans ? Allez ca tiendra bien 20 ans de plus.

Qui a acheté un des journaux de Bolloré, Arnaud, Niel, Drahi, Kretinski, Saadé dernièrement?

[energy_isere]

Russie: La situation économique préoccupe de plus en plus gouvernement et banque centrale

Des prix du pétrole plus faibles, des contraintes budgétaires plus fortes et des entreprises aux situations financières plus fragiles sont les principaux risques auxquels est confrontée l'économie russe, selon deux documents de travail préparé par la Banque de Russie et le ministère russe de l'Économie.

REUTERS 13 février 2025

Les taux d'intérêt à 21% limitent les volumes de prêts et l'investissement, ce qui érode les perspectives de croissance de la Russie, prévient dans son document le ministère de l'Économie.


"Un déficit d'investissement aujourd'hui est un déficit de croissance dans deux à trois ans", résume le document du ministère.

Or, l'équilibre budgétaire russe est menacé par la baisse des prix du pétrole, préviennent les deux documents.

Le rapport rédigé par la banque centrale s'inquiète des "risques importants" d'un recul des cours du baril si la production américaine de brut progresse, ou si les pays membres de l'Opep décident d'augmenter leurs volumes d'extraction, la capacité non utilisée pour les pays membres de l'organisme atteignant un record.


Washington sait l'impact du prix du brut sur l'économie russe, le secrétaire américain à la défense, Pete Hegseth, ayant estimé mercredi que la baisse des prix de l'énergie contribuerait à amener la Russie à la table des négociations.

"Les contraintes budgétaires à 5-10 ans pourraient être plus fortes qu'elles n'apparaissent actuellement", remarque de fait la banque centrale.

Les revenus liés à l'énergie, directement dépendants du niveau des prix du brut, représentent environ un tiers des recettes fiscales de l'État Russe, ce alors que le déficit budgétaire s'est envolé à 1.700 milliards de roubles (18 milliards d'euros) rien qu'en janvier.

Ce déficit est désormais financé par le fonds souverain russe, qui a vu ses volumes d'actifs liquides chuter de 112,7 milliards de dollars (108 milliards d'euros) début 2022 à 37,5 milliards de dollars.

"Ce fonds n'est PAS destiné à couvrir des périodes prolongées de déficit budgétaire", rappelle la banque centrale dans son rapport.

La banque centrale et le ministère de l'Économie n'ont pas répondu à des demandes de commentaires. Les deux rapports ont été préparés pour une réunion prévue le 4 février avec le Premier ministre Mikhaïl Michoustine.

COÛTS

Le ministère de l'Economie s'inquiète par ailleurs de l'envolée des coûts pour les entreprises, liée aux tensions sur les marchés du travail et à la progression des tarifs douaniers, des charges d'intérêts et des impôts.

En 2025, ces surcoûts représenteraient 14.800 milliards de roubles par rapport à 2024, soit 45% du volume d'investissements privés en immobilisations corporelles en 2024, calcule le rapport du ministère.

Le recul de la demande domestique et internationale pourrait limiter le pouvoir de fixation des prix des entreprises et éroder leurs marges, ajoute le document.

Le secteur privé pourrait être confronté à une situation financière plus difficile, ce qui ferait progresser les volumes de prêts non-performants, que les entreprises ne peuvent honorer.

En public, le président russe Vladimir Poutine et les hauts fonctionnaires du pays vantent régulièrement la résistance de l'activité domestique en dépit des sanctions internationales, jugeant que l'inflation persistante est le principal défi économique.

En privé, Vladimir Poutine se montrerait pourtant de plus en plus préoccupé par les distorsions déclenchées par la guerre, car les pénuries de main-d'œuvre généralisées, la faiblesse du rouble et les taux d'intérêt les plus élevés depuis plus de vingt ans pèsent sur les perspectives de croissance du pays.

https://www.usinenouvelle.com/article/r ... e.N2227426

[energy_isere]

L'échec retentissant du projet russe: Seulement 7 avions de ligne sur 108 promis ont été construits pendant la guerre

Article de Adélie Clouet d’Orval 13 fev 2025

Au début de l'invasion de l'Ukraine, le Kremlin avait projeté de développer une flotte d'avions de ligne pour contrer les sanctions occidentales touchant l'industrie aéronautique russe. Selon une enquête de la BBC russe, seuls 7 des 108 avions prévus pour 2024 auraient été réellement construits.

Ce n’était que pour "créer l’illusion d’une activité et sauver les apparences" a confié une source à la BBC russe, concernant le programme de construction d’avions de ligne lancé au début de l’invasion russe en Ukraine. Ce programme a été lancé en réponse aux sanctions imposées par les pays occidentaux sur l’aviation et l’industrie aéronautique russe.

