Re: [Crise] L' économie réelle en difficulté
Publié : 13 déc. 2011, 23:38
Tu peux acheter un terrain et mettre une roulotte dessus.C'est encore la solution la plus économe.
Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
http://www.oleocene.org/phpBB3/
En 2011, quelque 200 millions de personnes étaient au chômage dans le monde, soit un nombre «record», selon Juan Manuel Salazar, directeur à l’OIT en charge de l’emploi. Ce nombre pourrait encore être plus important si l’on inclut les 27 millions de «travailleurs découragés», soit ceux qui ont quitté volontairement le monde du travail.
Tous les ans, quelque 40 millions de personnes viennent grossir les rangs de ceux qui cherchent un emploi, selon l’Organisation internationale du travail (OIT). Les jeunes sont toujours les principales victimes du manque d’emplois. 74 millions de jeunes âgés de 15 à 24 ans étaient sans emploi en 2011, soit une hausse de 4 millions depuis 2007. Les jeunes ont trois fois plus de risques de se retrouver au chômage que les adultes, et leur taux de chômage au niveau mondial s’élève à 12,7%.
Pour l’année 2012, l’OIT s’attend encore à 3 millions de chômeurs de plus dans le monde en moyenne. Si le taux de croissance mondial tombe à moins de 2% cette année, il y a aura alors 4 millions de chômeurs supplémentaires, et non pas 3, prévient l’OIT.
Moi aussi c'est ma femme qui le pousseenergy_isere a écrit :Tiens, ca fait un bail que j' en ai pas poussé un de Caddie ou tout autre concurent. Ca doit remonter à la période de Noel.
On est tous dans ce cas là.Moi aussi c'est ma femme qui le pousse
L'analyste financier Raoul Pal a été à la tête de GLG Global Macro Fund, et c'est aussi un ancien de Goldman Sachs. Il prévoit une série de défauts souverains à travers le monde, menant la communauté internationale vers "la plus grande crise bancaire de l'histoire". Selon lui, nous n'avons plus beaucoup d'option pour éviter la catastrophe.
Son raisonnement est assez simple.
Le monde n'a plus de moteur de croissance puisque la plupart des pays du G20 arrive au bord du gouffre en même temps. Le monde occidental est sur le point d'entamer sa seconde récession au sein d'une dépression qui n'en finit pas.
Pour la première fois depuis les années 1930, nous entrons dans une nouvelle récession – sans que les indicateurs économiques n'aient eu le temps de revenir à leur hauteur normale. En d'autres termes : le scénario redouté de la “récession à double creux”, aussi appelée "récession en W", est en train de se produire. Les principaux indicateurs économiques le montrent, partout dans le monde comme le montrent les graphiques ci-dessous.
Pour Raoul Pal, c'est un fait : nous allons vivre le pic le plus bas de croissance du PIB dans l'histoire du G7 (le groupe financier international composé des ministres des finances de sept pays riches : France, Allemagne, Italie, Japon, Royaume-Uni, États-Unis, Canada).
Ce sont les pires fondations possibles pour entrer dans une récession. Dans un entretien accordé au Daily Mail, le président de la Banque mondiale jusqu'au 30 juin 2012 Robert Zoellick, est un peu moins alarmiste que Raoul Pal. Il explique néanmoins que "les marchés financiers font de nouveau face à la grande panique de 2008", ajoutant que "l'Europe, déchirée par la crise, se dirige vers une zone de danger".
Le problème se résume maintenant à une seule chose : la dette. La somme des dettes des dix nations les plus endettées du monde s'élève à 300% du PIB mondial....]
Et la phrase suivante :phyvette a écrit :La crise finale ? Cet analyste financier qui prévoit la fin du monde que nous connaissons pour 2012
Extraits de l'article sur 3 pages :
Le problème se résume maintenant à une seule chose : la dette. La somme des dettes des dix nations les plus endettées du monde s'élève à 300% du PIB mondial....
mais :La dette des pays du G10 (Allemagne, Belgique, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède, Suisse) s’élève à 70 000 milliards. Mais ses dérivés seraient dix fois plus élevés, à 700 000 milliards, ce qui équivaut à 1200% du PIB mondial.
Pourtant, selon l'économiste Zachary Karabell, ces inquiétudes sont largement exagérées. D'après ce spécialiste, le monde financier est aujourd'hui tellement obsédé par l'idée que le pire est possible, qu'il en perd tout sens des réalités, et oublie de se poser la seule bonne question : "Tout cela est-il probable ?"
L'Occident, enlisé dans la crise, serait enlisé dans un cercle vicieux de pessimisme et de négativité, laissant totalement de coté la recherche d'idées innovantes et constructives.
L'économiste compare la situation actuelle à la Guerre Froide, et la peur permanente de la guerre nucléaire qui régnait alors.
Hum... entend-il par là "le creux le plus élevé de récession du PIB" ?L'analyste financier Raoul Pal a été à la tête de GLG Global Macro Fund, et c'est aussi un ancien de Goldman Sachs. Il prévoit une série de défauts souverains à travers le monde, menant la communauté internationale vers "la plus grande crise bancaire de l'histoire". Selon lui, nous n'avons plus beaucoup d'option pour éviter la catastrophe.
Son raisonnement est assez simple.
...
Pour Raoul Pal, c'est un fait : nous allons vivre le pic le plus bas de croissance du PIB dans l'histoire du G7 (le groupe financier international composé des ministres des finances de sept pays riches : France, Allemagne, Italie, Japon, Royaume-Uni, États-Unis, Canada).
...
Il y a des données incohérentes la dedans.phyvette a écrit :La crise finale ? Cet analyste financier qui prévoit la fin du monde que nous connaissons pour 2012
Extraits de l'article sur 3 pages :
L'analyste financier Raoul Pal a été à la tête de GLG Global Macro Fund, et c'est aussi un ancien de Goldman Sachs. Il prévoit une série de défauts souverains à travers le monde, menant la communauté internationale vers "la plus grande crise bancaire de l'histoire". Selon lui, nous n'avons plus beaucoup d'option pour éviter la catastrophe.
Son raisonnement est assez simple.
Le monde n'a plus de moteur de croissance puisque la plupart des pays du G20 arrive au bord du gouffre en même temps. Le monde occidental est sur le point d'entamer sa seconde récession au sein d'une dépression qui n'en finit pas.
Pour la première fois depuis les années 1930, nous entrons dans une nouvelle récession – sans que les indicateurs économiques n'aient eu le temps de revenir à leur hauteur normale. En d'autres termes : le scénario redouté de la “récession à double creux”, aussi appelée "récession en W", est en train de se produire. Les principaux indicateurs économiques le montrent, partout dans le monde comme le montrent les graphiques ci-dessous.
Pour Raoul Pal, c'est un fait : nous allons vivre le pic le plus bas de croissance du PIB dans l'histoire du G7 (le groupe financier international composé des ministres des finances de sept pays riches : France, Allemagne, Italie, Japon, Royaume-Uni, États-Unis, Canada).
Ce sont les pires fondations possibles pour entrer dans une récession. Dans un entretien accordé au Daily Mail, le président de la Banque mondiale jusqu'au 30 juin 2012 Robert Zoellick, est un peu moins alarmiste que Raoul Pal. Il explique néanmoins que "les marchés financiers font de nouveau face à la grande panique de 2008", ajoutant que "l'Europe, déchirée par la crise, se dirige vers une zone de danger".
Le problème se résume maintenant à une seule chose : la dette. La somme des dettes des dix nations les plus endettées du monde s'élève à 300% du PIB mondial....]