L'économie mondiale

[energy_isere]

Signature d'un vaste traité transpacifique salué par Washington

04 fev 2016 l' Obs



L'accord de partenariat transpacifique créant la plus vaste zone de libre-échange au monde, salué par Washington comme le moyen d'écrire les règles du jeu du commerce international et faire pièce à la puissance croissante de Pékin, a été signé officiellement jeudi en Nouvelle-Zélande.

L'accord TPP, conclu après cinq ans de laborieuses discussions, vise à abattre les barrières au commerce et aux investissements entre l'Australie, Brunei, le Canada, le Chili, le Japon, la Malaisie, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, le Pérou, Singapour, les Etats-Unis et le Vietnam.

Ces 12 pays représentent près de 40% de l'économie mondiale mais le TPP ne comprend pas la Chine, deuxième économie de la planète, écartée des négociations.
.................

Le TPP n'a pas terminé son parcours d'obstacles car chaque Parlement national doit encore ratifier le texte dans les deux ans.
.................

http://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/ ... -pays.html

[energy_isere]

L'OCDE brosse un tableau pessimiste de l'économie mondiale

le 18/02/2016 Le Point.fr / AFP

L'organisation internationale constate un ralentissement "généralisé" et souligne qu'il n'y a pas vraiment de locomotive qui tire la croissance.

L'OCDE a confirmé jeudi les craintes sur la santé de l'économie mondiale, en amputant ses prévisions de croissance pour la seconde fois en trois mois, "déçue" à la fois par le ralentissement des pays émergents et la "très modeste" reprise des économies avancées. L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) table désormais sur une croissance mondiale de 3 % pour cette année, contre 3,3 % en novembre dernier quand elle avait déjà amputé ses prévisions de 0,3 %. Pour 2017, elle abaisse également sa première prévision publiée il y a trois mois de 3,6 à 3,3%, ne s'attendant désormais qu'à un très léger rebond de la croissance.

À l'image du FMI, qui a également revu à la baisse ses chiffres en janvier, l'organisation internationale basée à Paris, se basant sur de "récentes données décevantes" sur la croissance mondiale, craint les conséquences de la baisse du cours du pétrole et des matières premières, ainsi que celles du ralentissement de l'économie chinoise. Le ralentissement est "généralisé" relève l'OCDE, soulignant qu'il n'y a pas vraiment de locomotive qui tire la croissance, comme ces dernières années quand la croissance des émergents pouvait compenser les ralentissements des pays développés. "La croissance du PIB mondial ne devrait pas être supérieure cette année à celle de l'année dernière, qui était déjà la plus lente des cinq dernières années", a-t-elle prévenu dans la révision de ses prévisions économiques.

..................

http://www.lepoint.fr/economie/l-ocde-b ... 451_28.php

[Raminagrobis]

La croissance de l'économie mondiale, comparée aux prévisions successives du FMI.

source

[mobar]

La croissance de l'économie mondiale, comparée aux prévisions successives du FMI.

D'indécrottables optimistes qui devraient revoir leurs modèles ou les mettre à la poubelle

ça me rappelle un autre organisme onusien celui-ci:-k

[kercoz]

On dirait que ça craint sérieux. D'apres ce monsieur, ça craque de partout:
http://www.franceculture.fr/emissions/l ... financiers

[kercoz]

Votez pour l' Europe:
http://www.lemonde.fr/panama-papers/art ... 90278.html

"""image: http://s2.lemde.fr/image/2016/04/15/534 ... c7857b.jpg
Le Parlement a adopté jeudi 13 avril une nouvelle directive protégeant les entreprises, qui affaiblit le statut des lanceurs d’alerte et inquiète les journalistes économiques
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/panama-papers/art ... 4TDIf38.99

[energy_isere]

La France, 9e puissance économique mondiale, selon le FMI
INFOGRAPHIE - Calculé en «parité de pouvoir d'achat», le PIB de la Chine arrive en tête suivi des États-Unis, de l'Inde et du Japon. Avec cette méthode de calcul chère au Fonds monétaire international, la France arrive en neuvième position parmi les grands pays.


.................
Le FMI accorde tellement de signification au PIB en PPA qu'il établit sa prévision de croissance mondiale, prévue à 3,2% en 2016, sur cette base. C'est le chiffre «officiel» auquel il accorde le plus d'importance, et le seul qui est discuté dans les réunions internationales et dont on parle dans la presse.

Si la pondération des PIB nationaux se faisait sur la base des taux de change des marchés, la croissance mondiale ne serait que de 2,5%

.................

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016 ... nbcomments

Trouvé sur forum bulle immo.

[ni chaud ni froid]

4e de la liste si on prend en compte le PIB-PPP par habitant derrières les USA, l'UK et l'allemagne. Pas si mal.
Par contre si on prend en compte les plus petits pays, c'est nettement moins brillant !
Comme quoi les chiffres...