Selon une enquête de la BBC russe, publié le 12 décembre, l’objectif fixé au début de la guerre semble loin d’être atteint. Seulement 7 ont été construits sur les 108 avions prévus initialement d'ici la fin de l’année 2024. Pour révéler ces informations, les journalistes de la BBC se sont basés sur des registres non officiels (rapports médiatiques, agrégateurs...) afin d’estimer les chiffres de production. Pour cause, l'Agence fédérale de transport aérien de Russie (Rosaviatsiya) dissimule son registre officiel.

Un programme aérien et industriel qui s'évanouit ?

En juin 2022, le gouvernement russe lançait un programme global pour le développement de l’industrie du transport aérien. "Le programme était ambitieux. Il avait prévu de produire 14 avions d'ici fin 2022, 25 en 2023 et 69 avions de passagers d'ici fin 2024. Au total, 1 032 avions de passagers devaient être construits d’ici fin 2030" détaille l’enquête.

Après une révision des objectifs à l’automne 2023, les dates de lancement de la production avaient été reportées une première fois. Elles furent une nouvelle fois décalées au printemps 2024. Selon l’enquête, ces délais successifs pourraient être dus - comme c’est souvent le cas - à des retards de commandes venant des fournisseurs de composants.

Cependant, une source de l’industrie aéronautique russe a révélé à la BBC qu’en réalité, cette situation s’explique par un tout autre facteur : le programme n’aurait pas été pris au sérieux, du moins en termes de volume et de timing. "Personne parmi ceux qui l’ont élaboré ne le considérait comme une véritable feuille de route pour la production" a affirmé la source. Ce programme n’aurait été développé dans l'unique but de "calmer les nerfs du gouvernement".

L’impact des sanctions occidentales

Les sept avions construits par la Russie sont des "Super Jet 100". Selon la BBC, ils auraient été assemblés avec des stocks de matériaux d’avant-guerre. "Après l'introduction de ces sanctions, United Aircraft Corporation (un fabriquant russe), n'a pas été en mesure de produire des avions de passagers" explique l’enquête.

En effet, les Super Jets 100 sont fabriqués en grande partie à partir de matériaux étrangers. Leur production aurait donc été stoppée par l’introduction des sanctions.

"La partie la plus problématique de l’aviation civile russe concerne les avions régionaux pour les liaisons locales. La Russie devra résoudre ce problème rapidement, car l’aviation constitue le seul lien avec le monde extérieur dans de nombreuses régions isolées du pays" explique l’enquête.

https://www.msn.com/fr-fr/finance/autre ... a3a&ei=121

[kercoz]

Russie: La situation économique préoccupe de plus en plus gouvernement et banque centrale

Des prix du pétrole plus faibles, des contraintes budgétaires plus fortes et des entreprises aux situations financières plus fragiles sont les principaux risques auxquels est confrontée l'économie russe, selon deux documents de travail préparé par la Banque de Russie et le ministère russe de l'Économie.

Kercoz : C'est pas en Arabie que poutine va négocier l'ukraine avec Trump ?

[phyvette]

7 avions en une année, bigre.
Airbus en construit 15 par semaine.

[energy_isere]

Russie: la Banque centrale relève nettement ses prévisions d'inflation pour 2025

AFP •14/02/2025

La Banque centrale russe a nettement relevé vendredi ses prévisions d'inflation pour 2025, affirmant de ne voir aucun signe d'inversion de cette tendance alors que Moscou peine à juguler la hausse des prix.


Cette mauvaise nouvelle intervient au moment où les difficultés pour l'économie russe s'accumulent après trois ans de conflit en Ukraine et de sanctions occidentales.

Parmi les sujets d'inquiétude, les pénuries de main d'oeuvre persistantes, les prêts bancaires exorbitants, les risques croissants de faillites d'entreprises et une décélération de l'activité attendue en 2025.

Les prix devraient augmenter cette année de 7 à 8%, soit bien plus que les prévisions antérieures qui tablaient sur une hausse de 4,5 à 5%, a indiqué la banque centrale dans un communiqué.

Et ce, malgré la remontée récente du rouble face à l'euro et au dollar après la reprise des contacts entre les présidents Vladimir Poutine et Donald Trump, qui ont fait naître l'espoir d'un dégel des relations russo-américaines.

La banque centrale a également maintenu son taux directeur à 21%, soit son plus haut niveau en vingt ans, malgré les plaintes croissantes des entreprises qui peinent à emprunter.

"Les pressions sur les prix restent importantes", a souligné lors d'une conférence de presse la gouverneure de l'institution, Elvira Nabioullina, avertissant que la hausse rapide des prix persisterait, malgré un "léger ralentissement" de l'inflation en janvier et février.

"Nous ne parlons pas encore d'un renversement de tendance", a-t-elle expliqué.

L'inflation en Russie s'est élevée à 9,9% en janvier 2025 sur un an, une accélération par rapport aux 9,5% de décembre 2024, selon les chiffres publiés vendredi par l'agence des statistiques Rosstat.