Code : Tout sélectionner

1  Qatar                129 511
2  Luxembourg           100 991
3  Macao SAR             87 845
4  Singapore             86 853
5  Brunei                77 661
6  Kuwait                70 586
7  Norway                69 031
8  United Arab Emirats   67 946
9  San Marino            64 464
10 Switzerland           59 150
11 Ireland               58 372
12 Hong Kong SAR         58 128
13 United States         57 220
14 Saudi Arabia          53 728
15 Bahrain               50 667
16 Netherlands           50 338
17 Sweden                49 424
18 Australia             48 196
19 Austria               48 098
20 Iceland               48 042
21 Taiwan                47 811
22 Germany               47 535
23 Denmark               46 704
24 Canada                46 199
25 Oman                  44 530
26 Belgium               44 143
27 United Kingdom        42 041
28 France                41 867

[energy_isere]

L'OCDE relève de 0,1 point sa prévision de croissance mondiale pour 2017

AOF le 28/11/2016

Après le soutien monétaire des dernières années, place aux initiatives budgétaires ? En présentant ses dernières Perspectives mondiales, l'OCDE a en tout cas une fois encore appelé les gouvernements à prendre leurs responsabilités. Signe de l'optimisme de l'institution au vu des promesses de Donald Trump aux Etats-Unis par exemple, l'OCDE a relevé de 0,1 point sa prévision de croissance de l'économie mondiale pour 2017, à 3,3%.

"Des initiatives comportant des dépenses publiques judicieusement ciblées pourraient servir de catalyseur à l'activité économique dans le secteur privé, et aider l'économie mondiale à sortir du piège de la croissance molle", indique l'Organisation de coopération et de développement économique.

http://www.boursorama.com/actualites/l- ... c0005aa042

[kercoz]

Sur les inégalités, intervention importante de T. Piketty ./ Perso j'ai apris plein de trucs qui vont à l' encontre d' aprioris . ( a déplacer si besoin)

https://www.franceculture.fr/conference ... le-capital

[energy_isere]

La croissance mondiale devrait atteindre 3,7% en 2018, selon l’OCDE

Dans ses prévisions économiques mondiales publiées mardi, l’institution se félicite de l’amélioration conjoncturelle générale, mais s’interroge sur la solidité de la reprise.

LE MONDE ECONOMIE | 28.11.2017



Le diagnostic est déjà établi. Sa confirmation n’en est pas moins un événement heureux, tant les bonnes nouvelles se sont fait attendre ces dernières années. Dans ses prévisions économiques mondiales publiées mardi 28 novembre, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) se réjouit d’une reprise de la croissance qui se poursuit et se raffermit. L’activité planétaire progresse à son rythme le plus rapide depuis 2010.

Les experts du château de la Muette – le siège parisien de l’institution – pronostiquent une augmentation du produit intérieur brut (PIB) mondial de 3,6 % en 2017 et de 3,7 % en 2018. Une amélioration conjoncturelle « de plus en plus synchronisée entre les pays », souligne l’OCDE. Autrement dit, des pays riches aux économies émergentes et en développement, tous les grands blocs y prennent part, renforçant d’autant le mouvement.

Les principales économies font toutes nettement mieux qu’en 2016, quand la croissance mondiale n’avait progressé que de 3,1 %. La plupart d’entre elles se sont d’ailleurs vues gratifier de franches révisions à la hausse. La zone euro est l’emblème de ce retour à meilleure fortune. Elle devrait enregistrer une croissance de 2,4 % en 2017 – plus forte encore que celle des Etats-Unis, attendue à 2,1 % – et de 2,1 % en 2018. Soit 0,6 point et 0,3 point de pourcentage en plus que ce que l’institution lui prédisait en juin. La France devrait voir son PIB augmenter de 1,8 % cette année et l’an prochain.


Le rapport note que les moteurs de la reprise se sont rallumés un à un : le commerce mondial a redémarré, les carnets de commandes des entreprises se remplissent, l’investissement est reparti. Les créations d’emplois accélèrent. Les indicateurs de confiance sont élevés et se traduisent en dépenses de consommation plus robustes. Les pays avancés profitent de politiques monétaires toujours accommodantes, tandis que l’heure n’est plus à l’austérité du côté des politiques budgétaires.

Chez les émergents, les investissements en infrastructures effectués par la Chine ont stimulé la reprise, notamment en Asie, et amélioré la donne pour les pays exportateurs de matières premières, qui avaient été malmenés par la chute des cours. Ceux-là bénéficient désormais d’une légère remontée des prix du baril.
.........................

http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.html

[rico]

La croissance mondiale devrait atteindre 3,7% en 2018

Ou pas ?

[Remundo]

pas impossible, les prix du pétrole sont assez bas, et les pays habituels (Inde, Chine, Brésil...) vont tirer fort.

[energy_isere]

Croissance en baisse : la guerre commerciale entre Chine et Etats-Unis fait des vagues

Le Parisien 09/10/2018

Le Fonds monétaire international vient ainsi d'abaisser ses prévisions pour 2018 et 2019. Désormais, le FMI prévoit une progression du PIB mondial de 3,7 % pour ces deux années, soit 0,2 % de moins que dans ses précédentes estimations.« La croissance économique mondiale est toujours solide comparée à ce qu'elle était plus tôt au cours de cette décennie, mais elle semble avoir plafonné », explique Maurice Obstfeld, le chef économiste du FMI.
Principales causes de ce ralentissement : la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine et l'incertitude politique qui règne dans plusieurs pays. « Quand les deux plus importantes économies mondiales, les États-Unis et la Chine, s'affrontent, cela crée une situation dans laquelle tout le monde va souffrir », ajoute le FMI en constatant que cette « croissance est beaucoup plus inégale » qu'il y a six mois.Croissance soutenue mais en recul pour la Chine et les USA.
Washington a imposé des droits de douane supplémentaires sur 250 milliards de dollars d'importations chinoises. Pékin a rétorqué en imposant des taxes sur 110 milliards de dollars de marchandises américaines.
Pour le moment, les prévisions de croissance en 2018 des États-Unis et de la Chine sont maintenues à des rythmes soutenus, à respectivement + 2,9 % et + 6,6 %. Mais le FMI estime que les effets vont commencer à se faire sentir en 2019. La croissance devrait ainsi atteindre 2,5 % aux Etats-Unis en 2019 (- 0,2 %) et 6,2 % en Chine (- 0,2 %).

https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 06e610092b

[phyvette]

L’extraction de l’énergie entraîne des rendements décroissants en augmentant le coût de production des produits énergétiques. Pour que les prix de vente des produits énergétiques augmentent parallèlement à la hausse des coûts de production , il faut une demande croissante pour donner un «coup de pouce» à la hausse sur les prix de vente. Cette demande croissante est normalement générée par l’ajout de montants croissants de dette à des taux d’intérêt toujours plus bas. À un moment donné, la bulle de la dette créée de cette manière devient surmenée. Nous semblons être en train d'atteindre ce point maintenant, en particulier dans les parties vulnérables de l'économie mondiale...

L'endettement croissant semble résoudre tous les problèmes! Pas étonnant que les économistes keynésiens l’aient trouvé si utile. Mais le rendement doit rester suffisamment élevé pour rembourser la dette avec intérêt...

Emprunter de l'argent implique généralement l'obligation de rembourser le montant emprunté avec intérêts. Si l’énergie achetée au moyen de dettes permet à l’économie de croître suffisamment rapidement, il n’est pas difficile de rembourser une dette avec intérêts. Si l’énergie est très peu coûteuse (l’équivalent du pétrole coûte moins de 20 dollars le baril en prix corrigé de l’inflation), ce système de récupération fonctionne généralement parce qu’une grande quantité d’énergie peut être achetée pour une petite quantité de dette...

Si le prix de l'énergie augmente, il faudra beaucoup plus de dette pour la même quantité d'énergie produite. Par exemple, si le baril de pétrole est de 80 dollars le baril, l’abordabilité est beaucoup plus basse. Il faut quatre fois plus de dette pour payer un baril de pétrole. Le remboursement de la dette avec intérêts devient plus difficile...

Si la bulle de la dette cesse de croître, la bulle des prix des produits de base ne pourra continuer à croître. En fait, cela peut apparaître brusquement. C’est ce qui s’est passé au second semestre de 2008, lorsque les prix du pétrole ont chuté brutalement, passant de 147 dollars le baril à 30 dollars...

En fait, si une personne consulte les procès-verbaux du comité de surveillance du marché ouvert de la Réserve fédérale américaine, il est parfois clair que le comité de surveillance du marché ouvert a relevé les taux d’intérêt afin d’éclater intentionnellement des bulles d’actifs afin de «réduire les prix instables des produits alimentaires et de l’énergie»...

En outre, les prix élevés du pétrole ont également tendance à avoir un impact négatif sur l'économie car les prix de l'énergie augmentent, mais les salaires n'augmentent pas en même temps (partie 1, diapositive 28). Les consommateurs sont obligés de réduire leurs achats de biens facultatifs lorsque le coût des produits de première nécessité (tels que les coûts de transport et le coût des aliments) augmente...

Maintenant, il est assez clair qu'aucun prix du pétrole ne fonctionnera pour les producteurs et les consommateurs . Le prix du baril de Brent, aujourd'hui d'environ 80 dollars le baril, est à la fois trop bas pour les producteurs et trop élevé pour certains consommateurs. Les consommateurs particulièrement touchés sont ceux dont les monnaies sont en baisse par rapport au dollar...

Je devrais également mentionner que nous sommes également à un point où aucun taux d'intérêt ne fonctionne pour tout le monde . Ceux qui achètent de nouvelles maisons ou de nouvelles voitures ont besoin de taux d’intérêt bas pour que ces produits soient abordables. Les régimes de retraite, en revanche, ont besoin de taux d’intérêt élevés pour pouvoir tenir leurs promesses....

https://ourfiniteworld.com/2018/10/14/t ... on-part-2/