En Russie, l'inflation est notamment alimentée par l'explosion des dépenses militaires pour mener l'assaut en Ukraine, les effets des sanctions, et des salaires en hausse, conséquence des pénuries de main-d'oeuvre sur le marché du travail, les entreprises étant obligées de proposer des rémunérations attractives pour recruter.

En décembre, Vladimir Poutine avait décrit la hausse des prix comme "un signal préoccupant", un rare aveu de la part du chef du Kremlin qui vante la résistance de l'économie nationale face aux lourdes sanctions occidentales.

https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 9b0539997b

[energy_isere]

La dèche à Moscou: La substitution des logiciels occidentaux par des alternatives nationales en Russie, un défi impossible

Article de Lola Breton geo 16 fevrier 2025

Malgré la demande de Vladimir Poutine de privilégier les alternatives nationales aux logiciels occidentaux, les entreprises russes se heurtent à une pénurie de solutions adaptées. Les directeurs d’entreprise cherchent des moyens de contourner cette directive présidentielle.
La guerre ne se joue pas uniquement dans le froid hivernal des bastions ukrainiens et russes. En Russie, elle est aussi idéologique et économique. Le président Vladimir Poutine a signé, le 12 juin, une directive qui impose aux entreprises russes de cesser d’utiliser des logiciels développés par des éditeurs occidentaux d’ici au 1er janvier 2025. À un mois de l’échéance, les entreprises concernées ne sont pas dupes : ils n’y arriveront pas.

Le média russophone basé en Lituanie Meduza explique qu'en grande majorité, les sociétés russes sont plutôt réticentes à l’idée d’abandonner les logiciels qu’elles utilisent depuis des années, alors que les alternatives russes ne sont pas du tout au même niveau. Pire, alors que la directive vise directement 837 procédures opérationnelles en entreprise, 412 d’entre elles ne peuvent être réalisées.

Les outils Microsoft restent largement utilisés en Russie, malgré les incitations à les remplacer

Les procédures en question concernent notamment le secteur agricole, les usines automobiles ou encore les usines productrices d’énergie. Depuis des décennies, les entreprises concernées dépendent des programmes américains et européens pour leurs besoins en automatisation, design et management. Pour les chefs d’entreprise, tout changer est "impossible". "Ce serait comme passer d’une Mercedes à une Lada Aura : le volant et les roues sont au même endroit, tout se ressemble mais en réalité, les différences sont énormes", compare Alexey Uchakin, directeur des infrastructures chez EdgeCenter, fournisseur russe de solutions cloud.

Même sur le plan organisationnel, les entreprises russes semblent ne pas réussir à faire sans l’Occident. En 2024, elles ont dépensé plus de 24 000 000 de roubles (215 385 euros) pour renouveler leur abonnement Microsoft, rapporte Kommersant. Si Ces dépenses ont diminué ces trois dernières années, ils demeurent élevés malgré une volonté politique de changement radical.

Des entreprises russes réticentes à l’option nationale

Depuis le début de la guerre, plusieurs éditeurs de logiciels se sont retirés d’eux-mêmes du marché russe. Les entreprises concernées par ces départs ont dû se tourner à contre-cœur vers des solutions nationales. Selon un sondage relayé par Forbes Russia, 62 % d’entre elles ont rencontré des problèmes de compatibilité des programmes, non seulement entre les anciens logiciels occidentaux et les nouveaux russes, mais également entre les logiciels russes eux-mêmes.

Réticentes, certaines entreprises pensent avoir trouvé des moyens pour ne pas se plier à la directive du président en 2025. Mais là aussi, elles se heurtent à un risque majeur : celui de voir ces éditeurs occidentaux quitter à leur tour le pays, risquant de partir sans prévenir, ce qui entraînerait une perte de données clés pour leurs clients russes. Certains directeurs d’entreprises assument leur choix et le justifient avec une estimation : la Russie aurait encore besoin de 14 ou 15 ans de travail avant de développer des alternatives logicielles nationales aussi efficaces que celles qui existent aujourd’hui sur le marché occidental.

https://www.msn.com/fr-fr/finance/autre ... e5b4&ei=24

[phyvette]

...Même sur le plan organisationnel, les entreprises russes semblent ne pas réussir à faire sans l’Occident. En 2024, elles ont dépensé plus de 24 000 000 de roubles (215 385 euros) pour renouveler leur abonnement Microsoft, rapporte Kommersant...

https://www.msn.com/fr-fr/finance/autres/la-d%C3%A8che-%C3%A0-moscou-la-substitution-des-logiciels-occidentaux-par-des-alternatives-nationales-en-russie-un-d%C3%A9fi-impossible/ar-AA1vnRMM?ocid=msedgntp&pc=DCTS&cvid=b6bb89a65db54cfacd8ab799e1b0e5b4&ei=24

Si j'étais complotiste, j'aurais des questions sur la collusion entre l'info et le messager.

Mais par chance, je ne suis qu'un bisounours.

https://fr.wikipedia.org/wiki/MSN